Etats-Unis d'Amérique
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Une élue de gauche radicale à Seattle
par Barry Sheppard
La militante révolutionnaire Kshama Sawant
a été élue aux élections municipales à Seattle.
Il faut remonter à la première moitié du XXe siècle
pour retrouver un tel événement aux États-Unis.
http://www.avanti4.be/analyses/article/une-elue-de-gauche-radicale-a-seattle
La militante révolutionnaire Kshama Sawant
a été élue aux élections municipales à Seattle.
Il faut remonter à la première moitié du XXe siècle
pour retrouver un tel événement aux États-Unis.
http://www.avanti4.be/analyses/article/une-elue-de-gauche-radicale-a-seattle
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Etats-Unis d'Amérique
Strikesgiving: Chicago Whole Foods Workers Strike for Fair Holiday Schedules
Strikesgiving ou Thanksgiving, that is the question...
Les travailleurs des fast foods ne désarment pas et élargissent leurs revendications
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
Grèves du précariat dans la restauration rapide
Que se passe-t-il au sein de ce « précariat » et, plus généralement, dans la classe ouvrière nord-américaine ? Quelles alliances et quelles perspectives ou limites s’inscrivent dans ces nouvelles formes organisationnelles et quelles leçons pouvons-nous en tirer ? Pour tenter d’y répondre, nous publions dans ce dossier une analyse publiée par la revue argentine « Ideas de Izquierda », ainsi qu’un texte du sociologue Karel Yon, paru sur le nouveau site « Terrains de luttes ». (Avanti4.be)
http://www.avanti4.be/analyses/article/dossier-greves-du-precariat-dans-la
http://www.avanti4.be/analyses/article/dossier-greves-du-precariat-dans-la
Antonio Valledor- Messages : 160
Date d'inscription : 01/06/2012
Re: Etats-Unis d'Amérique
Nombre de prisonniers, d’ingénieurs, d’infirmières, de professeurs du secondaire, etc., aux États-Unis.
Source : Huffington Post.
Source : Huffington Post.
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Les États-Unis : une menace pour la paix et les pe
Les États-Unis : une menace pour la paix et les peuples libres
Alors que les guerres d'agression, les attaques de drones et un véritable réseau mondial de bases militaires sont les aspects les plus visibles de la puissance hégémonique étasunienne, la politique américaine d’assistance, de formation et d’aide militaire étrangère est un aspect souvent négligé. Bien que ces accords relèvent en grande partie des secrets bien gardés, ils ont pour finalité un contrôle hégémonique du monde tendant à son assujettissement, constituant de facto une menace pour les peuples libres.
La formation des armées étrangères pour servir les intérêts de l'État américain remonte au temps de la guerre froide. Une époque pas si lointaine où on utilisait l'argent du contribuable pour subventionner des gouvernements et des guérillas farouchement anticommunistes, et qu’importe si la réalité était placée sous le sceau de l’horreur et de la brutalité… Il suffisait qu’un régime autoritaire taxe ses adversaires de communistes et l’Oncle Sam rappliquait sur le champ.
Sur presque tous les continents, les États-Unis nous ont beaucoup appris sur la manière de prodiguer les meilleurs conseils en matière de répression, d’emprisonnements et de tortures des opposants politiques, le tout grâce la plupart du temps à des escadrons de la mort et avec la bénédiction (et à leur plus grand bonheur) des sociétés américaines. Plus économiques et beaucoup plus discrets qu’une invasion en bonne et due forme, le poing des dictateurs fantoches et le renversement des gouvernements en froid avec la nouvelle politique étasunienne ont été les meilleur moyens de mettre en œuvre cette dernière.
La chute de l’Union soviétique en 1991 a laissé bien peu de raisons aux États-Unis de continuer ainsi. Pourtant, la nouvelle puissance impériale a continué de plus belle. En 2010, le président Obama et le Pentagone ont commencé à mettre en œuvre une nouvelle stratégie mettant davantage l’accent sur les opérations de combat et la coordination militaire. Les forces spéciales étasuniennes sont déjà opérationnelles dans (au moins) soixante-quinze pays pour porter la bonne parole à ces gouvernements pour subjuguer leurs populations et servir les intérêts de l’Empire.
La Syrie est l’exemple le plus récent de ce modus operandi. Bien qu'il soit soutenu publiquement que les États-Unis ont aidé à la construction d’écoles et d’hôpitaux en Syrie, Associated Press et le New York Times nous apprennent qu’ils sont surtout en train d’armer et de former les rebelles syriens qui s’opposent au régime de Bachar Al-Assad. Avec l'aide de la Turquie, de l'Arabie saoudite et du Qatar, la plupart des armes sont destinées aux djihadistes islamiques partisans d’une ligne dure. Il est curieux de constater que nombre d’entre eux appartiennent à des groupes qui, il y a quelques années seulement, tuaient des Marines en Irak.
Le président Obama, en catimini et sans le consentement du Congrès, a envoyé en 2012 plus de cent-cinquante militaires des forces spéciales en Jordanie pour former des combattants anti-Assad et les entraîner à l'utilisation d’armes anti-aériennes sophistiquées.
Ce qui est encore plus inquiétant, c’est que les rebelles ont probablement déjà utilisé du gaz chimique tout en ayant la réputation de décapiter les prisonniers. Les États-Unis et leurs valets (France, Grande-Bretagne, Italie, etc.) sont indirectement en train de prolonger le conflit dans la région. Les raisons de cette intervention à distance sont complexes et multiformes, mais derrière la Syrie se profile l’Iran que l’Occident souhaite déstabiliser depuis plus de trente ans.
La Syrie pourrait être l’exemple le plus parlant de la nouvelle politique étasunienne en matière d’assistance militaire, mais ce n’est malheureusement pas le seul. Au Mali, avec la construction d’une nouvelle base pour drones, l’ancien directeur général de l’AFRICOM, Carter Ham, avait admis « passer outre l’éthique ». Prendre pour cibles les dissidents sur la base de l’appartenance ethnique et programmer leur exécution sont les points clés du gouvernement malien entraîné par les États-Unis.
En Indonésie, l’administration Obama chapeaute de nouveau une unité d’élite dont les membres ont été reconnus coupables de violations massives des droits humains au Timor oriental. Au Guatemala, des forces entraînées par l’Oncle Sam entretiennent des liens très étroits avec des cartels de la drogue réputés parmi les plus violents. Des méthodes qu’elles ont d’ailleurs parfaitement mises en œuvre en réprimant brutalement les citoyens guatémaltèques durant la guerre civile.
Un rapport du Washington office on latin America détaille la politique étasunienne (appelée Merida Initiative) conçue pour aider les forces armées du continent à assumer leurs propres missions de sécurité intérieure. Et c’est tout naturellement que la police étasunienne supervise la formation des polices locales. Bien que le président Obama ait publiquement dénoncé le coup d’état militaire au Honduras en 2009, l’affaire Wikileaks a révélé que l’administration Obama avait fait rencontrer des membres du département d’État avec le nouveau président illégitime hondurien dans le but de mettre en œuvre cette fameuse directive.
La politique qui consiste à armer et subventionner les gouvernements étrangers, en particulier ceux bien connus en matière de violation des droits humains, semble être la clé de voûte de la politique étrangère de l’administration Obama. Mais cette politique contribue à la propagation des dictatures, aux crises humanitaires et à l’instabilité, tout en générant de probables ressentiments. Le retour de flamme n’en sera probablement que plus violent…
Il est de plus en plus clair que l’interventionnisme étasunien est une menace pour la paix et la sécurité internationale. La superpuissance est incontestablement sur le déclin. Mais le niveau de barbarie qu’elle a atteint n’a d’égal que les souffrances qu’elle inflige aux peuples libres.
La formation des armées étrangères pour servir les intérêts de l'État américain remonte au temps de la guerre froide. Une époque pas si lointaine où on utilisait l'argent du contribuable pour subventionner des gouvernements et des guérillas farouchement anticommunistes, et qu’importe si la réalité était placée sous le sceau de l’horreur et de la brutalité… Il suffisait qu’un régime autoritaire taxe ses adversaires de communistes et l’Oncle Sam rappliquait sur le champ.
Sur presque tous les continents, les États-Unis nous ont beaucoup appris sur la manière de prodiguer les meilleurs conseils en matière de répression, d’emprisonnements et de tortures des opposants politiques, le tout grâce la plupart du temps à des escadrons de la mort et avec la bénédiction (et à leur plus grand bonheur) des sociétés américaines. Plus économiques et beaucoup plus discrets qu’une invasion en bonne et due forme, le poing des dictateurs fantoches et le renversement des gouvernements en froid avec la nouvelle politique étasunienne ont été les meilleur moyens de mettre en œuvre cette dernière.
La chute de l’Union soviétique en 1991 a laissé bien peu de raisons aux États-Unis de continuer ainsi. Pourtant, la nouvelle puissance impériale a continué de plus belle. En 2010, le président Obama et le Pentagone ont commencé à mettre en œuvre une nouvelle stratégie mettant davantage l’accent sur les opérations de combat et la coordination militaire. Les forces spéciales étasuniennes sont déjà opérationnelles dans (au moins) soixante-quinze pays pour porter la bonne parole à ces gouvernements pour subjuguer leurs populations et servir les intérêts de l’Empire.
La Syrie est l’exemple le plus récent de ce modus operandi. Bien qu'il soit soutenu publiquement que les États-Unis ont aidé à la construction d’écoles et d’hôpitaux en Syrie, Associated Press et le New York Times nous apprennent qu’ils sont surtout en train d’armer et de former les rebelles syriens qui s’opposent au régime de Bachar Al-Assad. Avec l'aide de la Turquie, de l'Arabie saoudite et du Qatar, la plupart des armes sont destinées aux djihadistes islamiques partisans d’une ligne dure. Il est curieux de constater que nombre d’entre eux appartiennent à des groupes qui, il y a quelques années seulement, tuaient des Marines en Irak.
Le président Obama, en catimini et sans le consentement du Congrès, a envoyé en 2012 plus de cent-cinquante militaires des forces spéciales en Jordanie pour former des combattants anti-Assad et les entraîner à l'utilisation d’armes anti-aériennes sophistiquées.
Ce qui est encore plus inquiétant, c’est que les rebelles ont probablement déjà utilisé du gaz chimique tout en ayant la réputation de décapiter les prisonniers. Les États-Unis et leurs valets (France, Grande-Bretagne, Italie, etc.) sont indirectement en train de prolonger le conflit dans la région. Les raisons de cette intervention à distance sont complexes et multiformes, mais derrière la Syrie se profile l’Iran que l’Occident souhaite déstabiliser depuis plus de trente ans.
La Syrie pourrait être l’exemple le plus parlant de la nouvelle politique étasunienne en matière d’assistance militaire, mais ce n’est malheureusement pas le seul. Au Mali, avec la construction d’une nouvelle base pour drones, l’ancien directeur général de l’AFRICOM, Carter Ham, avait admis « passer outre l’éthique ». Prendre pour cibles les dissidents sur la base de l’appartenance ethnique et programmer leur exécution sont les points clés du gouvernement malien entraîné par les États-Unis.
En Indonésie, l’administration Obama chapeaute de nouveau une unité d’élite dont les membres ont été reconnus coupables de violations massives des droits humains au Timor oriental. Au Guatemala, des forces entraînées par l’Oncle Sam entretiennent des liens très étroits avec des cartels de la drogue réputés parmi les plus violents. Des méthodes qu’elles ont d’ailleurs parfaitement mises en œuvre en réprimant brutalement les citoyens guatémaltèques durant la guerre civile.
Un rapport du Washington office on latin America détaille la politique étasunienne (appelée Merida Initiative) conçue pour aider les forces armées du continent à assumer leurs propres missions de sécurité intérieure. Et c’est tout naturellement que la police étasunienne supervise la formation des polices locales. Bien que le président Obama ait publiquement dénoncé le coup d’état militaire au Honduras en 2009, l’affaire Wikileaks a révélé que l’administration Obama avait fait rencontrer des membres du département d’État avec le nouveau président illégitime hondurien dans le but de mettre en œuvre cette fameuse directive.
La politique qui consiste à armer et subventionner les gouvernements étrangers, en particulier ceux bien connus en matière de violation des droits humains, semble être la clé de voûte de la politique étrangère de l’administration Obama. Mais cette politique contribue à la propagation des dictatures, aux crises humanitaires et à l’instabilité, tout en générant de probables ressentiments. Le retour de flamme n’en sera probablement que plus violent…
Il est de plus en plus clair que l’interventionnisme étasunien est une menace pour la paix et la sécurité internationale. La superpuissance est incontestablement sur le déclin. Mais le niveau de barbarie qu’elle a atteint n’a d’égal que les souffrances qu’elle inflige aux peuples libres.
Capitaine Martin
http://www.resistance-politique.fr/article-les-etats-unis-une-menace-pour-la-paix-et-les-peuples-libres-121485914.html
Une armée invisible de 80 millions
http://cadtm.org/David-Graeber-a-propos-de-Occupy
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Etats-Unis d'Amérique
La bataille des fast-foods se déroule maintenant dans 100 villes américaines d’après le Financial times
Ce mouvement long et tenace a commencé depuis plus d'1 an et tente de doubler le salaire minimum des travailleurs, de 7,25 $ l'heure à 15 $ l'heure.
De nombreux reportages et une question qui surgit sur la scène sociale centrale. Populaire.
Ce mouvement long et tenace a commencé depuis plus d'1 an et tente de doubler le salaire minimum des travailleurs, de 7,25 $ l'heure à 15 $ l'heure.
De nombreux reportages et une question qui surgit sur la scène sociale centrale. Populaire.
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
Re: Etats-Unis d'Amérique
LIBERATION
Iris DEROEUX correspondante à New York 1 janvier 2014
Un léger vent de gauche souffle sur les Etats-Unis
Kshama Sawant prône notamment un salaire horaire minimum de 15 dollars, soit le double de ce qu'il est actuellement aux Etats-Unis.
L’élection d’une socialiste au conseil municipal de Seattle constitue une curiosité et symbolise la progression des idées de gauche dans le pays.
Elle s’appelle Kshama Sawant. Ce 1er janvier, elle est entrée au conseil municipal de Seattle, dans l’Etat de Washington, au nord-ouest des Etats-Unis. Signe distinctif ? Elle est socialiste. C’est donc la première élue socialiste américaine depuis des décennies, ce qui en fait un véritable objet de curiosité dans le pays !
Elevée en Inde avant de rejoindre les Etats-Unis et d’y devenir professeure d’économie, Kshama Sawant appartient au Socialist Alternative Party, un petit parti fondé dans les années 80 qui ne compte pas d’autres élus. Tout au long de sa campagne, elle a laissé entendre que le socialisme était la réponse à à tous les problèmes américains, qu’ils soient sociaux ou environnementaux. Elle a repris la rhétorique du mouvement Occupy, dont le Socialist Alternative Party a été très proche, en disant vouloir défendre les «99%» face au 1% de population les plus riches.
Elle a dénoncé le « terrorisme économique» de l’entreprise Boeing à Seattle, en guerre avec son plus gros syndicat et qui menace de quitter la région si celui-ci ne fait pas les concessions demandées. Elle s’est encore prononcée pour l’augmentation du salaire minimum (actuellement fixé à 7,25 dollars). Une proposition très populaire ces temps-ci, défendue par Barack Obama et souhaité par 71% de la population américaine. Le maire de Seattle, le démocrate Ed Murray, est d’ailleurs aux avant-postes de ce combat : il propose le doublement du minimum salarial à Seattle, qu’il veut fixer à 15 dollars, ce qui en ferait la ville avec le taux horaire le plus élevé dans le pays.
Ainsi, aussi étonnante que puisse être une victoire socialiste aux Etats-Unis, elle l’est moins dans le contexte de Seattle, souvent considérée comme une ville de gauche. Le New York Times se chargeait de nous rappeler le passé politique local : la présence d’un mouvement anarchiste, la grande grève de 1919, ou encore l’élection d’un maire socialiste en 1922.
Mais elle n’en reste pas moins marquante. Rares sont les politiques américains faisant campagne en revendiquant l’étiquette socialiste, qui suscite toujours beaucoup de méfiance aux Etats-Unis. Bernard Sanders, par exemple, sénateur du Vermont, se dit socialiste mais fait campagne comme indépendant.
«Historiquement, les candidats socialistes gagnent aux Etats-Unis quand les électeurs en ont assez du système politique classique et veulent tenter autre chose», analyse John Nichols, l’éditorialiste du magazine de centre gauche The Nation, estimant que les opinions de gauche se diffusent de plus en plus dans le pays. Selon l’institut Pew, 64% des Américains pensent que le gouvernement devrait se préoccuper de réduire l’écart entre riches et pauvres. Ce même institut nous apprenait en 2011 qu’une majorité de jeunes Américains n’avait plus une perception négative du mot «socialisme», une première.
Cette tendance n’a pas échappé au parti démocrate, dont l’aile gauche prend du poids depuis quelques mois. En témoigne la montée en puissance de la sénatrice Elizabeth Warren, élue du Massachussetts déterminée à réguler le secteur bancaire et bête noire de Wall Street. L’élection du progressiste Bill De Blasio à la tête de New York en offre une autre illustration.
A noter qu’en face, l’aile droite du parti républicain a pris de l’avance : le courant Tea Party dispose d’un solide groupe d’élus au Congrès, qui refuse tout compromis et provoque désormais blocage sur blocage à Washington.
Iris DEROEUX correspondante à New York 1 janvier 2014
Un léger vent de gauche souffle sur les Etats-Unis
Kshama Sawant prône notamment un salaire horaire minimum de 15 dollars, soit le double de ce qu'il est actuellement aux Etats-Unis.
L’élection d’une socialiste au conseil municipal de Seattle constitue une curiosité et symbolise la progression des idées de gauche dans le pays.
Elle s’appelle Kshama Sawant. Ce 1er janvier, elle est entrée au conseil municipal de Seattle, dans l’Etat de Washington, au nord-ouest des Etats-Unis. Signe distinctif ? Elle est socialiste. C’est donc la première élue socialiste américaine depuis des décennies, ce qui en fait un véritable objet de curiosité dans le pays !
Elevée en Inde avant de rejoindre les Etats-Unis et d’y devenir professeure d’économie, Kshama Sawant appartient au Socialist Alternative Party, un petit parti fondé dans les années 80 qui ne compte pas d’autres élus. Tout au long de sa campagne, elle a laissé entendre que le socialisme était la réponse à à tous les problèmes américains, qu’ils soient sociaux ou environnementaux. Elle a repris la rhétorique du mouvement Occupy, dont le Socialist Alternative Party a été très proche, en disant vouloir défendre les «99%» face au 1% de population les plus riches.
Elle a dénoncé le « terrorisme économique» de l’entreprise Boeing à Seattle, en guerre avec son plus gros syndicat et qui menace de quitter la région si celui-ci ne fait pas les concessions demandées. Elle s’est encore prononcée pour l’augmentation du salaire minimum (actuellement fixé à 7,25 dollars). Une proposition très populaire ces temps-ci, défendue par Barack Obama et souhaité par 71% de la population américaine. Le maire de Seattle, le démocrate Ed Murray, est d’ailleurs aux avant-postes de ce combat : il propose le doublement du minimum salarial à Seattle, qu’il veut fixer à 15 dollars, ce qui en ferait la ville avec le taux horaire le plus élevé dans le pays.
Ainsi, aussi étonnante que puisse être une victoire socialiste aux Etats-Unis, elle l’est moins dans le contexte de Seattle, souvent considérée comme une ville de gauche. Le New York Times se chargeait de nous rappeler le passé politique local : la présence d’un mouvement anarchiste, la grande grève de 1919, ou encore l’élection d’un maire socialiste en 1922.
Mais elle n’en reste pas moins marquante. Rares sont les politiques américains faisant campagne en revendiquant l’étiquette socialiste, qui suscite toujours beaucoup de méfiance aux Etats-Unis. Bernard Sanders, par exemple, sénateur du Vermont, se dit socialiste mais fait campagne comme indépendant.
«Historiquement, les candidats socialistes gagnent aux Etats-Unis quand les électeurs en ont assez du système politique classique et veulent tenter autre chose», analyse John Nichols, l’éditorialiste du magazine de centre gauche The Nation, estimant que les opinions de gauche se diffusent de plus en plus dans le pays. Selon l’institut Pew, 64% des Américains pensent que le gouvernement devrait se préoccuper de réduire l’écart entre riches et pauvres. Ce même institut nous apprenait en 2011 qu’une majorité de jeunes Américains n’avait plus une perception négative du mot «socialisme», une première.
Cette tendance n’a pas échappé au parti démocrate, dont l’aile gauche prend du poids depuis quelques mois. En témoigne la montée en puissance de la sénatrice Elizabeth Warren, élue du Massachussetts déterminée à réguler le secteur bancaire et bête noire de Wall Street. L’élection du progressiste Bill De Blasio à la tête de New York en offre une autre illustration.
A noter qu’en face, l’aile droite du parti républicain a pris de l’avance : le courant Tea Party dispose d’un solide groupe d’élus au Congrès, qui refuse tout compromis et provoque désormais blocage sur blocage à Washington.
alexi- Messages : 1815
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Etats-Unis d'Amérique
Les ouvriers de Boeing acceptent l'accord sur le 777X
Les ouvriers de Boeing ont approuvé par 51% des voix contre 49 vendredi une proposition d'accord garantissant que l'avionneur américain construira le 777 de nouvelle génération dans l'Etat de Washington, siège historique de la compagnie.
Cet accord met fin à la menace de voir Boeing transférer une partie de son activité sur d'autres sites, entraînant la perte de milliers d'emplois et de plusieurs milliards de revenus pour cet Etat du nord-ouest américain.
Par 51% des voix contre 49, les ouvriers de Boeing ont accepté l'accord qui supprime leur actuel système de retraites mais leur assure une activité liée au programme du nouveau 777, connu sous le sigle 777X, jusqu'en 2024.
En cas de refus de ses salariés, Boeing avait indiqué être prêt à délocaliser la production de cette version du long-courrier, ayant reçu des propositions de 22 Etats américains pour l'implantation d'une nouvelle usine.
"Cette décision signifie que Boeing va cesser de chercher un autre site pour son programme du 777X", a dit un responsable syndical.
"Nous avions un pistolet sur la tempe et nos adhérents ont eu peur", a ajouté un autre représentant des salariés.
Cette décision a mis en lumière d'importantes divisions entre les ouvriers qui étaient opposés à l'accord et la direction syndicale qui a imposé la tenue d'un vote sur le sujet.
Des clivages sont également apparus entre les ouvriers les plus jeunes favorables à la conclusion d'un accord et les salariés les plus âgés qui y étaient fermement opposés.
En novembre, deux tiers des ouvrier s'étaient prononcés contre le plan de la direction qui prévoit de remplacer leur actuel système de retraite par un plan d'épargne financé par un prélèvement à la source des revenus des salariés.
En échange de cet accord, la direction syndicale a obtenu de l'avionneur une extension de huit ans du projet d'entreprise qui devait s'achever en 2016.
Boeing rassure ainsi les analystes et les investisseurs qui estiment que le constructeur a minimisé les risques en maintenant son programme dans des usines existantes employant des salariés qualifiés.
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Etats-Unis d'Amérique
Selon Paul Craig-Roberts, ancien Secrétaire d'Etat aux Finances,
Washington conduit le monde vers la guerre.
http://www.paulcraigroberts.org/2013/12/14/washington-drives-world-toward-war-paul-craig-roberts/
Washington conduit le monde vers la guerre.
http://www.paulcraigroberts.org/2013/12/14/washington-drives-world-toward-war-paul-craig-roberts/
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Etats-Unis d'Amérique
Noam Chomsky parle avec Stefan Molyneux de la guerre
de la prohibition des drogues, du complexe industriel carcéral,
de l’érosion des libertés civiles,
des incohérences morales au sein du gouvernement américain,
de la suppression des gardiens des médias
et du renforcement des normes de la société par le biais de l’ostracisme social.
de la prohibition des drogues, du complexe industriel carcéral,
de l’érosion des libertés civiles,
des incohérences morales au sein du gouvernement américain,
de la suppression des gardiens des médias
et du renforcement des normes de la société par le biais de l’ostracisme social.
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Salaires de crève- la- faim
http://www.blogapares.com/des-salaires-de-creve-la-faim-aux-etats-unis/
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
L'armée US a testé des armes bactériologiques
http://www.mediapart.fr/journal/international/130114/larmee-americaine-teste-des-armes-bacteriologiques-au-japon
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Aux États-Unis, des universitaires subissent la lo
Aux États-Unis, des universitaires subissent la loi du lobby sioniste
Agissant parfois ouvertement, parfois en catimini, le lobby israélien aux États-Unis effectue auprès de politiciens et d’universitaires du pays des pressions dignes du chantage. Leur but : « les coopter pour soutenir la cause d’Israël », rapporte Jim W. Dean.
Au niveau politique, les lobbyistes pro-israéliens du Congrès tiennent à jour des registres recensant ceux qui sont supposés ne pas s’aligner sur une position qui leur serait favorable en vue de s’opposer systématiquement à eux lors des futures élections. « Les Américains observent notre Congrès humilier le pays quand le lobby sioniste teste chaque année sa fidélité par les résolutions qui sont prises en sa faveur. Les votes qui s’y déroulent permettent de déterminer ceux qui resteront sur la liste de financement et ceux qui devront être combattus lors des élections à venir. C’est une forme de terrorisme politique qui a cours ici depuis des années », a déclaré Dean dans son article. « J’ai vu des membres du Congrès pâlir littéralement lorsqu’il leur a été posé une question ayant trait à Israël », a-t-il ajouté.
Dans son article, Jim W. Dean souligne également l’infiltration dans les meilleures institutions universitaires des États-Unis d’agents sionistes aux pratiques au moins aussi souterraines que celles en vigueur dans le milieu politique. L’infiltration et la cooptation de ce lobby sont naturellement portées vers les sommets, vers les meilleurs éléments qui, une fois contrôlés, feront un excellent rempart pour se protéger de la « base ». Les chantages au licenciement seront une de leurs armes…
En novembre de l’an dernier, l’ASA (America Studies Association), une association de cinq mille universitaires, est devenue la plus grande association de chercheurs étasuniens à adhérer à la campagne de boycott des institutions académiques israéliennes. L’ASA, qui se définit comme « la plus ancienne et la plus grande association se consacrant à l’étude interdisciplinaire de la culture et de l’histoire américaines », a annoncé que ses membres ont approuvé une résolution selon laquelle l’association « soutenait et honorait l’appel de la société civile palestinienne à un boycott des institutions académiques israéliennes ». La résolution, qui a été approuvée par le conseil national de l’ASA, a drainé un nombre sans précédent d’électeurs : 66,05 % ont voté en faveur de la résolution, 30,5 % ont voté contre et 3,43 % se sont abstenus.
L’ASA fait depuis face à une tempête de critiques et d’attaques de la part de l’establishment philo-israélien. L’ancien président de Harvard et chef du conseil économique national dans l’administration d’Obama, Lawrence Summers, a ainsi appelé à boycotter l’ASA sur la base de l’argument selon lequel « la résolution constituait une violation de la liberté académique tout en contribuant à perpétuer l’antisémitisme ».
Les gros bonnets du lobby sioniste ont suivi comme un seul homme et se sont ligués contre l’initiative de l’ASA en cherchant à manœuvrer auprès des élites universitaires. La toute puissante Conférence des présidents des principales organisations juives (Conference of presidents of major jewish organisations ou CoP), communément appelée « conférence des présidents », a été choisie pour sonner l’hallali contre la résolution historique de l’ASA, en prenant bien évidemment soin d’étaler au grand jour son pouvoir de nuisance.
L’ASA aura néanmoins permis de mettre à nu les universitaires qui soutiennent inconditionnellement Israël aux États-Unis : « nous ne remercierons jamais assez « la conférence des présidents » de nous avoir fourni la liste des universitaires qui soutiennent sans vergogne les crimes israéliens contre l’humanité », a déclaré Jim W. Dean.
Il finit par conclure : « nous avions déjà en notre possession la liste de leurs soutiens au Congrès, dans la magistrature, et même dans la police et au Pentagone. Le lobby israélien apparaît désormais au grand jour dans le milieu universitaire. Ce n’est une bonne nouvelle ni pour l’enseignement, ni pour la recherche. La liberté a perdu une bataille ».
Capitaine Martin
http://www.resistance-politique.fr/article-aux-etats-unis-des-universitaires-subissent-la-loi-du-lobby-sioniste-122160712.html
Au niveau politique, les lobbyistes pro-israéliens du Congrès tiennent à jour des registres recensant ceux qui sont supposés ne pas s’aligner sur une position qui leur serait favorable en vue de s’opposer systématiquement à eux lors des futures élections. « Les Américains observent notre Congrès humilier le pays quand le lobby sioniste teste chaque année sa fidélité par les résolutions qui sont prises en sa faveur. Les votes qui s’y déroulent permettent de déterminer ceux qui resteront sur la liste de financement et ceux qui devront être combattus lors des élections à venir. C’est une forme de terrorisme politique qui a cours ici depuis des années », a déclaré Dean dans son article. « J’ai vu des membres du Congrès pâlir littéralement lorsqu’il leur a été posé une question ayant trait à Israël », a-t-il ajouté.
Dans son article, Jim W. Dean souligne également l’infiltration dans les meilleures institutions universitaires des États-Unis d’agents sionistes aux pratiques au moins aussi souterraines que celles en vigueur dans le milieu politique. L’infiltration et la cooptation de ce lobby sont naturellement portées vers les sommets, vers les meilleurs éléments qui, une fois contrôlés, feront un excellent rempart pour se protéger de la « base ». Les chantages au licenciement seront une de leurs armes…
En novembre de l’an dernier, l’ASA (America Studies Association), une association de cinq mille universitaires, est devenue la plus grande association de chercheurs étasuniens à adhérer à la campagne de boycott des institutions académiques israéliennes. L’ASA, qui se définit comme « la plus ancienne et la plus grande association se consacrant à l’étude interdisciplinaire de la culture et de l’histoire américaines », a annoncé que ses membres ont approuvé une résolution selon laquelle l’association « soutenait et honorait l’appel de la société civile palestinienne à un boycott des institutions académiques israéliennes ». La résolution, qui a été approuvée par le conseil national de l’ASA, a drainé un nombre sans précédent d’électeurs : 66,05 % ont voté en faveur de la résolution, 30,5 % ont voté contre et 3,43 % se sont abstenus.
L’ASA fait depuis face à une tempête de critiques et d’attaques de la part de l’establishment philo-israélien. L’ancien président de Harvard et chef du conseil économique national dans l’administration d’Obama, Lawrence Summers, a ainsi appelé à boycotter l’ASA sur la base de l’argument selon lequel « la résolution constituait une violation de la liberté académique tout en contribuant à perpétuer l’antisémitisme ».
Les gros bonnets du lobby sioniste ont suivi comme un seul homme et se sont ligués contre l’initiative de l’ASA en cherchant à manœuvrer auprès des élites universitaires. La toute puissante Conférence des présidents des principales organisations juives (Conference of presidents of major jewish organisations ou CoP), communément appelée « conférence des présidents », a été choisie pour sonner l’hallali contre la résolution historique de l’ASA, en prenant bien évidemment soin d’étaler au grand jour son pouvoir de nuisance.
L’ASA aura néanmoins permis de mettre à nu les universitaires qui soutiennent inconditionnellement Israël aux États-Unis : « nous ne remercierons jamais assez « la conférence des présidents » de nous avoir fourni la liste des universitaires qui soutiennent sans vergogne les crimes israéliens contre l’humanité », a déclaré Jim W. Dean.
Il finit par conclure : « nous avions déjà en notre possession la liste de leurs soutiens au Congrès, dans la magistrature, et même dans la police et au Pentagone. Le lobby israélien apparaît désormais au grand jour dans le milieu universitaire. Ce n’est une bonne nouvelle ni pour l’enseignement, ni pour la recherche. La liberté a perdu une bataille ».
Capitaine Martin
http://www.resistance-politique.fr/article-aux-etats-unis-des-universitaires-subissent-la-loi-du-lobby-sioniste-122160712.html
Re: Etats-Unis d'Amérique
Ben voyons, c'est le "lobby sioniste" qui détermine la politique de l'impérialisme US....
Nous y voilà.
Nous y voilà.
mykha- Messages : 1079
Date d'inscription : 19/06/2013
Re: Etats-Unis d'Amérique
Il ne la détermine pas, comme le montre par exemple le rapprochement actuel avec l'Iran, qui, bien que limité, fait hurler le gouvernement israëlien. Néanmoins, ce lobby existe et son existence est unanimement reconnue aux Etats Unis. Alors, évidemment, dans un pays comme la France, il faut faire attention avec cette expression - "lobby sioniste" - car la distance n'est pas toujours très éloignée avec "Les Juifs gouvernent le monde". Il n'en reste pas moins qu'il existe, en France aussi, disons des "réseaux d'influence" pro-israëliens efficaces.mykha a écrit:Ben voyons, c'est le "lobby sioniste" qui détermine la politique de l'impérialisme US....
Nous y voilà.
verié2- Messages : 8494
Date d'inscription : 11/07/2010
Re: Etats-Unis d'Amérique
Bilan financier de l’Etat fédéral et de l’économie américaine : les apparences sont trompeuses
http://criseusa.blog.lemonde.fr/2014/01/22/bilan-financier-de-letat-federal-et-de-leconomie-americaine-les-apparences-sont-trompeuses/#xtor=RSS-32280322
http://criseusa.blog.lemonde.fr/2014/01/22/bilan-financier-de-letat-federal-et-de-leconomie-americaine-les-apparences-sont-trompeuses/#xtor=RSS-32280322
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Les crimes cachés des présidents
http://www.medelu.org/Les-crimes-caches-des-Presidents
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Etats-Unis d'Amérique
Bilan financier de l’Etat fédéral et de l’économie américaine : les apparences sont trompeuses
par Onubre Einz
http://www.les-crises.fr/usa-apparences-trompeuses/
par Onubre Einz
http://www.les-crises.fr/usa-apparences-trompeuses/
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Etats-Unis d'Amérique
« D'après vous, quel pays représente la plus grande menace pour la paix mondiale ? »,
c'était une des questions posées par l'institut de sondage américain Gallup dans 65 pays.
Près d'une personne interrogée sur quatre (24 %) interrogée dans le monde
pense que les Etats-unis constituent la plus grande menace pour la paix mondiale.
Les autres pays arrivent loin derrière : Pakistan (8 %), Chine (6%) puis Israel (5%).
http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/
c'était une des questions posées par l'institut de sondage américain Gallup dans 65 pays.
Près d'une personne interrogée sur quatre (24 %) interrogée dans le monde
pense que les Etats-unis constituent la plus grande menace pour la paix mondiale.
Les autres pays arrivent loin derrière : Pakistan (8 %), Chine (6%) puis Israel (5%).
http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Etats-Unis : taux d’activité effondré
http://www.ofce.sciences-po.fr/blog/le-taux-de-chomage-americain-baisse-et-alors/
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Décapant !
De bonnes infos, agrémentées de bons moments
Comme le dit Olivier Beruyer, parlant du risque systémique:
"Pas besoin d'être trotskiste pour savoir que c'est dangereux"...
Comme le dit Olivier Beruyer, parlant du risque systémique:
"Pas besoin d'être trotskiste pour savoir que c'est dangereux"...
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
LA QUESTION À 17.000 MILLIARDS DE DOLLARS
par François Leclerc
http://www.pauljorion.com/blog/?p=61909#more-61909
http://www.pauljorion.com/blog/?p=61909#more-61909
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Etats-Unis d'Amérique
PLOUTOCRACY – La moitié des membres du Congrès américain sont désormais millionnaires
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2014/01/10/ploutocracy-la-moitie-des-membres-du-congres-americain-sont-desormais-millionnaires/#xtor=RSS-32280322
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2014/01/10/ploutocracy-la-moitie-des-membres-du-congres-americain-sont-desormais-millionnaires/#xtor=RSS-32280322
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
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