Re: Chine

[Copas]

La question des faillites dans une région fleuron de la Chine

Dans la riche province du Zhejiang, nombre d’entreprises, liées entre elles par un système de garanties mutuelles, ne peuvent plus payer leurs dettes. Ce problème n'est pas nouveau mais ne cesse de prendre de l'ampleur.

Le resserrement du crédit par la direction chinoise déséquilibre petites et moyennes entreprises, les obligeant à passer par des "prêts-requins" (shark loans), accentue les premiers pas de la grande crise mondiale en Chine.

Le ralentissement d'une croissance encore importante met en valeur des sur-capacités dans une série secteurs en Chine.
http://www.liberation.fr/economie/2013/07/15/le-modele-chinois-en-quete-d-un-second-miracle_918490 et fait planer sur, la planète bourgeoise des inquiétudes d'un gros choc économique : http://www.usinenouvelle.com/article/fiction-economique-chinoise.N201618

[Copas]

Manif sous haute sécurité contre la construction d'un incinérateur d'ordures à Canton

Les questions écologiques sont extrêmement explosives en Chine et le gouvernement marche sur des œufs là dessus . C'est quelque part une manif tolérée par le régime qui vient de reculer par ailleurs sur un projet nucléaire face à une mobilisation.

[Copas]

Soubresauts de la crise économique, une ville en état de siège

Les manifestants font le siège du gouvernement dans la ville de Yulin .
Le dit-gouvernement s'est fait emplâtré de plusieurs dizaines de milliards de yuans dans des carambouilles et s'est donc attaqué aux soins médicaux gratuits, l'éducation et d'autres conquêtes sociales.

[Copas]

Sit-in de protestation des jeunes officiers de la flotte du sud et leurs familles à Guangzhou

Pour rétablir le droit à des logements,
Contre la corruption de haute hiérarchie

Depuis 2 ans, manifs, sit-ins, occupations se multiplient contre la corruption  de la hiérarchie

[Roseau]

http://alencontre.org/asie/chine/les-tribulations-chinoises-du-capitalisme.html

[Copas]

http://alencontre.org/asie/chine/les-tribulations-chinoises-du-capitalisme.html

Les tribulations chinoises du capitalisme

Le texte de Jean François Huchet expose l'analyse de Marie-Claire Bergère, Chine, le nouveau capitalisme d’État.

Elle démonte justement les propos de ceux qui traçaient une évolution de la Chine symétrique à la Russie en matière de "transition". Par contre elle dénoncerait les parallèles faits avec les modes de développement du capitalisme japonais ou coréen.
Alors que, et c'est une première petite divergence, il y a beaucoup à apprendre sur ce qu'il y a de commun entre les développements coréens/japonais et le développement du capitalisme en Chine.

Des phrases sur l'explication de texte comme : Dans la première moitié de son livre, l’auteur nous explique comment s’est structuré en un peu plus de trois décennies ce capitalisme d’État régit par un régime autoritaire post- léniniste. , si elles ont quelques éléments de vérité se trompent au fond sur les mots. Rien là de post-léninisme, si ce n'est en farce.
La comparaison effectivement avec le système nomenclaturiste stalinien montre ses premières divergences fondamentales. La Chine n'a jamais fonctionné comme l'URSS hyper-centralisée au niveau politique. L'immensité humaine de la Chine aurait fait explosé des rigidités comparables au système de l'URSS des années 50/60/70. Le mou sur le licou de régions puissantes chinoises exprime une série de différences avec le modèle "soviétique" du capitalisme d'état.

La question de l’émergence d'une bourgeoisie prédatrice en Chine se love profondément autour de l'appareil d'état et du parti pour l'essentiel. Pourquoi changer trop vite un système qui permet un enrichissement inouï d'une bourgeoisie d'état ? Sans compter que l'appareil d'état dont le parti est l'essence développe une orientation efficace pour l'enrichissement de la bourgeoisie, et que des factions de cet appareil essayent de développer les intérets historiques de la bourgeoisie contre des intérets particuliers court terme égoïstes.
Ainsi il est évident que le travail en faveur du développement du salaire ouvrier, poussé par une partie de l'appareil contre d'autres claques, notamment régionales montrent des divergences au sein de l'appareil d'état.

Par contre le diagnostic d'une stabilisation moyen terme du système me parait improbable. Si il y a un trait spécifique sur ce commentaire de texte c'est d'oublier qu'il y a d'autres classes que le capitalisme d'état.

Et si il y a quelque chose qui semble laissé au bord du chemin dans le commentaire c'est bien l'analyse de ce qui se passe en profondeur dans les autres classes : prolétariat urbain, paysannerie denses communautaire, prolétariat urbain "migrant" précaire, petite-bourgeoisie (petits commerçants de rue, commerces, petits propriétaires, etc) .
Instruction, formation, communication, etc, l'immense' majorité de la population prête à foncer dans le tas à la moindre faiblesse de l'appareil policier, etc. L'existence de factions capitalistes d'état prêtes à n'importe quel moment à se trahir les unes les autres.

Le diagnostic de relative stabilité du système à moyen terme me parait osé. J'aurai tendance à penser que la Chine est au bord d'une énorme explosion à tout moment, même si personne ne peut lire dans les marcs de café. Le pays le plus inégalitaire du monde est en permanence aux bordures d'une explosion qui se centraliserait.

[Roseau]

http://npa2009.org/node/38325

[Copas]

http://npa2009.org/node/38325

Il est bizarre cet article. Il parle de renouveau du mouvement ouvrier chinois , avec un point d'interrogation, sans parler une seconde du mouvement ouvrier chinois, malgré l'énorme documentation disponible, les stats chinoises, au moins une très grande étude chinoise sur le prolétariat migrant, ...

Quand à l'analyse de la classe dirigeante elle met justement le doigt sur l'interpénétration entre bureaucratie et bourgeoisie. Toutefois il semble sous-estimer toutes les conséquences des secousses qu'il y a eu dans les affaires Bo Xilai, les questions nationalistes face au Japon, deux événements qui ont vu des manœuvres de claques distinctes dans la classe dirigeante.

[Copas]

Shinzo Abe fait le tour des états riverains de la mer de Chine pour trouver des alliés contre la Chine dans les différents sur les îles de cette mer. Il a visité  les  Philippines, la Malaisie et Singapour.

Il a apporté un soutien fort à l'état philippin contre la Chine et le Japon va fournir 10 navires patrouilleurs aux Philippines .

Vu de Chine :

[sylvestre]

A propos des tensions en Asie, un article très utile : Imperialism and instability in East Asia today (Ha-young Kim)

[Roseau]

http://npa2009.org/node/38346

[Roseau]

http://npa2009.org/node/38348

[Copas]

Près de la moitié des habitants urbains chinois possèdent des smartphones (Google)
http://french.china.org.cn/business/txt/2013-08/01/content_29598220.htm


Environ 47% des habitants urbains chinois possèdent des smartphones, a-t-on appris d'un rapport publié mercredi par Google.

Le rapport "Our Mobile Planet : China", mené par Google et la société de recherche sur le marché IPSOS, ont interrogé au premier trimestre 1.000 internautes urbains âgés de 18 à 64 ans.

Les smartphones sont devenus un outil indispensable de la vie quotidienne des gens, et 69% des chinois interrogés ont déclaré qu'ils naviguaient sur internet grâce à leur smartphone. De plus, 38% ne quittent jamais leur domicile sans leur appareil, selon le rapport.

Environ 60% des utilisateurs de smartphones ont indiqué qu'ils préféraient abandonner leur poste de télévision plutôt que leur smartphones. Aux Etats-Unis, ce taux est de 36% seulement, précise-t-il.

D'après le rapport, les smartphones sont aussi devenus des outils d'achat essentiels, et 98% des interrogés ont utilisé leur téléphone pour chercher des produits ou des services. Environ 69% des utilisateurs chinois de smartphones ont déjà fait des achats par le biais de leur téléphone, contre seulement 46% aux Etats-Unis.

La taille limitée de l'écran des smartphones et les préoccupations en matière de sécurité dans l'utilisation des cartes de crédit sont les principaux obstacles à l'expansion du commerce mobile, indique-t-il.

[Roseau]

par Pierre Rousset
http://npa2009.org/node/38454

[Roseau]

http://npa2009.org/node/38473

[Roseau]

interview du cinéaste Jia Zhangke
http://dndf.org/?p=12727&utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=il-plane-sur-la-chine-une-odeur-d%25e2%2580%2599explosion-sociale

[Roseau]

http://npa2009.org/node/38599

[Roseau]

http://www.liberation.fr/monde/2013/09/09/pekin-veut-mater-internet-par-la-terreur_930508

[Roseau]

Source Lemonde.fr ce jour

Du pétrole (acquisition d'une part d'un projet d'exploitation au Kazakhstan), du cochon (rachat du producteur américain Smithfield, détenteur de Cochonou et Justin Bridou), du lait (entrée au capital de la coopérative Isigny Sainte-Mère), des résidences touristiques (montée au capital du Club Med)... L'appétit des entreprises chinoises à l'international est de plus en plus insatiable. Et de plus en plus varié.

Cela se traduit dans les chiffres : en 2012, la Chine s'est hissée du 6e au 3e rang mondial des pays réalisant le plus d'investissements directs à l'étranger. Selon des chiffres publiés, lundi 9 septembre, par le gouvernement de Pékin, les entreprises chinoises ont investi 87,8 milliards de dollars (62,2 milliards d'euros) hors de leurs frontières l'an dernier, soit une hausse de 17,6 % en un an.

La Chine se place ainsi à contre-courant du reste de la planète : le flux mondial d'investissements étrangers a diminué en 2012 de 17 % sur un an, selon les observations des statisticiens chinois.

"ROUND TRIPPING"

"Les crises de la dette et le ralentissement de la croissance des économies développées ont ouvert de grandes opportunités d'investissement à l'étranger et l'appréciation du renminbi appuie ce processus", a relevé, mardi, Huo Jianguo, président de l'Académie chinoise de commerce international et de coopération économique, dans les colonnes du China Daily.

Ces chiffres comptabilisent toutefois les flux vers Hongkong (58,4 % du total), région administrative spéciale rattachée à la République populaire depuis 1997, mais séparée par des frontières et un système monétaire distinct.

Cette plate-forme attire les investissements chinois pour sa fiscalité bien plus avantageuse que sur le continent, sa liberté de mouvement de capitaux, sa sécurité juridique et son marché boursier.

Certains des investissements vers Hongkong sont ensuite redirigés vers d'autres pays, d'autres demeurent sur place et d'autres, enfin, reviennent en Chine continentale, pratique connue sous le nom de "round tripping", "faire des allers-retours".

STRATÉGIE DU "GO OUT"

La progression des investissements chinois à l'étranger est une tendance de fond. Elle est encouragée par un Etat puissant : la stratégie du "go out" a été initiée dès 1999 par le Parti communiste. De grands groupes, tel Huawei dans les télécommunications, ont réalisé des percées sur les marchés étrangers dès la première moitié des années 2000.

Porter les compagnies chinoises hors des frontières est un objectif national, inscrit dans le 12e plan quinquennal. Selon cette feuille de route, qui guide l'économie chinoise jusqu'à fin 2015, les investissements directs étrangers chinois doivent progresser de 17 % en moyenne chaque année.

Ce n'est qu'au cours des cinq dernières années que se sont multipliées les acquisitions. Cela explique que la Chine ne soit encore qu'au 12e rang en stock cumulé d'investissements hors de ses frontières : 531,9 milliards de dollars fin 2012, soit 10,2 % du montant des investissements réalisés par les Américains ou 35,5 % de ceux des Français.

Pour soutenir les entreprises qui franchissent le pas, les banques d'Etat sont incontournables. Surtout la Banque d'import-export, dite Eximbank, et la Banque de développement, la "CDB", fondée en 1994 afin de financer dans les provinces les grands projets d'infrastructures. "CDB et Eximbank jouent un rôle majeur, la plupart des opérations dans les ressources naturelles les implique", constate André Loesekrug-Pietri, président du fonds A Capital.

La Banque de développement soutient aussi la percée des Chinois dans l'industrie en Europe. Ainsi Volvo, racheté par le constructeur automobile Geely en 2010, a-t-il bénéficié d'un prêt de 922 millions d'euros de la part de la CDB en décembre 2012, afin de financer ses plans de restructuration et de croissance.

Si Pékin communique aujourd'hui davantage sur cette expansion à l'étranger, c'est notamment pour faire passer un message à ses entreprises, en période de ralentissement et de manque de financements. Car les investissements chinois à l'étranger ont chuté de plus d'un tiers au premier semestre 2013 : 27,6 milliards de dollars, contre 41,5 milliards un an plus tôt, selon Price Waterhousecoopers.

"IMAGE DE MARQUE"

"Il s'agit de rappeler la bonne direction : investir à l'étranger est toujours l'un des objectifs prioritaires, relève André Loesekrug-Pietri. D'autant que nombre de groupes chinois sont sous pression, confrontés à l'augmentation des coûts et à des marges en chute, tandis qu'en Chine les projets plus classiques, notamment dans les infrastructures, subissent un ralentissement."

Sortir des frontières est inévitable pour la Chine et ses entreprises. Il s'agit encore en premier lieu de sécuriser les approvisionnements stratégiques. L'accès aux ressources naturelles représente 59 % des investissements directs chinois réalisés en 2012 (51 % en 2011), selon A Capital. Les acteurs dans ce secteur sont pour l'essentiel des groupes étatiques.

Les autres opérations, qui concernent plutôt des acteurs privés, visent à monter en gamme au plus vite, alors que les salaires en Chine peuvent grimper d'un cinquième par an dans certaines provinces chinoises. Or, gagner en valeur ajoutée passe par le développement de marques et la garantie de qualité.

"Les entreprises chinoises partent à l'international pour développer leur image de marque et engranger de la technologie", constate Bala Ramasamy, professeur d'économie à l'Ecole de commerce internationale sino-européenne de Shanghaï (CEIBS).

C'est ce qui a conduit, par exemple, Geely à reprendre Volvo. C'est aussi ce qui explique les récentes opérations dans l'agroalimentaire. Le producteur laitier Synutra s'est tourné vers la Bretagne pour produire du lait pour nourrisson de qualité. En reprenant le producteur de porc américain Smithfield, le groupe Shuanghui compte accéder à des coûts de production plus faibles du fait de meilleurs rendements et à une image qualitative bien meilleure.

En revanche, peu de groupes chinois cherchent pour l'heure à développer des réseaux de distribution internationaux comme l'ont fait depuis longtemps leurs concurrents occidentaux, la progression du marché intérieur leur suffisant. Toutefois, le ralentissement de la croissance de l'économie chinoise pourrait les inciter à franchir le pas.

[Roseau]

http://www.lemonde.fr/international/article/2013/09/16/vague-d-arrestations-en-chine-contre-les-militants-des-droits-civiques_3478172_3210.html

[Resistance-politique]

Chine. Le blogueur chinois Charles Xue admet avoir répandu de fausses informations

Charles Xue, fameux blogueur et homme d’affaires chinois d’origine étasunienne, a notamment fait fortune avec son portail web Sina Weibo. Celui-ci est désormais le plus populaire de Chine, avec quelque douze millions de fans. Xue aimait parler avec ses tripes, et ses jugements effrontés n’épargnaient personne. Échappant jusqu’ici à toute censure, il est devenu au fil du temps une véritable référence pour ses compatriotes en froid avec le gouvernement.

Un beau jour cependant, Xue a songé étendre ses critiques au Parti communiste, exprimant son désaccord sur des sujets politiques et sociaux... jusqu’à son arrestation. L’homme d’affaires a été accusé de parties fines avec des prostituées. Son étoile pâlit considérablement. Il y a quelques jours, il est apparu sur la télévision d’État, avouant avoir propagé de fausses informations, confessant au passage l’ivresse que lui procurait son succès. « J’ai été irresponsable dans les informations que je communiquais. Ça me permettait d’évacuer ma mauvaise humeur. Mais la liberté de parole n’exclut pas le respect de la loi ».

Charles Xue a diffusé quotidiennement quelque quatre-vingts informations qu’il ne pouvait pas vérifier à environ douze millions de fans et suiveurs (soit 3 % des 400 millions d’utilisateurs chinois d’Internet). L’homme d’affaires reconnaît avoir agi tel un empereur, se sentant « plus puissant qu’un secrétaire du PCC d’une administration locale ». Il a finalement présenté platement ses excuses à ses compatriotes chinois pour le préjudice subi. Il s’est dit prêt à coopérer avec les autorités pour rendre Internet plus sûr : « le web n’est pas un havre sans foi ni loi. Un cyberespace arrivé à maturité est un espace encadré par des règles, un espace où la loi prime sur la liberté ».

Capitaine Martin

http://www.resistance-politique.fr/article-chine-le-blogueur-chinois-charles-xue-admet-avoir-repandu-de-fausses-informations-120128952.html

[Copas]

Chine. Le blogueur chinois Charles Xue admet avoir répandu de fausses informations

Charles Xue, fameux blogueur et homme d’affaires chinois d’origine étasunienne, a notamment fait fortune avec son portail web Sina Weibo. Celui-ci est désormais le plus populaire de Chine, avec quelque douze millions de fans. Xue aimait parler avec ses tripes, et ses jugements effrontés n’épargnaient personne. Échappant jusqu’ici à toute censure, il est devenu au fil du temps une véritable référence pour ses compatriotes en froid avec le gouvernement.

Un beau jour cependant, Xue a songé étendre ses critiques au Parti communiste, exprimant son désaccord sur des sujets politiques et sociaux... jusqu’à son arrestation. L’homme d’affaires a été accusé de parties fines avec des prostituées. Son étoile pâlit considérablement. Il y a quelques jours, il est apparu sur la télévision d’État, avouant avoir propagé de fausses informations, confessant au passage l’ivresse que lui procurait son succès. « J’ai été irresponsable dans les informations que je communiquais. Ça me permettait d’évacuer ma mauvaise humeur. Mais la liberté de parole n’exclut pas le respect de la loi ».

Charles Xue a diffusé quotidiennement quelque quatre-vingts informations qu’il ne pouvait pas vérifier à environ douze millions de fans et suiveurs (soit 3 % des 400 millions d’utilisateurs chinois d’Internet). L’homme d’affaires reconnaît avoir agi tel un empereur, se sentant « plus puissant qu’un secrétaire du PCC d’une administration locale ». Il a finalement présenté platement ses excuses à ses compatriotes chinois pour le préjudice subi. Il s’est dit prêt à coopérer avec les autorités pour rendre Internet plus sûr : « le web n’est pas un havre sans foi ni loi. Un cyberespace arrivé à maturité est un espace encadré par des règles, un espace où la loi prime sur la liberté ».

Capitaine Martin

http://www.resistance-politique.fr/article-chine-le-blogueur-chinois-charles-xue-admet-avoir-repandu-de-fausses-informations-120128952.html

Si il a avoué, alors il n'y a pas de problèmes...

D'ailleurs du temps de Staline ils avouaient tous preuve de la noirceur de leurs âmes...

Résistance ?

« le web n’est pas un havre sans foi ni loi. Un cyberespace arrivé à maturité est un espace encadré par des règles, un espace où la loi prime sur la liberté ».

C'est beau....

Résistance ?

[Copas]

Bo-Xilai a été condamné à la prison à vie.

Les différends écuries nomenklaturistes au pouvoir en Chine ont réussi à écarter le leader remuant d'un clan au pouvoir. Un leader qui avait des positions importantes en Chine. C'est certainement un soulagement pour les leaders des autres bandes aux affaires en Chine.

Mais il n'est pas sur que cette condamnation résolve les conflits de claque anti-sociale et pro-bourgeoise à la direction du PCC. Elle les repoussent mais les contradictions continueront de courir sous la poussée des forces productives.

Combien de temps encore ?



https://www.youtube.com/watch?v=2SCyAsXwSWg

[Vic]

http://finances.fr.msn.com/sephora-r%C3%AAve-de-doubler-son-chiffre-daffaires-mondial-en-cinq-ans

[Vic]

http://www.lcr-lagauche.be/cm/index.php?view=article&id=3028%3Adossier-chine-capitalisme-et-dictature-croissance-et-luttes-sociales&option=com_content&Itemid=53

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