Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
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Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
Fonctionnement du NPA : pour un parti révolutionnaire et démocratique
http://tendanceclaire.npa.free.fr/contenu/autre/artpdf-427.pdf
http://tendanceclaire.npa.free.fr/contenu/autre/artpdf-427.pdf
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
Dans ce texte il y a des choses sur lequel je suis d’accord, d'autres non. Mais reste le fonctionnement de votre fraction, qui est profondément malsain en fonction de la tentative de construction extrêmement fragile qui est la notre. Je suis convaincu que vous avez beaucoup a apporter à notre construction, le problème c'est que vous y participez "du dehors".... ce que montre d'ailleurs nombre de points soulevé dans votre texte.
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
Tu ne précises pas ce qu'il y aurait de "malsain". Nous sommes une tendance publique, il y en a d'autres, et ce n'est pas un problème à mon avis. Sans tendance publique, c'est le règne des tendances cachées, des cliques, qui s'affrontent ou s'arrangent dans le dos des militants, et c'est cela qui est malsain à mon avis. Le NPA a besoin de mener des discussions claires, franches, que chacun peut s'approprier ; en finir avec la langue de bois, avec les formules ambigues, qui se tranchent ensuite toujours dans le dos des militants et sans leur contrôle. Nous sommes une tendance dans le NPA, et nous participons à toutes les activités, et bien souvent, nous l'impulsons. Alors c'est un peu outrancier de dire qu'on participe du "dehors"...
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
Je n'ai aucun probléme avec les "tendances". Mais vous, c'est autre chose : vous fonctionnez largement en "fraction", ce qui n'a rien à voir. Voilé ce que je qualifie de "malsain" ....Nous sommes une tendance publique,
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
gérard menvussa a écrit:Je n'ai aucun probléme avec les "tendances". Mais vous, c'est autre chose : vous fonctionnez largement en "fraction", ce qui n'a rien à voir. Voilé ce que je qualifie de "malsain" ....Nous sommes une tendance publique,
C'est finalement peu de choses comme fraction si on compare avec ce qui se fit à la tête même du NPA et a aboutit à des gens se tirant avec la galette en groupe une fois mis en minorité.
La fraction à l'origine de La Claire, pour ceux qui étaient dés le début de cette fraction, a sérieusement progressé en loyauté. Un coup de rétro-viseur sur ce qu'ils racontaient avant de participer au NPA montre le chemin parcouru. Il n'y a pas photo, et ils ont également progressé politiquement en se confrontant de façon moins caricaturale et sectaire à la réalité.
Maintenant pour le reste, toujours des points de vue étroits à l'international, mais ça, ça ressort également de l'ensemble du NPA si j'en juge les textes de débats, la plupart n'ont pas réussi à trouver sur la carte géographique de leurs réflexions sur les rapports de forces internationaux la place des classes ouvrières qui ne sont pas européennes, mais nord-africaines, asiatiques, etc.
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
A rajouter dans les aspects peu clairs de la Claire, de certains camarades de la tendance, les tentations campistes qui conduisent à avoir des velléités concrètes anti-impérialistes sur la Syrie pendant que ceux-ci sont totalement flous dans les velléités concrètes de soutien à la lutte du peuple syrien contre le régime fasciste.
Cette distorsion est due à une orientation globale qui attire à juste titre sur les risques de guerre et les guerres que fait peser l'impérialisme sur la planète en période de crise, mais en a une vision exempte d'une analyse de classe des états concernés au profit d'un grossissement d’aspects secondaires et d'un campisme abstrait.
Cela vient également d'un défaut d'analyse de l'évolution des sociétés concernées et de l'avancée du prolétariat urbain dans le monde et ses conséquences face à des régimes auparavant nationalistes petit-bourgeois, nationalistes-féodaux, nationalistes-royalistes, nationalistes théocratiques devenus des régimes bourgeois pur sucre, fascistes, tentant de se faire une place dans le concert mondial de la bourgeoisie (de Assad à Kadhafi, du roi de Jordanie à Mubarak, de Ben Ali aux Saouds, etc), tout en maintenant d'une poigne d'acier sanglante leur domination.
L'ensemble de ces sociétés an profondément changé, il y a de moins en moins de place pour un pouvoir de classes petites-bourgeoises, adossé à de grandes paysanneries. Le Kadhafi anti-communiste d'il y a 40 ans avait infiniment plus de prestige que la diva dictatoriale bourgeoise Kadhafi envoyant ses chérubins dans les raouts de la haute bourgeoisie internationale claquer le fric de la Lybie.
C'est le passage, dans des conditions d'une dictature, de la domination petite-bourgeoisie à la domination bourgeoise.
De l'autre, l'écroulement numérique de la paysannerie et de la petite-bourgeoisie au profit d'un prolétariat urbain de plus en plus gros, instruit et communiquant, frappé par les ressacs de la crise et ne supportant plus de le faire sous le joug de la dictature, finit de tresser la situation d’énormément de pays dans le monde.
Ces deux aspects, dictature bourgeoise formelle, gros prolétariats urbains, tressent des régimes qui sont soit fascistes, soit ont beaucoup de traits communs avec le fascisme.
Nous assistons à des février 1917 au ralentis et sans guerre extérieure dans un grand nombre de pays du monde.
La contradiction principale de ces sociétés est bien de plus en plus entre le prolétariat urbain et le régime fasciste. Il y a peu de place et souvent des places très instables pour les solutions bourgeoises d'opposition dans ces sociétés par le fait même de la puissance du prolétariat, même avec les bons soins de l'impérialisme.
Sur la question syrienne, la contradiction principale est bien entre le régime fasciste et la classe populaire, pas entre la Syrie et l'impérialisme. Cela peut changer et il est du devoir des révolutionnaires de parer les menaces de notre impérialisme là dessus. Mais Ce n'est pas le cas concretement à échelle influant sur les rapports de force dans la dérive actuelle vers une guerre de plus en plus terrible. L'impérialisme qui est capable de financer largement les embryons d'état palestinien intervient à échelle infiniment plus réduite en Syrie (démonstration qu'il a plus confiance en l'OLP et le Hamas, plutôt que dans le soulèvement syrien).
Dans tout cela, comme l'incompréhension de la place grandissante du prolétariat chinois dans les rapports de force mondiaux dans le cours de la grande crise capitaliste (mais là, la compagnie est grande), les points de vue sont tordus sur les rapports de force réels, et les batailles de classe en cours.
Ce qui amène à n'avoir iren à dire sur le soutien concret et réel en faveur du combat du peuple syrien pour ses revendications en termes de libertés politiques, sociales, syndicales, etc, seulement une position abstraite, avancée pour le principe, il y a là une dérive campiste.
Les questions de soutien aux combats des prolétariats urbains dans le monde ne sont pas simples à traiter, surtout en tenant compte du retard immense de leurs représentations politiques.
Si la Claire peut aider à éclaircir, il lui faudra bien passer à des analyses de classe des pays du monde qui connaissent d'immenses poussées des prolétariats urbains, le maintien de formes de dominations fascistes de régimes devenus bourgeois, et les crises languissantes de la transition democrate-bourgeoise de ces sociétés .
La situation d'une grande partie de ces sociétés crée les conditions de chaos de ces transitions dans lesquelles la révolution socialiste peut se frayer un chemin.
Cette distorsion est due à une orientation globale qui attire à juste titre sur les risques de guerre et les guerres que fait peser l'impérialisme sur la planète en période de crise, mais en a une vision exempte d'une analyse de classe des états concernés au profit d'un grossissement d’aspects secondaires et d'un campisme abstrait.
Cela vient également d'un défaut d'analyse de l'évolution des sociétés concernées et de l'avancée du prolétariat urbain dans le monde et ses conséquences face à des régimes auparavant nationalistes petit-bourgeois, nationalistes-féodaux, nationalistes-royalistes, nationalistes théocratiques devenus des régimes bourgeois pur sucre, fascistes, tentant de se faire une place dans le concert mondial de la bourgeoisie (de Assad à Kadhafi, du roi de Jordanie à Mubarak, de Ben Ali aux Saouds, etc), tout en maintenant d'une poigne d'acier sanglante leur domination.
L'ensemble de ces sociétés an profondément changé, il y a de moins en moins de place pour un pouvoir de classes petites-bourgeoises, adossé à de grandes paysanneries. Le Kadhafi anti-communiste d'il y a 40 ans avait infiniment plus de prestige que la diva dictatoriale bourgeoise Kadhafi envoyant ses chérubins dans les raouts de la haute bourgeoisie internationale claquer le fric de la Lybie.
C'est le passage, dans des conditions d'une dictature, de la domination petite-bourgeoisie à la domination bourgeoise.
De l'autre, l'écroulement numérique de la paysannerie et de la petite-bourgeoisie au profit d'un prolétariat urbain de plus en plus gros, instruit et communiquant, frappé par les ressacs de la crise et ne supportant plus de le faire sous le joug de la dictature, finit de tresser la situation d’énormément de pays dans le monde.
Ces deux aspects, dictature bourgeoise formelle, gros prolétariats urbains, tressent des régimes qui sont soit fascistes, soit ont beaucoup de traits communs avec le fascisme.
Nous assistons à des février 1917 au ralentis et sans guerre extérieure dans un grand nombre de pays du monde.
La contradiction principale de ces sociétés est bien de plus en plus entre le prolétariat urbain et le régime fasciste. Il y a peu de place et souvent des places très instables pour les solutions bourgeoises d'opposition dans ces sociétés par le fait même de la puissance du prolétariat, même avec les bons soins de l'impérialisme.
Sur la question syrienne, la contradiction principale est bien entre le régime fasciste et la classe populaire, pas entre la Syrie et l'impérialisme. Cela peut changer et il est du devoir des révolutionnaires de parer les menaces de notre impérialisme là dessus. Mais Ce n'est pas le cas concretement à échelle influant sur les rapports de force dans la dérive actuelle vers une guerre de plus en plus terrible. L'impérialisme qui est capable de financer largement les embryons d'état palestinien intervient à échelle infiniment plus réduite en Syrie (démonstration qu'il a plus confiance en l'OLP et le Hamas, plutôt que dans le soulèvement syrien).
Dans tout cela, comme l'incompréhension de la place grandissante du prolétariat chinois dans les rapports de force mondiaux dans le cours de la grande crise capitaliste (mais là, la compagnie est grande), les points de vue sont tordus sur les rapports de force réels, et les batailles de classe en cours.
Ce qui amène à n'avoir iren à dire sur le soutien concret et réel en faveur du combat du peuple syrien pour ses revendications en termes de libertés politiques, sociales, syndicales, etc, seulement une position abstraite, avancée pour le principe, il y a là une dérive campiste.
Les questions de soutien aux combats des prolétariats urbains dans le monde ne sont pas simples à traiter, surtout en tenant compte du retard immense de leurs représentations politiques.
Si la Claire peut aider à éclaircir, il lui faudra bien passer à des analyses de classe des pays du monde qui connaissent d'immenses poussées des prolétariats urbains, le maintien de formes de dominations fascistes de régimes devenus bourgeois, et les crises languissantes de la transition democrate-bourgeoise de ces sociétés .
La situation d'une grande partie de ces sociétés crée les conditions de chaos de ces transitions dans lesquelles la révolution socialiste peut se frayer un chemin.
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
Copas a écrit:A rajouter dans les aspects peu clairs de la Claire, de certains camarades de la tendance, les tentations campistes qui conduisent à avoir des velléités concrètes anti-impérialistes sur la Syrie pendant que ceux-ci sont totalement flous dans les velléités concrètes de soutien à la lutte du peuple syrien contre le régime fasciste.
Cette distorsion est due à une orientation globale qui attire à juste titre sur les risques de guerre et les guerres que fait peser l'impérialisme sur la planète en période de crise, mais en a une vision exempte d'une analyse de classe des états concernés au profit d'un grossissement d’aspects secondaires et d'un campisme abstrait.
Cela vient également d'un défaut d'analyse de l'évolution des sociétés concernées et de l'avancée du prolétariat urbain dans le monde et ses conséquences face à des régimes auparavant nationalistes petit-bourgeois, nationalistes-féodaux, nationalistes-royalistes, nationalistes théocratiques devenus des régimes bourgeois pur sucre, fascistes, tentant de se faire une place dans le concert mondial de la bourgeoisie (de Assad à Kadhafi, du roi de Jordanie à Mubarak, de Ben Ali aux Saouds, etc), tout en maintenant d'une poigne d'acier sanglante leur domination.
L'ensemble de ces sociétés an profondément changé, il y a de moins en moins de place pour un pouvoir de classes petites-bourgeoises, adossé à de grandes paysanneries. Le Kadhafi anti-communiste d'il y a 40 ans avait infiniment plus de prestige que la diva dictatoriale bourgeoise Kadhafi envoyant ses chérubins dans les raouts de la haute bourgeoisie internationale claquer le fric de la Lybie.
C'est le passage, dans des conditions d'une dictature, de la domination petite-bourgeoisie à la domination bourgeoise.
De l'autre, l'écroulement numérique de la paysannerie et de la petite-bourgeoisie au profit d'un prolétariat urbain de plus en plus gros, instruit et communiquant, frappé par les ressacs de la crise et ne supportant plus de le faire sous le joug de la dictature, finit de tresser la situation d’énormément de pays dans le monde.
Ces deux aspects, dictature bourgeoise formelle, gros prolétariats urbains, tressent des régimes qui sont soit fascistes, soit ont beaucoup de traits communs avec le fascisme.
Nous assistons à des février 1917 au ralentis et sans guerre extérieure dans un grand nombre de pays du monde.
La contradiction principale de ces sociétés est bien de plus en plus entre le prolétariat urbain et le régime fasciste. Il y a peu de place et souvent des places très instables pour les solutions bourgeoises d'opposition dans ces sociétés par le fait même de la puissance du prolétariat, même avec les bons soins de l'impérialisme.
Sur la question syrienne, la contradiction principale est bien entre le régime fasciste et la classe populaire, pas entre la Syrie et l'impérialisme. Cela peut changer et il est du devoir des révolutionnaires de parer les menaces de notre impérialisme là dessus. Mais Ce n'est pas le cas concretement à échelle influant sur les rapports de force dans la dérive actuelle vers une guerre de plus en plus terrible. L'impérialisme qui est capable de financer largement les embryons d'état palestinien intervient à échelle infiniment plus réduite en Syrie (démonstration qu'il a plus confiance en l'OLP et le Hamas, plutôt que dans le soulèvement syrien).
Dans tout cela, comme l'incompréhension de la place grandissante du prolétariat chinois dans les rapports de force mondiaux dans le cours de la grande crise capitaliste (mais là, la compagnie est grande), les points de vue sont tordus sur les rapports de force réels, et les batailles de classe en cours.
Ce qui amène à n'avoir iren à dire sur le soutien concret et réel en faveur du combat du peuple syrien pour ses revendications en termes de libertés politiques, sociales, syndicales, etc, seulement une position abstraite, avancée pour le principe, il y a là une dérive campiste.
Les questions de soutien aux combats des prolétariats urbains dans le monde ne sont pas simples à traiter, surtout en tenant compte du retard immense de leurs représentations politiques.
Si la Claire peut aider à éclaircir, il lui faudra bien passer à des analyses de classe des pays du monde qui connaissent d'immenses poussées des prolétariats urbains, le maintien de formes de dominations fascistes de régimes devenus bourgeois, et les crises languissantes de la transition democrate-bourgeoise de ces sociétés .
La situation d'une grande partie de ces sociétés crée les conditions de chaos de ces transitions dans lesquelles la révolution socialiste peut se frayer un chemin.
Franchement, si tu peux nous permettre d'élaborer sérieusement là dessus (la croissance d'un gros prolétariat urbain ailleurs qu'en Occident), on prend....
Marco Pagot- Messages : 940
Date d'inscription : 26/06/2010
Age : 36
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
la croissance d'un gros prolétariat urbain ailleurs qu'en Occident
Beaucoup de pays "émergents" sont dans ce cas, le cas le plus connu étant la Chine, mais la Corée, le Brésil, tous ays sur lesquels il est assez faicle de trouver des éléments précis sur Internet.
Toussaint- Messages : 2238
Date d'inscription : 09/07/2010
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
Franchement, si tu peux nous permettre d'élaborer sérieusement là dessus (la croissance d'un gros prolétariat urbain ailleurs qu'en Occident), on prend....
Bien, ce n'est pas moi qui fera ça, je ne traite que des évidences, après il y a assez de gens qui pourront en affiner les éléments .
Mais il est évident que pèse sur les orientations politiques des orgas d'extr gauche européennes et particulierement françaises, une vision déformée du monde qui agit au travers de plein de réflexes spontanés erronés qui nécessitent modernisation pour comprendre les rapports de force.
Mais prenons par exemple la Chine qui est en retard de l'évolution d'un nombre considérable de pays dits en développement pour ce qui est de l'importance du prolétariat urbain au regard des emplois du monde rural. Elle a pourtant maintenant un prolétariat urbain maintenant supérieur largement à la paysannerie (sans parler de l'aspect très particuliers des paysanneries communautaires à culture intensive qui ont profondément mutés, et très gros villages, très communicants, entrelacées dans des énormes zones industrielles et urbaines , type de paysanneries inconnues en Europe).
L'information est immense.
La proportion des classes sociales dans des sociétés ne fait pas automatiquement et mécaniquement des rapports de force qui épousent étroitement ces proportions. Mais c'est quelque chose qui pèse et pèse de plus en plus.
Si on prend l'Amérique latine, la plupart de ces pays ont des prolétariats urbains proportionnellement plus importants qu'en Europe et bien plus qu'en France. Ce mouvement a été très grand ces dernières 50 ans et produit une bascule du monde, l'affaiblissement des paysanneries qui deviennent minoritaires pratiquement partout, voir très minoritaires (comme en Amérique Latine), etc.
La Corée du Sud a un très gros prolétariat urbain.
Les poussées s'effectuent partout et les seuls fléchissements de cette tendance lourde se sont faits dans une série d'ex-pays nomenclaturistes où il y a eu des baisses plus ou moins fortes avant que cela ne reprenne fort depuis quelques années (observer les évolutions des populations urbaines est saisissante à voir sur une courbe dans ces cas là).
L'Afrique du Nord connait ce processus (le pays le plus "en retard" c'est l'Egypte) mais c'est un trait significatif des pays d'Afrique du Nord que d'avoir de gros prolétariats urbains (et un trait qui pèse de plus en plus sur l'instabilité des modes de domination des classes dominantes dans ces pays).
L'Iran d'aujourd'hui est méconnaissable par rapport à l'Iran de Khomeiny, et rend plus instable le régime. La paysannerie majoritaire il y a 40 ans est très minoritaire maintenant. Le développement de la bourgeoisie et du prolétariat écrase les autres petites classes (la petite bourgeoisie du bazar est une étoile éteinte passant du côté de l'opposition) . Les frottements se font de plus en plus entre théocratie et bourgeoisie.
l'Afrique "noire" est en pleine mutation et l'énorme développement de l'urbanisation a plusieurs sous-entendus.
Mais au dela l'apparition de prolétariats qui deviennent combatifs est donc sous-estimée du moment qu'on sous-estime l'importance de cette classe dans les pays dits en développement.
Et dans la grande crise capitaliste mondiale on va avoir tendance à noircir la situation des rapports de force en ne prenant que les rapports de force français comme étalons.
Rayés la poussée combative de pratiquement tous les prolétariats urbains du monde dit arabo-musulmans (poussée de leurs organisations syndicales, constructions de syndicats indépendants et batailles sociales), signaux mal pris en compte par le fait qu'on ne prend pas en compte qu'il y a là de grosses classes ouvrières, qui pèsent quand on regarde les rapports de force mondiaux.
Rayés les dizaines de milliers de grèves en Chine, les multitudes d'affrontements sociaux qui mettent en ligne un prolétariat chinois majoritaire qui pousse dans tous les sens dans ses batailles, salaires, emplois , sécu, libertés, écologie, etc..
Et surtout ne pas prendre en compte suffisemment l'aspect explosif des problèmes de transition "démocratique" pour la bourgeoisie car cette dernière est déjà au pouvoir dans ces pays, ne pas se trouver aux côtés des peuples soulevés constitués pour l'essentiel de prolétaires urbains, de n'en voir que des manipulations impérialistes.
Pour une transition "tranquille" à la brésilienne combien de situations explosives ?
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=445
Bilan du Secrétariat National Jeunes des 1er et 2 décembre 2012: Des initiatives positives mais les désaccords perdurent
Au sein du secteur jeune, nous savons être à l'initiative de luttes locales – sur l'augmentation des frais d'inscription, les fermetures de filières qui sont des conséquences de la loi sur l'autonomie des universités (LRU) - soutenir les luttes nationales, celle contre l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes (NDDL), pour l'ouverture du mariage et de l'adoption aux couples lesbiens et gays, ou concernant la répression du gouvernement PS (les exemples ne manquent pas : extradition d'Aurore Martin, NDDL, Saïdou de ZEP/Saïd Bouamama, répression dans les facs), ainsi que développer des interventions facs et en direction des jeunes travailleurs-euses. Pourtant, si être à l'initiative des mobilisations et lutter contre la répression est indispensable, définir une politique concrète en rupture avec le système capitaliste l'est tout autant. C'est pourquoi, ces initiatives doivent nous permettre de faire avancer les idées révolutionnaires (faire un travail contre l'idéologie dominante dans les facs en lien avec la marchandisation de l'enseignement), en combattant les illusions réformistes (relance keynésienne) et lier nos revendications à la perspective du gouvernement des travailleurs qui loin d'être une incantation abstraite, doit nous guider dans la lutte des classes.
Un bilan de la campagne contre les licenciements déclinée dans la jeunesse a été dressé. Quelques initiatives fructueuses, quoique sans suite, ont pu être menées localement (Reims, Toulouse). Bien que la mobilisation des travailleurs-euses frappé-e-s par les licenciements soit difficile et en recul, cela n'invalide pas la nécessité de se lier à leur combat. Si la convergence des luttes est un objectif que l'on doit se fixer alors les moyens pour y parvenir doivent être explicités et mis en œuvre, comme construire des cadres de front unique avec des organisations syndicales et/ou des collectifs de travailleurs-euses et précaires pour mobiliser au-delà des rangs militants. Par ailleurs, les directions syndicales participent au dialogue « social » orchestré par le gouvernement Hollande-Ayrault, en témoigne le rôle de la FSU dans l'élaboration de la prochaine loi cadre de l'enseignement supérieur.
Il ne faut pas minimiser la responsabilité des directions syndicales, qui ne sont pas passives mais collaborent activement avec le gouvernement. C'est pourquoi nous pensons qu'il faut les dénoncer et combattre, à l'intérieur des syndicats, pour la rupture des négociations avec le gouvernement et l'engagement d'un véritable plan de combat contre le gouvernement.
Nous ne partageons pas non plus l'idée que le SNJ doive se prononcer uniquement en solidarité aux luttes internationalistes, sans élaborer d'orientation. Au contraire, cette réunion aurait pu être le moment d'une discussion plus développée sur la nouvelle offensive d’Israël sur Gaza, en affirmant notre soutien aux revendications nationales palestiniennes, le droit au retour des refugié-e-s, le démantèlement de l'État d’Israël et pour une république multiethnique, laïque et socialiste.
Durant l'AG non-mixte, ont été discutés un bilan de la manifestation du 25 novembre sur les violences faites aux femmes et les textes élaborés par la Commission nationale d'intervention féministe (CNIF) - une résolution féministe et une motion fonctionnement de la CNIF - pour le Congrès. Par ailleurs, un certain désemparement a été exprimé par des camarades face à des cas de harcèlement sexuel rencontrés dans le cadre syndical. Construire des cadres qui politisent la question afin de permettre de libérer la parole sur ce problème, orienter individuellement les personnes concernées et se mettre en lien avec les collectifs féministes de facs qui peuvent exister, ou les commissions femmes internes aux syndicats doivent être autant de points d'appui.
Bilan du Secrétariat National Jeunes des 1er et 2 décembre 2012: Des initiatives positives mais les désaccords perdurent
Au sein du secteur jeune, nous savons être à l'initiative de luttes locales – sur l'augmentation des frais d'inscription, les fermetures de filières qui sont des conséquences de la loi sur l'autonomie des universités (LRU) - soutenir les luttes nationales, celle contre l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes (NDDL), pour l'ouverture du mariage et de l'adoption aux couples lesbiens et gays, ou concernant la répression du gouvernement PS (les exemples ne manquent pas : extradition d'Aurore Martin, NDDL, Saïdou de ZEP/Saïd Bouamama, répression dans les facs), ainsi que développer des interventions facs et en direction des jeunes travailleurs-euses. Pourtant, si être à l'initiative des mobilisations et lutter contre la répression est indispensable, définir une politique concrète en rupture avec le système capitaliste l'est tout autant. C'est pourquoi, ces initiatives doivent nous permettre de faire avancer les idées révolutionnaires (faire un travail contre l'idéologie dominante dans les facs en lien avec la marchandisation de l'enseignement), en combattant les illusions réformistes (relance keynésienne) et lier nos revendications à la perspective du gouvernement des travailleurs qui loin d'être une incantation abstraite, doit nous guider dans la lutte des classes.
Un bilan de la campagne contre les licenciements déclinée dans la jeunesse a été dressé. Quelques initiatives fructueuses, quoique sans suite, ont pu être menées localement (Reims, Toulouse). Bien que la mobilisation des travailleurs-euses frappé-e-s par les licenciements soit difficile et en recul, cela n'invalide pas la nécessité de se lier à leur combat. Si la convergence des luttes est un objectif que l'on doit se fixer alors les moyens pour y parvenir doivent être explicités et mis en œuvre, comme construire des cadres de front unique avec des organisations syndicales et/ou des collectifs de travailleurs-euses et précaires pour mobiliser au-delà des rangs militants. Par ailleurs, les directions syndicales participent au dialogue « social » orchestré par le gouvernement Hollande-Ayrault, en témoigne le rôle de la FSU dans l'élaboration de la prochaine loi cadre de l'enseignement supérieur.
Il ne faut pas minimiser la responsabilité des directions syndicales, qui ne sont pas passives mais collaborent activement avec le gouvernement. C'est pourquoi nous pensons qu'il faut les dénoncer et combattre, à l'intérieur des syndicats, pour la rupture des négociations avec le gouvernement et l'engagement d'un véritable plan de combat contre le gouvernement.
Nous ne partageons pas non plus l'idée que le SNJ doive se prononcer uniquement en solidarité aux luttes internationalistes, sans élaborer d'orientation. Au contraire, cette réunion aurait pu être le moment d'une discussion plus développée sur la nouvelle offensive d’Israël sur Gaza, en affirmant notre soutien aux revendications nationales palestiniennes, le droit au retour des refugié-e-s, le démantèlement de l'État d’Israël et pour une république multiethnique, laïque et socialiste.
Durant l'AG non-mixte, ont été discutés un bilan de la manifestation du 25 novembre sur les violences faites aux femmes et les textes élaborés par la Commission nationale d'intervention féministe (CNIF) - une résolution féministe et une motion fonctionnement de la CNIF - pour le Congrès. Par ailleurs, un certain désemparement a été exprimé par des camarades face à des cas de harcèlement sexuel rencontrés dans le cadre syndical. Construire des cadres qui politisent la question afin de permettre de libérer la parole sur ce problème, orienter individuellement les personnes concernées et se mettre en lien avec les collectifs féministes de facs qui peuvent exister, ou les commissions femmes internes aux syndicats doivent être autant de points d'appui.
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
Au CLAIR de la lutte numéro 14
http://tendanceclaire.npa.free.fr/contenu/bulletins/AuCLAIRdelalutte14.pdf
http://tendanceclaire.npa.free.fr/contenu/bulletins/AuCLAIRdelalutte14.pdf
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
Suite au "CPN élargi" du NPA du 6 et 7 juillet
Un CPN rétréci : http://tendanceclaire.npa.free.fr/contenu/autre/explication1.pdf
Sur la résolution de la Y : http://tendanceclaire.npa.free.fr/contenu/autre/explication2.pdf
Un CPN rétréci : http://tendanceclaire.npa.free.fr/contenu/autre/explication1.pdf
Sur la résolution de la Y : http://tendanceclaire.npa.free.fr/contenu/autre/explication2.pdf
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
Explication de vote des élu-e-s de la Tendance Claire lors du dernier CPN du NPA (21-22 septembre)
Un pas en avant dans le rassemblement de la gauche du parti
Du côté de la majorité, rien de nouveau sous le soleil : elle maintient sa ligne du « gouvernement anti-austérité », suffisamment ambiguë pour draguer le Front de gauche, alors qu'il faudrait que le NPA propose un plan de rupture concret avec le système capitaliste, centré sur la nécessité d'exproprier les grandes entreprises, la rupture anticapitaliste avec l'UE et la mise en place de notre propre gouvernement, basé sur l'auto-organisation des travailleurs/ses. Au-delà des indispensables décisions prises pour combattre la montée de l’extrême droite, seule une stratégie révolutionnaire peut empêcher le FN de récupérer le rejet des politiques d'austérité et d’incarner la rupture avec le système. Sur la mobilisation contre la réforme des retraites, la majorité critique certes la politique des directions syndicales (on aimerait que ce soit aussi le cas dans les médias...), mais n'a rien de concret à proposer. Pour elle, la bataille est déjà perdue. Face à cette orientation, la gauche du parti a travaillé ensemble pour proposer une résolution alternative qui, malgré ses limites programmatiques, est centrée sur la nécessité regrouper les secteurs les plus combatifs pour faire émerger un pôle alternatif aux directions réformistes. C'est en effet un enjeu que le NPA s'oppose publiquement aux bureaucrates et à leur refus d’affronter le gouvernement. Le NPA doit prendre des initiatives contre le sabotage des Le Paon, Mailly et consorts, en fixant clairement l'objectif de la grève générale qui seule pourra empêcher la mise en œuvre de réformes indispensables pour la sauvegarde des profits capitalistes.
L'orientation de la majorité sur la Syrie, enfin discutée au CPN, a été vivement contestée par la plupart des élu-e-s des positions Y et Z ; il n'y a donc pas de « très large accord », contrairement à ce qui a été écrit dans notre hebdo. La direction, d'habitude si prompte à signer n'importe quel texte « unitaire », refuse de fait tout front unique anti-impérialiste avec des organisations du mouvement ouvrier (y compris le Front de gauche !) qui ne partagent pas entièrement ses positions. Résultat : elle n'a appelé ou n'a impulsé aucune manifestation contre les menaces de frappes aériennes en Syrie. Pire, même au moment où Hollande veut bombarder la Syrie, elle continue à lui demander d'intervenir d'une bonne façon, en livrant des « armes pour les secteurs les plus démocratiques ». A contrario, il est essentiel de combattre toutes les illusions sur le rôle que joue notre impérialisme, qui ne peut qu'aider et soutenir des groupes réactionnaires qui s'engagent à défendre ses intérêts ; il ne peut en aucun cas rendre service à la lutte révolutionnaire du peuple syrien qui doit déjà faire face à la montée en puissance des groupes réactionnaires armés par les pays du Golfe alliés des impérialistes. Nous devrions prendre exemple sur le mouvement anti-guerre en Angleterre, qui se bat depuis des mois contre toute forme d'ingérence du gouvernement en Syrie, et qui a contribué à la défaite de Cameron devant le parlement.
Face à la direction du parti, la plupart des élu-e-s des positions Y et Z défendent aujourd'hui une politique alternative en grande partie commune. Il est essentiel que cette convergence se concrétise pour que cette orientation puisse devenir majoritaire. C'est pourquoi nous réitérons notre appel aux camarades de la position Y : acceptez de mener la discussion, ouvrez votre courant en cours de formation à l'ensemble des camarades qui veulent construire un NPA révolutionnaire.
Un pas en avant dans le rassemblement de la gauche du parti
Du côté de la majorité, rien de nouveau sous le soleil : elle maintient sa ligne du « gouvernement anti-austérité », suffisamment ambiguë pour draguer le Front de gauche, alors qu'il faudrait que le NPA propose un plan de rupture concret avec le système capitaliste, centré sur la nécessité d'exproprier les grandes entreprises, la rupture anticapitaliste avec l'UE et la mise en place de notre propre gouvernement, basé sur l'auto-organisation des travailleurs/ses. Au-delà des indispensables décisions prises pour combattre la montée de l’extrême droite, seule une stratégie révolutionnaire peut empêcher le FN de récupérer le rejet des politiques d'austérité et d’incarner la rupture avec le système. Sur la mobilisation contre la réforme des retraites, la majorité critique certes la politique des directions syndicales (on aimerait que ce soit aussi le cas dans les médias...), mais n'a rien de concret à proposer. Pour elle, la bataille est déjà perdue. Face à cette orientation, la gauche du parti a travaillé ensemble pour proposer une résolution alternative qui, malgré ses limites programmatiques, est centrée sur la nécessité regrouper les secteurs les plus combatifs pour faire émerger un pôle alternatif aux directions réformistes. C'est en effet un enjeu que le NPA s'oppose publiquement aux bureaucrates et à leur refus d’affronter le gouvernement. Le NPA doit prendre des initiatives contre le sabotage des Le Paon, Mailly et consorts, en fixant clairement l'objectif de la grève générale qui seule pourra empêcher la mise en œuvre de réformes indispensables pour la sauvegarde des profits capitalistes.
L'orientation de la majorité sur la Syrie, enfin discutée au CPN, a été vivement contestée par la plupart des élu-e-s des positions Y et Z ; il n'y a donc pas de « très large accord », contrairement à ce qui a été écrit dans notre hebdo. La direction, d'habitude si prompte à signer n'importe quel texte « unitaire », refuse de fait tout front unique anti-impérialiste avec des organisations du mouvement ouvrier (y compris le Front de gauche !) qui ne partagent pas entièrement ses positions. Résultat : elle n'a appelé ou n'a impulsé aucune manifestation contre les menaces de frappes aériennes en Syrie. Pire, même au moment où Hollande veut bombarder la Syrie, elle continue à lui demander d'intervenir d'une bonne façon, en livrant des « armes pour les secteurs les plus démocratiques ». A contrario, il est essentiel de combattre toutes les illusions sur le rôle que joue notre impérialisme, qui ne peut qu'aider et soutenir des groupes réactionnaires qui s'engagent à défendre ses intérêts ; il ne peut en aucun cas rendre service à la lutte révolutionnaire du peuple syrien qui doit déjà faire face à la montée en puissance des groupes réactionnaires armés par les pays du Golfe alliés des impérialistes. Nous devrions prendre exemple sur le mouvement anti-guerre en Angleterre, qui se bat depuis des mois contre toute forme d'ingérence du gouvernement en Syrie, et qui a contribué à la défaite de Cameron devant le parlement.
Face à la direction du parti, la plupart des élu-e-s des positions Y et Z défendent aujourd'hui une politique alternative en grande partie commune. Il est essentiel que cette convergence se concrétise pour que cette orientation puisse devenir majoritaire. C'est pourquoi nous réitérons notre appel aux camarades de la position Y : acceptez de mener la discussion, ouvrez votre courant en cours de formation à l'ensemble des camarades qui veulent construire un NPA révolutionnaire.
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
SNJ des 28-29 septembre : La plateforme B pour un secteur jeune au profil révolutionnaire et à l’initiative dans les luttes
http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=536
http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=536
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
Il faudrait déja que la claire nous dise ce qu'elle avance comme "plan de rupture concret avec le systéme capitaliste", quelle stratégie elle entend mettre en oeuvre, sinon ce n'est que des "paroles verbales", où on joue a "plus révolutionnaire que moi tu meurs", et donc ou on perd son temps...il faudrait que le NPA propose un plan de rupture concret avec le système capitaliste, centré sur la nécessité d'exproprier les grandes entreprises, la rupture anticapitaliste avec l'UE et la mise en place de notre propre gouvernement, basé sur l'auto-organisation des travailleurs/ses.
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
SNJ des 28-29 septembre : La plateforme B pour un secteur jeune au profil révolutionnaire et à l’initiative dans les luttes :
Explication de vote de la Tendance CLAIRE
http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=536
Contributions pour la Conférence nationale des jeunes :
-Quelques points sur le front unique : http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=541
-Pourquoi qualifier le PS de « parti bourgeois » : http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=540
-Quelle jeunesse pour le secteur jeune ? : http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=539
Explication de vote de la Tendance CLAIRE
http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=536
Contributions pour la Conférence nationale des jeunes :
-Quelques points sur le front unique : http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=541
-Pourquoi qualifier le PS de « parti bourgeois » : http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=540
-Quelle jeunesse pour le secteur jeune ? : http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=539
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
CPN du NPA des 16 et 17 novembre - Explication de vote des élus TC
http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=556
Explication de vote pour la Conférence nationale des jeunes du NPA
http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=553
http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=556
Explication de vote pour la Conférence nationale des jeunes du NPA
http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=553
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Bulletins de la tendance CLAIRE du NPA
Notes sur la situation politique et les conséquences en termes d’intervention (commune aux délégués Y et Z) :
http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=557
http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=557
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
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