Grèce
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Re: Grèce
Éric Toussaint : "La Grèce doit suspendre unilatéralement le remboursement de sa dette"
http://cadtm.org/Eric-Toussaint-La-Grece-doit
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Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Et maintenant ?
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http://www.npa2009.org/content/gr%C3%A8ce-et-maintenant%E2%80%89
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Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Vio.Me.
Grèce : L’usine Vio.Me. commence sa production sous contrôle ouvrierjeudi 28 février 2013
Sur le site http://www.viome.org/p/ les travailleurs de Vio.Me appellent à la solidarité:
"LA LUTTE POUR L’AUTOGESTION DES OUVRIERS DE VIO.ME.
Les travailleurs de Vio.Me., une usine de matériaux de construction à Thessalonique, en Grèce, abandonnée par ses propriétaires, ne sont pas payés depuis mai 2011. Par décision de son assemblée générale, ils ont décidé d’occuper l’usine et la faire fonctionner sous le contrôle des travailleurs en démocratie directe. Après la lutte durant d’ici un an, qui a attirée l’attention et la solidarité en Grèce et dans le monde entier, ils ont redémarré la production le 12 Février 2013, suite à 3 jours de manifestations intenses.
Comment aider ?
Faites passer le message ! Transmettez cette information à vos amis, contacts et organisations. Notre protection contre la répression est notre lien avec la société ! Le secret de notre réussite est le lien solide avec la communauté !
Contribuer économiquement ! Les coûts de production sont élevés et les premiers mois seront décisifs. Les travailleurs ont un plan solide et sont très optimistes quant au succès de l’entreprise, mais il faudra un certain temps avant qu’ils ne soient consolidés dans le marché. Contribuons tous ! Utilisez le bouton "Donate", n’importe versement est utile !
Organisez- vous, dans votre lieu de travail, votre quartier, votre ville ! Favorisez l’autogestion sociale et réelle, sans la nécessité des intermédiaires, des politiciens professionnels ou des bureaucrates ! Formuler de coopératives et des assemblées de quartier, protéger les biens communs, promouvoir une nouvelle civilisation basée sur la proximité, la reconnaissance mutuelle et la solidarité.
Contactez-nous a protbiometal@gmail.com. Les travailleurs seront heureux de sentir la chaleur de la solidarité venante de l’étranger !"
Publié le 14/02/2013 par panos http://initiativegrecqueaparis.wordpress.com/2013/02/14/lusine-vio-me-commence-sa-production-sous-controle-ouvrier/
« Vous ne le pouvez pas ? Nous, nous le pouvons ! » « Nous sommes ceux qui pétrissent et nous n’avons pourtant pas de pain, nous sommes ceux qui extraient le charbon et nous avons pourtant froid. Nous sommes ceux qui ne possèdent rien et nous arrivons pour prendre le monde »
Tassos Livaditis (poète grec, 1922-1988)
Au cœur de la crise, les travailleurs de Vio.Me. [1] visent le cœur de l’exploitation et de la propriété. Alors que le taux de chômage atteint 30% en Grèce,alors que le revenu des travailleurs est nul, fatigués et irrités par des phrases pompeuses, des promesses et de nouveaux impôts, sans salaire depuis mai 2011 et sans travail du fait de l’abandon de l’usine par leurs employeurs, les travailleurs de Vio.Me, à la suite d’une décision prise lors de leur assemblée générale, ont fait part de leur détermination à ne pas devenir les proies d’un chômage permanent mais plutôt de lutter afin de s’approprier l’usine et de la faire fonctionner eux-mêmes. En octobre 2011, par le biais d’une proposition officielle, ils ont revendiqué la constitution d’une coopérative ouvrière, demandant une reconnaissance légale pour leur propre coopérative ainsi que pour celles qui suivront. Ils ont revendiqué, en parallèle, l’argent nécessaire pour faire fonctionner l’usine. Cet argent leur appartient quoi qu’il en soit puisque se sont eux qui produisent la richesse de la société. Le plan qu’ils ont établi n’a rencontré qu’indifférence de la part de l’Etat et des bureaucraties syndicales. Il a toutefois rencontré l’enthousiasme au sein des mouvements sociaux, lesquels ont lutté au cours des derniers six mois pour répandre le message de Vio.Me. à l’ensemble de la société, cela par la création de l’Open Initiative of Solidarity à Thessalonique, puis par la mise sur pied d’initiatives identiques dans beaucoup d’autres villes.
Le temps du contrôle ouvrier de Vio.Me. est venu !
Les travailleurs ne peuvent attendre plus longtemps que l’Etat en banqueroute réalise ses promesses creuses de soutien (même l’aide d’urgence de 1000 euros promise par le ministre du Travail – actuellement Yannis Vroutsis – n’a jamais été approuvée par le ministre des Finances – actuellement Yannis Stournaras). Il est temps que Vio.Me. reprenne son activité, non pas par ses anciens patrons ou même par de nouveaux, mais par les travailleurs eux-mêmes. Cela devrait aussi bien être le cas d’autres usines qui sont en train d’être fermées, qui se déclarent en faillite ou qui licencient des travailleurs. La lutte ne peut se limiter à Vio.Me. Pour qu’elle puisse être victorieuse, elle doit être généralisée et s’étendre à toutes les usines et à tous les commerces qui sont en train d’être fermés. C’est seulement par la constitution d’un réseau d’entreprises autogérées que Vio.Me. sera capable de prospérer et d’éclairer le chemin d’une organisation différente de la production et de l’économie, sans exploitation, sans inégalité et sans hiérarchie.
Alors que les usines ferment les unes après les autres, alors que le nombre de chômeurs et chômeuses en Grèce approche les 2 millions et que l’immense majorité de la population est condamnée à la pauvreté et à la misère par le gouvernement de coalition du PASOK, de la Nouvelle Démocratie et des Démocrates de gauche – lequel poursuit les politiques des gouvernements précédents – la revendication de faire fonctionner les usines sous contrôle ouvrier est la seule réponse sensée au désastre auquel nous faisons face chaque jour. C’est la seule réponse au chômage. Pour cette raison, la lutte de Vio.Me. est la lutte de tout le monde.
Nous sollicitons toutes les travailleuses et tous les travailleurs, les chômeuses et les chômeurs, ainsi que toutes celles et ceux qui sont touchés par la crise de faire front avec les travailleurs de Vio.Me. et de les soutenir dans leur volonté de mettre en pratique leur conviction que les travailleurs peuvent produire sans patrons ! Nous appelons à la participation à une caravane de lutte et de solidarité à travers tout le pays, culminant par trois jours de lutte à Thessalonique. Nous les appelons à s’associer à ce combat et à organiser leurs propres luttes sur leurs lieux de travail, avec un fonctionnement de démocratie directe, sans bureaucrates. Nous les appelons enfin à participer à une grève politique générale afin de dégager ceux qui détruisent nos vies ! Tout cela contribuera à l’établissement d’un contrôle ouvrier sur les usines et sur l’ensemble de la production ainsi que d’organiser l’économie et la société que nous voulons, une société sans patrons ! C’est le temps de Vio.Me. Mettons-nous au travail ! Pavons la voie à une autogestion générale des travailleuses et des travailleurs !Pavons la voie d’une société sans patrons ! (Traduction A l’Encontre)
[1] Viomichaniki Metaleftiki est une entreprise produisant des minéraux industriels pour la construction et intégrée au groupe Philkeram-Johnson SA. La firme a été créée en 1961, par la famille Philippou, depuis longtemps active dans le domaine de la céramique. Le nom Philkeram vient de la combinaison du nom de famille Philippou et karemika, céramique en grec. Une opération de fusion s’est opérée en 1969, qui a donné le nom de Philkeram-Johnson SA. La crise qui a explosé en 2008, en particulier dans le secteur de la construction, a frappé la firme, d’autant plus que les crédits bancaires s’asséchaient et qu’augmentait le prix du fioul et de l’électricité. (Réd. A l’Encontre).
Ci-dessous un petit historique, ainsi que le communiqué de presse annonçant la décision du personnel à passer à l’autogestion.
(source http://www.autogestion.asso.fr/?p=2533 )
Viomichaniki Metaleftiki (Vio. Me. : Βιομηχανική Μεταλλευτική) est une entreprise spécialisée dans la production de matériaux de construction, d’aménagement et d’isolation. Filiale de Philkeram-Johnson (le plus ancien et le plus important producteur de matériaux de construction en Grèce) appartenant à Giorgos Filipou, elle est basée à Thessalonique et emploie entre 60 et 70 travailleurs. Sur la période 2000-2006, Vio.Me. était une entreprise florissante affichant une progression du chiffre d’affaires de 139% et des profits de 118%. Cette tendance s’est retourné en 2010 à la suite du transfert d’une dette de près de 2 millions d’euros de l’entreprise-mère vers la filiale. En mai 2011, l’entreprise-mère dépose le bilan, ce qui n’est pas le cas de sa filiale. Pourtant, la direction de Vio.Me. décide la cessation de paiement des salaire et le lock-out de l’usine, sous le prétexte d’un manque des fonds. Depuis cette date (mai 2011), les revenus (indemnisations) des travailleurs / ouvriers en arrêt de travail s’élèvent à 359 euros/mois.
En juillet 2012, ils décident d’explorer la piste de l’autogestion sous le mot d’ordre « Vous ne le pouvez pas ? Nous, nous le pouvons ! » en réponse à la direction ayant déclaré qu’elle ne peut pas procéder à la réouverture du site..
Le communiqué de presse après leur Assemblée Générale du 11 juillet 2012 :
« La direction de Viomichaniki Metaleftiki, une filiale de Filkeram-Johnson, a abandonné l’usine et ses travailleurs depuis mai 2011. En réponse, les travailleurs de l’usine ont cessé le travail depuis septembre 2011. Le syndicat de l’entreprise a organisé une équipe de 40 ouvriers, ayant pour mission d’empêcher l’enlèvement des machines par la direction ou le vol de celles-ci. L’ensemble de travailleurs participe à l’Assemblée Générale. La proposition du syndicat afin de briser le statut quo actuel (alors que la direction a clairement déclaré que l’usine ne redémarrerait pas compte tenu de l’absence de fonds) est que l’usine passe sous contrôle direct des travailleurs.
Cette proposition a été adoptée par 98 % des participants à l’Assemblée générale. Plus précisément, ils ont demandé que l’usine soit transférée aux travailleurs et que tous les membres de la direction et les travailleurs participant au Conseil d’administration démissionnent sans aucune exigence vis-à-vis de la future administration ouvrière. En ce qui concerne le capital initial, qui est indispensable pour le fonctionnement de l’usine, la proposition des travailleurs est que l’Organisme national de l’emploi (le Pôle Emploi grec) leur verse par avance les allocations auxquelles ils auraient droit en tant que repreneurs d’entreprise. Enfin, les travailleurs de Vio.Me. exigent l’introduction dans la législation d’un statut légal régissant les entreprises coopératives, afin que leur initiative (ainsi que toute initiative semblable future) puisse disposer d’un cadre de couverture légale.
Nous, travailleurs en lutte, en dehors de l’évidente valeur que nous voyons d’être dans la lutte et les demandes exprimées par tous les travailleurs, reconnaissons également une valeur additionnelle qui se résume parfaitement dans la proposition d’autogestion. Nous pensons que l’occupation et la reprise d’activité des entreprises impulsée par les travailleurs est l’unique proposition alternative réaliste pour lutter contre l’exploitation croissante de la classe ouvrière. L’auto-organisation des usines qui ferment est l’unique proposition qui a le pouvoir de mobiliser la classe ouvrière, qui vivant sous la menace constante du chômage, ne voit plus aucun moyen de résister.
Nous savons que les difficultés auxquelles nous sommes confrontées dans la lutte pour l’autogestion de l’usine sont nombreuses, que l’Etat et le Capital s’y opposeront de toutes leurs forces dans la mesure où une victoire pourrait créer un précédent et un exemple pour n’importe quelle autre lutte dans le pays. Cependant, la question de savoir dans quelles mains se retrouve la production, se transforme aujourd’hui en une question de vie ou de mort pour une classe ouvrière qui est poussée vers le dénuement. Pour cette raison, les luttes des travailleurs qui s’orientent dans cette direction, de même que les forces solidaires, doivent se préparer à affronter l’Etat et l’employeur pour réaliser l’occupation des moyens de production et la gestion ouvrière. Nous lançons un appel à tous les syndicats, les organisations et les travailleurs pour que s’exprime la solidarité avec la lutte des ouvriers de Viomijanikí Metaleftikí et entreprendre un soutien actif aux travailleurs à la fois financièrement et politiquement. »
Ceux et celles souhaitant soutenir cette initiative peuvent se rendre sur le site http://www.viome.org/ où il est possible d’effectuer un versement via PayPal.
(source : http://www.viome.org/p/francais.html, traduction : http://alencontre.org/europe/grece/... )
BIO.ME.: ΔΕΝ ΜΠΟΡΕΙΤΕ ΕΣΕΙΣ? ΜΠΟΡΟΥΜΕ ΕΜΕΙΣ! *
(* "Vous ne le pouvez pas ? Nous, nous le pouvons !")
(* "Vous ne le pouvez pas ? Nous, nous le pouvons !")
Babel- Messages : 1081
Date d'inscription : 30/06/2011
Grèce : rencontres anticapitalistes
Publié dans : Hebdo Tout est à nous ! 185 (07/03/13)
http://www.npa2009.org/content/gr%C3%A8ce-rencontres-anticapitalistes
http://www.npa2009.org/content/gr%C3%A8ce-rencontres-anticapitalistes
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Grèce
Roseau a écrit:Publié dans : Hebdo Tout est à nous ! 185 (07/03/13)
http://www.npa2009.org/content/gr%C3%A8ce-rencontres-anticapitalistes
On ne saurait trop insiter sur la justesse de cet article.
stef- Messages : 184
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Grèce
Grèce : rencontres anticapitalistes
jeudi 7 mars 2013
Publié dans : Hebdo Tout est à nous ! 185 (07/03/13)
À l’initiative de « Rproject » – coordination du DEA, de Kokkino et Apo, forces de la gauche de Syriza – a eu lieu du 1er au 3 mars à Athènes une rencontre anticapitaliste internationale. Celle-ci a rassemblé près d’un millier de personnes.
Étaient présents des animateurs de la gauche de Syriza – qui a obtenu plus de 25 % des suffrages lors de leur dernière conférence nationale, des syndicalistes de toute l’Europe dont Georgio Chremaschi de la direction de la Fiom (fédération de la métallurgie italienne), des économistes dont Michel Husson, Daniel Albaracin et Kostas Lapavitsas, ainsi que des délégations de différents pays : Suisse, Italie, Espagne, Portugal, USA, et France, avec des militantEs du NPA dont Olivier Besancenot.
Cette rencontre a permis une discussion passionnante sur la situation en Grèce, en Europe mais aussi sur les tâches des anticapitalistes dans le mouvement syndical, les services publics et dans la lutte antifasciste. La rencontre s'est terminée par une discussion sur les révolutions arabes animées par Gilbert Achcar et Ahmed Shawki.
On ne peut saisir la singularité, la force et l’espoir que symbolise Syriza sans prendre en compte la profondeur de la crise grecque. Le pays est démoli par les politiques d’austérité. Les classes populaires sont saignées : un chômage officiel de près de 30 %, des baisses de salaires de 30 ou 40 % voire plus, des hôpitaux sans médicaments ou des médicaments hors de prix. À Athènes, des milliers de devantures de commerce sont fermées et la décomposition politique du pays accompagne la désolation économique, avec une montée des fascistes de l’Aube Dorée. Et malgré tout cela, le peuple grec vit, survit, résiste. La fatigue sociale et politique se fait sentir, après 29 journées de grève nationale depuis le début de la crise, mais la mobilisation est là.
Un « gouvernement des gauches »
C’est dans ce contexte que la discussion de la rencontre s’organisa autour des tâches pour passer de la mobilisation de masse actuelle contre l’austérité à la construction d’un mouvement social et politique pour renverser le gouvernement de Samaras et instaurer un « gouvernement des gauches » contre l’austérité : un gouvernement transitoire de rupture avec les politiques d’austérité et celles de l’Union européenne, un gouvernement des gauches sans Pasok ou forces bourgeoises. Comme l’explique, Antonis Davanellos, responsable du DEA, il s’agit de lutter pour un « gouvernement des gauches » – Syriza, KKE, Antarsya – qui « défende les classes populaires », et pas un « gouvernement de salut ou d’union nationale avec des représentants capitalistes » comme l’ont défendu certains dirigeants de Syriza dans les dernières semaines.
À cette étape, la force de Syriza a été de combiner résistance sociale et perspective politique de rejet des diktats « austéritaires » de l’Union européenne. Un gouvernement de gauche ne prend son sens que sur une telle base. Pour aller le plus loin possible, cette perspective doit s’appuyer sur la mobilisation et l’auto-organisation sociale. « Il faut tenir bon sur cette ligne », nous explique la gauche de Syriza. Rechercher des alliances pour une reconstruction nationale avec des secteurs du capitalisme grec ne peut que s’opposer à un programme de défense des intérêts populaires. La situation est critique. Les enjeux au sein de Syriza sont considérables. Les pressions de l’Union européenne et des classes dominantes sont énormes. Syriza nous appelle à la résistance. Il faut répondre par notre solidarité.
François Sabado
Stef :
On ne saurait trop insiter sur la justesse de cet article.
Sabado apporte ainsi sa solidarité à une politique visant à constituer un gouvernement avec une "Union des gauches" issue de Syriza, sans force bourgeoise et capitaliste.
En France, la déclinaison de cette politique d'union gouvernementale pourrait se faire avec quelle forces politiques
alexi- Messages : 1815
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Grèce
Je ne me prononcerai pas sur la Grèce, car il je suis incapable de jugeralexi a écrit:
Sabado apporte ainsi sa solidarité à une politique visant à constituer un gouvernement avec une "Union des gauches" issue de Syriza, sans force bourgeoise et capitaliste.
En France, la déclinaison de cette politique d'union gouvernementale pourrait se faire avec quelle forces politiques
de la crédibilité d'une autre formule pour un gouvernement des travailleurs.
Pour la France, le problème ne se pose pas actuellement ainsi,
cad en terme de gouvernement composé des orgas indépendantes des forces bourgeoises.
Ces forces se limiteraient au NPA, LO et quelques orgas libertaires.
Un bon front Anti-K, en pointe dans les luttes (sauf l'écologie pour LO)
mais ça fait pas un mot d'ordre de gouvernement.
(Les autres partis ont toujours été mouillés dans la gestion PS à un niveau ou un autre,
et entendent continuer, notamment JLM comme Premier Sinistre de Hollande)
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Grèce
alexi a écrit:stef a écrit:On ne saurait trop insiter sur la justesse de cet article.
Sabado apporte ainsi sa solidarité à une politique visant à constituer un gouvernement avec une "Union des gauches" issue de Syriza, sans force bourgeoise et capitaliste.
En France, la déclinaison de cette politique d'union gouvernementale pourrait se faire avec quelle forces politiques
Notre méthode, en France comme en Grèce, c'est celle de notre programme, qui affirme que
De tous les partis et organisations qui s'appuient sur les ouvriers (...), nous exigeons qu'ils (...) entrent dans la voie de la lutte pour le gouvernement ouvrier et paysan.
A ce stade, en France, il n'existe aucune raison de préciser les forces concernées, mais tu noteras qu'en Grèce c'est bien d'un gouvernement centré sur Syriza qu'il est question, dans la continuité de la méthode générale du gouvernement PCF-PS définie déjà en son temps par Lénine ("le gauchisme").
Autrement dit, si ta question est une périphrase pour parler du FdG, oui, il est visé par notre combat pour la rupture avec la bourgeoisie. Mais à ce stade, ça n'aurait aucun sens de plaquer à la France une tactique appliquée en Grèce, dans une situation proondément différente.
stef- Messages : 184
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Grèce
"Gouvernement des gauches" sur la seule base d'être "contre l'austérité"... et cela te suffit ? Arrête de nous citer Lénine et Trotsky, pour couvrir la capitulation de la direction de la IV (Sabado en tête) devant Syriza. La question n'est pas d'interpeller Syriza, mais de le faire sur un véritable contenu, et pas de se satisfaire de promesses anti-austéritaires. Rompre avec les politiques d'austérité, c'est totalement fumeux : nous savons bien, et toi le premier, que la rupture avec les politiques d'austérité exige l'expropriation des grands groupes capitalistes, la rupture avec l'UE (et pas avec les "politiques de l'UE", formulation vaseuse de Sabado). C'est sur ce contenu qu'on doit interpeller Syriza, et c'est ce que se refuse à faire Sabado et la gauche de Syriza. C'est vraiment triste que tu salues la justesse de cet article, à l'opposé pour le coup de la méthode de Lénine et de Trotsky, qui était de parler clair.
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Grèce
Gaston Lefranc a écrit:"Gouvernement des gauches" sur la seule base d'être "contre l'austérité"... et cela te suffit ? Arrête de nous citer Lénine et Trotsky, pour couvrir la capitulation de la direction de la IV (Sabado en tête) devant Syriza. La question n'est pas d'interpeller Syriza, mais de le faire sur un véritable contenu, et pas de se satisfaire de promesses anti-austéritaires. Rompre avec les politiques d'austérité, c'est totalement fumeux : nous savons bien, et toi le premier, que la rupture avec les politiques d'austérité exige l'expropriation des grands groupes capitalistes, la rupture avec l'UE (et pas avec les "politiques de l'UE", formulation vaseuse de Sabado). C'est sur ce contenu qu'on doit interpeller Syriza, et c'est ce que se refuse à faire Sabado et la gauche de Syriza. C'est vraiment triste que tu salues la justesse de cet article, à l'opposé pour le coup de la méthode de Lénine et de Trotsky, qui était de parler clair.
Si tu apprenais à lire, tu verrais que
1/ Le texte du NPA voté à son congrès précise le contenu donné au mot d'ordre de gouvernement des gauches en Grèce. Je cite : "un tel gvt ne peut prendre son sens que s'il met en oeuvre une politique radicale : annulation de la Dette, rupture avec la Troïka, expropriations".
Sabado lui-même écrit "Rechercher des alliances pour une reconstruction nationale avec des secteurs du capitalisme grec ne peut que s’opposer à un programme de défense des intérêts populaires.".
Que te faut-il de plus ? Pourquoi chercher à semer aussi maladroitement la confusion au lieu de prendre acte de ces clarfifications ?
2/ Peut-être la réponse à cette question est-elle dans ce que certains ont voulu faire voter sur la question au congrès. Je rappelle qu'ne motion alternative nous proposait de "combattre les illusions électoralistes" (comme si le poblème était d'aller seriner "élections piège à cons") et surrtou se refusait à avancer le mot d'ordre de gouvernement des gauches.
Et ça se prétend trotskyste, avec ça ! Sans dec' !
stef- Messages : 184
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Grèce
Je te parle de l'article de Sabado que tu trouves remarquable, donc inutile de me sortir un autre texte. Ta citation dit seulement que Sabado ne veut pas que Syriza s'allie avec le pasok ou la droite. Oui, en effet, cela ne me suffit pas, contrairement à toi.
Gouvernement des gauches, c'est ton nouvel hochet ? Cela ne veut rien dire. Je te parle de contenu : expropriation du capital, rupture avec l'UE, c'est très concret et très clair. Sabado et la gauche de Syriza demandent à la direction de Syriza de ne pas s'allier à la droite, mais pas d'exproprier le capital et de rompre avec l'UE. Alors arrête de nous enfumer s'il te plait, et assume le désaccord, au lieu de le nier.
Gouvernement des gauches, c'est ton nouvel hochet ? Cela ne veut rien dire. Je te parle de contenu : expropriation du capital, rupture avec l'UE, c'est très concret et très clair. Sabado et la gauche de Syriza demandent à la direction de Syriza de ne pas s'allier à la droite, mais pas d'exproprier le capital et de rompre avec l'UE. Alors arrête de nous enfumer s'il te plait, et assume le désaccord, au lieu de le nier.
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Grèce
Sabado ne récite pas la messe dans chaque article (d'où mes citations d'autres articles). Mais même dans celui-là, il écrit l'objectif : "un gouvernement transitoire de rupture avec les politiques d’austérité et celles de l’Union européenne, un gouvernement des gauches sans Pasok ou forces bourgeoises".
Tu en es arrivé à un tel point que tu nous chantes qu'écrire que se prononcer pour "un gouvernement transitoire de rupture avec les politiques l’Union européenne", ce n'est pas se prononcer pour la rupture avec l'UE ! Alors que l'auteur de l'article que tu vises a écrit un fragment suivant au congrès (je ne l'ai d'ailleurs pas voté pour d'autres raisons) :
"La vieille idée des Etats-Unis d'Europe apparait chaque jour davantage comme une nécessité, mais il est tout aussi clair que la réalier impliquera de mettre à bas l'échafaudage institutionnel et règlementaire de l'UE et 'Euro".
Quant au gouvernement des gauches, son contenu est tout à fait net dans l'article
Tu peux essayer tous es enfumages que tu veux. Le fond du problème est très simple. En Grèce, le coeur de l'affaire, c'est le gouvernement - KKE/Syriza/Antarsya, "des gauches", dis le comme tu veux. Mais c'est ça avec quoi tu n'es pas d'accord.
Tu en es arrivé à un tel point que tu nous chantes qu'écrire que se prononcer pour "un gouvernement transitoire de rupture avec les politiques l’Union européenne", ce n'est pas se prononcer pour la rupture avec l'UE ! Alors que l'auteur de l'article que tu vises a écrit un fragment suivant au congrès (je ne l'ai d'ailleurs pas voté pour d'autres raisons) :
"La vieille idée des Etats-Unis d'Europe apparait chaque jour davantage comme une nécessité, mais il est tout aussi clair que la réalier impliquera de mettre à bas l'échafaudage institutionnel et règlementaire de l'UE et 'Euro".
Quant au gouvernement des gauches, son contenu est tout à fait net dans l'article
il s’agit de lutter pour un « gouvernement des gauches » – Syriza, KKE, Antarsya – qui « défende les classes populaires », et pas un « gouvernement de salut ou d’union nationale avec des représentants capitalistes » comme l’ont défendu certains dirigeants de Syriza
Tu peux essayer tous es enfumages que tu veux. Le fond du problème est très simple. En Grèce, le coeur de l'affaire, c'est le gouvernement - KKE/Syriza/Antarsya, "des gauches", dis le comme tu veux. Mais c'est ça avec quoi tu n'es pas d'accord.
stef- Messages : 184
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Grèce
Bien sur que ce n'est pas se prononcer pour la rupture avec l'UE ; si tu ne vois pas la différence, c'est grave.
Par ailleurs, pour ta gouverne, Sabado ne voit strictement aucun problème à soutenir Syriza et à soutenir, en parallèle, un programme contradictoire. Je l'ai entendu le faire à la dernière université d'été. Il disait que bien sur qu'on est trotskyste, qu'on est pour la révolution, pour le gouvernement des travailleurs, pour l'expropriation, etc., mais pour l'instant on soutient publiquement le programme de Syriza, car c'est progressiste.
Sabado est dans une logique étapiste.
Alors il ne sert à rien de me sortir des phrases révolutionnaires du camarade Sabado... puisque dans le même temps, il refuse d'interpeller Syriza sur la base de ce programme.
Il y en a marre de ces double discours, de ces ambiguïtés, toute cette politique de merde qui a conduit au bilan catastrophique du SUQI au Brésil, en Italie, etc. Toute cette politique que Sabado poursuit aveuglément. Et il est assez incroyable que tu le soutiennes subitement. Ce n'est pas lui qui a changé, mais toi.
Par ailleurs, pour ta gouverne, Sabado ne voit strictement aucun problème à soutenir Syriza et à soutenir, en parallèle, un programme contradictoire. Je l'ai entendu le faire à la dernière université d'été. Il disait que bien sur qu'on est trotskyste, qu'on est pour la révolution, pour le gouvernement des travailleurs, pour l'expropriation, etc., mais pour l'instant on soutient publiquement le programme de Syriza, car c'est progressiste.
Sabado est dans une logique étapiste.
Alors il ne sert à rien de me sortir des phrases révolutionnaires du camarade Sabado... puisque dans le même temps, il refuse d'interpeller Syriza sur la base de ce programme.
Il y en a marre de ces double discours, de ces ambiguïtés, toute cette politique de merde qui a conduit au bilan catastrophique du SUQI au Brésil, en Italie, etc. Toute cette politique que Sabado poursuit aveuglément. Et il est assez incroyable que tu le soutiennes subitement. Ce n'est pas lui qui a changé, mais toi.
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Grèce
Pardon ? Je n'ai lu nulle part qu'on soutient le programme de Syriza. Tes sources ?Gaston Lefranc a écrit:Bien sur que ce n'est pas se prononcer pour la rupture avec l'UE ; si tu ne vois pas la différence, c'est grave.
Par ailleurs, pour ta gouverne, Sabado ne voit strictement aucun problème à soutenir Syriza et à soutenir, en parallèle, un programme contradictoire. Je l'ai entendu le faire à la dernière université d'été. Il disait que bien sur qu'on est trotskyste, qu'on est pour la révolution, pour le gouvernement des travailleurs, pour l'expropriation, etc., mais pour l'instant on soutient publiquement le programme de Syriza, car c'est progressiste.
Moi j'ai lu :
sabado a écrit:Comme l’explique, Antonis Davanellos, responsable du DEA, il s’agit de lutter pour un « gouvernement des gauches » – Syriza, KKE, Antarsya – qui « défende les classes populaires », et pas un « gouvernement de salut ou d’union nationale avec des représentants capitalistes » comme l’ont défendu certains dirigeants de Syriza dans les dernières semaines.
Mais au fait, je n'arrive pas à t'entendre. Le « gouvernement des gauches » – Syriza, KKE, Antarsya –, tu es pour ?
stef- Messages : 184
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Grèce
Ni pour, ni contre. Poser la question sans y mettre le moindre contenu, voilà ce qui nous différencie.
Je suis pour sur la base des mesures suivantes : expropriation des grands groupes capitalistes, rupture avec l'UE, répudiation de la dette publique.
Je suis pour sur la base des mesures suivantes : expropriation des grands groupes capitalistes, rupture avec l'UE, répudiation de la dette publique.
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Grèce
Toujours pas de sources pour Sabado ? On va finir par croire que tu mens...Gaston Lefranc a écrit:Ni pour, ni contre. Poser la question sans y mettre le moindre contenu, voilà ce qui nous différencie.
Je suis pour sur la base des mesures suivantes : expropriation des grands groupes capitalistes, rupture avec l'UE, répudiation de la dette publique.
Et ta nouvelle salade ne vaut pas tripette.
Le texte du NPA voté à son congrès précise le contenu donné au mot d'ordre de gouvernement des gauches en Grèce. Je cite : "un tel gvt ne peut prendre son sens que s'il met en oeuvre une politique radicale : annulation de la Dette, rupture avec la Troïka, expropriations". Le mot d'ordre a un contenu. Nul !
stef- Messages : 184
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Grèce
Les sources, tu les connais, et il est pénible de devoir répéter sans cesse. La déclaration du bureau exécutif de la IV avait exprimé un soutien (même pas critique) au programme de Syriza.
Alors cela ne coûte pas grand chose de faire de grandes déclarations sur la "politique radicale", ce qu'on souhaite qu'un tel gouvernement fasse, etc., quand dans le même temps, on est incapable d'en tirer les conclusions politiques, à savoir conditionner un soutien à un tel gouvernement sur des points précis, et non sur un vague positionnement "anti-austérité".
Je m'en contrefous de ce que Sabado souhaite. C'est de la poudre aux yeux. Une politique de FU, ce n'est pas exprimer des souhaits, c 'est interpeller les réformistes sur des points précis, et conditionner un accord à ces points précis. Et tes formules de congrès, que tu trouves si radicales, n'empêche absolument pas Sabado et consorts de continuer à soutenir Syriza, comme ils l'ont fait avec cette déclaration du bureau de la IV, qui appelait les anticapitalistes à soutenir le programme pas du tout anticapitaliste de Syriza.
Alors cela ne coûte pas grand chose de faire de grandes déclarations sur la "politique radicale", ce qu'on souhaite qu'un tel gouvernement fasse, etc., quand dans le même temps, on est incapable d'en tirer les conclusions politiques, à savoir conditionner un soutien à un tel gouvernement sur des points précis, et non sur un vague positionnement "anti-austérité".
Je m'en contrefous de ce que Sabado souhaite. C'est de la poudre aux yeux. Une politique de FU, ce n'est pas exprimer des souhaits, c 'est interpeller les réformistes sur des points précis, et conditionner un accord à ces points précis. Et tes formules de congrès, que tu trouves si radicales, n'empêche absolument pas Sabado et consorts de continuer à soutenir Syriza, comme ils l'ont fait avec cette déclaration du bureau de la IV, qui appelait les anticapitalistes à soutenir le programme pas du tout anticapitaliste de Syriza.
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Grèce
Bon si je te relis, le vrai problème serait donc que dans un fragment de 10 lignes, Sabado ne récite pas le programme de transition. Tu te moques du monde.
Soit dit en passant, même là il écrit
Le fond du problème est beaucoup plus clair : tu es contre le mot d'ordre de gouvernement "des gauches" KKE-Syriza-Antarsya, seule alternative existant au gouvernement de la Troïka. C'est aussi simple que ça.
Soit dit en passant, même là il écrit
Rechercher des alliances pour une reconstruction nationale avec des secteurs du capitalisme grec ne peut que s’opposer à un programme de défense des intérêts populaires
Le fond du problème est beaucoup plus clair : tu es contre le mot d'ordre de gouvernement "des gauches" KKE-Syriza-Antarsya, seule alternative existant au gouvernement de la Troïka. C'est aussi simple que ça.
stef- Messages : 184
Date d'inscription : 25/12/2010
Le péril fasciste, la gauche et Antarsya
http://www.avanti4.be/debats-theorie/article/grece-le-peril
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Grèce
ANTARSYA : des pas en avant maintenant, avec ardeur pour le saut dans le futur.
http://socialinfogr.blogspot.com/2013/03/antarsya-des-pas-en-avant-maintenant.html
http://socialinfogr.blogspot.com/2013/03/antarsya-des-pas-en-avant-maintenant.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Grèce
Grèce: dépression et rôle de la gauche de SYRIZA
Alencontre, le 19 mars 2013 - Par Charles-André Udry et Sotiris Martalis
http://alencontre.org/laune/grece-depression-et-role-de-la-gauche-de-syriza.html#more-13264
Alencontre, le 19 mars 2013 - Par Charles-André Udry et Sotiris Martalis
http://alencontre.org/laune/grece-depression-et-role-de-la-gauche-de-syriza.html#more-13264
Babel- Messages : 1081
Date d'inscription : 30/06/2011
Relation de la rencontre internationale 1-3 mars
http://alencontre.org/europe/grece/la-situation-en-grece-relation-dune-rencontre-internationale.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Tsipras: "Je ne suis pas dangereux"
Dans ce texte, encore en Anglais, Tsipras en voyage alors aux USA,
fait patte blanche devant un des principaux think tank de la bourgeoisie US et mondiale:
la Brookings Institution !
Il va même jusqu'à dire "Je ne suis pas dangereux"
et souligner, quand on mentionne SYRIZA comme la" gauche radicale",
que le conservateur Karamanlis, lui aussi, faisait partie d'un parti dit "radical"...
Bref comme la moitié de la gauche radis(cale) en France...
Sur la dette, et tous les sujets de fond:
un bon antilibéral, futur Premier Sinistre,
tout comme son ami et politicien bourgeois Mélenchon...
Lisez et faites circuler, surtout aux innocents du FdG
http://www.brookings.edu/~/media/events/2013/1/22%20greece%20economy/20130122_tsipras_transcript.pdf
fait patte blanche devant un des principaux think tank de la bourgeoisie US et mondiale:
la Brookings Institution !
Il va même jusqu'à dire "Je ne suis pas dangereux"
et souligner, quand on mentionne SYRIZA comme la" gauche radicale",
que le conservateur Karamanlis, lui aussi, faisait partie d'un parti dit "radical"...
Bref comme la moitié de la gauche radis(cale) en France...
Sur la dette, et tous les sujets de fond:
un bon antilibéral, futur Premier Sinistre,
tout comme son ami et politicien bourgeois Mélenchon...
Lisez et faites circuler, surtout aux innocents du FdG
http://www.brookings.edu/~/media/events/2013/1/22%20greece%20economy/20130122_tsipras_transcript.pdf
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Tsipras confirme: futur Premier Sinistre
Dans sa conférence à la London School of Economics,
Tsipras confirme qu’il est bien un anti-libéral d’alternance,
et ne représente pas plus d’alternative politique que le FdG.
Du travail pour la gauche de SYRIZA et pour la constitution
d'un front Anti-K, alternative aux contorsions des politiciens d'alternance
http://blogs.mediapart.fr/blog/philippe-marliere/220313/alexis-tsipras-entre-radicalisme-et-realisme
Tsipras confirme qu’il est bien un anti-libéral d’alternance,
et ne représente pas plus d’alternative politique que le FdG.
Du travail pour la gauche de SYRIZA et pour la constitution
d'un front Anti-K, alternative aux contorsions des politiciens d'alternance
http://blogs.mediapart.fr/blog/philippe-marliere/220313/alexis-tsipras-entre-radicalisme-et-realisme
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Gauche et syndicats
http://www.socialinfogr.blogspot.gr/2013/03/le-congres-de-la-gsee-et-la-gauche.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
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