Front de Gauche
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Re: Front de Gauche
Roseau a écrit:http://www.critique-sociale.info/index.php/articles-dactualite/166-ni-dieu-ni-cesar-ni-melenchon
trés bon , mais c'est de qui cet article panchoa
panchoa- Messages : 1042
Date d'inscription : 20/09/2010
Re: Front de Gauche
De "Critique Sociale", qui se réclame de Rosa Luxembourg...
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Méluche apprécie l'industriel de la mort
http://gauche.blog.lemonde.fr/2012/01/23/ladmiration-de-melenchon-pour-dassault-ce-grand-industriel/
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Front de Gauche
Mélenchon et Thibault : retour sur une photo - 23-01-2012 - Sylvain Boulouque, Historien, décrypteur de la gauche radicale pour Le Nouvel Observateur
La photo, la conférence de presse et l’entretien de Jean-Luc Mélenchon avec Bernard Thibault interrogent l’histoire de la relation entre parti et syndicat dans la gauche radicale et permet de lire quelques évolutions récentes.
Historiquement, il existe quatre grands modèles dans la relation entre les partis politiques et le mouvement syndical.
Le modèle du syndicat courroie de transmission : le syndicat sert de vivier au Parti et reprend ses directives et instructions. Il a fonctionné surtout en Allemagne.
Directement inspiré par le modèle social-démocrate allemand, le modèle léniniste : la centrale exécute les injonctions du parti. Il a fonctionné en URSS et dans tout le mouvement communiste international.
Le modèle trade-unioniste anglais : le Parti est l’émanation du syndicat, ses représentants syndicaux forment le parti. En Angleterre, encore aujourd’hui le responsable du Labor se rend au congrès des trade-unions avant de participer aux instances du parti.
Le modèle latin syndicaliste révolutionnaire : les syndicats refusent toute injonction des partis. Le syndicalisme se considère comme autonome et capable d’assurer la gestion de la société.
En France, le mouvement syndical est né sous la double impulsion du mouvement socialiste et du mouvement libertaire. Ces derniers ont imaginé une société abolissant le patronat et le salariat, dans laquelle l’ordre ancien est renversé par la grève générale. Les socialistes français se sont d’abord réclamé du modèle allemand avant de se rallier aux thèses de l’indépendance du syndicalisme vis-à-vis des partis politiques défendues par les libertaires. Cette conception est devenue en partie caduque après 1920. Si le modèle dominant jusqu’en 1920 a été le syndicalisme révolutionnaire avec la greffe bolchevique sur le mouvement ouvrier français, la nature des relations a changé. Progressivement le modèle bolchevique s’est imposé dans la gauche sans qu’il ne soit jamais totalement dominateur. La mémoire des temps héroïque du syndicalisme est restée prégnante.
Qu’en reste-t-il aujourd’hui ?
La majeure partie des centrales syndicales ont abandonné les principaux mythes fondateurs du syndicalisme comme la grève générale et l’abolition du salariat. Le modèle communiste est défait et ne fonctionne plus réellement. Localement et institutionnellement des pratiques persistent mais le PCF a abandonné le principe même de la direction du parti sur le syndicat (1). Tout comme le Parti de gauche, l’actuel PCF veut se placer aux côtés du mouvement syndical. Tous deux laissent place à une certaine ambiguïté. Les héritiers historiques du bolchevisme continuent à se réclamer ouvertement de la domination du Parti sur le mouvement syndical, comme à Lutte ouvrière, à mots couverts pour le NPA et de manière clandestine pour le POI "lambertiste".
La quasi-totalité des militants des dites organisations participent à la vie des différentes centrales syndicales. Il n’existe pas d’uniformité dans la gauche radicale. Les libertaires sont membres de la CNT ou des grandes centrales syndicales avec une forte minorité au sein de Force ouvrière. Les militants du PCF restent à la CGT, ceux du Parti de gauche sont répartis dans les différentes centrales alors que les trotskistes du NPA sont majoritairement à SUD, les lambertistes appartiennent à FO et les militants de LO militent volontiers à la CGT. Les enseignants se réclamant de la gauche radicale militent parallèlement à la FSU, dans les fédérations SNES et SNESsup, sauf pour une minorité membre de SUD et en générale appartenant au NPA.
Aujourd’hui, contrairement au passé, les principaux responsables politiques se rendent auprès des ouvriers en lutte dans tel ou tel conflit social. Cette attitude renvoie à une définition nouvelle de l’articulation entre mouvement social, mouvement syndical et vie politique.
Lors de la conférence de presse commune avec Jean-Luc Mélenchon, Bernard Thibault s’est réjoui de voir certains partis politiques défendre les options de la CGT. Pas si étonnant vu qu’une grande partie des acteurs du mouvement syndical a été nourrie par une formation politique dans la gauche radicale. Même si depuis, ils ont pu évoluer (2). Néanmoins la transformation actuelle réside dans le fait que ce sont les responsables syndicaux qui inspirent les partis. Certains partis reprennent les idées des centrales syndicales, comme si le trade-unionisme avait pris le pas sur les autres courants historiques du mouvement syndical.
(1) Sur ce point voir les travaux de Dominique Andolfatto et Dominique Labbé, La CGT, Paris, La Découverte, 1997 et Histoire des syndicats, Paris, Seuil, 2007 et par exemple "PC CGT : la courroie cassée ?"
(2) Bernard Thibaut est passé par le Parti communiste et Annick Coupé de Sud par chez les maoïstes.
nico37- Messages : 7067
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Front de Gauche
panchoa a écrit:Roseau a écrit:http://www.critique-sociale.info/index.php/articles-dactualite/166-ni-dieu-ni-cesar-ni-melenchon
trés bon , mais c'est de qui cet article panchoa
article de combat contre le Front de Gauche, utilisant toutes les bonnes vieilles ficelles de l'émotion, de l'amalgame...etc. Article à éviter absolument aucun intérêt.
Achille- Messages : 2738
Date d'inscription : 24/12/2011
Re: Front de Gauche
Effectivement pas de quoi pavoiser d'avoir mis en ligne cet article immonde. Il y a suffisamment de papiers honnêtes mais critiques sur Mélanchon pour s'adonner à la fouille de poubelles !Achille a écrit:panchoa a écrit:Roseau a écrit:http://www.critique-sociale.info/index.php/articles-dactualite/166-ni-dieu-ni-cesar-ni-melenchon
trés bon , mais c'est de qui cet article panchoa
article de combat contre le Front de Gauche, utilisant toutes les bonnes vieilles ficelles de l'émotion, de l'amalgame...etc. Article à éviter absolument aucun intérêt.
Eugene Duhring- Messages : 1705
Date d'inscription : 22/09/2011
Re: Front de Gauche
Meeting du Front de Gauche avec la participation : Jean-Luc Melenchon, Pierre Laurent et un représentant des différentes composantes du Front de Gauche. MARDI 7 FEVRIER A VILLEURBANNE.
nico37- Messages : 7067
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Front de Gauche
panchoa a écrit:Roseau a écrit:http://www.critique-sociale.info/index.php/articles-dactualite/166-ni-dieu-ni-cesar-ni-melenchon
trés bon ,
Effectivement.
La critique libertaire du chef à plume gêne et touche juste.
A lire et diffuser.
Ne jamais oublier:
Chez JLM la forme est là pour masquer le fond.
Il agit comme un leurre. C’est une école classique politicienne.
C’est une tradition, celle ; à travers Lambert, de la Franc-maçonnerie.
Pendant qu’il hausse le ton en gonflant le torse,
il rassure la bourgeoisie par le discours, notamment les non dits.
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Front de Gauche
C'est marrant mais j'aurais jurer que tu aimerais cet article ... je ne sais pas pourquoi. Au moins tu restes cohérent avec toi-même, l'effluve des poubelles t'attire aussi surement que le miel les ours !Roseau a écrit:panchoa a écrit:Roseau a écrit:http://www.critique-sociale.info/index.php/articles-dactualite/166-ni-dieu-ni-cesar-ni-melenchon
trés bon ,
Effectivement.
La critique libertaire du chef à plume gêne et touche juste.
A lire et diffuser.
Ne jamais oublier:Chez JLM la forme est là pour masquer le fond.
Il agit comme un leurre. C’est une école classique politicienne.
C’est une tradition, celle ; à travers Lambert, de la Franc-maçonnerie.
Pendant qu’il hausse le ton en gonflant le torse,
il rassure la bourgeoisie par le discours, notamment les non dits.
Et pourtant je ne suis pas un fan ni de Melanchon ni du Front de Gauche mais je sais quand même distinguer un article de haute tenue d'un article de poubelle. Celui mis en ligne par Panchoa tenait de la poubelle.
Eugene Duhring- Messages : 1705
Date d'inscription : 22/09/2011
Re: Front de Gauche
Dans Libération d'aujourd'hui, Mélenchon déclare que les patrons qui délocalisent "trahissent la patrie" (page 14).
La poubelle, c'est Mélenchon.
La poubelle, c'est Mélenchon.
Archéologie des poubelles stalino-réformistes ...
Voilà un de mes poubelles préférées...Carrément wagnérienne!
je répète: pisse-froid s'abstenir...
https://www.youtube.com/watch?v=MG5yUzJ8n9I
A lire aussi, par Quentin,
sur BC, qui sait ouvrir les poubelles stalino-réformistes qui effraient Eugène...
http://bellaciao.org/fr/spip.php?article124610#forum469887
je répète: pisse-froid s'abstenir...
https://www.youtube.com/watch?v=MG5yUzJ8n9I
A lire aussi, par Quentin,
sur BC, qui sait ouvrir les poubelles stalino-réformistes qui effraient Eugène...
http://bellaciao.org/fr/spip.php?article124610#forum469887
Admiratif avec les capitalistes "patriotes et industriels" autant qu’il est brutal avec le travailleur syndiqué lui rappelant son passé de ministre, tel est le politicien mégalomaniaque à tendance vaticinatoire qui préside aux destinées de la "gauche de gauche" pour les élections 2012.
Au-delà des boursouflures du personnage, son admiration pour les avionneurs Dassault confirme le défaut d’analyse sérieuse de la crise du capitalisme par le FdG.
Pour l’Humain d’abord, la crise serait due au parasitisme de la finance, à ses exigences démesurées sur l’appareil productif, à sa tendance à imposer le moins-disant social aux entrepreneurs de terrain.
Pas la moindre trace chez le FdG d’une analyse de la crise de suraccumulation de capital et de moyens de production comme résultant de la baisse tendancielle du taux de profit. Pas d’analyse du capital fictif et son hypertrophie comme conséquence de la répugnance du capital à produire des valeurs d’usage insuffisamment rentables comme valeurs marchandes.
Le programme du FdG réduit donc les nationalisations au seul secteur de l’énergie (sans parler de l’indemnisation ou PAS des gros actionnaires). Il revendique une relance de l’appareil productif sur la base des partenariats public/privé, au moment même où les médias se saisissent du scandale de ces partenariats de dupe pillant les finances publiques. C’est pourquoi le FdG réclame (comme le PS) un secteur public bancaire qui financera les bons entrepreneurs de souche et qui ne délocaliseront donc pas (comme l’évoque si bien le posteur "vive le FdG").
En clair, le frère portier du GOF indique clairement qu’il ne serait pas contre une union nationale avec la classe des entrepreneurs "jouant le jeu".
Défaut d’optique majeur et impasse cuisante assurée.
Dernière édition par Roseau le Jeu 26 Jan - 1:25, édité 2 fois
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Front de Gauche
il y a 7 minutes dans le Monde. trés interressant ses petits frissons qui par petites touche ???????? panchoa
Politis affirme que le programme de M. Hollande a "un air de gauche"
Politis semble opérer cette semaine un tournant sensible pour la présidentielle. En affichant à la une un profil de François Hollande soustitré "un air de gauche", l'hebdomadaire engagé donne un satisfecit au discours du candidat socialiste, dimanche 22 janvier au Bourget (Seine-Saint-Denis). L'éditorial de Denis Sieffert, directeur de la publiction et de la rédaction, est encore plus explicite : "Disons-le sans ambages et sans réserves : pour un beau discours, ce fut un beau discours!".
L'hebdomadaire avait, depuis 2005, adopté un discours plus distant vis-à-vis du PS: relayant le non au référendum sur le traité constitutionnel européen, soutenant ouvertement la candidature de José Bové en 2007 et montrant, depuis 2009, un vrai tropisme pour le Front de gauche et Jean-Luc Mélenchon.
Politis affirme que le programme de M. Hollande a "un air de gauche"
Politis semble opérer cette semaine un tournant sensible pour la présidentielle. En affichant à la une un profil de François Hollande soustitré "un air de gauche", l'hebdomadaire engagé donne un satisfecit au discours du candidat socialiste, dimanche 22 janvier au Bourget (Seine-Saint-Denis). L'éditorial de Denis Sieffert, directeur de la publiction et de la rédaction, est encore plus explicite : "Disons-le sans ambages et sans réserves : pour un beau discours, ce fut un beau discours!".
L'hebdomadaire avait, depuis 2005, adopté un discours plus distant vis-à-vis du PS: relayant le non au référendum sur le traité constitutionnel européen, soutenant ouvertement la candidature de José Bové en 2007 et montrant, depuis 2009, un vrai tropisme pour le Front de gauche et Jean-Luc Mélenchon.
panchoa- Messages : 1042
Date d'inscription : 20/09/2010
Re: Front de Gauche
Normal, tout ce qui a perdu la perspective révolutionnaire,panchoa a écrit:
L'hebdomadaire avait, depuis 2005, adopté un discours plus distant vis-à-vis du PS: relayant le non au référendum sur le traité constitutionnel européen, soutenant ouvertement la candidature de José Bové en 2007 et montrant, depuis 2009, un vrai tropisme pour le Front de gauche et Jean-Luc Mélenchon.
et vit à cent lieux de la crise en cours, du PC à la droite du NPA,
commence à sentir l'écurie de la nouvelle gauche plus rien.
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Front de Gauche
Politis cherche des sponsors, des financiers et des lecteurs depuis des années. Pas étonnant que son patron se tourne vers tout ce qui brille et a une chance de l'aider demain à survivre.
verié2- Messages : 8494
Date d'inscription : 11/07/2010
Re: Front de Gauche
J.-L. Mélenchon - Discours de Besançon par lepartidegauche
PRÉSIDENTIELLE : MÉLENCHON ENTHOUSIASME BESANCON 25/01/2012 Par Jennifer Declémy
Pour son troisième meeting de campagne, le candidat du Front de Gauche était à Besancon, où une fois encore il a attiré bien plus de public que prévu.
4 500 personnes pour assister au discours de Jean-Luc Mélenchon alors que seulement 2 000 étaient attendues. Un succès que les organisateurs savourent, confirmant à l'envie que "quelque chose se passe sur le terrain", et que leur champion est en train de marquer des points.
Le message était clair pour le candidat : "la gauche est de retour", celle qui veut une planification écologique, un droit de préemption des salariés sur leurs entreprises quand elles doivent fermer, une revalorisation du SMIC, un retour du droit à la retraite à 60ans ou une véritable révolution fiscale. Alors que le public scandait à profusion le mot "résistance" et montrait un véritable enthousiasme, notamment quand Jean-Luc Mélenchon raille le meeting du Bourget "où il n'y avait pas assez de rouge". Approuvant la déclaration de son adversaire socialiste voulant combattre la finance, l'ancien sénateur a cependant pu promettre "qu'on ne combat pas la finance avec un pistolet à bouchon", clouantau pilori les banques et les "quatre Dalton de l'austérité".
nico37- Messages : 7067
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Front de Gauche
toujours par petite touche se desssine un beau tableau. je t'aime moi non plus; ce soir je serais la ploubelle .....pour aller chercher les bonnes places. panchoa éboueur de service toujours reformard ringard
AFP, Mise à jour : jeudi 26 janvier 2012 23:45
Hollande se désisterait pour Mélenchon s'il était le mieux placé pour le second tour
Le candidat PS à l'Elysée, François Hollande, a assuré jeudi qu'"il se désisterait pour le candidat de gauche le mieux placé", interrogé sur l'hypothèse où le leader du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, le devancerait au 1er tour de l'élection présidentielle.
AFP/Archives
"Ma réponse, elle est toute simple: moi je me désiste toujours pour le candidat de gauche le mieux placé face à la droite", a déclaré M. Hollande lors de l'émission de France 2 "Des paroles et des actes".
Il a indiqué que pour sa part il n'entendait "écarter personne" s'il l'emportait en mai prochain affirmant: "Ceux qui soutiendront ma candidature au second tour de l'élection présidentielle ont vocation à gouverner avec moi".
"Je ne doute pas du choix que fera le Front de gauche au second tour, il est clair qu'il soutiendra le candidat de gauche le mieux placé (...) après ils verront s'ils veulent participer au gouvernement, je ne veux forcer personne", a-t-il dit.
A propos du candidat du Modem, François Hollande a affirmé: "François Bayrou trouve que mon projet n'est pas bon, il l'a dit. Donc je ne vois pas comment il pourrait participer à un gouvernement pour appliquer un projet qu'il ne trouve pas bon".
panchoa- Messages : 1042
Date d'inscription : 20/09/2010
Re: Front de Gauche
je suis revenue en arrière finir de vider une "plous belle" que moi tu meurs vue dans bella poubella site bien connu sous le pseudo de bellaciao Panchoa
Retraites. Hollande, Mélenchon ou le syndrome de la paille et de la poutre
de : Antoine (Montpellier)
vendredi 27 janvier 2012 - 09h28
Le titre complet est Retraites. Hollande, Mélenchon ou le syndrome de la paille et de la poutre dans l’oeil (gauche) de l’autre.
.....................
Nous pouvons lire dans l’article [hélas réservé aux abonnés] de Mediapart François Hollande en plein réalisme socialiste ! ces lignes fort justement ciblées politiquement parlant : "Co-présidente du Parti de gauche, Martine Billard craint, pour sa part, que « la nouvelle proposition sur les retraites [de François Hollande], revienne à entériner le passage aux 41 ans et demi de cotisation, ce qui enterre, sans le dire, le droit à la retraite à 60 ans »."
Oui, cette crainte est très juste et retrouve l’esprit de ce qu’écrit Laurent Mauduit dans un autre article mediapartien au titre éloquent : Un projet social au souffle court
Mais voilà, la poutre du reniement politique que la dirigeante du Parti de Gauche craint de repérer dans l’oeil du candidat socialiste, l’empêche de voir l’autre poutre, celle, certes plus petite, mais bien épaisse, qui traverse l’oeil de son camarade candidat pour le Front de Gauche, Jean-Luc Mélenchon. Lequel Mélenchon, comme je l’ai mis en évidence récemment sur ce blog, joue du "clignement d’yeux", de l’ellipse, sur cette question, fondamentale s’il en est pour les salariés, des retraites, pour ne rien laisser voir de ladite poutre. Rappelons en effet brièvement ce que j’écrivais avec renvoi à des vidéos ...parlantes (1) : Jean-Luc Mélenchon accepte le passage aux 40 années de cotisation imposées par la contre-réforme des retraites de Fillon et Sarkozy. Il ne pousse pas la dérive jusqu’à s’aligner sur l’acceptation par François Hollande du passage aux 41,5 annuités édictées par les mêmes duettistes de la droite, pour ainsi mieux marquer, à peu de frais, sa différence à gauche.
Mais, si l’on retient que la référence revendicative de défense des positions du salariat, nourries aux analyses de la fondation Copernic ou d’Attac, est le retour aux 37,5 annuités ou, en suivant les propositions du socialiste de gauche (ah ! la magie des mots) Gérard Filoche, un abaissement à 35 annuités, nous pouvons mesurer ce qui différencie une posture électoraliste, doublant petitement le PS sur sa gauche, d’un ancrage ferme sur une politique d’alternative au capitalisme.
Notons cependant que, malgré les effets de manche déployés sur les estrades et sur les plateaux de télévision, la radicalité du Front de Gauche s’assume essentiellement antilibérale et a, pour cette raison même, fait capoter l’unité avec l’anticapitalisme du NPA. Il reste que nombre de salariés, emportés par le verbe mélenchonien, doivent penser que cet antilibéralisme est le nom de code d’un anticapitalisme qui leur restituerait pas mal de ce que la droite leur a enlevé. Le positionnement "réel" de Jean-Luc Mélenchon en faveur des 40 annuités n’est en effet quasiment jamais repérable dans ses déclarations de campagne. Il faut, pour neutraliser ce brouillage, aller chercher les rares effusions de sincérité captées par les images et le son des vidéos que je mentionne plus haut. Et cela, même dans la logique de l’ antilibéralisme, pose la question délicate entre toutes de l’honnêteté : ils seraient bien déroutés les partisans du Front de Gauche qui découvriraient, derrière l’apparence gratifiante de la référence à un retour aux 60 ans et aux 75 % (pour plus de détail lire mon article), que se cache, c’est bien, hélas le mot, la triste réalité que devraient subir ceux qui, sous un gouvernement (improbable) du Front de Gauche, n’auraient pas cotisé 40 ans au moment d’arriver à l’âge "magique" (fatidique !) de 60 ans : à savoir l’obligation d’aller bien au-delà pour pouvoir prétendre à une retraite pleine. Façon, comme le dit, avec une ironie antimélenchonienne involontaire, Martine Billard, à propos de la position de François Hollande sur les retraites, "d’ enterrer, sans le dire, le droit à la retraite à 60 ans" entérinant exactement la situation que, un temps donné, la droite avait imposé au peuple travailleur, avant d’aggraver encore les choses. Avec force menaces de décotes pour les récalcitrants au nouvel ordre salarial d’activité et de continuité (Bernard Friot développe l’idée que la retraite est/devrait rester un "salaire continué"). Certains se rassureront peut-être en apprenant de quelques responsables du Front de Gauche que les intolérables décotes seraient supprimées mais ils oublieraient que c’est, malgré tout, la même logique de l’acceptation des 40 annuités "honteuses" qui serait à l’oeuvre : celle qui permet d’être juste un peu plus à gauche que le PS et de sauver une proximité autorisant le PCF, au moins, à continuer à rêver de sa perspective de construction d’ un "programme partagé" de toute la gauche. Avec le PS. Mais, inévitablement, sans le NPA. Pour une énième remise en route d’une gestion de gauche (plus ou moins unitaire) de l’existant qui aura tôt fait de remiser, au nom des supposés incontournables et tout libéraux équilibres budgétaires, les velléités de changement esquissées au placard des promesses perdues ! Comme ont pu, ont su, faire Mitterrand ou Jospin et leurs alliés "radicaux" du moment...en suscitant un désarroi et une désespérance populaires inévitablement propices au retour d’une droite toujours plus dure.
Voilà, en quelque sorte la vérité de ce jeu politicien biaisant avec cette pourtant très sérieuse question du "salaire continué", si essentielle pour faire retrouver un minimum de bien-être et de dignité à ceux qui souffrent d’être agressés au travail et à l’après du travail ! Seuls Philippe Poutou pour le NPA et Nathalie Arthaud pour LO gardent le cap d’un retour au triptyque historique mais toujours actuel (sous réserve d’une actualisation vers les 35) des 37,5/60/75 qui permettrait de sortir de ces jeux de compromis(sions) que les rhétoriques électoralistes cherchent à masquer. C’est incontestablement autour de l’une ou l’autre de ces deux candidatures que doit se fixer le maximum de voix (2) pour rendre compatibles le "dégagement" du pouvoir, via les élections, de la droite, le refus d’un engagement mortifère avec la gauche d’adaptation au capital (avec d’emblée le reniement "partagé" sur les retraites) et la mise en oeuvre d’ un rebond du mouvement social ouvrant sur une alternative au système en place. Toutes choses urgentes pour libérer le regard émancipateur des poutres de toutes tailles et des quelques pailles dérisoires encombrant la perception de l’horizon politique.
(1) Le Front de Gauche et les retraites : Mélenchon est pour les 40 ans de cotisation !
(2) Mon choix va vers Philippe Poutou qui articule un discours clair d’alternative à l’appel pragmatique et sans ambiguïté à battre Sarkozy dans les urnes à défaut de pouvoir le faire actuellement dans la rue. Mes divergences persistent avec l’actuelle majorité du NPA sur la nécessité, selon moi, de maintenir une démarche unitaire de principes envers le Front de Gauche malgré le refus opposé, à cette présidentielle, par celui-ci à une candidature clairement indépendante du PS, refus dont on peut mesurer le sens au détour de ce "détail" des retraites. Ces divergences ne suffisent pas cependant à me faire perdre de vue que la campagne de Philippe Poutou reste dans un cadre anticapitaliste comme le démontre précisément ce dernier détail.
Clarté à gauche pour (com)battre la droite
Retraites. Hollande, Mélenchon ou le syndrome de la paille et de la poutre
de : Antoine (Montpellier)
vendredi 27 janvier 2012 - 09h28
Le titre complet est Retraites. Hollande, Mélenchon ou le syndrome de la paille et de la poutre dans l’oeil (gauche) de l’autre.
.....................
Nous pouvons lire dans l’article [hélas réservé aux abonnés] de Mediapart François Hollande en plein réalisme socialiste ! ces lignes fort justement ciblées politiquement parlant : "Co-présidente du Parti de gauche, Martine Billard craint, pour sa part, que « la nouvelle proposition sur les retraites [de François Hollande], revienne à entériner le passage aux 41 ans et demi de cotisation, ce qui enterre, sans le dire, le droit à la retraite à 60 ans »."
Oui, cette crainte est très juste et retrouve l’esprit de ce qu’écrit Laurent Mauduit dans un autre article mediapartien au titre éloquent : Un projet social au souffle court
Mais voilà, la poutre du reniement politique que la dirigeante du Parti de Gauche craint de repérer dans l’oeil du candidat socialiste, l’empêche de voir l’autre poutre, celle, certes plus petite, mais bien épaisse, qui traverse l’oeil de son camarade candidat pour le Front de Gauche, Jean-Luc Mélenchon. Lequel Mélenchon, comme je l’ai mis en évidence récemment sur ce blog, joue du "clignement d’yeux", de l’ellipse, sur cette question, fondamentale s’il en est pour les salariés, des retraites, pour ne rien laisser voir de ladite poutre. Rappelons en effet brièvement ce que j’écrivais avec renvoi à des vidéos ...parlantes (1) : Jean-Luc Mélenchon accepte le passage aux 40 années de cotisation imposées par la contre-réforme des retraites de Fillon et Sarkozy. Il ne pousse pas la dérive jusqu’à s’aligner sur l’acceptation par François Hollande du passage aux 41,5 annuités édictées par les mêmes duettistes de la droite, pour ainsi mieux marquer, à peu de frais, sa différence à gauche.
Mais, si l’on retient que la référence revendicative de défense des positions du salariat, nourries aux analyses de la fondation Copernic ou d’Attac, est le retour aux 37,5 annuités ou, en suivant les propositions du socialiste de gauche (ah ! la magie des mots) Gérard Filoche, un abaissement à 35 annuités, nous pouvons mesurer ce qui différencie une posture électoraliste, doublant petitement le PS sur sa gauche, d’un ancrage ferme sur une politique d’alternative au capitalisme.
Notons cependant que, malgré les effets de manche déployés sur les estrades et sur les plateaux de télévision, la radicalité du Front de Gauche s’assume essentiellement antilibérale et a, pour cette raison même, fait capoter l’unité avec l’anticapitalisme du NPA. Il reste que nombre de salariés, emportés par le verbe mélenchonien, doivent penser que cet antilibéralisme est le nom de code d’un anticapitalisme qui leur restituerait pas mal de ce que la droite leur a enlevé. Le positionnement "réel" de Jean-Luc Mélenchon en faveur des 40 annuités n’est en effet quasiment jamais repérable dans ses déclarations de campagne. Il faut, pour neutraliser ce brouillage, aller chercher les rares effusions de sincérité captées par les images et le son des vidéos que je mentionne plus haut. Et cela, même dans la logique de l’ antilibéralisme, pose la question délicate entre toutes de l’honnêteté : ils seraient bien déroutés les partisans du Front de Gauche qui découvriraient, derrière l’apparence gratifiante de la référence à un retour aux 60 ans et aux 75 % (pour plus de détail lire mon article), que se cache, c’est bien, hélas le mot, la triste réalité que devraient subir ceux qui, sous un gouvernement (improbable) du Front de Gauche, n’auraient pas cotisé 40 ans au moment d’arriver à l’âge "magique" (fatidique !) de 60 ans : à savoir l’obligation d’aller bien au-delà pour pouvoir prétendre à une retraite pleine. Façon, comme le dit, avec une ironie antimélenchonienne involontaire, Martine Billard, à propos de la position de François Hollande sur les retraites, "d’ enterrer, sans le dire, le droit à la retraite à 60 ans" entérinant exactement la situation que, un temps donné, la droite avait imposé au peuple travailleur, avant d’aggraver encore les choses. Avec force menaces de décotes pour les récalcitrants au nouvel ordre salarial d’activité et de continuité (Bernard Friot développe l’idée que la retraite est/devrait rester un "salaire continué"). Certains se rassureront peut-être en apprenant de quelques responsables du Front de Gauche que les intolérables décotes seraient supprimées mais ils oublieraient que c’est, malgré tout, la même logique de l’acceptation des 40 annuités "honteuses" qui serait à l’oeuvre : celle qui permet d’être juste un peu plus à gauche que le PS et de sauver une proximité autorisant le PCF, au moins, à continuer à rêver de sa perspective de construction d’ un "programme partagé" de toute la gauche. Avec le PS. Mais, inévitablement, sans le NPA. Pour une énième remise en route d’une gestion de gauche (plus ou moins unitaire) de l’existant qui aura tôt fait de remiser, au nom des supposés incontournables et tout libéraux équilibres budgétaires, les velléités de changement esquissées au placard des promesses perdues ! Comme ont pu, ont su, faire Mitterrand ou Jospin et leurs alliés "radicaux" du moment...en suscitant un désarroi et une désespérance populaires inévitablement propices au retour d’une droite toujours plus dure.
Voilà, en quelque sorte la vérité de ce jeu politicien biaisant avec cette pourtant très sérieuse question du "salaire continué", si essentielle pour faire retrouver un minimum de bien-être et de dignité à ceux qui souffrent d’être agressés au travail et à l’après du travail ! Seuls Philippe Poutou pour le NPA et Nathalie Arthaud pour LO gardent le cap d’un retour au triptyque historique mais toujours actuel (sous réserve d’une actualisation vers les 35) des 37,5/60/75 qui permettrait de sortir de ces jeux de compromis(sions) que les rhétoriques électoralistes cherchent à masquer. C’est incontestablement autour de l’une ou l’autre de ces deux candidatures que doit se fixer le maximum de voix (2) pour rendre compatibles le "dégagement" du pouvoir, via les élections, de la droite, le refus d’un engagement mortifère avec la gauche d’adaptation au capital (avec d’emblée le reniement "partagé" sur les retraites) et la mise en oeuvre d’ un rebond du mouvement social ouvrant sur une alternative au système en place. Toutes choses urgentes pour libérer le regard émancipateur des poutres de toutes tailles et des quelques pailles dérisoires encombrant la perception de l’horizon politique.
(1) Le Front de Gauche et les retraites : Mélenchon est pour les 40 ans de cotisation !
(2) Mon choix va vers Philippe Poutou qui articule un discours clair d’alternative à l’appel pragmatique et sans ambiguïté à battre Sarkozy dans les urnes à défaut de pouvoir le faire actuellement dans la rue. Mes divergences persistent avec l’actuelle majorité du NPA sur la nécessité, selon moi, de maintenir une démarche unitaire de principes envers le Front de Gauche malgré le refus opposé, à cette présidentielle, par celui-ci à une candidature clairement indépendante du PS, refus dont on peut mesurer le sens au détour de ce "détail" des retraites. Ces divergences ne suffisent pas cependant à me faire perdre de vue que la campagne de Philippe Poutou reste dans un cadre anticapitaliste comme le démontre précisément ce dernier détail.
Clarté à gauche pour (com)battre la droite
panchoa- Messages : 1042
Date d'inscription : 20/09/2010
Re: Front de Gauche
Pour comprendre et se faire une opinion sur le Front de Gauche et son candidat il faut absolument comparer le torrent de purin nauséabond déversé dans ce fil par les petits staliniens de l'internet qui se contentent de faire la révolution derrière leurs claviers avec les textes les discours, les meetings originaux:
http://www.placeaupeuple2012.fr/
http://www.jean-luc-melenchon.fr/
http://www.placeaupeuple2012.fr/
http://www.jean-luc-melenchon.fr/
Achille- Messages : 2738
Date d'inscription : 24/12/2011
Re: Front de Gauche
si critiquer le programme du fdg, mon cher Achille (Talon), c'est du stalinisme, permet moi au minimum de rigoler...
tu ferai mieux de lire, en détail, ce qu'écrit le camarade Antoine dans Bellaciao, sur les turpitudes du fdg au sein des majos ps dans les conseil régionaux et autres tour de passe passe programmatique.
tu ferai mieux de lire, en détail, ce qu'écrit le camarade Antoine dans Bellaciao, sur les turpitudes du fdg au sein des majos ps dans les conseil régionaux et autres tour de passe passe programmatique.
tomaz- Messages : 302
Date d'inscription : 09/07/2010
Localisation : zonvier
Re: Front de Gauche
Quel candidat est soutenu par des staliniens, si ce n'est Mélenchon ?
Quel candidat dit des patrons qui délocalisent qu'ils "trahissent la patrie" (propos nationalistes dignes du PCF de la pire période stalinienne), si ce n'est Mélenchon ?
Quel candidat refuse de qualifier le Cuba actuel (néo-stalinien) de "dictature", si ce n'est Mélenchon ?
Ceci dit, chacun est évidemment libre de soutenir des candidats inter-classistes comme Mélenchon ou Eva Joly. Mais sur un "Forum des marxistes révolutionnaires", c'est plus que curieux...
Quel candidat dit des patrons qui délocalisent qu'ils "trahissent la patrie" (propos nationalistes dignes du PCF de la pire période stalinienne), si ce n'est Mélenchon ?
Quel candidat refuse de qualifier le Cuba actuel (néo-stalinien) de "dictature", si ce n'est Mélenchon ?
Ceci dit, chacun est évidemment libre de soutenir des candidats inter-classistes comme Mélenchon ou Eva Joly. Mais sur un "Forum des marxistes révolutionnaires", c'est plus que curieux...
Re: Front de Gauche
[quote="Achille
cher achille tu reprend les meme attaques que l'on retrouve dans les sites comme bellaciao. si ont n'est pas d'accord avec le duce de goche on est des staliniens incapable de' action dans le réel. nous sommes ici pour la plus part investi dans le champ social, certain depuis plus longtemps que d'autre.
pour ma part vieux syndicaliste CGT j'ai connu le programme commun et vus ses éffets dans les syndicats. donc la gaoche plus rien c'est pas ma tasse de thé. pour ce qui est du présent je soutien la candidature de Poutou parceque je le voie à la manoeuvre dans le cambouis de la lutte pour l'emploi et le reste a ford.
alors libre a toi d'étre ébloui par le sauveurs supréme, qui comme les radis est rouge le WE et blanc la semaine. panchoa
cher achille tu reprend les meme attaques que l'on retrouve dans les sites comme bellaciao. si ont n'est pas d'accord avec le duce de goche on est des staliniens incapable de' action dans le réel. nous sommes ici pour la plus part investi dans le champ social, certain depuis plus longtemps que d'autre.
pour ma part vieux syndicaliste CGT j'ai connu le programme commun et vus ses éffets dans les syndicats. donc la gaoche plus rien c'est pas ma tasse de thé. pour ce qui est du présent je soutien la candidature de Poutou parceque je le voie à la manoeuvre dans le cambouis de la lutte pour l'emploi et le reste a ford.
alors libre a toi d'étre ébloui par le sauveurs supréme, qui comme les radis est rouge le WE et blanc la semaine. panchoa
panchoa- Messages : 1042
Date d'inscription : 20/09/2010
Re: Front de Gauche
panchoa a écrit:[quote="Achille
cher achille tu reprend les meme attaques que l'on retrouve dans les sites comme bellaciao. si ont n'est pas d'accord avec le duce de goche on est des staliniens incapable de' action dans le réel. nous sommes ici pour la plus part investi dans le champ social, certain depuis plus longtemps que d'autre.
pour ma part vieux syndicaliste CGT j'ai connu le programme commun et vus ses éffets dans les syndicats. donc la gaoche plus rien c'est pas ma tasse de thé. pour ce qui est du présent je soutien la candidature de Poutou parceque je le voie à la manoeuvre dans le cambouis de la lutte pour l'emploi et le reste a ford.
alors libre a toi d'étre ébloui par le sauveurs supréme, qui comme les radis est rouge le WE et blanc la semaine. panchoa
Merci de m'octroyer la liberté de m'exprimer même si je me demande de quel pouvoir tu t'es auto-investi. Quoique... le pedigree annoncé dans dans ton post semble en être la raison et sur ce terrain il se trouve que j'ai porté le bleu de travail dès 1967 et pour des dizaines d'années. Mais contrairement à toi cela ne me donne aucun droit de dire qui est libre de... ou non. Je laisse cela aux staliniens de tout poil. Il se trouve que j'ai également milité 15 ans à la Ligue Communiste puis à la LCR, participer à ce forum est un voyage dans le temps : rien a changé, vous êtes pareil, les clones de vos caricatures de l'époque. Continuez comme cela nous avons besoin d'épouvantails.
Achille- Messages : 2738
Date d'inscription : 24/12/2011
Re: Front de Gauche
Achille a écrit:Pour comprendre et se faire une opinion sur le Front de Gauche et son candidat il faut absolument comparer le torrent de purin nauséabond déversé dans ce fil par les petits staliniens de l'internet qui se contentent de faire la révolution derrière leurs claviers avec les textes les discours, les meetings originaux:
http://www.placeaupeuple2012.fr/
http://www.jean-luc-melenchon.fr/
Critiquer JLM ne relève pas du stalinisme surtout quand ces critiques sont détaillées et apportent preuves de leurs assertions, sont discutées ardemment pour en mesurer les degrés de réalité. Ce qui est le cas dans la plupart des critiques ici, comme sur d'autres sites comme Bellaciao.
Parler de stalinisme là dessus est injurieux d'abord pour ceux qui l'on subit réellement.
Apparemment tu n'as strictement rien à dire et à argumenter. C'est dommage.
Même ta réponse à Panchoa est injurieuse et dénuée du moindre argument.
Tu pourrais par exemple nous parler des retraites, des propos contre les flamands, de la pratique concrète des gens du FdG quand ils ont des places dans l'état, etc, ça fourmille de sujets où les choses se discutent.
Mais apparemment c'est pas ton truc. Discuter.
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
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