Manifestation du 5 mai 2013
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Re: Manifestation du 5 mai 2013
Roseau a écrit:Les politiciens Flan de Gôche annoncent une VIème république sans cumulards!
Des hypocrites et de cyniques sinécuristes qui ne se battent que pour les mangeoires.
Sur 10 députés FdG, 7 cumulards !
Vérifiez http://www.francetvinfo.fr/ton-depute-est-il-un-cumulard_111915.html#political=FG
Rien que du bonheur...!
Et Roseau tiendra la traîne de la République souveraine pour l'amener vers l'autel où l'attend ce coquin de Melenchon...!
Vals- Messages : 2770
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Manifestation du 5 mai 2013
????? Il a fumé quoi, ce soir ?
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Manifestation du 5 mai 2013
Roseau a écrit:????? Il a fumé quoi, ce soir ?
De l'encens ....pour tes fiançailles politiques et en l'honneur d'une sixième république construite dans les urnes et dans la rue (air connu )....
Vals- Messages : 2770
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Manifestation du 5 mai 2013
Le texte de Sabado entend répondre à ces dernières objections. Je le reproduis intégralement pour en commenter ensuite 2 aspects, un peu dans la même optique que Gérard... mais en aboutissant à une autre conclusion.gérard menvussa a écrit:Pour la seconde partie de ton argumentation, nous sommes totalement d'accordsylvestre a écrit:- Précisément, ce n'est pas le mot d'ordre de "sixième république" que je propose de reprendre mais celui de "convocation d'une assemblée constituante".gérard menvussa a écrit:
Que le mot d'ordre de la claire soit totalement abstrait, j'en suis tout autant que toi persuadé. Que le mot d'ordre de "Sixiéme république" ne le soit pas moins par contre me semble pas du tout douteux. (...).
- Précisément parce que le FdG ne se bat pas pour un affrontement de classe majeur type gréve générale pour l'imposer, son orientation est utopique, et nous devons l'expliquer aux travailleurs.
Sinon, ta premiére partie me semble par contre totalement illogique : si la sixiéme république est un mot d'ordre inconstant, alors une assemblée constituante n'a pas de sens. Et vice et versa... Bref, je ne vois pas en quoi "convocation d'une assemblée constituante" est mieux politiquement. Car une constituante "a chaud" peut éventuellement se défendre (en fonction de considérations stratégiques et tactiques), dire "constituante" sans chercher a batir une série de luttes, de gréves générales et de manifestation pour ouvrir a une confrontation avec la bourgeoisie qui aurait du sens est au mieux une imposture. Et ici, plutot une posture.
Anticapitalisme et démocratie –
Notes sur la participation aux manifestations du 1er et 5 mai 2013- contribution à la discussion sur les problèmes d’orientation auxquels le NPA est confronté dans la conjoncture actuelle
SABADO François - 20 avril 2013
1. Une fois de plus, les formes et les contenus de la crise, en France comme en Europe, ont été surprenants, imprévisibles. Crise économique et crise politique sont conjointes. Les accélérations, les tournants brusques sont inscrits dans la situation. C’est la première leçon à tirer des derniers évènements. Il faut aller vite, répondre vite. La deuxième, c’est que nous ne choisissons pas les terrains de la lutte sociale ou politique, même si nous sommes devant la difficulté suivante : une crise politique majeure, qui renvoie à des contradictions internes, qui, non seulement ne résulte pas d’une poussée ouvrière, mais coïncide avec une offensive de la droite et de l’extrême droite.
2. C’est là, que commencent les problèmes, car si la situation est compliquée, contrairement, à une série de points de vue qui se sont exprimés, la direction du NPA n’a pas donné des « réponses trop institutionnelles », à la crise « Cahuzac ». Quand des millions de gens discutent d’un événement, d’une crise politique majeure, ressentie à une échelle de masse comme une crise de représentation, nous ne pouvons pas expliquer, comme certains, que c’est une diversion ou qu’il faut parler d’autre chose, parce que ce n’est pas notre terrain. Non, nous devons répondre à la question posée : la crise « Cahuzac » n’est pas seulement le problème d’un homme, c’est la question de tout un système politique, institutionnel, inextricablement lié aux politiques d’austérité capitaliste développées depuis des années, qu’il faut renverser et remplacer.
3. De même, lorsque Mélenchon appelle à la manifestation du 5 mai, au-delà de la méthode et de ses objectifs, et qu’il y a une situation marquée par cette crise énorme de la gauche au gouvernement et une offensive de la droite, et que nous n’avons pas de proposition de remplacement, pouvons-nous dire : le 5 mai, c’est une diversion ou un pare-feu ? Lorsqu’il faut manifester, dans l’unité, contre l’austérité et reprendre la rue à la droite et l’extrême droite homophobe, pouvons nous nous abstenir ou opposer le 1er mai au 5 mai ? Certes, c’est une question tactique, mais elle est sérieuse. Comment pourrions-nous critiquer le Front de gauche dans leur refus de se considérer « dans l’opposition au gouvernement » et ne pas appeler à cette manifestation ? Comment appeler à mobiliser, à résister, à manifester, à longueur de tracts et d’articles dans notre presse et sur notre site contre l’austérité gouvernementale et la droite… mais nous abstenir lorsqu’il y a une telle initiative.
Il faut appeler le plus massivement possible à manifester le 1er Mai et le 5 mai, parce qu’au-delà des positions de la direction du Front de Gauche, les gens qui participeront à cette manifestation la chargeront d’un autre contenu : le rejet de l’austérité, l’opposition au gouvernement, le ras-le-bol de la corruption, le combat contre la droite et l’extrême droite. « Marcher séparément », parce que nous ne partageons pas les positions de Mélenchon et du PCF sur la VIe République, mais « frapper ensemble » parce que cette manifestation va rassembler contre l’austérité gouvernementale et contre droite et l’extrême droite, voilà notre politique.
4. Si nous appelons à manifester, se pose bien entendu, la question des bases politiques : ce sont celles d’un plan d’urgence social et démocratique. Social et démocratique, les deux.
• Urgence sociale pour défendre les principales revendications sur l’interdiction des licenciements, les augmentations de salaire, la défense des services publics et des retraites. Mais dans cette situation de crise, ces revendications doivent être accompagnées, plus que jamais par des mesures comme la levée du secret bancaire, le contrôle des changes et l’interdiction de mouvements de capitaux vers les paradis fiscaux, la nationalisation des banques sous contrôle des travailleurs et de la population, l’annulation des dettes illégitimes contre les politiques d’austérité. L’affaire « Cahuzac » donne, ainsi, un contenu d’urgence sociale sur la nécessité d’incursion dans la propriété bancaire et financière, et sur la nécessité d’un contrôle populaire sur la vie économique et politique.
• Urgence démocratique pour changer le système politique imbriqué avec les puissances de l’argent. L’affaire « Cahuzac » est la manifestation éclatante de ce système. Il est urgent de mettre fin à cette république des riches. Il faut en finir avec les institutions de la Ve République et la remplacer par une démocratie réelle qui mette fin au pouvoir de l’argent au profit d’assemblées élues, qui impose le contrôle direct de la population sur les élus rémunérés à un niveau équivalent au salaire moyen, révocables, qui interdise les concentrations des pouvoirs et le cumul des mandats. Urgence démocratique, que met à l’ordre du jour la lutte contre l’offensive réactionnaire et homophobe de la droite et de l’extrême droite. Ce sont les éléments d’un programme d’urgence pour une opposition de gauche au gouvernement Hollande-Ayrault.
5. Les questions sociales et démocratiques sont, donc, inextricablement liées. Si sur le plan social, nous pouvons discuter ici ou là telle formulation, mais il y a un large accord dans le parti. Visiblement, ce n’est pas le cas sur le plan politique institutionnel. Il ne s’agit pas de plaquer des réponses institutionnelles sur n’importe quelle situation, mais lorsqu’il ya une conjoncture qui exige des réponses sur ce terrain il ne faut pas hésiter. Le NPA avait d’ailleurs adopté à son 1er congrès un document sur les réponses à la crise où la dimension démocratique abordée : « Une démocratie politique élargie implique de rompre avec les institutions de la Ve République et leur hyper présidentialisme, de supprimer la fonction présidentielle. De revendiquer la proportionnelle intégrale, l’élection d’une Assemblée constituante, la suppression de toutes les instances qui comme le Sénat ou le Conseil constitutionnel confisque encore plus la démocratie. D’établir une rotation et une limitation stricte des mandats, la parité réelle dans tout corps élu. De développer une citoyenneté complète de résidents-travailleurs basée sur le droit du sol intégral. Ces nouvelles conquêtes démocratiques ne peuvent se penser sans des mobilisations profondes, émancipatrices, inventant de nouvelles formes de pratiques démocratiques répondant aux défis du monde d’aujourd’hui ».
Les anticapitalistes, les révolutionnaires doivent donc prendre en charge la défense des droits et libertés démocratiques. Sur un plan historique, cette question a été abordée, par exemple, par Trotski, qui, en 1934, dans un autre contexte – la défense de la démocratie contre les attaques violentes de la bourgeoisie bonapartiste et fasciste – a avancé l’idée de l’élection d’une « assemblée unique » appuyée sur des assemblées locales. Celui-ci s’adressait aux militants socialistes, « pour qu’il s’inspirent des idées et des méthodes non de la IIIe république mais de la Convention de 1793 pendant la révolution Françaises ». L’ex-LCR, de la campagne présidentielle d’Alain Krivine en 1969... jusqu’au Manifeste de 2004, a repris l’idée d’une rupture démocratique avec les institutions de la Ve république, l’abrogation de la constitution de 1958, et la proposition d’une assemblée constituante.
6. Nous pouvons discuter de telle ou telle formule, mais les anticapitalistes ne sont pas indifférents face aux formes politiques que prend la domination de la bourgeoisie. Ils s’opposent à toutes les formes dictatoriales et autoritaires de cette domination et proposent une démocratie radicale qui rompt avec l’ordre établi. Lorsque nous défendons l’abrogation de la Constitution de 1958 et un processus constituant, il y a d’abord l’idée de rupture, ensuite, la proposition de donner le pouvoir à des assemblées élues et souveraines qui exercent tout le pouvoir législatif et exécutif, se libèrent de l’emprise du marché et ne s’interdisent aucune incursion dans tous les domaines de la vie sociale et économique. C’est notre conception d’un processus constituant qui part de la rupture, se concrétise par l’élection d’une nouvelle assemblée et s’approfondit avec un mouvement vers la socialisation de l’économie, l’auto-organisation, et l’autogestion, appuyé sur un mouvement d’en bas. S’il prenait forme, ce processus passerait inévitablement par une confrontation avec les classes dominantes, la constitution d’un gouvernement des travailleurs, et, à un certain stade, le démantèlement du vieil état bourgeois.
7. C’est notre différence et notre désaccord avec la VIe République de Mélenchon. Il y a une référence à un processus constituant, mais sa VIe République ressemble plutôt à la IVe République. Et encore, car avec le temps et son utilisation de l’élection présidentielle, il ne supprime pas la présidence de la république – le FDG dit qu’il faudra discuter des modalités de la présidence. Il conçoit sa VIe République comme un régime d’assemblée dans le cadre des vieilles institutions bourgeoises. Ses idées s’inscrivent dans la continuité et de la transformation du vieil Etat. La rupture appuyée sur la mobilisation n’est pas au cœur de sa démarche. « Un coup de balai » mais un régime parlementaire, sans intervention populaire. Il n’y a aucune proposition de vie démocratique à partir de l’auto-organisation et autogestion populaire. Ses conceptions de réorganisation économique relèvent plus de l’étatisation que de la socialisation.
Bien sûr, nous devons critiquer les positions nationalistes de Mélenchon – le dernier exemple en date, étant un communiqué intitulé « Le gouvernement Ayrault veut vendre la France aux États-Unis » –, le choix de centrer son appel au 5 mai sur la VIe République en relativisant les questions de lutte contre l’austérité. De même, nous ne partageons pas le point de vue de Clémentine Autain qui présente le processus constituant pour une VIe République comme un « préalable » à la bataille pour une alternative politique. Il n’y a sur ce plan, aucun préalable, si ce n’est la défense de toutes les revendications sociales et démocratiques qui favorisent la lutte.
Enfin, nous avons aussi un désaccord, sur le terrain même de la démocratie : la VIe république de Mélenchon, c’est une nouvelle république parlementaire, dans la continuité des politiciens de la III e et IVe République. Notre approche, c’est celle d’une république démocratique et sociale qui rompt avec le capitalisme, celle des communards de 1871, ce qu’on retrouve aujourd’hui, dans les aspirations des mouvements des indignés, pour une démocratie réelle !
François Sabado
Reste que le raisonnement qui soutient ce type de démarche repose entièrement sur un pari : celui que les participants à la manif du 5 sauront donner une autre contenu ("rejet de l’austérité, l’opposition au gouvernement, le ras-le-bol de la corruption, le combat contre la droite et l’extrême droite") à une initiative impulsée et décrétée par Mélenchon pour son seul bénéfice, et dans la seule intention de peser sur les "négociations en sourdine" entamées avec Hollande et avec la direction du PS, en ayant 2014 dans sa ligne de mire.
Le scandale politique né de l'affaire Cahuzac étant sur le point de se résorber et de prendre sa place au milieu du sinistre cours des choses, c'est un mini-remaniement ministériel qui semble se profiler à l'horizon des prochaines semaines, et non le chamboule-tout gouvernemental espéré par certains. Et ce remaniement risque d'avoir une fonction essentiellement cosmétique. Peut-on alors sincèrement croire que la question du mode du gouvernement soit celle qui agite en priorité le corps social français ?
C'est avant tout "une question tactique", écrit Sabado.
C'est effectivement sous cet angle tacticien que la question de la participation du NPA me pose un problème : quelles chances avons-nous de ne pas apparaître comme la caution gauche de cette manoeuvre politicienne ? De quelle garantie disposons-nous, dès lors que nous ne sommes loin d'être en mesure d'en infléchir le cadre et le contenu ? Celle d'une mobilisation, non des masses (ne rêvons pas !), mais des secteurs les plus combatifs et les plus conscients du mouvement social ? Or rien, à l'heure actuelle, ne semble indiquer que les militants investis dans les luttes souhaitent se mobiliser en masse contre "la république des corrompus". Et rien ne prouve qu'ils souhaitent entrer dans la lutte en se saisissant du prétexte de ce raout mélenchonien.
Dès lors, faute du rapport de forces nécessaire, cette participation des anticapitalistes à "la manif' de Mélenchon" risque d'apparaître comme une manoeuvre de diversion par rapport aux questions essentielles que se pose l'écrasante majorité des salariés, et qui sont directement indexées sur leur situation économique et sociale. Donc, sur ce qui constitue leur vécu réel.
En outre, penser que le mot d'ordre de Constituante (auquel je souscris, en tant qu'expression d'une démarche transitoire), posé indépendamment des mobilisations sociales qui devraient en soutenir la formulation, puisse avoir, dans la période actuelle, une valeur autre que propagandiste, n'est-ce pas précisément se tromper de période, en mésestimant gravement l'état actuel du rapport de forces ? C'est-à-dire, le degré de conscience et de combativité du salariat ? Les cortèges étiques du 1er mai, les difficultés énormes rencontrées par les militants ouvriers pour mener des actions efficaces dans les secteurs les plus touchés par la crise, le faible degré d'opposition que rencontrent actuellement les bureaucraties syndicales pour mener leur politique de collaboration de classe, en donnent pourtant un triste aperçu.
Babel- Messages : 1081
Date d'inscription : 30/06/2011
Re: Manifestation du 5 mai 2013
Heureux de voir ce qui reste du npa dans à la manifestation pour la constituante et la 6 ème République.
Est-ce un tournant pour ce parti en grande difficulté, passé de 10000 à moins de 3000 militants en quelques années ?
Ou est-ce la n-iémé oscillation entre ralliement opportuniste à "tout ce qui bouge" avant de repartir dans la division sectaire comme lors de la campagne présidentielle ?
Nous verrons mais dans les deux cas une chose est sure: il n'y a plus d'espace politique pour le npa et il va continuer à se déchirer comme en témoigne les luttes de fractions qui s'expriment dans ce fil.
Est-ce un tournant pour ce parti en grande difficulté, passé de 10000 à moins de 3000 militants en quelques années ?
Ou est-ce la n-iémé oscillation entre ralliement opportuniste à "tout ce qui bouge" avant de repartir dans la division sectaire comme lors de la campagne présidentielle ?
Nous verrons mais dans les deux cas une chose est sure: il n'y a plus d'espace politique pour le npa et il va continuer à se déchirer comme en témoigne les luttes de fractions qui s'expriment dans ce fil.
Dernière édition par Achille le Ven 3 Mai - 11:19, édité 2 fois
Achille- Messages : 2738
Date d'inscription : 24/12/2011
Re: Manifestation du 5 mai 2013
C'est bizarre, les fantasmes d'Achille tel qu'ils s'expriment sur ce fil. Sinon, tu es sur que le PG sera a la manif ?il va continuer à se déchirer comme en témoigne les luttes de fractions qui s'expriment dans ce fil.
gérard menvussa- Messages : 6658
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Re: Manifestation du 5 mai 2013
gérard menvussa a écrit:C'est bizarre, les fantasmes d'Achille tel qu'ils s'expriment sur ce fil. Sinon, tu es sur que le PG sera a la manif ?il va continuer à se déchirer comme en témoigne les luttes de fractions qui s'expriment dans ce fil.
Nous pourrons comparer les cortèges et surtout comment sera perçu le ralliement du npa à la constituante et à la 6 république dans la presse par exemple.
Achille- Messages : 2738
Date d'inscription : 24/12/2011
Re: Manifestation du 5 mai 2013
Les choses sont claires!
Ce matin, sur RMC, Mélenchon: "tous à la Bastille avec E.Joly et O.Besancenot!"
Ce matin, sur RMC, Mélenchon: "tous à la Bastille avec E.Joly et O.Besancenot!"
niels- Messages : 189
Date d'inscription : 26/04/2013
Re: Manifestation du 5 mai 2013
C'est une trés bonne remarque. Mais mis a part l'humanité (dont l'objectivité dans ce genre d'affaires est proverbiale) tout le monde a remarqué qu'il ne s'agissait pas d'un "ralliement" mais bien d'une attitude unitaire qui est tout a fait différente de l'impérialisme organisationnel avec lequel agit JLM en particulier et le front de gauche en général. Qui ne conçoit l'unité que sur le mode du ralliement. Tu en est d'ailleurs un parfait exemple.le ralliement du npa à la constituante et à la 6 république dans la presse
gérard menvussa- Messages : 6658
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Re: Manifestation du 5 mai 2013
Je te trouve bien optimiste...gérard menvussa a écrit:C'est une trés bonne remarque. Mais mis a part l'humanité (dont l'objectivité dans ce genre d'affaires est proverbiale) tout le monde a remarqué qu'il ne s'agissait pas d'un "ralliement" mais bien d'une attitude unitaire qui est tout a fait différente de l'impérialisme organisationnel avec lequel agit JLM en particulier et le front de gauche en général. Qui ne conçoit l'unité que sur le mode du ralliement. Tu en est d'ailleurs un parfait exemple.le ralliement du npa à la constituante et à la 6 république dans la presse
Duzgun- Messages : 1629
Date d'inscription : 27/06/2010
Re: Manifestation du 5 mai 2013
"Pessimisme de la raison, optimisme de la volonté". Rien n'est joué d'avance. Quand aux résultats, on verra ça lundi : il se peut que la "grande manifestation" soit un flop. Il se peut que notre présence ne permette pas de montrer de façon efficace qu'une alternative existe à la "révolution par les urnes". Mais ce n'est pas en restant les bras croisés qu'on remetta en cause les rapports de force existant. Je ne suis ni "optimiste", ni "pessimiste", juste un peu volontariste.
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Manifestation du 5 mai 2013
gérard menvussa a écrit:sylvestre a écrit:
- Précisément, ce n'est pas le mot d'ordre de "sixième république" que je propose de reprendre mais celui de "convocation d'une assemblée constituante".
- Précisément parce que le FdG ne se bat pas pour un affrontement de classe majeur type gréve générale pour l'imposer, son orientation est utopique, et nous devons l'expliquer aux travailleurs.
Pour la seconde partie de ton argumentation, nous sommes totalement d'accord
Sinon, ta premiére partie me semble par contre totalement illogique : si la sixiéme république est un mot d'ordre inconstant, alors une assemblée constituante n'a pas de sens. Et vice et versa...
Non, c'est pas réversible : on pourrait réclamer une sixième république sans assemblée constituante. Evidemment une assemblée constituante, sauf coup de théâtre monarchique, aurait toutes les chances d'aboutir à la proclamation d'une nouvelle république qu'on pourrait dès lors appeler la sixième. Personnellement ça ne me pose pas de problème existentiel : nous distinguons déjà les mérites relatifs de la première république et des autres, la cinquième étant parmi les pires (et toute ayant été des formes de la dictature de classe de la bourgeoisie).
Bref, je ne vois pas en quoi "convocation d'une assemblée constituante" est mieux politiquement. Car une constituante "a chaud" peut éventuellement se défendre (en fonction de considérations stratégiques et tactiques), dire "constituante" sans chercher a batir une série de luttes, de gréves générales et de manifestation pour ouvrir a une confrontation avec la bourgeoisie qui aurait du sens est au mieux une imposture. Et ici, plutot une posture.
C'est précisément ce que nous devons dire : pour changer le système démocratique, on ne peut pas se contenter de la réclamer et d'attendre que le Front de Gauche fasse 51% aux élections, il faut une série de luttes, de gréves générales et de manifestations, etc.
sylvestre- Messages : 4489
Date d'inscription : 22/06/2010
Re: Manifestation du 5 mai 2013
Ah mais personnellement je ne resterai pas les bras croisés dimanche, j'ai bien d'autres tâches militantes bien plus importantes qu'une "marche pour la VIème République".gérard menvussa a écrit:"Pessimisme de la raison, optimisme de la volonté". Rien n'est joué d'avance. Quand aux résultats, on verra ça lundi : il se peut que la "grande manifestation" soit un flop. Il se peut que notre présence ne permette pas de montrer de façon efficace qu'une alternative existe à la "révolution par les urnes". Mais ce n'est pas en restant les bras croisés qu'on remetta en cause les rapports de force existant. Je ne suis ni "optimiste", ni "pessimiste", juste un peu volontariste.
Sur Toulouse, il y a dimanche :
- le débat entre boîtes en lutte à la foire à l'autogestion, avec entre autres les camarades de Fumel
- un rassemblement anti-homophobie en réponse à la manif homophobe au même moment
Après chaque militant peut choisir ses priorités, mais je ne pense pas que celles-ci soient secondaires par rapport à la "marche pour la VIème république".
Mais là où je te trouve optimiste, c'est quand tu penses que le cadre de la participation du NPA à cette fameuse marche sera audible à une large échelle, et où tu avances - à mon avis bien hasardeusement - qu'il est évident pour tout le monde sauf pour L'Humanité que le NPA y va sur ces propres mots d'ordres ...... Et tu es encore plus optimiste si tu penses que les mots d'ordres du NPA seront entendus voire relayés!
Après, comme tu dis, on tirera les bilans lundi...
Duzgun- Messages : 1629
Date d'inscription : 27/06/2010
Les mêmes, le même gadget... vieux de 1992
Les mêmes politiciens bourgeois jouant des coudes avec le leurre d'une VIème...
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
La Sociale, pas la République du sous-Mitterrand
PS J'en profite pour rappeler la video sur la VIème roue du carosse qui vient de faire partir en vrille le chargé de com de l'adjudant-chef Du Balai. Le signe comme toujours d'une information, son calvaire...Clic, et défense de rire...
https://forummarxiste.forum-actif.net/t2725p165-manifestation-du-5-mai-2013#65835
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Manifestation du 5 mai 2013
Nouvelles de la marche contre l’austérité, la finance et pour la 6ème République J-2
Vendredi 3 Mai 2013
Le Parti de Gauche
Marche Tous les feux sont au vert pour la grande marche citoyenne de ce dimanche 5 mai. Les montées organisées en car ou en train indiquent dans les régions une mobilisation supérieure à la marche contre le TSCG du 30 septembre dernier. Le succès des appels thématiques ne se dément pas.
En témoigne les plus de 1000 écologistes qui ont signé l’appel éponyme. Un autre appel, tout aussi important et relayé par Mediapart, est venu de responsables d’Europe Ecologie Les Verts . Parmi les signataires on retrouvera dans le carré de tête : Eva Joly, le député Sergio Coronado, les membres du Bureau exécutif Françoise Alamartine et Jérôme Gleizes, le conseiller régional Julien Bayou et l’adjointe au Maire de Paris Véronique Dubarry.
L’appel des syndicalistes rencontre également un large écho avec plus de 1300 signatures. Ils manifesteront derrière le carré de tête dans un cortège ouvert par les entreprises en lutte : Fralib, Arcelor Mittal, Sodimedical, Carrefour, Prestalis, Air France, Sanofi etc... Des syndicats ont par ailleurs appelé à la marche ces derniers jours tels l’UD CGT 75 ou FILPAC.
Les autres appels thématiques sont appelés à se regrouper en cortège un peu plus en arrière Rue de Lyon. Une banderole exigeant l’égalité des droits ouvrira cette partie de la marche de façon à affirmer notre détermination face à la droite et l’extrême droite qui s’y opposent. On y retrouvera également des délégations étrangères : les Latinos-américains de Paris, Bloco de Esquerda, Izquierda Unida, Déi Lénk, Die Linke, Front des Gauches belge, Syriza ainsi que des Britanniques venus en nombre.
Tout autour de la Bastille et dans les rues adjacentes prendront ensuite place et intercalés les cortèges des régions et des départements franciliens.
Achille- Messages : 2738
Date d'inscription : 24/12/2011
Marche du candidat Premier Sinistre du Chaholland
Confessions d'un politicien bourgeois. Récidives sur vidéos :
http://www.huffingtonpost.fr/2013/04/22/melenchon-vise-poste-premier-ministre_n_3130042.html?utm_hp_ref=front-de-gauche
A noter l’appel des mangeoires, même modestes, comme sous Chirac-Jospin :
"Je suis prêt à être Premier ministre, mais je peux aussi imaginer de ne pas l’être"
http://www.huffingtonpost.fr/2013/04/22/melenchon-vise-poste-premier-ministre_n_3130042.html?utm_hp_ref=front-de-gauche
A noter l’appel des mangeoires, même modestes, comme sous Chirac-Jospin :
"Je suis prêt à être Premier ministre, mais je peux aussi imaginer de ne pas l’être"
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Manifestation du 5 mai 2013
La GA sur le 5 mai
Ce groupe est maintenant totalement dans le projet réformiste institutionnel du PG et il n'y a légitimement plus du tout d’obstacle à une fusion, leur texte le démontre sur l'essentiel à l'occasion de l'appel au 5 mai (*).
(*).
L'appel au 5 mai de la GA montre une volonté d'accompagner la colère existante, puis de la courber vers un objectif institutionnel de 6eme république. La lutte de classe n'existe plus, le discours est celui qu'on a connu de Mitterrand dans les années 70, en plus à droite.
La dérive de courants issus de la gauche révolutionnaire est proche d'arriver à son terme et de s'intégrer complétement dans un réformisme traditionnel. Fini l'espérance que les luttes sociales permettent que la démocratie ouvrière se constitue en pouvoir et en même temps renverse le capitalisme.
La stratégie est très institutionnelle et réformiste.
Pour les révolutionnaires, le chemin est différent, mais ils sont partout où ils peuvent tenter de convaincre d'une stratégie plus réaliste sur les objectifs immédiats de défense des intérets des travailleurs.
Leur présence le 5 mai n'a pas d'autre but que de développer la colère populaire, chercher à l'organiser à tous les niveaux et donc faire de la propagande dans les rangs des manifestants venus à cette occasion.
Ce groupe est maintenant totalement dans le projet réformiste institutionnel du PG et il n'y a légitimement plus du tout d’obstacle à une fusion, leur texte le démontre sur l'essentiel à l'occasion de l'appel au 5 mai (*).
Pour la Gauche anticapitaliste, Guillaume Floris, Ingrid Hayes, Myriam Martin, Monique Migneau appellent à manifester le 5 mai pour une VIe République« démocratique et sociale » dans laquelle « les élus ne seraient pas des professionnels de la politique ». Et pour « en finir avec ce système capitaliste et productiviste en promouvant la transition écologique ».http://www.gauche-anticapitaliste.org/content/pour-une-nouvelle-republique-reprendre-la-rueL'affaire Cahuzac n'est pas l'affaire Cahuzac. Parce que surtout et avant tout ce n'est pas l'affaire d'un seul homme qui aurait menti, « les yeux dans les yeux », au Président, au Premier ministre, à l’Assemblée, au peuple français.
L'affaire Cahuzac est une affaire d’État et une affaire de tous et de toutes. Elle n'est pas un coup de tonnerre dans le ciel serein de la Cinquième République, une exception, le fruit des errements d'un individu qui aurait failli. Non, elle est en fait le révélateur du fonctionnement d'un système dans lequel sont liés, au sein de collusions étroites, dirigeants politiques, une partie du monde médiatique et oligarchie financière.
Conflits d'intérêt, « renvois d'ascenseur », passages d'un conseil d'administration à un cabinet de ministre et vice-versa, les mélanges des genres sont en fait monnaie courante. Le parcours de Jérôme Cahuzac en est la parfaite illustration. Lui qui exerce ses activités de conseil, activités très lucratives auprès des laboratoires pharmaceutiques qu'il connaît bien grâce à sa fonction politique au sein du cabinet de Claude Evin (alors ministre de la Santé) entre 1988 et 1991.
La confusion entre intérêts personnels et service de l’État existe constamment au sein de cette Cinquième République, discréditée et disqualifiée. Il s'agit donc de défendre qu'il faut en finir avec ces institutions. Institutions qui n'ont jamais permis l'expression d'une démocratie directe, mais qui ont renforcé au fil des années le présidentialisme et qui se sont soumises à la logique des marchés.
Aussi l'affaire Cahuzac est d'autant plus insupportable dans le contexte actuel de cure d'austérité et de crise sociale pour le plus grand nombre. En effet, cette soumission à la finance qui guide la politique du gouvernement et du président de la République s'accompagne des politiques d'austérité exigeant des sacrifices à la majorité de la population, alors que les plus puissants et les plus riches profitent de l'évasion fiscale, y compris l'ancien ministre du Budget en charge de réprimer cette dernière !
L'heure est donc grave. Alors que la droite et l’extrême droite radicalisent leur position et leurs mobilisations contre l’égalité des droits et le mariage pour tous, il ne s'agit ni de se contenter des mesurettes de François Hollande, ni de crier au « tous pourris ». Non, aujourd’hui au lieu de hurler avec les loups, il faut poser des actes forts, il faut changer de République !
Mais cette VIe République, s’il nous faut la réclamer, il s’agit surtout de l’incarner, de lui donner de la chair !
D’abord nous voulons une véritable République démocratique et sociale.
La République démocratique dans laquelle on pourrait se reconnaître appliquerait l’égalité réelle des droits entre toutes et tous, hommes et femmes, homosexuel-les et hétérosexuel-les, Français-es et résident-es étrangers.
La République démocratique que nous voulons fonctionnerait avec d’autres institutions, les élus ne seraient pas des professionnels de la politique, ils pourraient se voir appliquer révocabilité, limitation des mandats et non cumul de ces derniers. La proportionnelle intégrale à tous les niveaux serait retenue.
La République démocratique, c’est une démocratie jusqu’au bout qui se donne les moyens d’impliquer tout le peuple, de l’échelle locale à l’échelle nationale, qui permet l’expression de la démocratie directe tant sur les lieux de vie que sur les lieux de travail. Il s’agira de mettre en œuvre un pouvoir efficace parce que souple et impliquant la population à partir du principe de subsidiarité : ne serait délégué à l’échelon supérieur que ce qui ne peut être pensé et mis en œuvre localement.
Une République démocratique ne peut réellement exister qu’en étant une République sociale.
C’est pourquoi elle assurerait un toit et un salaire décent pour tous et toutes, une protection sociale et un droit à la santé pour tous et toutes.
Enfin une VIe République dans son organisation sociale et démocratique se donnerait les moyens d'en finir avec ce système capitaliste et productiviste en promouvant la transition écologique, et de mettre en place une vraie coopération en direction des autres peuples, en Europe et au-delà.
C’est le sens de la journée du 5 mai.
Par cette première initiative, le Front de gauche veut montrer qu’il est porteur d’une alternative à gauche. Nous voulons exiger l’arrêt des politiques d’austérité, affronter l’oligarchie financière, poser les jalons pour exiger un processus constituant comme en Islande et ouvrir la voie vers une VIe République.
A l'instar de nos camarades grecs, espagnols, portugais, italiens, tunisiens qui n'en peuvent plus des politiques d'austérité menées par des élites politiques au service de l'oligarchie financière, il est temps de reprendre la rue.
(*).
L'appel au 5 mai de la GA montre une volonté d'accompagner la colère existante, puis de la courber vers un objectif institutionnel de 6eme république. La lutte de classe n'existe plus, le discours est celui qu'on a connu de Mitterrand dans les années 70, en plus à droite.
La dérive de courants issus de la gauche révolutionnaire est proche d'arriver à son terme et de s'intégrer complétement dans un réformisme traditionnel. Fini l'espérance que les luttes sociales permettent que la démocratie ouvrière se constitue en pouvoir et en même temps renverse le capitalisme.
La stratégie est très institutionnelle et réformiste.
Pour les révolutionnaires, le chemin est différent, mais ils sont partout où ils peuvent tenter de convaincre d'une stratégie plus réaliste sur les objectifs immédiats de défense des intérets des travailleurs.
Leur présence le 5 mai n'a pas d'autre but que de développer la colère populaire, chercher à l'organiser à tous les niveaux et donc faire de la propagande dans les rangs des manifestants venus à cette occasion.
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Manifestation du 5 mai 2013
Bien les petits pour l'opération d'agitation.
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
Re: Manifestation du 5 mai 2013
Copas a écrit:
Bien les petits pour l'opération d'agitation.
C'est effectivement comme cela qu'il fallait appeler à la manif du 5 mai:
action relayée par médias, sur les mots d'ordre du NPA, ici d'expropriation des banques,
aux antipodes du projet de futur Premier Sinistre du Caholland
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Manifestation du 5 mai 2013
Super, dommage d'avoir passé son temps à critiquer l'initiative en particulier le dénigrement systématique contre le FdG. Pour la mobilisation pour le 5 ce sera la seule initiative du npa et devant... les caméras.
Bref ils critiquent, ils ne mobilisent pas, ils communiquent... curieuse conception de la politique unitaire...
Bref ils critiquent, ils ne mobilisent pas, ils communiquent... curieuse conception de la politique unitaire...
Achille- Messages : 2738
Date d'inscription : 24/12/2011
Re: Manifestation du 5 mai 2013
http://www.lepoint.fr/politique/melenchon-veut-faire-du-5-mai-une-demonstration-de-force-03-05-2013-1663239_20.php
Vals- Messages : 2770
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Manifestation du 5 mai 2013
Achille a écrit:Pour la mobilisation pour le 5 ce sera la seule initiative du npa et devant... les caméras.
Bref ils critiquent, ils ne mobilisent pas, ils communiquent... curieuse conception de la politique unitaire...
Menteur encore. Le message est ci-dessus.
Et comme je l'ai dénoncé, il a détourné le message après
en prétendant que Copas ou moi ne mobilisions pas.
Ce qui chacun peut consulter, est un autre mensonge.
En fait, il veut masquer la différence:
nous mobilisons pour notre classe, pour la lutte,
quant Achille mobilise pour un politicien bourgeois!
Dernière édition par Roseau le Dim 5 Mai - 0:30, édité 1 fois
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Manifestation du 5 mai 2013
[quote="Roseau"]
MAIS QUE FAIT LA POLICE?!!!
Achille a écrit:Pour la mobilisation pour le 5 ce sera la seule initiative du npa et devant... les caméras.
Menteur encore, indigne d'un forum MR !
Pas un jour qu'il ne se fait prendre comme un vulgaire chargé de com.
MAIS QUE FAIT LA POLICE?!!!
dug et klin- Messages : 813
Date d'inscription : 07/02/2012
Localisation : quelque part entre St-Malo et Collioure en passant par Sarlat
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