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Etat Espagnol - Page 19 Empty Citoyens, nous vous demandons pardon

Message  Roseau Sam 17 Nov - 18:15


5.000 policiers viennent de manifester dans le centre de Madrid,
à l’appel de leur syndicat.
A retenir une banderole qui souligne que l'Europe entre dans une étape
que les MR peuvent et doivent s'acharner
à aider à transformer en un affrontement victorieux
« Citoyens, nous vous demandons pardon de ne pas arrêter
les vrais responsables de cette crise : les banquiers et les politiques "
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Etat Espagnol - Page 19 Empty La grève générale du 14 novembre. Quelles suites?

Message  Roseau Lun 19 Nov - 17:55

Par Miguel Romero
http://alencontre.org/europe/espagne/espagne-la-greve-generale-du-14-novembre-quelles-suites.html

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Etat Espagnol - Page 19 Empty Re: Etat Espagnol

Message  Copas Lun 19 Nov - 19:10


Le degré d'organisation dans les hôpitaux de la part des travailleurs de la santé, nécessaire pour ce type de mobilisation, pose la question de la suite, c'est à dire, approfondissement de la démocratie de lutte dans les hôpitaux, la sauvegarde par la prise en main directe par l'organisation des travailleurs en lutte des hôpitaux, la coordination de ceux-ci, l'expulsion des représentants du gouvernement, le resserrement des liens avec la classe populaire du quartier, les autres entreprises et services.

Les révolutionnaires ont leur feuille de route.
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Etat Espagnol - Page 19 Empty Record de crédits douteux détenus par les banques

Message  Roseau Lun 19 Nov - 19:47

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0202394475856-espagne-les-credits-douteux-detenus-par-les-banques-a-un-niveau-record-512157.php
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Etat Espagnol - Page 19 Empty Bilan du 14N par Izquierda Anticapitalista, en fr.

Message  Antonio Valledor Ven 23 Nov - 14:36

http://www.avanti4.be/actualite/article/apres-le-14n-l#.UK9tKFsmUX4

Après le 14N : l’Europe de la classe travailleuse peut vaincre l’austérité !

Nous reproduisons ci-dessous une déclaration de l’organisation Gauche Anticapitaliste de l’Etat espagnol qui dresse le bilan et les perspectives nécessaires de la journée de mobilisations du 14 novembre dernier dans ce pays et en Europe. (Avanti4.be)


Le 14N, la mobilisation sociale contre les coupes et l’austérité a parcouru les pays du sud de l’Europe : grève générale ibérique largement suivie, arrêts de travail partiels en en Italie, à Chypre, à Malte et en Grèce – après deux jours de grève générale il y à peine une semaine. Au nord et au centre du continent cependant – mis à part en France et en Belgique, où la participation aux manifestations a été plus importante – les actions ont eu un caractère plus symbolique.

Cette inégalité ne réduit en rien la portée et l’importance du 14N, qui a représenté la première action de masse à l’échelle européenne contre les politiques de la Troïka depuis le début de la crise et a déstabilisé l’orientation dominante dans la CES (Confédération européenne des syndicats), qui à jusqu’à présent démobilisé le mouvement syndical européen. L’une et l’autre chose sont des conditions nécessaires pour pouvoir enfin incorporer au combat de classe contre l’austérité de vastes secteurs de la classe travailleuse des pays du nord.

Dans le sud de l’Europe, particulièrement au Portugal, en Grèce et dans l’Etat espagnol, la journée a démontré l’énorme potentiel de résistance sociale contre le démantèlement des services publics, la perte de droits sociaux et du travail et la croissante paupérisation sociale. Ce fut une puissante démonstration de force du mouvement syndical et social, qui montre clairement que ce qui est nécessaire – la coordination européenne des résistances jusqu’à la défaite de l’austérité – est possible.

Le 15 novembre, Angela Merkel s’est empressée de clarifier que l’austérité sera maintenue, en répétant le discours habituel de la Troïka et des gouvernements face aux mobilisations : « Nous ne modifierons pas notre politique, parce que c’est la seule possible ». Ce discours poursuit deux objectifs : démoraliser les populations qui, dans la majorité des pays du sud de l’Europe, après avoir compris que la résistance est la seule alternative, sont disposées à se mobiliser contre l’austérité et le paiement de la dette, et empêcher que cette mobilisation s’étende et atteigne une dimension véritablement continentale. Le spectre de la grève générale européenne commence à troubler le sommeil des élites européennes.

Si le projet de l’Europe néolibérale a pu avancer aussi rapidement, c’est grâce à son acceptation de la part de la majorité du mouvement syndical – représenté dans la CES – et par la démobilisation de la classe travailleuse européenne. Cette orientation a permis que l’idéologie de l’Europe néolibérale imprègne de vastes couches de travailleurs. Mais la crise financière, ainsi que celle de la dette aujourd’hui, ont montré le véritable visage de l’UE néolibérale : un puissant instrument aux mains du grand capital européen pour imposer ses politiques. Ces crises mettent également en difficulté sa principale réalisation, l’Euro, ainsi que l’orientation de la CES par rapport à l’UE réellement existante.

Les élites qui représentent le capital financier européen ont mis en marche des plans concrets pour désamorcer la crise de l’euro : l’union bancaire, l’union budgétaire et l’union compétitive. La consolidation de ce projet signifierait la consécration de l’austérité contre la classe travailleuse ; la priorité absolue au remboursement de la dette au détriment des besoins sociaux et économiques ; le contrôle des budgets, des dépenses publiques et des dettes des Etats par les instances de l’UE ; la spirale sans fin vers le bas des salaires et de nouvelles mesures de flexibilisation du marché du travail pour gagner en compétitivité. Elle supposera un nouveau désastre social pour les pays du sud de l’Europe. L’année 2013 sera ainsi une année cruciale pour la réalisation de ces plans.

Le 14N a montré la force des travailleuses et des travailleurs. Il a également indiqué le chemin qu’il faut suivre : la convergence européenne des résistances contre les coupes, l’austérité et le paiement de la dette illégitime. Suivre ce chemin et s’opposer de manière conséquente aux nouveaux plans des classes dominantes européennes exige que le mouvement syndical européen rompe avec le modèle actuel de l’UE ; une architecture institutionnelle qui approfondit les inégalités, favorise les créanciers et impose l’austérité de manière autoritaire. C’est ce modèle qui stimule le chômage afin d’exercer un chantage sur la classe travailleuse et c’est par lui que s’imposent des sacrifices sans fin contre cette dernière et les classes subalternes. En outre, cette logique néolibérale éloigne sans cesse les possibilités de sortir de la crise.

Le 14N dans l’Etat espagnol a été un succès. Malgré le fait que des chiffres plus que contestables (comme le démontre une étude du collectif « Economistes contre la crise ») sur la consommation électrique indiquent que l’impact fut moindre que le 29 mars dernier, la participation aux manifestations a été bien plus supérieure, avec une présence très importante de jeunes et dans de nombreuses villes elles se rapprochaient en massivité des mobilisations contre la guerre en Irak en 2003.

L’attitude du gouvernement a bien entendu été très différente ; si le 29 mars la police s’était contentée de surveiller les piquets, le 14N la consigne était de les dissoudre. Le nombre de personnes blessées et arrêtées témoigne de la brutalité policière, ainsi que les nombreux témoignages qui circulent sur Internet. Cependant, les pandores du patronat n’ont pas atteints leur objectif : le centre et les rues de nombreuses villes ont vu, dès la matinée, d’authentiques manifestations qui étendaient la grève sur leur passage. Le 14N a une fois de plus démontré la capacité de riposte dont sont encore capables les salariés et la jeunesse.

Les raisons du moindre pourcentage d’impact de la grève par rapport à celle du 26M peuvent être variés : au Pays Basque, le refus de la majorité des syndicats d’appeler à la grève y a considérablement diminué le taux de participation ; la réforme du Code du travail offre au patronat de puissants instruments anti-grève, de sorte que dans le privé, on ne peut plus faire grève aujourd’hui que dans les entreprises où existe un « pouvoir syndical » ; les services minimums abusifs se sont généralisés et sont de facto acceptés par les syndicats majoritaires… La dimension citoyenne de la grève a été très inégale, avec des quartiers et des localités où son incidence sur le petit commerce et les bars à été très significative et d’autres où tout était ouvert.

En dépit de la faiblesse du travail préparatoire, le 14N a malgré tout été un succès. Le Sommet Social (coalition d’organisations syndicales et de mouvements sociaux et associatifs, NdT) s’est une fois de plus montré incapable d’agir comme un espace pouvant élargir et construire la grève en dehors des lieux de travail, parmi les citoyens - à l’honorable exception de l’Union des Acteurs. Les syndicats CCOO et UGT n’ont pas été capables de créer un climat favorable à la grève dans la société. Il y a eu pourtant de nombreux processus de mobilisations et d’indignations qui ont alimenté la flamme de la grève : les suicides dramatiques de personnes expulsées de leur logement ; l’occupation d’hôpitaux et la lutte contre la privatisation de la santé ; la lutte contre les coupes ou la fermeture de nombreuses entreprises publiques…

Le succès du 14N a signifié un nouveau coup asséné à un gouvernement de plus en plus illégitime et il a démontré l’ampleur du rejet social à sa gestion de la crise. Il a également été l’expression d’une force sociale qui ne se résigne pas et qu’il est vital de continuer à alimenter pour riposter aux conséquences du « sauvetage » à venir et de la nouvelle vague de réformes en vue.

Le gouvernement a voulu minimiser son impact, en la présentant comme un échec et un problème d’ordre public ; il a mis en œuvre des mesures anti-grèves actives, en utilisant comme prétexte le « droit au travail » et la préservation de la « normalité citoyenne » et il a alimenté la résignation sociale avec l’aide inestimable de Botin (grand patron espagnol, NdT), affirmant que la politique gouvernementale était la seule possible.

Malgré son usure, son manque de crédibilité croissant et la désaffection de secteurs de plus en vastes de son électorat, le gouvernement du PP ne va pas modifier sa politique. Il ne peut pas le faire du fait de ses engagements avec la Troïka et de ses liens avec le capital financier. Pour en finir avec les coupes, les privatisations, la criminalisation et la répression de la contestation sociale, il faut en finir avec ce gouvernement.

Vaincre le gouvernement du PP et l’austérité exige beaucoup plus que des appels ponctuels à des grèves générales d’un jour qui, isolées des différentes luttes sociales et ne s’intégrant pas dans un plan d’ensemble de mobilisation, courent le risque de se banaliser en arrêts de travail généralisés avec des manifestations l’après midi et de perdre ainsi une grande partie de leur impact. La défaite du gouvernement exige l’élaboration d’un plan à moyen terme de mobilisations déterminées et soutenues, capable d’exercer sur lui une pression insupportable.

Ce plan de lutte devrait reposer sur trois grands axes :

- Une alliance entre le syndicalisme, les mouvements sociaux comme le 15M et le 25S et les organisations politiques et sociales opposées à l’austérité, afin de constituer un bloc qui organise et élargisse de manière unitaire la mobilisation.

- Un programme de revendications d’urgence sociale, avec des objectifs qui vont à la racine des problèmes :

1. Audit citoyen de la dette et annulation de la dette illégitime.
2. Abrogation des réformes du code du travail, des pensions, des coupes et des privatisations. Revalorisation des salaires, des droits, des prestations et des services publics.
3. Expropriation sans indemnisation des banques sauvées ou ayant reçues des aides de l’Etat et mobilisation des ressources pour les services publics et la création d’emplois écologiquement soutenables. Initier un processus mettant toutes les banques sous contrôle public et social.
4. Suspension préventive de toutes les expulsions de logement. Dérogation de la loi sur les expulsions de 1909. Dation en paiement rétroactif. Plan de logements à loyers sociaux en utilisant le stock de logements vides des banques nationalisées.
5. Réforme fiscale pour combattre la fraude et pour faire retomber la charge fiscale sur le capital.

- Un plan de mobilisation qui devrait combiner un ensemble d’actions : grèves sectorielles tournantes dans des secteurs stratégiques, comme les transports, les finances, les usines, l’énergie ou les télécommunications ; occupations d’installations et enfermement dans les services publics aux personnes, comme la santé et l’enseignement ; grèves générales de plus de 24 heures, pour unifier les différentes mobilisations. Et tous cela avec le souci permanent d’incorporer l’ensemble de la population à la lutte.

Cette mobilisation soutenue doit commencer avec l’extension et le soutien à la lutte menée dans le secteur de la santé de la Communauté madrilène. Comme dans le cas de l’enseignement, la nouvelle phase de privatisation de la santé publique commence à Madrid. C’est de l’issue de ce conflit, de l’extension du rejet social à cette nouvelle vague de privatisation que dépendra la possibilité de freiner de manière net ces dernières. Dans le cas contraire, on assistera à l’exportation de ce modèle de privatisation dans les secteurs publics des autres régions autonomes. L’enjeu de ce combat est donc décisif. Le soutenir et l’appuyer est la tâche de toutes et tous.

21 novembre 2012
www.anticapitalistas.org
Traduction française pour Avanti4.be




Antonio Valledor

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Etat Espagnol - Page 19 Empty A la veille du référendum en Catalogne

Message  Roseau Dim 25 Nov - 0:22

Artur aux mains d’argent ou le recul des droits politiques et sociaux en Catalogne
par Esther Vivas
http://www.npa2009.org/content/artur-aux-mains-d%E2%80%99argent-ou-le-recul-des-droits-politiques-et-sociaux-en-catalogne
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Etat Espagnol - Page 19 Empty Catalogne: questions et réponses sur l'indépendanc

Message  Antonio Valledor Lun 26 Nov - 13:47

Catalogne : Questions et réponses sur l’indépendance:

http://www.avanti4.be/analyses/article/catalogne-questions#.ULNWv1smUX4

Antonio Valledor

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Etat Espagnol - Page 19 Empty La voluntad de un pueblo… que no se deja manipular

Message  Roseau Lun 26 Nov - 16:01

Josep Maria Antentas
http://www.anticapitalistas.org/25N-La-voluntad-de-un-pueblo-que
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Etat Espagnol - Page 19 Empty Dossier utile Catalogne

Message  Roseau Mer 28 Nov - 18:21

Sur site NPA 34
http://npaherault.blogspot.fr/2012/11/etat-espagnol-lindependance-un-droit.html

Sur les résultats des élections Antoine (NPA 34) précise lors d'un débat intéressant dans BC

ICV-EUiA qui, d’une façon ou d’une autre se rattache à IU (sorte de Front de gauche à l’espagnole), a progressé en voix mais sans que cela soit très marquant. L’important c’est de cerner la démarche droitière de cette organisation qui s’est alliée au PSC à l’époque du Tripartito et s’est complètement alignée sur l’orientation gestionnaire des socialistes. Saurà, leur ministre à l’Intérieur, ne s’était pas distingué par une politique de gauche sur son propre terrain !

Alors que déjà, sur le mode Front de gauche, un coup avec, un coup contre mais à l’arrivée "tout contre", IU vire très à droite (cf sa participation au gouvernement austéritaire avec le PSOE andalou !), ICV-EUiA cultive son autonomie "moderniste et ouverte" en gardant le cap d’une alliance structurelle avec le PSC. Rapprochement que l’option fédérale du second ne peut qu’accentuer ! Donc, AC peut ironiser (gentiment) sur la faiblesse des "trotskystes" catalans, elle ne doit pas occulter la faiblesse politique d’ICV-EUiA si, du moins, comme Richard et AC, on se place sur le terrain de la construction d’une radicalité de rupture et d’alternative.

Tout rapprochement avec un PSOE ou un PSC ne peut être interprété que comme le signe d’un opportunisme politique qui mène inéluctablement à des impasses comme l’Etat espagnol en a connues depuis la foutue Transition dite démocratique. Une Transition qui est la clé pour comprendre l’affaiblissement du mouvement ouvrier et, en son sein, d’un courant trotskyste (LCR-ETA VI) qui avait réussi à se construire de manière assez significative. Une Transition dans laquelle le PCE et, par continuité politique, divers dirigeants d’IU, ont une responsabilité écrasante !

Ce qui est le plus prometteur dans ces élections catalanes reste, AC en parle, l’émergence de la CUP-Alternative de gauche dont les camarades espagnols d’IA écrivent (désolé c’est en espagnol) :

"La irrupción de la CUP-Alternativa d’Esquerres, que los y las anticapitalistas debemos celebrar, es la gran novedad dentro del panorama de la izquierda. Nunca hasta ahora una fuerza de izquierdas situada al margen de los partidos tradicionales y con un programa de ruptura había conseguido un éxito comparable. La CUP-AE ha llegado al Parlamento con una campaña con un marcado perfil rupturista anticapitalista y democrático radical y con un amplio abanico de soportes que van mucho más allá de la izquierda independentista, que han incluido a la izquierda anticapitalista organizada, al municipalismo alternativo y a muchos sectores de la izquierda social. El gran reto ahora es gestionar colectivamente este éxito. Por primera vez muchos activistas sociales se han comprometido con una alternativa política. Se trata de que este no sea un compromiso efímero sino el inicio de un amplio proceso de repolitización social y de organización. La voluntad declarada de hacer de "caballo de Troya" de las clases populares en el Parlamento debe regir la labor parlamentaria de la CUP-AE y debe permitir visibilizar la posibilidad de hacer política de otra manera, desprofesionalizada y en sintonía con los movimientos sociales.

El gran reto de fondo de la izquierda catalana es construir una fuerza que pueda llegar a ser mayoritaria en la sociedad y derrotar las fuerzas de la austeridad que nos ahogan día a día. Esta alternativa sólo será fruto de la confluencia de muchas organizaciones y voluntades, en un proceso del que estamos justo al principio. La crisis provoca una creciente pérdida de legitimidad del sistema político y de las grandes formaciones políticas. Hay que profundizar esta dinámica y hacer estallar el actual sistema de partidos."
Source: http://bellaciao.org/fr/spip.php?article131818#forum490387
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Etat Espagnol - Page 19 Empty Evolution des salaires

Message  Roseau Jeu 29 Nov - 2:11

Avec données graphiques
http://alencontre.org/europe/espagne/espagne-vue-retrospective-sur-levolution-des-salaires.html
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Etat Espagnol - Page 19 Empty Re: Etat Espagnol

Message  Vals Jeu 29 Nov - 23:47

Espagne : les élections catalanes - Nationalisme, indépendance, un leurre pour les travailleurs


En Catalogne, les élections anticipées qui ont eu lieu dimanche 25 novembre avaient été décidées par l'ancien président de la Généralité, Arturo Mas, leader du parti nationaliste de droite CIU (Convergence et Union). En jouant sur la corde de l'indépendance totale, dans cette région dont l'histoire a été marquée par de nombreux conflits politiques, économiques et culturels avec le pouvoir central de Madrid, Arturo Mas espérait dévier vers des revendications indépendantistes le mécontentement suscité par sa politique antiouvrière et les mesures d'austérité prises au niveau régional. Il espérait que sa surenchère lui vaudrait un succès électoral.

La politique et la propagande du numéro un de CIU a consisté à rendre le gouvernement central, symbolisé par Madrid, responsable de tous les maux. En exigeant une trop grosse part des rentrées fiscales, Madrid étranglerait l'économie catalane, contrainte de recourir à toutes les mesures d'austérité. Eh bien, l'argumentation n'a pas convaincu l'électorat de droite, ni attiré non plus celui des classes populaires. Toute la mise en scène marquée par l'immense manifestation de la Diada, la fête nationale de la Catalogne du 11 septembre, au cours de laquelle Mas s'est efforcé d'apparaître comme un sauveur, n'a pas donné le change.

En effet, si au lendemain des élections du 25 novembre le parti de Mas reste le parti majoritaire, il n'a pas la majorité absolue convoitée, et perd 200 000 voix, dont certaines sont allées vers le parti populaire de Mariano Rajoy, qui gagne 75 000 voix. Le parti dit centriste, Ciudadans, gagne aussi des voix. Au total, le score global des partis de droite progresse. D'autres voix perdues par CIU sont allées en majorité à Esquerra republicana (la Gauche républicaine catalane) qui apparaît comme le principal gagnant. Ce parti, aux couleurs de gauche mais avant tout indépendantiste, a participé avec CIU au gouvernement régional dans un passé récent.

Sur la gauche, le parti perdant est le Parti socialiste de Catalogne, qui continue de payer les déceptions de l'époque du socialiste Zapatero. Deuxième en voix, il passe en effet de 28 à 20 députés. Une partie de son électorat est allée vers la coalition Izquierda unida-les Verts, qui gagne quelque 120 000 voix et obtient 13 députés. Quant à la CUP, parti qui se définit comme anticapitaliste et indépendantiste et est soutenu par un groupe catalan lié au NPA, elle fait son entrée au Parlement avec 3 députés.

Même si on peut constater qu'Arturo Mas et son équipe réactionnaire se sont tiré une balle dans le pied, Il reste que ces élections marquent un renforcement de la droite. Mais le plus grave est que toute la campagne et tous les commentaires contribuent à faire du débat sur l'indépendance ou le fédéralisme le débat central dans cette région d'Espagne, industrialisée et en pleine crise, mais où dans le passé les luttes ouvrières ont fortement marqué la vie sociale.

Face aux attaques en règle qui le visent, le monde ouvrier aurait besoin de coordonner ses luttes dans toutes les régions d'Espagne, en clamant bien fort que les travailleurs de Catalogne, d'Andalousie, de Madrid ou de Valence ont les mêmes intérêts. Ces élections ont été une sinistre farce qui en prépare d'autres, car tous les partis vont sans doute jouer le jeu de la préparation d'un référendum sur l'avenir de la Catalogne. C'est brandir un miroir aux alouettes destiné à tromper les classes populaires.

La réalité, c'est que l'économie est aux mains des banquiers d'Espagne, d'Europe et au-delà. L'indépendance d'une région est un leurre et un piège, qui ne peut qu'intéresser les politiciens locaux et une partie de la bourgeoisie locale, mais pas les travailleurs. Le chômage, la baisse du pouvoir d'achat, les attaques contre les services publics n'ont pour responsable que la bourgeoisie, qu'elle soit espagnole, catalane ou européenne.


La bourgeoisie entend bien continuer à faire payer aux travailleurs la crise dont elle est responsable. Les travailleurs n'ont pas d'autre moyen de se défendre que d'engager une lutte d'ensemble face à cette offensive, pour ses intérêts qui sont les mêmes, quels que soient la région ou le pays.

Hélène GRILLET



Lutte Ouvrière 30 novembre 2012
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Etat Espagnol - Page 19 Empty Droit à l’autodétermination du peuple catalan !

Message  Roseau Mar 11 Déc - 15:50

Source: TEAN

Au lendemain des élections pour le parlement catalan, entretien avec Josep Maria Antentas, professeur de sociologie à l’université autonome de Barcelone et membre de la direction d’Izquierda Anticapitalista (État espagnol).

Comment analyses-tu les résultats des élections en Catalogne ?

La nuit du 25 novembre n’a pas été la nuit dont Artur Mas et son parti CIU (Convergence et unité, centre-droit) rêvaient. La mobilisation du 11 septembre dernier – presque 2 millions de personnes dans les rues de Barcelone – a débordé la perspective de CIU. Ils n’ont donc pas obtenu les résultats escomptés car beaucoup d’électeurs ont voté pour l’ERC (centre-gauche indépendantiste), grande gagnante du jour avec 496 000 votes (13, 68 %) et 21 députés. Le CIU n’a pas réussi à faire oublier à une large partie de l’électorat qu’il est le parti de l’austérité au service du capital financier.
La mobilisation remarquable du vote pro-espagnol, visible surtout à travers la montée de Ciutadans (parti de centre-gauche espagnoliste), qui multiplie par trois ses sièges, est une autre donnée importante. Le PP (Parti populaire, droite) parvient à éviter de perdre des soutiens suite aux coupes sombres dans les budgets de Rajoy et à augmenter ses résultats, passant de 387 066 voix (12, 3 %) et 18 sièges à 471 197 (13 %) et 19 députés.
La crise use le système de partis traditionnels et les deux grands partis de la politique catalane, CIU et PSC (Parti des socialistes de Catalogne) ne rassemblent que 45 % des voix, alors qu’ils faisaient 56, 8 % en 2010 et 75 % en 1999.

Quels sont les résultats de la gauche ?

Le PSC continue sur sa pente descendante. Bien que ses dirigeants aient craint un scénario encore pire, ses maigres 523 000 voix (14, 6 %) transforment l’ombre de plus en plus allongée du PASOK grec en un cauchemar. Déchiré entre les tensions de son secteur le plus catalaniste et celui davantage lié au PS, il manque d’une perspective crédible au niveau national qui vient s’ajouter à son manque de crédibilité en tant qu’alternative de gauche.
ICV-EUIA (Les Verts-Gauche Unie, 858 857 voix, 9, 9 %) va jusqu’à obtenir 13 députés (contre 10 auparavant), une progression qui, si elle est importante, ne suppose pas pour autant un changement qualitatif, après une campagne assez light, avec un discours qui s’aventure à peine à défendre les « politiques sociales ».
La grande nouveauté, c’est l’irruption de la CUP-Alternativa d’Esquerres (Candidature unité populaire-alternative de gauche), dont les 126 219 voix (3, 48 %) lui ont valu 3 députés. Né comme l’instrument politique de la gauche indépendantiste, la CUP arrive au Parlement catalan avec le soutien électoral et militant de la gauche anticapitaliste organisée, des courants communaux alternatifs et de larges secteurs de la gauche sociale étrangers à l’indépendantisme. Pour la première fois, une formation de gauche étrangère aux consensus de la Transition fait son entrée au Parlement.

Comment IA (Izquierda Anticapitalista) se définit-elle par rapport à la question de l’indépendance ? Celle-ci n’est-elle pas un instrument de division ?

Nous défendons le droit à l’autodétermination du peuple catalan et la constitution d’une République catalane qui puisse décider librement des liens qu’elle entend avoir avec le reste des peuples qui font partie aujourd’hui de l’État espagnol et de l’Europe. Nous considérons qu’il est très important de forcer le gouvernement catalan à appeler à un référendum le plus vite possible, afin qu’un acte de souveraineté du peuple catalan ne serve pas uniquement à obtenir des libertés nationales pour la Catalogne, mais aussi à provoquer dans tout l’État une crise et une rupture démocratique avec le régime né en 1978.
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Message  Copas Mar 11 Déc - 21:48

Suivre le très gros mouvement dans les hôpitaux de la région de Madrid contre la privatisation de la santé avec des taux de participation énormes aux mouvements de grève (symbolique en partie car les soins sont assurés) .

Par dizaines de milliers dans les manifs.
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Message  Roseau Mar 11 Déc - 23:26

Copas a écrit:Suivre le très gros mouvement dans les hôpitaux de la région de Madrid contre la privatisation de la santé avec des taux de participation énormes aux mouvements de grève (symbolique en partie car les soins sont assurés) .

Par dizaines de milliers dans les manifs.

Et une grande mobilisation dimanche prochain !
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Etat Espagnol - Page 19 Empty " Crise, Inegalite et Pauvrete "

Message  Roseau Ven 14 Déc - 22:21

Rapport INTERMON OXFAM et autres ONG espagnoles,
presente hier, sur les consequences futures des politiques de destruction du tissu social.
Horizon 2022, une estimation de 18 millons en situation d’ exclusion sociale en Espagne...
http://www.intermonoxfam.org/sites/default/files/documentos/files/Informe_IO_Crisis_desigualdad_y_pobreza
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Message  Roseau Lun 17 Déc - 16:52

MADRID, 16 déc 2012 (AFP)
Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté dimanche à Madrid pour protester contre les coupes dans le budget de la santé publique décidées par le gouvernement régional conservateur et la privatisation prévue de plusieurs hôpitaux et dispensaires de la région.

"Nous ne comprenons pas qu'ils veulent privatiser un centre qui est rentable, qui a obtenu des prix de la meilleure gestion. Nous ne voulons pas que cette rentabilité serve à d'autres", a déclaré à l'AFP Silvia Garcia, un médecin âgé de 33 ans de l'Hôpital del Henares, l'un des six établissements que le gouvernement régional veut privatiser.

Comme elle, des médecins, des infirmiers et des usagers de la santé publique ont formé quatre défilés à partir de plusieurs hôpitaux de la capitale espagnole avant de se rejoindre sur la place de Cibeles, dans le centre, et de se diriger ensemble jusqu'à la célèbre Puerta del Sol, où les manifestants ont lu un communiqué et observé une minute de silence.

"Ceci n'est pas la seule cause des syndicats ou des organisations, c'est une mobilisation de tous", a estimé Carolina, une infirmière âgée de 33 ans, de l'hôpital de la Croix-Rouge, après avoir recueilli des signatures en faveur de la défense de la santé publique.

"Il n'est pas certain que le secteur privé dans le domaine de la santé soit moins onéreux que le secteur public", ont affirmé des manifestants, ajoutant que "les hôpitaux qu'ils veulent privatiser sont justement les plus rentables".

A proximité, les manifestants scandaient "Santé publique" ou "rien, rien, rien pour le privé", tout en brandissant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire "La santé on ne la vend pas, on la défend", ou "Ils te volent ta santé".

Portant pour nombre d'entre eux leurs blouses blanches de travail ou des chemises de même couleur sur lesquelles était inscrit "la santé publique de tous, pour tous", les manifestants dénonçaient l'intention du gouvernement régional de Madrid de privatiser six hôpitaux et 27 dispensaires de la région dans le but d'économiser plus 500 millions d'euros.

Ces économies s'ajoutent à celles déjà annoncées par le gouvernement espagnol, lui aussi conservateur.

Engagé dans une cure historique de rigueur, le gouvernement de Mariano Rajoy entend économiser sept milliards d'euros par an dans le domaine de la santé, un effort qui se répercute sur les finances des régions, chargées de ce lourd budget.

Cette protestation fait suite à une série de manifestations des médecins et des infirmiers madrilènes ces dernières semaines pour protester contre le projet du gouvernement régional, accompagnées de mouvements de grève dans certains établissements hospitaliers.
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Message  Roseau Mar 18 Déc - 18:08

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Message  Copas Mar 18 Déc - 21:30

Déjà 3 semaines d'AG, de combats et de grèves dans le secteur de la santé de la région de Madrid.
Très gros, massif.





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Message  Roseau Mar 25 Déc - 16:16

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Message  Roseau Mer 26 Déc - 15:31

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Etat Espagnol - Page 19 Empty Entrevista con Esther Vivas y Josep Maria Antentas

Message  Roseau Ven 28 Déc - 20:32

Sur leur livre "Planeta indignado"
Video
http://www.anticapitalistas.org/spip.php?article27809
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Etat Espagnol - Page 19 Empty Mouvement d'occupation à Séville

Message  Roseau Sam 5 Jan - 19:22

En espagnol
http://www.anticapitalistas.org/spip.php?article27822
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Message  Roseau Dim 6 Jan - 22:12

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Message  sylvestre Mer 9 Jan - 18:39

http://www.hispanioo.com/billets/les-serruriers-de-pampelune-font-de-la-resistance

Les serruriers de Pampelune font de la résistance

Catégorie:

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Leur rôle est indispensable dans les expulsions, mais à Pampelune les serruriers ne veulent plus être complices de l'application d'une "loi injuste" qui jette des familles hors de chez elles en leur laissant leurs dettes immobilières. Constitués en Assemblée des Professionnels de Serrurerie le 14 décembre, ils ont fait savoir qu'ils n'interviendraient plus pour des expulsions liées au défaut de remboursement de crédit immobilier.  

Ils sont appelés pour changer les serrures après une expulsion, afin que la famille délogée ne puisse pas réoccuper ce qui était son logis. Parfois, ils doivent aussi ouvrir la porte pour permettre l'évacuation des lieux. A raison de près de cinquante mille expulsions pour les trois premiers trimestres 2012 - plus de 180 par jour! -, cet aspect de leur activité se développe fortement. En Navarre, les sept cents expulsions recensées par la Plateforme des victimes des crédits immobiliers cette année ont généré près de 10% du chiffre d'affaires des serruriers.

Pourtant, ils ne veulent pas manger de ce pain-là. Rencontrer les familles qu'ils contribuent à laisser à la rue a marqué psychologiquement plus d'un serrurier, et les quinze entreprises et indépendants de Pampelune ont décidé de cesser de collaborer avec les huissiers, qui devront faire appel à des professionnels extérieurs à la ville. Depuis le 14 décembre, aucune expulsion n'a eu lieu dans la capitale navarre, mais les banques ont décrété une sorte de trêve informelle pour la période des fêtes - il n'existe pas en Espagne de trêve hivernale durant laquelle les expulsions seraient interdites, comme c'est le cas en France.

Les serruriers de Pampelune cherchent maintenant à rallier à leur résistance passive d'autres professions liées aux exécutions de justice, tels les huissiers, les secrétaires, les juges et les policiers. Au niveau national, l'Union des Serruriers de Sécurité, qui regroupe trois cents entreprises, refuse de participer à des expulsions d'une "extrême gravité", c'est-à-dire lorsque la famille n'a nulle part où aller.

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Message  Roseau Ven 1 Fév - 16:16

Face au nouveau scandale de corruption du PP :
Démission du gouvernement !
A bas le régime de 1978 !

http://www.avanti4.be/actualite/article/etat-espagnol-face
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