Où va la crise ?
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2011
2011. C'est une une piêtre année. Le sang des peuples coule. Le système capitaliste continue de décliner. Les bourgeois aveugles n'ont de cesse de s'accrocher. Les armes des capitalistes tonnent de plus en plus fort. Les médias batifolent.
Vivent les révolutions !
Vivent les révolutions !
Invité- Invité
Re: Où va la crise ?
Justement, à propos de solvabilité...
Moody’s envisage de baisser la cote de crédit des É.-U.
http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/gouvernement/moody-s-envisage-de-baisser-la-cote-de-credit-des-e-u/524053
Moody’s envisage de baisser la cote de crédit des É.-U.
http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/gouvernement/moody-s-envisage-de-baisser-la-cote-de-credit-des-e-u/524053
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
Dépot de bilan...
"Le schéma des déséquilibres mondiaux d'avant la crise est en train de ressurgir", a déclaré Dominique Strauss-Kahn lors d'un discours à Singapour. "La croissance des économies ayant d'importants déficits extérieurs, comme les États-Unis, reste menée par la demande intérieure. Et la croissance des économies ayant de larges excédents extérieurs, comme la Chine et l'Allemagne, reste alimentée par les exportations", a constaté le directeur général du FMI. "Alors que les tensions entre pays s'accroissent, on pourrait voir une montée du protectionnisme, en matière de commerce et de finance (...) et nous pourrions assister à une instabilité sociale et politique croissante au sein des pays, voire à la guerre", a-t-il ajouté.
http://www.lepoint.fr/economie/dsk-le-chomage-l-inflation-et-les-insurrections-01-02-2011-134153_28.php
"Le schéma des déséquilibres mondiaux d'avant la crise est en train de ressurgir", a déclaré Dominique Strauss-Kahn lors d'un discours à Singapour. "La croissance des économies ayant d'importants déficits extérieurs, comme les États-Unis, reste menée par la demande intérieure. Et la croissance des économies ayant de larges excédents extérieurs, comme la Chine et l'Allemagne, reste alimentée par les exportations", a constaté le directeur général du FMI. "Alors que les tensions entre pays s'accroissent, on pourrait voir une montée du protectionnisme, en matière de commerce et de finance (...) et nous pourrions assister à une instabilité sociale et politique croissante au sein des pays, voire à la guerre", a-t-il ajouté.
http://www.lepoint.fr/economie/dsk-le-chomage-l-inflation-et-les-insurrections-01-02-2011-134153_28.php
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
L’actualité de la crise : LA PURGE, par François Leclerc
L’actualité de la crise : LA PURGE, par François Leclerc
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Invité- Invité
LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 4 FEVRIER 2011 par Paul Jorion
Paul Jorion Le temps qu'il fait, le 4 février 2011
envoyé par PaulJorion. - L'actualité du moment en vidéo.
"Tunisie, Egypte
Les mystères de la « transparence »
Puissance / impuissance de l’internet
Ce sont surtout les idées qui manquent"
Invité- Invité
Re: Où va la crise ?
Données utiles sur la crise qui avance, notamment en Espagne
UN PACTE SUR DES POINTES D’ÉPINGLES, par François Leclerc
http://www.pauljorion.com/blog/?p=21014#comments
UN PACTE SUR DES POINTES D’ÉPINGLES, par François Leclerc
http://www.pauljorion.com/blog/?p=21014#comments
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
L'axe franco-allemand a avoir du mal à imposer une politique commune, au vu de divergences croissantes dans l'Europe:
voir données de Natixis http://cib.natixis.com/flushdoc.aspx?id=56454
voir données de Natixis http://cib.natixis.com/flushdoc.aspx?id=56454
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
FAUDRA-T-IL ENCORE SAUVER LES BANQUES ?, par Charles Sannat (Blog de Paul Jorion)
FAUDRA-T-IL ENCORE SAUVER LES BANQUES ?, par Charles Sannat
"Bien ou mal, pouvions-nous faire autrement dans l’intérêt de tous que d’intervenir massivement ? Non. Il n’y avait pas d’autre possibilité."
Oui, il y avait effectivement une autre possibilité. Plus nous avancerons dans ce système meurtrier plus l'addition sera désastreuse. Le pire reste à venir.
"L’essentiel du problème, c’est que la démission du Politique face à la finance et la suppression de tout contrepouvoir réel et efficace a eu pour conséquence de créer un monstre financier dont plus personne ne sait aujourd’hui comment se débarrasser."
Pas "démission" mais "connivence".
"Bref, nous aurions expérimenté le chaos."
Et des révolutions salvatrices ?
"Bien ou mal, pouvions-nous faire autrement dans l’intérêt de tous que d’intervenir massivement ? Non. Il n’y avait pas d’autre possibilité."
Oui, il y avait effectivement une autre possibilité. Plus nous avancerons dans ce système meurtrier plus l'addition sera désastreuse. Le pire reste à venir.
"L’essentiel du problème, c’est que la démission du Politique face à la finance et la suppression de tout contrepouvoir réel et efficace a eu pour conséquence de créer un monstre financier dont plus personne ne sait aujourd’hui comment se débarrasser."
Pas "démission" mais "connivence".
"Bref, nous aurions expérimenté le chaos."
Et des révolutions salvatrices ?
Invité- Invité
Vers le rebond de la crise aux Etats-Unis
L’actualité de la crise : LES ETATS-UNIS DANS UN CERCLE VICIEUX, par François Leclerc
http://www.pauljorion.com/blog/?p=21084#more-21084
http://www.pauljorion.com/blog/?p=21084#more-21084
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Blog de Paul Jorion : COMPTES A REBOURS EUROPÉENS, par François Leclerc
L’actualité de la crise : COMPTES A REBOURS EUROPÉENS, par François Leclerc
Invité- Invité
LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 11 FEVRIER 2011 par Paul Jorion
Paul Jorion - Le temps qu'il fait, le 11 février 2011
envoyé par PaulJorion. - L'info internationale vidéo.
Le Portugal
Axel Weber
Dominique Strauss-Kahn et les disparités sociales
Egypte
Michel Foucault et l’Iran
Armand Abel et les Frères Musulmans
Faire des choses ensemble
Invité- Invité
UNE HISTOIRE DE DOMINOS (EGYPTIENS), par Zébu sur le blog de Paul Jorion
UNE HISTOIRE DE DOMINOS (EGYPTIENS), par Zébu
Invité- Invité
Sur le Blog de Paul Jorion
L’actualité de la crise : VAILLANTS COST-KILLERS, par François Leclerc
"Comment également ne pas remarquer comment le financement du filet de protection social est menacé en France, après avoir été confié à des collectivités locales étranglées par l’insuffisance d’une dotation de l’Etat qui ne compense pas le transfert de charges ? Alors que nombre d’entre elles font face aux charges d’intérêt démentes d’emprunts toxiques et ne sont toujours pas parvenues à obtenir un soutien de l’Etat dans leurs renégociations avec les banques ?
Ainsi, les contours d’une nouvelle société sont progressivement dessinés, à grands traits dans les pays de la zone des tempêtes, ou plus esquissé dans celles qui n’y sont pas. Non seulement les inégalités sociales, à la racine de la crise, ne sont pas combattues, mais leur développement est à nouveau encouragé. Faisant de la crise elle-même un prétexte pour approfondir ce qui était avant entrepris, dans une logique d’enfermement financier qui déjà prévalait et en sort renouvelée."
Invité- Invité
NPA
"Ces révolutions sont l’impact direct de la crise économique internationale et des diktats du FMI et de la Banque mondiale qui imposent une offensive sociale radicale et l’appauvrissement de populations déjà atteintes par des dizaines d’années de politique d’injustice sociale et de corruption.
Ces deux révolutions (Tunisienne et Egyptienne) ouvrent la voie non seulement à des revendications démocratiques pour rompre avec les dictatures antérieures, mais aussi à la remise en cause des systèmes économiques capitalistes, à l’origine de tant d’injustice. Ce sont les questions sociales qui ont été à l’origine des insurrections populaires.
L’impérialisme va tout faire pour sauvegarder ses positions dans la région et empêcher le développement anti-impérialiste des processus à l’oeuvre et leur propagation dans la région.
SOLIDARITE INTERNATIONALE !" NPA
Invité- Invité
Re: Où va la crise ?
Des dizaines de milliers de personnes manifestent contre l'inflation en IndeLEMONDE.FR avec AFP | 23.02.11 | 09h14 • Mis à jour le 23.02.11 | 09h18
Manifestation du syndicat indien CITU, mercredi 23 février, à New Dehli.AFP/RAVEENDRAN
Des dizaines de milliers de manifestants défilaient, mercredi 23 février, dans les rues de New Delhi, la capitale fédérale indienne, pour protester contre l'inflation galopante qui détériore encore davantage la situation de millions de pauvres.
Les manifestants, en majorité issus de la classe ouvrière, brandissaient, pour un grand nombre d'entre eux, des drapeaux communistes et scandaient des slogans contre l'inflation et la corruption. Les routes du centre-ville de New Delhi ont été coupées à la circulation.
L'INFLATION MENACE LA CROISSANCE
Le défilé, organisé par le Comité des syndicats indiens (CITU, affilié au Parti communiste) et auquel se sont associés d'autres syndicats, vise à faire pression sur le gouvernement à quelques jours du vote du budget annuel au Parlement lundi prochain. Cette organisation syndicale attend de huit cent mille à un million de manifestants.
Le premier ministre, Manmohan Singh, a récemment averti que le fort taux d'inflation, tiré par une envolée des prix des denrées alimentaires, était une "sérieuse menace" pour la croissance de la troisième puissance économique d'Asie. Le gouvernement anticipe une croissance de l'ordre de 8,5 % cette année. Les derniers chiffres publiés signalent une inflation alimentaire qui atteint 11,05 %, après avoir récemment frôlé les 20 %.
Manifestation du syndicat indien CITU, mercredi 23 février, à New Dehli.AFP/RAVEENDRAN
Des dizaines de milliers de manifestants défilaient, mercredi 23 février, dans les rues de New Delhi, la capitale fédérale indienne, pour protester contre l'inflation galopante qui détériore encore davantage la situation de millions de pauvres.
Les manifestants, en majorité issus de la classe ouvrière, brandissaient, pour un grand nombre d'entre eux, des drapeaux communistes et scandaient des slogans contre l'inflation et la corruption. Les routes du centre-ville de New Delhi ont été coupées à la circulation.
L'INFLATION MENACE LA CROISSANCE
Le défilé, organisé par le Comité des syndicats indiens (CITU, affilié au Parti communiste) et auquel se sont associés d'autres syndicats, vise à faire pression sur le gouvernement à quelques jours du vote du budget annuel au Parlement lundi prochain. Cette organisation syndicale attend de huit cent mille à un million de manifestants.
Le premier ministre, Manmohan Singh, a récemment averti que le fort taux d'inflation, tiré par une envolée des prix des denrées alimentaires, était une "sérieuse menace" pour la croissance de la troisième puissance économique d'Asie. Le gouvernement anticipe une croissance de l'ordre de 8,5 % cette année. Les derniers chiffres publiés signalent une inflation alimentaire qui atteint 11,05 %, après avoir récemment frôlé les 20 %.
panchoa- Messages : 1042
Date d'inscription : 20/09/2010
De Tunis au Caire, de Dakar à Paris… Refusons de payer la dette !
http://www.npa2009.org/content/de-tunis-au-caire-de-dakar-%C3%A0-paris%E2%80%A6-refusons-de-payer-la-dette%E2%80%89
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
Les Publications Agora prévoient une inflation très forte qui laminera les retraites et autres prestations
"Dans la tête d'un banquier central, 1 $ de dette produit 1,5 $ de croissance. A ce rythme en effet, le remboursement ne devrait être qu'une simple formalité... en théorie.
Mais voilà ce qu'il s'est passé en pratique :
Les banques centrales ont baissé les taux d'intérêt pour permettre aux banques de contracter des crédits sans entrave et irriguer l'économie d'argent virtuel.
Manque de chance ou de flair, l'argent a inondé massivement les marchés des matières premières et les émergents -- peu ou pas l'économie interne. Un coup pour rien.
Puis elles ont lancé les fameux Quantitative Easing I et II -- assouplissements quantitatifs.
La première passe consistait à sauver les banques, en leur proposant d'une part des crédits à taux ridicules pour éponger leurs bilans et d'autre part de récupérer leurs actifs pourris.
Avec 1 700 milliards de dollars tout frais dans le circuit, les banques ont repris du poil de la bête -- mais les marchés ont très vite boudé la qualité des obligations émises par les Etats.
Retournement de situation : le sauveur commence à regretter sa bravoure...
Les banques centrales ont alors décidé d'imprimer encore plus de billets de manière à payer leurs dettes avec encore plus de dettes -- 1 000 milliards de plus pour le Quantitative Easing 2.
Le résultat : ces milliards de dollars sont sortis de la planche à billets sur la seule bonne foi d'une reprise de l'économie... un jour ou l'autre.
Le bilan de cette politique économique est simple : en 2010, les Etats-Unis ont connu une croissance de 2,9%. Le PIB américain a augmenté de 541 milliards de dollars.
Cela signifie que 1 700 milliards de dettes (du QE1) ont permis de produire 541 Mds de croissance. Je vous épargne le calcul : 1 $ de croissance = 3,14 $ de dette.
Je le répète, cette situation est intenable.
Aujourd'hui, nos Etats sont au bord de la faillite, avec une dette astronomique : 14 000 milliards de dollars rien qu'aux Etats-Unis, par exemple. Le ratio d'endettement des pays du G20 est supérieur à 100% du PIB ! Pensez-vous qu'ils vont rembourser un jour ? Bien sûr que non !
Leur seule solution : laisser filer l'inflation... pour éponger les dettes.
C'est là que s'achève l'histoire de l'Etat-providence sauveur des banques et des citoyens. Il va se faire oublier pendant un temps. Notamment de ses créditeurs qu'il ne remboursera pas -- et de tous les retraités qui vont payer l'addition.
Eh oui... parce que cette opération va frapper plus particulièrement ceux qui n'ont pas de salaires ajustables... et qui ne sortiront pas dans la rue pour sauver leur pouvoir d'achat !"
"Dans la tête d'un banquier central, 1 $ de dette produit 1,5 $ de croissance. A ce rythme en effet, le remboursement ne devrait être qu'une simple formalité... en théorie.
Mais voilà ce qu'il s'est passé en pratique :
Les banques centrales ont baissé les taux d'intérêt pour permettre aux banques de contracter des crédits sans entrave et irriguer l'économie d'argent virtuel.
Manque de chance ou de flair, l'argent a inondé massivement les marchés des matières premières et les émergents -- peu ou pas l'économie interne. Un coup pour rien.
Puis elles ont lancé les fameux Quantitative Easing I et II -- assouplissements quantitatifs.
La première passe consistait à sauver les banques, en leur proposant d'une part des crédits à taux ridicules pour éponger leurs bilans et d'autre part de récupérer leurs actifs pourris.
Avec 1 700 milliards de dollars tout frais dans le circuit, les banques ont repris du poil de la bête -- mais les marchés ont très vite boudé la qualité des obligations émises par les Etats.
Retournement de situation : le sauveur commence à regretter sa bravoure...
Les banques centrales ont alors décidé d'imprimer encore plus de billets de manière à payer leurs dettes avec encore plus de dettes -- 1 000 milliards de plus pour le Quantitative Easing 2.
Le résultat : ces milliards de dollars sont sortis de la planche à billets sur la seule bonne foi d'une reprise de l'économie... un jour ou l'autre.
Le bilan de cette politique économique est simple : en 2010, les Etats-Unis ont connu une croissance de 2,9%. Le PIB américain a augmenté de 541 milliards de dollars.
Cela signifie que 1 700 milliards de dettes (du QE1) ont permis de produire 541 Mds de croissance. Je vous épargne le calcul : 1 $ de croissance = 3,14 $ de dette.
Je le répète, cette situation est intenable.
Aujourd'hui, nos Etats sont au bord de la faillite, avec une dette astronomique : 14 000 milliards de dollars rien qu'aux Etats-Unis, par exemple. Le ratio d'endettement des pays du G20 est supérieur à 100% du PIB ! Pensez-vous qu'ils vont rembourser un jour ? Bien sûr que non !
Leur seule solution : laisser filer l'inflation... pour éponger les dettes.
C'est là que s'achève l'histoire de l'Etat-providence sauveur des banques et des citoyens. Il va se faire oublier pendant un temps. Notamment de ses créditeurs qu'il ne remboursera pas -- et de tous les retraités qui vont payer l'addition.
Eh oui... parce que cette opération va frapper plus particulièrement ceux qui n'ont pas de salaires ajustables... et qui ne sortiront pas dans la rue pour sauver leur pouvoir d'achat !"
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
la Confédération européenne des syndicats (CES), vient de publier une déclaration selon laquelle elle considère « profondément injuste que les travailleurs paient pour les folies des marchés financiers », expliquant que c’est « tout le concept de l’Europe sociale qui est menacé » par le projet de pacte de compétitivité.
La CES fait bien de parler de "concept"...
La CES fait bien de parler de "concept"...
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
Le coût du séisme de vendredi au Japon pour les assurances pourrait atteindre 34,6 milliards de dollars, selon une estimation initiale publiée dimanche par AIR Worldwide, spécialiste de l'évaluation du risque.
La société américaine évalue les dégâts infligés aux propriétés privées couvertes par les assurances entre 14,5 et 34,6 milliards de dollars mais souligne que de nombreuses observations sur le terrain sont toujours indisponibles, ce qui pourrait la conduire à affiner ultérieurement ces estimations.
Sans compter les centrales nucléaires et leurs dégâts à venir...
La société américaine évalue les dégâts infligés aux propriétés privées couvertes par les assurances entre 14,5 et 34,6 milliards de dollars mais souligne que de nombreuses observations sur le terrain sont toujours indisponibles, ce qui pourrait la conduire à affiner ultérieurement ces estimations.
Sans compter les centrales nucléaires et leurs dégâts à venir...
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
TOKYO (Reuters) – Le gouverneur de la Banque du Japon (BOJ) Masaaki Shirakawa a déclaré dimanche que la banque centrale injecterait d’importantes quantités de liquidités dans le secteur bancaire lundi, témoignant de la volonté des autorités monétaires de stabiliser les marchés après le séisme.
La BOJ injectera sans doute 2.000 à 3.000 milliards de yens (220 à 340 milliards d’euros environ), deux à trois fois le montant habituel, afin d’apaiser les investisseurs et d’éviter que le coût du crédit n’explose.
La BOJ injectera sans doute 2.000 à 3.000 milliards de yens (220 à 340 milliards d’euros environ), deux à trois fois le montant habituel, afin d’apaiser les investisseurs et d’éviter que le coût du crédit n’explose.
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
Dans le sillage de la Bourse de Tokyo, qui a vécu mardi l'une des pires journées de son histoire ( - 10,55 %), un vent de panique souffle sur les places mondiales. Vers 15 h 10, Paris cédait 3,72 %, Francfort 4,79 %, et Londres 2,43 %. Même tendance à New York qui s'enfonçait dans le rouge dans les premiers échanges, le Dow Jones perdant 2,42% et le Nasdaq 2,89%.
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
Les « profits exorbitants » sont-ils à l’origine de la crise ?
Dans le tract national du NPA du 8 mars 2011, on retrouvait, de façon lapidaire, cette formule choc qui figurait déjà (sous une formulation légèrement différente) dans le texte « Nos réponses à la crise », commun aux positions 1 et 3, et adopté par notre congrès national : « Ce sont les profits exorbitants, confisquant une part toujours plus importante de la richesse produite, qui sont à l’origine de la crise ». La formule claque bien, mais que doit-on réellement en penser ?
La suite est ici : http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=219
Un autre texte "La rupture conventionnelle : en grande partie des licenciements camouflés pour le plus grand bénéfice des patrons !" de la tendance CLAIRE se trouve ici : http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=220
Dans le tract national du NPA du 8 mars 2011, on retrouvait, de façon lapidaire, cette formule choc qui figurait déjà (sous une formulation légèrement différente) dans le texte « Nos réponses à la crise », commun aux positions 1 et 3, et adopté par notre congrès national : « Ce sont les profits exorbitants, confisquant une part toujours plus importante de la richesse produite, qui sont à l’origine de la crise ». La formule claque bien, mais que doit-on réellement en penser ?
La suite est ici : http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=219
Un autre texte "La rupture conventionnelle : en grande partie des licenciements camouflés pour le plus grand bénéfice des patrons !" de la tendance CLAIRE se trouve ici : http://tendanceclaire.npa.free.fr/article.php?id=220
Gaston Lefranc- Messages : 777
Date d'inscription : 26/06/2010
Le capitalisme à l'agonie, de Paul Jorion
Interview de l'auteur
http://www.latribune.fr/actualites/economie/20110321trib000609534/l-opinion-a-le-sentiment-de-n-etre-plus-representee-par-les-institutions.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
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