Automobile, luttes des travailleurs
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Re: Automobile, luttes des travailleurs
http://www.vp-partisan.org/article963.html
Soirée de soutien aux ouvriers en lutte !
Goodyear, PSA... même combat !
Face à la casse de nos emplois : solidarité ouvrière !
Musiques révolutionnaires, paroles de grévistes
Tous les bénéfices de la soirée seront reversés aux caisses de grève
Mercredi 10 avril dès 20h Bar Le Communard - Place Arnaud Bernard - Toulouse
Soirée de soutien aux ouvriers en lutte !
Goodyear, PSA... même combat !
Face à la casse de nos emplois : solidarité ouvrière !
Musiques révolutionnaires, paroles de grévistes
Tous les bénéfices de la soirée seront reversés aux caisses de grève
Mercredi 10 avril dès 20h Bar Le Communard - Place Arnaud Bernard - Toulouse
Joe Hill- Messages : 340
Date d'inscription : 21/11/2011
Re: Automobile, luttes des travailleurs
PSA : la CGT attaque le plan de 11 200 suppressions d'emploi au Tribunal de Versailles
http://www.npa-auto-critique.org/article-psa-la-cgt-attaque-le-plan-de-11-200-suppressions-d-emploi-au-tribunal-de-versailles-116512716.html
http://www.npa-auto-critique.org/article-psa-la-cgt-attaque-le-plan-de-11-200-suppressions-d-emploi-au-tribunal-de-versailles-116512716.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Renault Dacia: grève victorieuse sur les salaires!
http://www.npa-auto-critique.org/article-renault-dacia-greve-victorieuse-sur-les-salaires-116575685.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
150 ouvriers de PSA délogés du Medef par les CRS
Médiapart
Depuis plus de dix semaines, une grève à haute tension, à l’initiative de la CGT, rejointe par Sud et la CFDT, paralyse la production de l’usine automobile d’Aulnay-sous-Bois en Seine-Saint-Denis, condamnée à la fermeture en 2014. Au fil des mois, la mobilisation ne faiblit pas. Pas un jour sans une nouvelle action coup de poing, dans l’espoir d’attirer les médias et d’obtenir gain de cause auprès de la direction : « un CDI pour tous », et l’annulation des procédures de licenciement engagées contre une dizaine de grévistes.
Après avoir occupé, mercredi 27 mars, les locaux de la direction générale du travail à Paris et obtenu la tenue d'une réunion avec la direction de PSA vendredi 29 mars, 150 salariés ont investi ce jeudi après-midi le hall du Medef, dans le septième arrondissement à Paris. Objectif : faire pression à la veille du rendez-vous prévu entre la direction du constructeur automobile et le gouvernement. Hasard du calendrier : c’est le jour où Laurence Parisot voit ses rêves de reconduction à la tête du patronat français se briser et où François Hollande, confronté à une impopularité record, doit « parler » aux Français.
Mais l’occupation aura été de courte durée, plus courte que quelques semaines plus tôt, début mars, lorsque les salariés avaient occupé le siège de l'Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM), le patronat de la métallurgie. Très vite, ce qui était prévisible, les forces de l’ordre ont débarqué, indiquant le chemin de la sortie aux ouvriers. Ils se sont exécutés « sans heurts », insiste le meneur de la CGT, Jean-Pierre Mercier, mais une fois sur le trottoir, ils n’ont pas pu regagner leur bus, condition pourtant négociée dans les locaux du Medef. Après avoir attendu le départ des caméras de France 3, les CRS les ont tout simplement embarqués les uns après les autres dans des fourgons cellulaires, amplifiant la colère et le sentiment d’injustice des salariés.
« C'était un rassemblement pacifique, mais le ministre de l'intérieur a envoyé des cars de CRS pour nous neutraliser. Ils nous ont jeté violemment dans les paniers à salade. Hollande peut dire ce qu’il veut ce soir (ce jeudi 28 mars sur France 2). Nous savons désormais comment il considère les ouvriers : comme de vulgaires délinquants », confiait à Mediapart, en début de soirée, Jean-Pierre Mercier qui ignorait encore « dans quel commissariat ils allaient être transférés et s'il s'agissait d’un contrôle d’identité ou d’une garde à vue ». Soit une grande première pour ce syndicaliste, membre de Lutte Ouvrière, accusé par le gouvernement de radicaliser la CGT d'Aulnay : « C'est la première fois que je me fais embarquer dans un fourgon de police. »
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Goodyear : vent debout contre la fermeture du site
TEAN
http://npa2009.org/node/36402
http://npa2009.org/node/36402
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
PSA veut augmenter la durée du travail !
http://www.npa-auto-critique.org/article-8000-suppressions-d-emploi-psa-veut-augmenter-la-duree-du-travail-pour-ceux-qui-restent-116712747.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
PSA vient d'annuler des mises à pied !
http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/04/04/la-direction-de-psa-a-aulnay-annule-des-mises-a-pied-de-salaries_3154520_3234.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Automobile, luttes des travailleurs
Peugeot pourrait passer aux 40 heures
L’usine Peugeot à Poissy pourrait être la première du groupe à subir une refonte de ses horaires. Le personnel passerait aux 40 heures.
Poissy, usine Peugeot, hier midi. Des tracts ont été distribués pour dénoncer les cadences sans cesse en hausse infligées aux 6000 salariés. | (LP/Y. F)
Les journées de travail des 6000 employés de l’usine Peugeot de Poissy pourraient être plus longues d’une heure, voire d’une heure trente. Hier, le sujet était dans de nombreuses bouches. Selon la CGT, la direction du groupe PSA étudierait cette perspective dans le cadre des prochaines négociations sur les accords de compétitivité, qui seront lancées début mai après le bouclage courant avril du vaste dossier de réduction des effectifs. Le site produit actuellement la 208 ainsi que des Citroën C3 et DS3. Il fonctionne avec trois équipes qui travaillent chacune sept heures par jour, cinq jours par semaine.
Hier midi, à la sortie de l’usine, les salariés affichaient un certain fatalisme. Saïd, la quarantaine, redoute des difficultés supplémentaires et avance la pénibilité du travail. « Travailler sept heures à la chaîne, c’est déjà pénible. Si on doit allonger nos journées, cela sera dur pour notre santé », prévient-il. Quant à Bernard, de dix ans son aîné, et plus de vingt ans d’ancienneté chez Peugeot, il est catégorique. « Quarante heures payées trente-cinq, je pense que cela ne passera pas. Outre l’aspect financier, cela va nous poser des problèmes en termes d’organisation. Nos périodes de congés vont changer en permanence. Difficile dans ces conditions d’organiser la vie de famille. »
Des voitures 600 € moins chères
Le syndicat CGT est le premier à dénoncer cette hypothèse de travail. « L’objectif des mesures sera de faire plus de profits », indique Jean-Pierre Mercier, délégué syndical CGT d’Aulnay, où 1500 des 3000 employés de ce site, voué à la fermeture, seront amenés à rejoindre les Yvelines. Il déplore également « un chantage au coût du travail en France ». « La direction nous dit que les véhicules produits à Trnava en Slovaquie sont moins chers qu’à Poissy. La différence serait de 600 € par voiture. » Et concernant la possibilité de la suppression de l’équipe de nuit, créée il y a un mois, le délégué syndical pense qu’elle interviendra très vite. « A court terme, elle sera supprimée et l’usine tournera avec deux équipes afin de faire des économies, raconte-t-il. Le travail de nuit coûte de 20% à 30% plus cher qu’en journée. »
Hier, lors du changement d’équipe, des militants du comité local l’Etincelle, un groupe proche du Parti des travailleurs, ont distribué des tracts aux barrières d’accès de l’usine pour s’élever contre la flexibilité à tous crins. « Déjà, les cadences de production du site vont être augmentées et des samedis seront travaillés, énoncent-ils dans un tract. Plus tard, la direction n’hésitera pas à mettre les gens au chômage technique quand ça lui plaira. » FO, lui, estime que les changements de cadences et les équilibrages annoncés sont jugés « insupportables ». « Les salariés de Poissy ne sont pas des surhommes », ajoute-t-il. La direction du groupe ne confirme pas sa volonté d’allonger les journées de travail des salariés. « Il n’est pas question de supprimer l’équipe de nuit que nous venons de lancer, assure-t-elle. La priorité actuelle est de boucler le plan de sauvegarde de l’emploi. Pour la suite, concernant les négociations sur l’accord de compétitivité, il n’y a ni calendrier ni timing. »
YVES FOSSEY
Le Parisien Publié le 03.04.2013
alexi- Messages : 1815
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Automobile, luttes des travailleurs
Ce journaliste a une vision plutôt Fossey des choses...des militants du comité local l’Etincelle, un groupe proche du Parti des travailleurs
Byrrh- Messages : 1009
Date d'inscription : 12/09/2012
PSA: le gouvernement interpelle les grèvistes
TEAN
http://npa2009.org/node/36485
http://npa2009.org/node/36485
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Heuliez en dépot de bilan !
http://www.npa-auto-critique.org/article-l-equipementier-heuliez-en-depot-de-bilan-116916963.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Aulnay: 13 semaines de grève !
TEAN
http://npa2009.org/node/36583
http://npa2009.org/node/36583
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Même VW commence à patiner
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/20130412trib000759086/meme-volkswagen-commence-a-patiner.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Méluche et Montebourge contre notre classe
"Si c’est Montebourg le Premier ministre, le Front de gauche ira parler.
On ira regarder si c’est possible d’entrer au gouvernement."
Jean-Luc MELENCHON sur France 5- dimanche 14 Avril 2013
Montebourg, qui qualifie de "politique" la CGT de PSA Aulnay
afin de chercher à la discréditer et l'isoler
Lire son interview dans le JDD :
"M. Mercier et ses amis forment un groupe qui fait d'avantage de politique que de syndicalisme, c'est leur droit"
Ce salopart le paiera toute sa vie.
Il ne doit plus pouvoir faire un déplacement
sans les cris de "dehors, vendu à PSA, vendu au capital".
A l'automne 2010, les mêmes réformistes, Méluche en tête,
avaient dénoncé la mobilisation vers la grève générale!
Dans les deux cas, les réformistes,
comptent sur nos défaites face au capital pour emplir les urnes,
et s'approcher des mangeoires, avec encore et toujours une gauche plus rien.
On ira regarder si c’est possible d’entrer au gouvernement."
Jean-Luc MELENCHON sur France 5- dimanche 14 Avril 2013
Montebourg, qui qualifie de "politique" la CGT de PSA Aulnay
afin de chercher à la discréditer et l'isoler
Lire son interview dans le JDD :
"M. Mercier et ses amis forment un groupe qui fait d'avantage de politique que de syndicalisme, c'est leur droit"
Ce salopart le paiera toute sa vie.
Il ne doit plus pouvoir faire un déplacement
sans les cris de "dehors, vendu à PSA, vendu au capital".
A l'automne 2010, les mêmes réformistes, Méluche en tête,
avaient dénoncé la mobilisation vers la grève générale!
Dans les deux cas, les réformistes,
comptent sur nos défaites face au capital pour emplir les urnes,
et s'approcher des mangeoires, avec encore et toujours une gauche plus rien.
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Automobile, luttes des travailleurs
Le Canard Enchaîné du 15/04/13 :
Les nouveaux abattoirs de la Villette
L'intrusion inopinée des militants syndicalistes de PSA au conseil national du PS a provoqué un véritable choc dans le gouvernement. Pour trois raisons. Un, elle a déclenché l'exfiltration d'urgence du Premier ministre par ses gorilles. Deux, les manifestants ont été applaudis par une bonne partie de l'assistannce, presque autant que l'avait été le Premier ministre. Trois, les Peugeot ont, semble-t-il, bénéficié de complicités à la gauche du parti pour pénétrer dans la salle de la Villette. Ayrault accusera d'ailleurs un peu plus tard "les copains de Filoche et de Lienemann d'avoir distribué des badges aux syndicalistes" pour faciliter leur entrée dans les lieux.
Le Parti Socialiste, cette grande famille.
Tout aussi furibard que le Premier ministre, Pierre Moscovici a dû se contenter d'être évacué au fond de la salle.
Mais, lui, c'est surtout à Aquilino Morelle qu'il en veut. Le conseiller politique de Hollande voulait que Mosco se montre aux côtés des 50 ouvriers de Peugeot venus le conspuer...
"Monte sur scène, lui a conseillé Morelle. Prends un micro et parle-leur. Ce serait une erreur de ne pas le faire."
Mosco reste en coulisse
Mais Moscovici, dont la circonscription du Doubs abrite le siège de Peugeot, a refusé tout net, en mettant en avant cet argument :
"Offrir le ministre des Finances en pâture à un groupe de militants, dont le combat est, certes, respectable, mais qui sont menés par un leader connu pour être membre de lutte ouvrière, c'est comme le livrer à une sorte de tribunal populaire. Sans même parler des simples problèmes de sécurité !"
Et Cahuzac le boxeur n'était même plus là pour le défendre...
Copain de Hollande et ministre du travail, Michel Sapin a pointé, le 15 avril en petit comité, "un problème quelque part" avec les forces de sécurité et les Peugeot.
Rendez-nous les RG !
Il a fait remarquer que quatre invasions similaires des mêmes Peugeot s'étaient déroulées en deux semaines, sans que la police en anticipe aucune.
"Je ne sais pas si c'est de l'incompétence ou de la connivence", s'est interrogé Sapin.
Comme il y va ! A croire que les socialistes commencent a regretter l'époque où les Renseignements généraux fliquaient les organisations syndicales.
Les nouveaux abattoirs de la Villette
L'intrusion inopinée des militants syndicalistes de PSA au conseil national du PS a provoqué un véritable choc dans le gouvernement. Pour trois raisons. Un, elle a déclenché l'exfiltration d'urgence du Premier ministre par ses gorilles. Deux, les manifestants ont été applaudis par une bonne partie de l'assistannce, presque autant que l'avait été le Premier ministre. Trois, les Peugeot ont, semble-t-il, bénéficié de complicités à la gauche du parti pour pénétrer dans la salle de la Villette. Ayrault accusera d'ailleurs un peu plus tard "les copains de Filoche et de Lienemann d'avoir distribué des badges aux syndicalistes" pour faciliter leur entrée dans les lieux.
Le Parti Socialiste, cette grande famille.
Tout aussi furibard que le Premier ministre, Pierre Moscovici a dû se contenter d'être évacué au fond de la salle.
Mais, lui, c'est surtout à Aquilino Morelle qu'il en veut. Le conseiller politique de Hollande voulait que Mosco se montre aux côtés des 50 ouvriers de Peugeot venus le conspuer...
"Monte sur scène, lui a conseillé Morelle. Prends un micro et parle-leur. Ce serait une erreur de ne pas le faire."
Mosco reste en coulisse
Mais Moscovici, dont la circonscription du Doubs abrite le siège de Peugeot, a refusé tout net, en mettant en avant cet argument :
"Offrir le ministre des Finances en pâture à un groupe de militants, dont le combat est, certes, respectable, mais qui sont menés par un leader connu pour être membre de lutte ouvrière, c'est comme le livrer à une sorte de tribunal populaire. Sans même parler des simples problèmes de sécurité !"
Et Cahuzac le boxeur n'était même plus là pour le défendre...
Copain de Hollande et ministre du travail, Michel Sapin a pointé, le 15 avril en petit comité, "un problème quelque part" avec les forces de sécurité et les Peugeot.
Rendez-nous les RG !
Il a fait remarquer que quatre invasions similaires des mêmes Peugeot s'étaient déroulées en deux semaines, sans que la police en anticipe aucune.
"Je ne sais pas si c'est de l'incompétence ou de la connivence", s'est interrogé Sapin.
Comme il y va ! A croire que les socialistes commencent a regretter l'époque où les Renseignements généraux fliquaient les organisations syndicales.
alexi- Messages : 1815
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Automobile, luttes des travailleurs
alexi a écrit:Le Canard Enchaîné du 15/04/13 :
.../...
Rendez-nous les RG !
Il a fait remarquer que quatre invasions similaires des mêmes Peugeot s'étaient déroulées en deux semaines, sans que la police en anticipe aucune.
"Je ne sais pas si c'est de l'incompétence ou de la connivence", s'est interrogé Sapin.
Comme il y va ! A croire que les socialistes commencent a regretter l'époque où les Renseignements généraux fliquaient les organisations syndicales.
http://www.declarations-patrimoine.gouvernement.fr/pdf/declaration-patrimoine-sapin.pdf
Michel Sapin, Ministre du travail
Déclaration de situation patrimoniale
Déclaratif...
- 1 Maison de 700 m² à Argenton sur Creuse (ça relève plutôt d'un château ça)
- Des exploitations agricoles et forestières, avec une série de maisons, de bâtiments, sur 433 hectares (4 330 000 m²) dans la Creuse.
- 1 appartement dans le 7e arrondissement de Paris
- 1 maison, de 111 m² à Notre-dame de Bellecombe
- 1 maison de 110 m2 sur l'Ile d'Yeu
- 1 petit bateau de pêche promenade
- 3 comptes en banque
- Biens mobiliers 146 000 €
Pour ce qu'il y a d'officiel pour ces petits mozarts de l'optimisation du blé.
Le même Sapin bourré de fric qui passe son temps à agresser les travailleurs par ses mesures antisociales et qui regrette la police politique des RG contre les les travailleurs subissant les saloperies des patrons et du gouvernement ...
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
PSA: Varin veut verser 320 millions aux parasites
http://www.npa-auto-critique.org/article-psa-varin-pret-a-offrir-320-millions-d-euros-aux-actionnaires-117179444.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Automobile, luttes des travailleurs
Le syndicat SUD cesse la grève à l'usine PSA d'Aulnay
Libération 20 avril 2013 à 16:25
Ses adhérents vont reprendre le travail après deux mois d'arrêt, suite à un désaccord avec la CGT.
Le syndicat SUD de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), en grève depuis deux mois sur le site, qui doit fermer en 2014, a décidé mercredi de reprendre le travail à la suite d’un désaccord avec la CGT, a-t-il annoncé samedi. «Il y a un problème de fond avec la CGT, qui ne souhaite pas qu’on participe aux négociations pour l’accord de fin de conflit», a expliqué à l’AFP le secrétaire général du syndicat à Aulnay, Mohamed Khenniche, confirmant une information du Parisien.
Selon lui, son syndicat a été écarté par le vote de l’assemblée générale des grévistes de trois réunions organisées depuis le 9 avril avec la direction centrale de PSA visant à négocier la sortie du conflit. «Le but, ce n’est pas de reprendre le travail pour produire des véhicules. On résiste contre la CGT, mais toujours contre le patronat», a souligné M. Khenniche.
«Cela fait plusieurs semaines que les grévistes ne voyaient plus M. Khenniche à l’usine» et il «a refusé de se soumettre aux décisions des assemblées générales», a déclaré de son côté Jean-Pierre Mercier, représentant CGT de l’usine. Selon lui, 200 ouvriers continuent la grève - 180 selon la direction - et «des échéances importantes sont attendues pour la semaine à venir».
L’usine d’Aulnay, qui employait à la fin février 2.550 CDI, doit fermer en 2014 dans le cadre de la restructuration du groupe PSA Peugeot Citroën. Elle est paralysée depuis la mi-janvier par une grève lancée par la CGT. Les syndicats CFE-CGC, CFDT, FO et CFTC ont donné leur feu vert aux plans sociaux des sites PSA d’Aulnay et de Rennes. Un accord devrait être signé après le dernier comité central d’entreprise sur le sujet, convoqué le 29 avril. «Face à la longue attente des salariés», «il est temps de passer à la mise en oeuvre» du plan social, avait estimé vendredi le SIA, syndicat maison majoritaire sur le site d’Aulnay.
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Automobile, luttes des travailleurs
La consigne de SUD, très peu présent à PSA Aulnay, n'a pas été suivie par la moitié de ses militants; ils restent toujours en grève, aux côtés de leurs camarades.
alexi- Messages : 1815
Date d'inscription : 10/07/2010
PSA AULNAY LES TRAVAILLEURS EN LUTTE MENACES
http://cgt-psa-aulnay.fr/page/les-salaries-en-lutte-de-psa-aulnay-sous-bois-menaces-de-licenciement-766
Vals- Messages : 2770
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Automobile, luttes des travailleurs
alexi a écrit:La consigne de SUD, très peu présent à PSA Aulnay, n'a pas été suivie par la moitié de ses militants; ils restent toujours en grève, aux côtés de leurs camarades.
Cela démontre que le syndicat SUd de PSA Aulnay est tout sauf démocratique,car une décision de participer ou pas a un Mvt de greve,de le rejoindre ou de le quitter doit se prendre en AG des syndiqués,ce qui n'a pas été fait,puisque la majorité poursuit la greve,"le" dirigeant,et sa garde raprochée ont du récupérer les méthodes Staliniennes abandonnées par la CGT,décidément tout se recycle.
dug et klin- Messages : 813
Date d'inscription : 07/02/2012
Localisation : quelque part entre St-Malo et Collioure en passant par Sarlat
Re: Automobile, luttes des travailleurs
http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/04/23/un-salarie-de-renault-s-est-suicide-a-cleon_3164988_3234.html
Un salarié de Renault s'est suicidé lundi sur son lieu de travail
Le Monde.fr | 23.04.2013 à 18h14 • Mis à jour le 23.04.2013 à 18h27
Par Bertrand Bissuel
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à partir de 1 € Réagir Classer Imprimer EnvoyerPartager facebook twitter google + linkedin
Un salarié de l'usine Renault à Cléon (Seine-Maritime) s'est donné la mort, dans la nuit du dimanche 21 au lundi 22 avril, sur son lieu de travail. L'un de ses collègues l'a retrouvé, pendu, vers 5 h 30, dans un secteur de l'établissement où il n'y avait plus aucune activité.
Agé de 35 ans, il était technicien de maintenance de nuit et avait été embauché par le constructeur automobile en 2000.
Il a laissé deux lettres – l'une à l'attention de sa femme et de leurs filles, l'autre destinée à la direction dans laquelle il écrit : "Merci Renault. Merci ces années de pression, chantage au nuit. Où le droit de grève n'existe pas. Ne pas protester sinon gare. La peur, l'incertitude de l'avenir sont de bonne guerre, parait-il ? Tu expliqueras ça à mes filles, Carlos [Ghosn, le PDG du groupe]. "
Selon Pascal Morel, responsable du syndicat CGT dans l'usine, cet homme avait été très impliqué dans les grèves qui ont éclaté à partir de la fin 2012 pour s'opposer au projet d'accord compétitivité-emploi.
Signé dans la première quinzaine de mars, ce dispositif prévoit que le personnel fasse des sacrifices (gel des salaires, accroissement du temps de travail...) en contrepartie de l'engagement de la direction d'augmenter les volumes de production.
Lire le décryptage Renault : ce que l'accord de compétitivité va changer
"PRESSIONS"
Après ces conflits, "la hiérarchie a exercé des pressions", explique M. Morel, et a fait comprendre aux grévistes que s'ils jouaient encore aux fortes têtes, ils risquaient de perdre leur poste de nuit, nettement mieux payé que le travail en équipe de jour. La différence peut être de l'ordre de 700 euros par mois, d'après M. Morel.
Pour le syndicaliste, le suicide de cet homme est "en lien avec le travail". Renault a une part de responsabilité, ajoute M. Morel, dans la mesure où un "système", reposant sur le chantage et sur l'intimidation, a été mis en place pour encadrer le personnel.
Une porte-parole de la société rétorque que le salarié avait été favorablement "évalué" par sa hiérarchie et qu'il avait l'assurance de pouvoir continuer à travailler de nuit. Il n'était pas connu des services médicaux de l'entreprise.
"Renault a à cœur de comprendre ce qui s'est passé, insiste-t-on chez le constructeur. La direction est touchée et s'associe au chagrin de la famille et des salariés."
Une cellule psychologique a été mise en place sur le site de Cléon. Le parquet de Rouen a ouvert une enquête. De son côté, le comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) va essayer d'identifier les facteurs expliquant le passage à l'acte pour éviter que de tels faits ne se reproduisent, affirme M. Morel.
Bertrand Bissuel
Un salarié de Renault s'est suicidé lundi sur son lieu de travail
Le Monde.fr | 23.04.2013 à 18h14 • Mis à jour le 23.04.2013 à 18h27
Par Bertrand Bissuel
Abonnez-vous
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Un salarié de l'usine Renault à Cléon (Seine-Maritime) s'est donné la mort, dans la nuit du dimanche 21 au lundi 22 avril, sur son lieu de travail. L'un de ses collègues l'a retrouvé, pendu, vers 5 h 30, dans un secteur de l'établissement où il n'y avait plus aucune activité.
Agé de 35 ans, il était technicien de maintenance de nuit et avait été embauché par le constructeur automobile en 2000.
Il a laissé deux lettres – l'une à l'attention de sa femme et de leurs filles, l'autre destinée à la direction dans laquelle il écrit : "Merci Renault. Merci ces années de pression, chantage au nuit. Où le droit de grève n'existe pas. Ne pas protester sinon gare. La peur, l'incertitude de l'avenir sont de bonne guerre, parait-il ? Tu expliqueras ça à mes filles, Carlos [Ghosn, le PDG du groupe]. "
Selon Pascal Morel, responsable du syndicat CGT dans l'usine, cet homme avait été très impliqué dans les grèves qui ont éclaté à partir de la fin 2012 pour s'opposer au projet d'accord compétitivité-emploi.
Signé dans la première quinzaine de mars, ce dispositif prévoit que le personnel fasse des sacrifices (gel des salaires, accroissement du temps de travail...) en contrepartie de l'engagement de la direction d'augmenter les volumes de production.
Lire le décryptage Renault : ce que l'accord de compétitivité va changer
"PRESSIONS"
Après ces conflits, "la hiérarchie a exercé des pressions", explique M. Morel, et a fait comprendre aux grévistes que s'ils jouaient encore aux fortes têtes, ils risquaient de perdre leur poste de nuit, nettement mieux payé que le travail en équipe de jour. La différence peut être de l'ordre de 700 euros par mois, d'après M. Morel.
Pour le syndicaliste, le suicide de cet homme est "en lien avec le travail". Renault a une part de responsabilité, ajoute M. Morel, dans la mesure où un "système", reposant sur le chantage et sur l'intimidation, a été mis en place pour encadrer le personnel.
Une porte-parole de la société rétorque que le salarié avait été favorablement "évalué" par sa hiérarchie et qu'il avait l'assurance de pouvoir continuer à travailler de nuit. Il n'était pas connu des services médicaux de l'entreprise.
"Renault a à cœur de comprendre ce qui s'est passé, insiste-t-on chez le constructeur. La direction est touchée et s'associe au chagrin de la famille et des salariés."
Une cellule psychologique a été mise en place sur le site de Cléon. Le parquet de Rouen a ouvert une enquête. De son côté, le comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) va essayer d'identifier les facteurs expliquant le passage à l'acte pour éviter que de tels faits ne se reproduisent, affirme M. Morel.
Bertrand Bissuel
fée clochette- Messages : 1274
Date d'inscription : 23/06/2010
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PSA Aulnay: la grève résiste
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