Re: Luttes du secteur de la Santé de par le monde

[Copas]

Espagnes

Marée blanche en Espagne,
Une mobilisation historique des travailleurs de la Santé dans beaucoup de villes,
de gros cortèges, voir très gros.
Contre la privatisation de la santé, contre la casse de la santé publique, sauver les hôpitaux des banques, la santé publique ne se vend pas elle se défend,

Une seule voix et des grosses AG pour préparer


Préparée par des batailles dans une série d'hôpitaux, ci-dessous :





Et Dimanche,
Le cortège d'un des hôpitaux de Madrid, Hospital Infanta Cristina :


Manif de madrid :





Barcelone

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Nouvelle vague de mobilisation contre la privatisation de la santé en Espagne, par dizaines de milliers à Madrid

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Midi-Pyrénées, les catégories C montrent le bout du nez (ASH-ASI-Administratifs, etc)

Les travailleur(se)s pauvres de la santé se rebellent contre la smicardisation
Une petite mobilisation mais un potentiel indéniable de spontanéité et de combativité
Le salaire demeure un élément important de tension qui croit malgré le chômage dans un environnement de troubles musculo-squelettiques de plus en plus grands.
Les établissements de santé font une boucherie de plus en plus importante avec la santé des travailleurs de la santé.
Salaires, conditions de travail, santé au travail, mépris, horaires, retraite, etc, les casseurs de Sarko ont été remplacés par les casseurs de Hollande.



Déjà fin novembre,
Explications :


à l'hôpital il y a trop de travail ! A l''extérieur il y a trop de chômeurs ! em-bau-chez !

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Manifestazione in difesa dell'ospedale Valdese di Torino che la giunta regionale vuole chiudere
En France, en Italie, en Espagne, en Grèce, au Portugal, en Allemagne, en Grande-Bretagne, en Irlande, etc, les casseurs de la santé et ceux qui s'en prennent aux travailleurs de la santé suscitent des réactions fortes.

Près de Turin , contre la fermeture d'un hôpital :

IN DIFESA DELL'OSPEDALE DI CARAGLIO
Province de Cuneo

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Espagne, région de Madrid

90% des travailleurs des hôpitaux de Madrid en grève contre la privatisation :

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Nous n'avons plus rien à perdre !

Une situation explosive parsemée d'agressions policières, contre la liquidation de travailleurs de la santé .

2 Infirmières, déléguées syndicales, Graziella (délégué USI) et Daniela (délégué USB), se sont installées sur le toit de l'Hôpital San Raffaele à Milan pour empêcher 244 licenciements sur l'hôpital.

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kerala
Les infirmières et infirmiers de plusieurs dizaines d’hôpitaux privés et coopératifs observent des mouvements de grève illimitée pour les salaires, la sécurité sociale et la question des plannings; tout en assurant la gestion des urgences.
15 000 infirmières sont mobilisées.

La maternité de Thrissur



Une chanson traditionnelle en soutien à la lutte des infirmières

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Italie le secteur de la santé pricvée en grève suite à l'accord de la honte entre les patrons et l'UIL, la CISL qui aboutit a faire travailler 2 heures de plus les travailleurs pour le même salaire.

Espagne
Déjà 3 semaines d'AG, de combats et de grèves dans le secteur de la santé de la région de Madrid.
Très gros, massif.

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Kenya

le mouvement de grève massif des infirmières au Kenya s'étend et des dirigeants du syndicat considéré comme illégal ont été arrêtés.

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Burundi

2 semaines après le début de la grève des infirmières, la police est intervenue dans les hôpitaux pour chasser les infirmières et les soignants en grève qui assuraient la permanence des soins. La situation dégénère.

Encerclement, arrestation, renvoi et suspension du service minimum dans différents hôpitaux du pays



La police a enfermé les infirmiers du centre neuro-psychiatrique de Kamenge ce vendredi matin. Et le policier qui dirigeait l’opération à l’hôpital Roi Khaled a donné l’ordre au président du SYNAPA à cet hôpital de dire à ses collègues de rentrer chez eux.

A la clinique Prince Louis Rwagasore, dix policiers environ ont encerclé cette enceinte sanitaire ce matin. Mais le service minimum s’effectue sur cet hôpital. Les infirmiers en grève se demandent pourquoi la police était là alors qu’ils disent mener leur mouvement de grève pacifiquement.

A l’hôpital Muyinga, le service minimum a été suspendu depuis hier. Le personnel membre du syndicat SYNAPA a été dispersé par les policiers. Et cette situation s’ajoute à l’arrestation de 2 leaders du SYNAPA à Muyinga. Ces infirmiers disent que la reprise du service sera conditionnée par la libération de leur représentant. Le directeur de l’hôpital de Muyinga dit que ces 2 leaders du SYNAPA ont été arrêtés parce qu’ils avaient caché les clés des bureaux où sont conservés les médicaments.

A Ngozi, les infirmiers de différents hôpitaux disent que leurs activités ont été perturbées par les policiers depuis ce jeudi. Le service minimum n’étant plus assurée, certains infirmiers disent qu’ils ont été blessés et d’autres brutalisés. Le directeur de l’hôpital de Mbuye dit ne pas être au courant des dégâts car il n’a pas encore organisé une réunion de son personnel.

A Cibitoke, le service minimum n’est pas aussi assuré dans différents hôpitaux et même à Mabayi où certains infirmiers travaillaient ce vendredi matin. Ce service a été suspendu dans l’avant-midi.

Le Sénat a demandé au gouvernement d’entamer le dialogue avec les syndicalistes en grève. Demande acceptée par la ministre de la Fonction publique. Mais le sénat a exigé des sanctions contre les travailleurs si la grève ne cesse pas.

La décision du gouvernement de chasser les infirmiers en grève sur les lieux de travail doit être suspendue dans les plus brefs délais pour Moise Ntiburuburyo, président de l’Association Burundaise pour la Défense des Droits des Malades « ABDDM », cette décision ne fait qu’ajouter le drame au drame.

La confédération des syndicats du Burundi « COSYBU » a dit que le président de la République devrait revenir sur sa décision interdisant les infirmiers en grève de se présenter à leur lieu de prestation. .

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Tunisie
Grève du secteur de la santé à Jendouba



les agents revendiquent l'amélioration des conditions de travail et la reconnaissance du droit à l'activité syndicale.

La grève sectorielle du secteur de la Santé du gouvernorat de Jendouba se poursuit toujours engendrant la fermeture des hôpitaux et établissements sanitaires exceptés les services d’urgences. Aujourd’hui jeudi 20 décembre 2012 les ouvriers de ces établissements sont à leur tour, entrés en grève et les agents de la santé soutiennent à leur tour ce mouvement protestataire.

Le syndicat relevant du secteur de la santé a affirmé que le travail reprendra normalement à partir de demain vendredi 21 décembre 2012 en attendant "la proclamation" d’une nouvelle grève allant jusqu’à une semaine.

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Quebec
2500 ambulanciers paramédicaux en grève illimitée

Les 2 500 ambulanciers paramédicaux affiliés à la CSN sont en grève générale illimitée depuis lundi à 18 heures. Cependant, les services essentiels tels que les transports d'urgence seront assurés. Il y aura ainsi peu d'impact pour la population.

Durant la grève, les ambulanciers paramédicaux n'encadreront pas les stagiaires et n'escorteront pas le personnel médical à son poste d'origine.

La partie patronale a rompu les négociations dimanche à 15 h. Selon les représentants syndicaux, les porte-parole patronaux n'avaient aucun mandat en main pour régler la convention collective des paramédicaux, qui est échue depuis le mois de mars 2010.
Réjean Leclerc Réjean Leclerc, président du Syndicat préhospitalier CSN

Le syndicat des ambulanciers réclame une amélioration de leur régime de retraite, la réduction du nombre d'échelons salariaux, des réaménagements à leur période de probation et l'abolition de certains frais qu'on leur réclame (frais de caserne).

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Israel
Un « accord historique » met fin à la grève des infirmiers

Après plus de 7 heures de discussions les parties (représentants des infirmières et du Trésor) ont conclu un accord pour mettre un termes à 2 semaines et demi de grève.

L’accord ne concerne que la période des 4,5 ans passés pour un « super bonus » de 1600 shekels. En outre, un accord sur le temps de travail a été trouvé.
Un mouvement important

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Suisse
Neuchatel
La grève se poursuit à la Providence




Les garanties données par le Conseil d'Etat neuchâtelois dans le cadre de la reprise de l'hôpital de la Providence par le groupe Genolier sont insatisfaisantes. Les syndicats veulent des engagements fermes. Les grévistes ne devront pas être sanctionnés.

Les grévistes de la Providence sont loin d'être satisfaits par les réponses données mercredi par le Conseil d'Etat neuchâtelois. Réunis jeudi matin, ils ont décidé de poursuivre le mouvement en tout cas jusqu'en janvier.
Après 25 jours, la grève se poursuit. "Le groupe Genolier n'a donné aucune garantie écrite au Conseil d'Etat, ni sur le fait qu'il renonce à licencier le personnel, ni sur le délai de protection des employés", a expliqué à la presse Yves Mugny, secrétaire central du syndicat SSP.

Le personnel en grève - 13 selon la Providence, entre 25 et 30 selon les grévistes - maintient ses revendications: que la CCT Santé 21 soit appliquée au-delà de 2013, que le groupe Genolier garantisse les emplois de l'ensemble des employés, qu'il renonce à externaliser des services et qu'il ne pratique aucune sanction à l'égard des grévistes.

Les grévistes comptent sur leurs relais au Grand Conseil pour qu'ils inscrivent dans la loi l'obligation d'appliquer la CCT dans le domaine de la santé. Lors de la session de janvier du parlement, ils espèrent aussi que les députés exigent le maintien des conditions actuelles de travail en échange du versement de trois millions de francs, promis par l’Etat à l’institution pour 2012.

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Burundi,
Le mouvement de grève générale illimitée des infirmières et aide-soignante suspendu

Les infirmières sous les coups des interventions policières dans les hôpitaux et les menaces du régime ont appelé à suspendre le mouvement.

On se souvient des agressions policières contre les hôpitaux pour menacer le mouvement de grève des infirmières qui durait depuis le 3 décembre.

Le Conseil du Syndicat National du Personnel Paramédical et des Aide-soignant (SYNAPA) a décidé samedi de suspendre pour trois semaines ce mouvement de grève pour entamer des négociations avec le gouvernement.

Le régime avait déclaré illégal ce mouvement qui essayait de faire appliquer les accords conclus en 2009 par le gouvernement. Ce gouvernement pris en flagrant délit de parjure et de non respect de ses engagements a sorti le gros bâton pour intimider les travailleuses de la santé.

Les accords de 2009 prévoyaient une indemnité d'éloignement, un fond de garantie pour l'acquisition des crédits et l'accès à la faculté de médecine de l'Université du Burundi pour les meilleurs lauréats des écoles paramédicales.

Il convient à ce propos de faire un apparté sur la question de la possibilité pour des infirmières de poursuivre leur cursus de formation pour être docteur :
Dans de nombreux états du monde, il existe deux filières distinctes pour former des infirmières et des docteurs, comme si on voulait conserver une relation hiérarchique intangible entre les deux professions. La question du passage de l'un à l'autre, souvent très sexuée est en général parsemée d'embuches et d'obstacles rendant quasiment impossible de passer d'infirmière à docteur.

Cela permet dans un grand nombre de pays que des différences abyssales se fassent entre les deux professions et que des relations de subordination grotesques et grossières exagèrent la distance entre deux fonctions techniques distinctes.

Quand les infirmières du Burundi réclament l'accès, pour les plus "méritantes" d'entre elles, à la faculté de médecine elles s'attaquent de fait à un système de hiérarchisation violent, machiste et exagéré, elles s'attaquent à un très gros morceau que tous les progressistes dans le monde de la santé souhaitent voir sauter et qu'on reconnaisse enfin que la profession d’infirmière devrait permettre d’accéder à la profession de médecin.
Là c'est sur un petit aspect de cette question que le mouvement au Burundi est renvoyé dans les cordes, entre autres revendications.

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Kenya
La terrible répression contre le mouvement de grève des infirmières : 25 000 infirmières licenciées

Le gouvernement kényan a annoncé jeudi le licenciement de 25.000 infirmières du secteur public en grève depuis une semaine pour exiger une revalorisation de leurs conditions salariales.

"La décision de licencier les 25.000 infirmières a été prise car le gouvernement ne pouvait pas rester plus longtemps les bras croisés à voir les Kényans souffrir dans les hôpitaux sans recevoir d’aide médicale, parce que les infirmières et d’autres catégories du personnel sont en grève", a justifié devant la presse le porte-parole du gouvernement, Alfred Mutua.

"A l’heure où nous parlons, le nom des 25.000 infirmières en grève a été retirée de la liste des fonctionnaires. Elles ne sont plus employées par le gouvernement", a-t-il ajouté.

Les infirmières observaient une grève depuis jeudi dernier en accusant le gouvernement de n’avoir pas appliqué des revalorisations salariales promises plus tôt.

Le gouvernement kényan avait menacé mercredi de licencier les infirmières qui refuseraient de reprendre le travail. La grève a eu des conséquences très lourdes sur le fonctionnement des hôpitaux du secteur public, parfois obligés de renvoyer des patients chez eux. Les Kényans qui en ont les moyens se rendent quant à eux dans des cliniques privées, au niveau généralement bien supérieur à celui des établissements publics.

Les infirmières ont décidé de ne pas plier .
lIl n'y aura pas de services médicaux dans les hôpitaux publics jusqu'à l'année prochaine.




La solidarité avec les infirmières kényanes s'impose.

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Algérie,
La grève des para-médicaux



Les paramédicaux ont mené une grève de trois jours la semaine dernière. D’après Lounis Ghachi, président du Syndicat algérien des paramédicaux (SAP), le taux de suivi de ce débrayage est estimé à 90% à l’échelle nationale. Un service minimum est tout de même assuré. Durant la matinée d’hier, les paramédicaux avaient tenu des sit-in au niveau des hôpitaux.



Dans la capitale, «la grève a été suivie à 99%», déclare M. Ghachi. Bien qu’un service minimum soit assuré au centre de soins de proximité de Mohammadia, l’effectif paramédical a répondu favorablement à cette grève. Les infirmiers portent tous des brassards sur lesquels est écrit : «Nous sommes en grève.» En plus des revendications socioprofessionnelles, les infirmiers dénoncent le manque flagrant de médicaments. «J’ai acheté des compresses stérilisées. Avant d’aller changer le pansement dans ce centre de soins (Mohammadia).Quand l’infirmière a terminé de nettoyer ma plaie, elle m’a demandé si j’avais acheté aussi le sparadrap», témoigne une citoyenne habitant les Bananiers.

Et de poursuivre : «L’infirmière s’est procuré du sparadrap chez une autre malade ayant subi récemment une intervention chirurgicale et qui se soigne régulièrement au niveau de ce centre médical», révèle notre interlocutrice.

Même constat au niveau de la polyclinique Bouchenafa à Belcourt. Pas de médicaments, pas d’instruments permettant de prodiguer les premiers soins. Les infirmiers se retrouvent seuls à gérer la colère des citoyens qui n’arrivent pas à admettre que les centres médicaux manquent de médicaments.



A présent, «même le versement des salaires accuse un retard. On n’a rien compris. Il y a des administrations qui disent qu’elles n’ont pas de budget. Cela n’est jamais arrivé dans les annales du secteur de la santé», regrette M. Ghachi. «Nous demandons l’ouverture d’un vrai dialogue», répète-t-il. Le conseil national extraordinaire est attendu pour la mi-janvier. S’il n’y a pas de réponse favorable, les paramédicaux opteront pour une grève cyclique, pour rappel, ils représentent 50% des effectifs des hôpitaux.

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Tunisie


Grève générale des agents de la santé publique à Gabès


Les agents de la santé publique à Gabès, affiliés à l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT) ont observé jeudi, une grève générale dans les différents établissements hospitaliers dans la région, pour protester contre la non satisfaction des revendications présentées dans la motion générale du 4 décembre dernier et l’échec des négociations.

Le texte de la motion, dont une copie est parvenue au correspondant de l’agence tap dans la région, comporte 13 points qui portent essentiellement sur le renforcement du budget de l’hopital régional de Gabès et des hopitaux locaux et le recrutement d’agents de la santé.

Il s’agit également de la création d’un service des urgences et de maternité au centre ville de Gabès et la transformation des hopitaux locaux en hopitaux régionaux, outre la création de deux hopitaux locaux à Ghanouche et matmata et la création de services des brulures et de réanimation. Le représentant du directeur régional de la santé publique, Riadh chaouch a indiqué que les efforts sont déployés en vue de consolider les ressources humaines dans les établissements hospitaliers et d’assurer la sécurité des agents de la santé dans les hopitaux, ainsi que la transformation de l’hopital local d’El hamma en hopital régional et le réaménagement des centres hospitaliers de Ghanouche, de Métouia et de Matmata. A noter que les agents des services d’urgences des hopitaux et certains d’entre eux, aux services des consultations externes, n’ont pas arrêté le travail sous prétexte qu’ils n’avaient pas été informés de la grève.

[Roseau]

Au Royaume Unis, le National Health Service sous-traite des pans entiers de ses activités
à des sociétés comme Virgin Care (Richard Branson).
Si cela marche aussi bien que dans les chemins de fer, il y a du soucis à se faire.

[Copas]

Au Royaume Unis, le National Health Service sous-traite des pans entiers de ses activités
à des sociétés comme Virgin Care (Richard Branson).
Si cela marche aussi bien que dans les chemins de fer, il y a du soucis à se faire.

Également bien connu pour les partenariats privé-public qui dans les hôpitaux ont fait un carnage, le privé s’empiffrant sans le moindre risque financier.

Voir en France à Hopital sud francilien :
http://essonneinfo.fr/91-essonne-info/32730/le-ppp-continue-dagiter-lhopital-sud-francilien/
http://essonneinfo.fr/91-essonne-info/35307/lannee-mouvementee-du-centre-hospitalier-sud-francilien/

C'est ce genre de boucherie que souhaitent généraliser partout les gouvernements pour nourrir encore plus grassement les grands groupes privés scotchés aux tétines de l'état (un gros rot ?).

[Copas]

Philippines ,
La bataille des travailleurs contre la privatisation planifiée des hôpitaux, pour le respect des salaires et de bonnes conditions de travail
Ici des travailleurs d'un centre orthopédique.

[Copas]

La bataille contre la privatisation continue à Madrid

Grosse mobilisation hier dans la rue à Madrid, la marée blanche continue contre les privatisateurs.

[Copas]

Save Lewisham Hospital
30 000 dans la rue contre la fermeture de la maternité et du service des urgences de l’hôpital

Le grand hopital du sud-est londonien va être salement amputé pour combler les dettes d'une société voisine de gestion hospitalière (oui ce ne sont pas les dettes de l’Hôpital ).

Le gouvernement continue de détruire le service de santé anglais pour faire du fric en faveur des intérets des plus riches. En face les protestations sont de plus en plus grosses.

[Copas]

Côte d'Ivoire,
La grève générale de la santé commence demain 4 février pour 5 jours

La coordination des syndicats des personnels de la santé regroupe 14 syndicats et a appelé à ce mouvement.

L'objet de cette bataille est le paiement des primes dues et promises par le gouvernement qui refuse maintenant d'assumer ses responsabilités et menace les grévistes.

Le ministre de la santé, a proposé de payer fin mars prochain, la moitié (25%) des 50% du reste des indemnités dues que l’État leur a accordé depuis 2007 et dont 50% est déjà versé depuis 2009.

Les syndicats ont exigé le respect de la parole de l'état par le versement des restes dus. " Nous avons demandé le paiement intégral des 50% pour fin janvier en plus des 48 mois d'arriérés et enfin le paiement des 400 et 150 points d'indice que nous avons obtenu en 2007 ", explique le porte-parole.

Devant la pression de la coordination dont le slogan est " s'il n'y a rien pour le personnel soignant, il n'y aura rien à l'hôpital ", le gouvernement Ouattara a précipité le paiement des 25% depuis la fin de ce mois.

[Copas]

[quote]Togo: le secteur de la santé dans la grève pour les conditions de travail
http://beta.vatv.co.uk/index.php/kwidget/wid/0_khqein0d/uiconf_id/8700151

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