Cuba
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Re: Cuba
L'ancienne gauche internationale et la nouvelle droite cubaine
par Pedro Campos
http://alencontre.org/ameriques/amelat/cuba/cuba-lancienne-gauche-internationale-et-la-nouvelle-droite-cubaine.html
par Pedro Campos
http://alencontre.org/ameriques/amelat/cuba/cuba-lancienne-gauche-internationale-et-la-nouvelle-droite-cubaine.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Un pas de plus vers le capitalisme
http://npa2009.org/node/39391
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Mariel (suite)
Raul Castro a déclaré qu'il espérait que le port de Mariel,
transformé en zone économique spéciale,
devienne le plus important terminal à conteneur des Caraïbes
et la porte principale pour le commerce extérieur cubain.
L'économiste cubain Pedro Monreal va plus loin.
Il estime que Mariel se situe à un endroit idéal
pour devenir le méga port de redistribution de marchandises dans la région Caraibe.
transformé en zone économique spéciale,
devienne le plus important terminal à conteneur des Caraïbes
et la porte principale pour le commerce extérieur cubain.
L'économiste cubain Pedro Monreal va plus loin.
Il estime que Mariel se situe à un endroit idéal
pour devenir le méga port de redistribution de marchandises dans la région Caraibe.
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Mariel: Ouverture vers l'extérieur
http://alencontre.org/ameriques/amelat/cuba/cuba-une-fenetre-qui-souvre-vers-lexterieur.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Cuba
S'intégrer au dispositif du capital internationnal, la marche forcée vers le capitalisme semble tenter le régime cubain en se disant que la Chine ça marche bien aussi...Roseau a écrit:Raul Castro a déclaré qu'il espérait que le port de Mariel,
transformé en zone économique spéciale,
devienne le plus important terminal à conteneur des Caraïbes
et la porte principale pour le commerce extérieur cubain.
L'économiste cubain Pedro Monreal va plus loin.
Il estime que Mariel se situe à un endroit idéal
pour devenir le méga port de redistribution de marchandises dans la région Caraibe.
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
Mariel: appel aux capitalistes chinois
http://french.cri.cn/621/2013/11/04/304s350722.htm
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Cuba
Pas de nationalisation à craindre pour les investisseurs étrangers (ministre)
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/auto-transport/actu/afp-00561865-cuba-pas-de-nationalisation-a-craindre-pour-les-investisseurs-etrangers-ministre-625903.php
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/auto-transport/actu/afp-00561865-cuba-pas-de-nationalisation-a-craindre-pour-les-investisseurs-etrangers-ministre-625903.php
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Le programme de Raul Castro et ses contradictions
http://alencontre.org/ameriques/amelat/cuba/cuba-le-programme-de-raul-castro-et-ses-contradictions.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Il est encore possible d’éviter le capitalisme
Il est encore possible d’éviter le capitalisme à Cuba
Guillermo Almeyra
http://www.avanti4.be/actualite/article/il-est-encore-possible-d-eviter-le-capitalisme
Guillermo Almeyra
http://www.avanti4.be/actualite/article/il-est-encore-possible-d-eviter-le-capitalisme
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Deux heures avec Fidel Castro
Par Ignacio Ramonet
http://www.medelu.org/Deux-heures-avec-Fidel-Castro
http://www.medelu.org/Deux-heures-avec-Fidel-Castro
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Cuba
Dans ce résumé d'une rencontre entre Ramonet et Castro, où Ramonet fait son auto promotion autant que celle de Castro et Chavez, il est question de Mandela, de Chavez, du droit au nucléaire de l'Iran, mais pas un mot des travailleurs, de la population cubaine, des transformations libérales de Cuba.Roseau a écrit:Par Ignacio Ramonet
http://www.medelu.org/Deux-heures-avec-Fidel-Castro
Dernière édition par verié2 le Sam 4 Jan - 20:44, édité 1 fois
verié2- Messages : 8494
Date d'inscription : 11/07/2010
Re: Cuba
Pas un hasard. Et c'est sans doute un "oubli" partagé par les deux: Ramonet comme Castro...
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Le mégaport et zone franche de Mariel
http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201401/27/01-4732849-le-megaport-de-mariel-symbole-du-renouveau-cubain.php
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Brésil et Cuba agrandissent le port de Mariel
http://www.affaires-strategiques.info/spip.php?article9190
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Cuba
Raul Castro appelle à accélérer les travaux du port de Mariel
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/auto-transport/actu/afp-00588825-cuba-raul-castro-appelle-a-accelerer-les-travaux-du-port-de-mariel-655774.php
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/auto-transport/actu/afp-00588825-cuba-raul-castro-appelle-a-accelerer-les-travaux-du-port-de-mariel-655774.php
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Mettons fin une bonne fois pour toutes au blocus d
Mettons fin une bonne fois pour toutes au blocus de Cuba !
Contrairement à certains clichés tenaces diffusés tous azimuts par la droite et par de soi-disant progressistes en mal de références idéologiques, Cuba a depuis les premières heures de la Révolution attaché une grande importance à la jeunesse. Sa formation a naturellement constitué pour le nouveau régime un défi capital.
Fidel Castro, qui a fêté l’an dernier son quatre-vingt-septième anniversaire, écrivait il y a déjà cinquante ans : « nous ne voulons pas d’une jeunesse qui se contente d’écouter et répéter, nous voulons une jeunesse qui pense. Nous ne voulons pas d’une jeunesse qui nous imite, mais qui apprenne par elle-même à être révolutionnaire et qui se convainque toute seule de l’être. Nous voulons une jeunesse qui développe pleinement sa pensée ».
Ces mots ont été écrits en 1962. Depuis, Cuba a vu le monde évoluer considérablement : la crise des missiles, l’hostilité des Etats-Unis et l’effondrement bloc soviétique sont passés par là. Lors de la période spéciale des années quatre-vingt-dix, très peu auraient parié un kopeck sur l’avenir de son modèle socialiste.
Pourtant, les conditions difficiles dans lesquelles l’a plongée l’impérialisme étasunien n’ont pas empêché l’île rebelle de résister. Mieux, Cuba a fait des émules dans toute l’Amérique latine. Des expériences nouvelles et originales ont vu le jour : au Nicaragua sandiniste en 1979, au Venezuela de Chavez dans les années quatre-vingt-dix, en Bolivie avec Morales et en Équateur avec Correa au début du troisième millénaire. Dans le même temps, les deux géants du continent sud-américain, le Brésil et l’Argentine, souscrivent à un mode de développement autonome malgré des contradictions considérables qui se sont manifestées par des manifestations démocratiques de masse comme on a pu le voir il y a quelques mois dans les principales villes brésiliennes.
Inutile évidemment de nier que l’étranglement économique permanent et les attaques terroristes sporadiques dont a été victime Cuba n’ont pas eu d’effets négatifs sur la qualité de vie de ses citoyens, et ce tant du point de vue de la disponibilité des produits manufacturés que de celui de la démocratie. Onnéglige naturellement ces aspects fondamentaux quand on est en guerre. Cuba, fondée de facto en 1898 comme une colonie des États-Unis, est dans les faits en situation de conflit non déclaré depuis cinquante pour défendre son indépendance acquise de haute lutte en 1959.
N’est-il pas enfin temps de mettre un terme à cette situation ? Beaucoup de mesures en ce sens ont été entreprises ces dernières années de la part des autorités cubaines. Une certaine libéralisation économique pour donner un peu d’air aux petites entreprises, un élargissement de l’accès à Internet rendu possible grâce à un nouveau câble téléphonique développé avec le soutien du Venezuela, la possibilité de voyager à l’étranger, la libération de la plupart des soi-disant dissidents.
De toute évidence, la Révolution ne craint pas la libre-circulation des idées. Yoani Sánchez, la bloggeuse que les champions autoproclamés de la démocratie ont élevée au rang d’icône (en oubliant au passage les dizaines de journalistes tués chaque année au Mexique, en Colombie ou au Honduras) peut aller et venir à sa guise sur la planète entière.
La Révolution ne craint pas la libre-circulation des idées, des personnes et des biens. L’impérialisme si ! Tant et si bien qu’il continue de maintenir un embargo anhistorique et haineux qui se heurte, paradoxalement, aux principes fondés sur la liberté du commerce international. Le capitalisme n’est pas à une contradiction près…
L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté en octobre 2013 pour la vingt-deuxième année consécutive une résolution sur « la nécessité de lever le blocus économique, commercial et financier imposé à Cuba par les États-Unis d’Amérique », décrété après « un différend qui a vu le jour alors que la majorité de la population actuelle n’était même pas née », a affirmé le représentant de la Zambie. Le blocus a encore été renforcé sous la présidence de M. Barack Obama, « particulièrement dans le secteur financier ». Fidèles au rendez-vous onusien, les États-Unis et leur fidèle allié Israël se sont une vingt-deuxième fois d’affilée opposés à la résolution de l’ONU. Selon les chiffres cités par La Havane dans le rapport du secrétaire général, le blocus aurait coûté depuis son origine en 1960 la bagatelle de 1.126 milliards de dollars à Cuba. Rien que ça !
Le gouvernement des États-Unis est seul, défiant la volonté des Nations du monde, dans la mise en œuvre de ce crime contre l’humanité. Il agit dans l’intérêt d’une poignée de groupes économiques qui veulent s’approprier les richesses de Cuba et appauvrir le peuple cubain dont la Révolution apporta la santé, les libéra de la misère et apporta aussi une éducation universelle partagée par les pauvres de la planète. Il faut plus que jamais mettre fin au blocus de Cuba, cette honte de l’humanité !
Fidel Castro, qui a fêté l’an dernier son quatre-vingt-septième anniversaire, écrivait il y a déjà cinquante ans : « nous ne voulons pas d’une jeunesse qui se contente d’écouter et répéter, nous voulons une jeunesse qui pense. Nous ne voulons pas d’une jeunesse qui nous imite, mais qui apprenne par elle-même à être révolutionnaire et qui se convainque toute seule de l’être. Nous voulons une jeunesse qui développe pleinement sa pensée ».
Ces mots ont été écrits en 1962. Depuis, Cuba a vu le monde évoluer considérablement : la crise des missiles, l’hostilité des Etats-Unis et l’effondrement bloc soviétique sont passés par là. Lors de la période spéciale des années quatre-vingt-dix, très peu auraient parié un kopeck sur l’avenir de son modèle socialiste.
Pourtant, les conditions difficiles dans lesquelles l’a plongée l’impérialisme étasunien n’ont pas empêché l’île rebelle de résister. Mieux, Cuba a fait des émules dans toute l’Amérique latine. Des expériences nouvelles et originales ont vu le jour : au Nicaragua sandiniste en 1979, au Venezuela de Chavez dans les années quatre-vingt-dix, en Bolivie avec Morales et en Équateur avec Correa au début du troisième millénaire. Dans le même temps, les deux géants du continent sud-américain, le Brésil et l’Argentine, souscrivent à un mode de développement autonome malgré des contradictions considérables qui se sont manifestées par des manifestations démocratiques de masse comme on a pu le voir il y a quelques mois dans les principales villes brésiliennes.
Inutile évidemment de nier que l’étranglement économique permanent et les attaques terroristes sporadiques dont a été victime Cuba n’ont pas eu d’effets négatifs sur la qualité de vie de ses citoyens, et ce tant du point de vue de la disponibilité des produits manufacturés que de celui de la démocratie. Onnéglige naturellement ces aspects fondamentaux quand on est en guerre. Cuba, fondée de facto en 1898 comme une colonie des États-Unis, est dans les faits en situation de conflit non déclaré depuis cinquante pour défendre son indépendance acquise de haute lutte en 1959.
N’est-il pas enfin temps de mettre un terme à cette situation ? Beaucoup de mesures en ce sens ont été entreprises ces dernières années de la part des autorités cubaines. Une certaine libéralisation économique pour donner un peu d’air aux petites entreprises, un élargissement de l’accès à Internet rendu possible grâce à un nouveau câble téléphonique développé avec le soutien du Venezuela, la possibilité de voyager à l’étranger, la libération de la plupart des soi-disant dissidents.
De toute évidence, la Révolution ne craint pas la libre-circulation des idées. Yoani Sánchez, la bloggeuse que les champions autoproclamés de la démocratie ont élevée au rang d’icône (en oubliant au passage les dizaines de journalistes tués chaque année au Mexique, en Colombie ou au Honduras) peut aller et venir à sa guise sur la planète entière.
La Révolution ne craint pas la libre-circulation des idées, des personnes et des biens. L’impérialisme si ! Tant et si bien qu’il continue de maintenir un embargo anhistorique et haineux qui se heurte, paradoxalement, aux principes fondés sur la liberté du commerce international. Le capitalisme n’est pas à une contradiction près…
L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté en octobre 2013 pour la vingt-deuxième année consécutive une résolution sur « la nécessité de lever le blocus économique, commercial et financier imposé à Cuba par les États-Unis d’Amérique », décrété après « un différend qui a vu le jour alors que la majorité de la population actuelle n’était même pas née », a affirmé le représentant de la Zambie. Le blocus a encore été renforcé sous la présidence de M. Barack Obama, « particulièrement dans le secteur financier ». Fidèles au rendez-vous onusien, les États-Unis et leur fidèle allié Israël se sont une vingt-deuxième fois d’affilée opposés à la résolution de l’ONU. Selon les chiffres cités par La Havane dans le rapport du secrétaire général, le blocus aurait coûté depuis son origine en 1960 la bagatelle de 1.126 milliards de dollars à Cuba. Rien que ça !
Le gouvernement des États-Unis est seul, défiant la volonté des Nations du monde, dans la mise en œuvre de ce crime contre l’humanité. Il agit dans l’intérêt d’une poignée de groupes économiques qui veulent s’approprier les richesses de Cuba et appauvrir le peuple cubain dont la Révolution apporta la santé, les libéra de la misère et apporta aussi une éducation universelle partagée par les pauvres de la planète. Il faut plus que jamais mettre fin au blocus de Cuba, cette honte de l’humanité !
Capitaine Martin
http://www.resistance-politique.fr/article-mettons-fin-une-bonne-fois-pour-toutes-au-blocus-de-cuba-123146602.html
Re: Cuba
Le parlement cubain vient d'adopter ce jour une loi livrant les travailleurs
à l'exploitation du capital, y compris avec exonération des impôts pendant 8 huit ans ou plus.
Le modèle du capitalisme chinois.
J'y reviendrai.
à l'exploitation du capital, y compris avec exonération des impôts pendant 8 huit ans ou plus.
Le modèle du capitalisme chinois.
J'y reviendrai.
Dernière édition par Roseau le Sam 3 Jan - 17:14, édité 2 fois
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
La nouvelle loi sur les investissements étrangers
http://www.medelu.org/Une-nouvelle-loi-sur-les
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Cuba
Roseau a écrit:http://www.medelu.org/Une-nouvelle-loi-sur-les
Le vieux fatras est de retour.
La Cuba propriété de la petite-bourgeoise qu'y gouverne se transformera en...autre pays latino-américain de plus "libéré de l'impérialisme" et sous blocus, mais ouvert au Capital.
Les informations du ministre sont cristallines
Tout y passe, L'agriculture et l'élevage du bétail, les forets (comment faire cela sans rendre la terre une marchandise à la disposition des capitalistes? Et la Réforme Agraire?)Ministre cubain a écrit: Al argumentar tal situación, el vicepresidente del Consejo de Ministros Marino Murillo, explicó que no utilizar esas fuentes retardaría el desarrollo nacional.
Durante la última década la tasa de crecimiento promedio de la isla fue de 1,8 por ciento y la de acumulación (inversiones) 13 por ciento, inferiores a los del conjunto de América Latina. Ello indica la necesidad de acceder al capital foráneo, ha insistido Murillo.
Para este año el plan de crecimiento de la isla es de 2,2 por ciento, lo cual subraya que, si bien la economía crece, lo hace a un ritmo que retarda el desarrollo. Se trata de una urgencia pues la economía nacional precisa de un ritmo anual de entre cinco y siete por ciento, y para conseguirlo se hace necesario alcanzar tasas de acumulación del 20-25 por ciento, mediante créditos e inversión extranjera directa.
Si bien la participación foránea es contemplada como complemento del esfuerzo inversionista nacional en actividades que sean de interés para el país, en la nueva ley se contempla que la inversión extranjera sea determinante en sectores específicos.
La ganadería, la industria láctea, la agricultura y el cambio de la matriz energética precisan de fuerte financiamiento externo, se expresa en la nueva legislación. También incluye la actividad forestal, la industrias azucarera, sideromecánica, ligera, química y electrónica, farmacéutica y biotecnología, energía y minas, comercio mayorista, construcción, turismo y transporte.
Una inversión extranjera bien hecha no significa regalar el país a pedazos, significó Murillo en su intervención ante el Parlamento.
Mais encore l'industrie dans ses secteurs le plus importants. Ce sera la dictature contre la classe ouvrière pour assurer les profits utilisant la seul ressource possible, le bas prix de la main d’œuvre.
Eh ben, cela ne va pas signifier de "faire cadeau du pays par morceaux", cela va signifier l'alliance de la bourgeoisie cubaine au pouvoir avec le Capital.
Tout de même, pour les Latino américains que nous sommes, cela s'est toujours appelé "vendre le pays à l'impérialisme", mais vu que c'est une "révolution socialiste" qui l'entreprends, j'imagine que certains trouveront qu'il faut l'appuyer...
Sans moi.
Estirio Dogante- Messages : 686
Date d'inscription : 30/04/2013
Re: Cuba
Pas de risque qu'un MR appuie les concessions de Cuba au capital,
pas plus qu'en Chine ou ailleurs.
pas plus qu'en Chine ou ailleurs.
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Cuba sur la voie de la Chine
http://npa2009.org/content/cuba-sur-la-voie-de-la-chine
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Cuba
Cuba: la dangereuse "voie chinoise"
http://www.avanti4.be/actualite/article/cuba-la-dangereuse-voie-chinoise
http://www.avanti4.be/actualite/article/cuba-la-dangereuse-voie-chinoise
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Cuba : la dangereuse « voie chinoise » (II)
La participation active des travailleurs cubains pourrait-elle être effectivement une alternative immédiate et urgente à la « voie chinoise » ? Au parti unique bureaucratisé et fusionné avec l’Etat qui dirige la marche forcée vers la soumission au marché et le développement de grandes inégalités sociales ? Cela est possible, et vaut la peine d’être essayé parce que la « voie chinoise » amènera inévitablement, par sa dynamique propre, la transformation de Cuba en semi-colonie dépendante des investissements et des marchés des pays impérialistes.
http://www.avanti4.be/actualite/article/cuba-la-dangereuse-voie-chinoise-ii
http://www.avanti4.be/actualite/article/cuba-la-dangereuse-voie-chinoise-ii
Antonio Valledor- Messages : 160
Date d'inscription : 01/06/2012
Cuba, Etats-Unis: les choses bougent
par Ignacio Ramonet
http://www.medelu.org/Cuba-Etats-UnisLes-choses-bougent
http://www.medelu.org/Cuba-Etats-UnisLes-choses-bougent
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Cuba
Cuba entame la rénovation de sa production électrique avec l'aide de Moscou
http://www.boursorama.com/actualites/cuba-entame-la-renovation-de-sa-production-electrique-avec-l-aide-de-moscou-1eb7878f8799eb714714a6c9f4deebf8
http://www.boursorama.com/actualites/cuba-entame-la-renovation-de-sa-production-electrique-avec-l-aide-de-moscou-1eb7878f8799eb714714a6c9f4deebf8
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
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