Olivier Besancenot
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Re: Olivier Besancenot
C'est qui cet "Olivier Besancenot" dont tu nous parles, Sylvestre ? Il ne serait pas au NPA par hasard ?
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Olivier Besancenot
Désolé, M. Hollande, la maison ne fait plus crédit ! (Tribune de Besancenot dans le Huffington Post 6/09/2012)
vendredi 7 septembre 2012
En France, depuis le 6 mai dernier, quelque chose a changé, mais quoi?
L'ambiance politique n'est plus la même. C'est certain. Elle est moins anxiogène, moins conflictuelle. Le nouveau locataire de l'Élysée développe un discours qui tranche avec les dernières années que nous avons subies. Le verbe n'est pas agressif, pas insultant, il se veut apaisé, calme, soucieux du compromis et du règlement des affaires en bonne entente.
Fini donc les diatribes qui stigmatisent une partie de la population et qui transforment les victimes de la crise en coupables. Place à l'apologie du consensus. Rien à dire, Nicolas Sarkozy et l'UMP ont bel et bien été chassés du pouvoir. Et c'est très bien comme cela. La droite est donc partie, mais sa politique? Bien sûr, des mesures symboliques de début de mandat sont venues nous redire que la gauche avait repris les commandes: justice des mineurs, loi sur le harcèlement sexuel, blocage des loyers, plafonnement des patrons des entreprises publiques, etc. Mais au final, lorsqu'il s'agit de faire les premiers comptes, rien de comparable entre le pour et le contre. La question n'est d'ailleurs pas de se contenter de telle ou telle mesure, mais d'apprécier dans quel cadre général ces options s'inscrivent.
Sans surprise, le gouvernement Ayrault mène une alternance molle, sociale-libérale. La politique, dans les faits, suivra globalement les grandes lignes des gouvernements précédents, avec un aménagement social et sociétal à la marge. Car, fondamentalement, l'urgence consiste toujours, aux yeux de nos gouvernants, à sortir le capitalisme de sa crise, par tous les moyens nécessaires, plutôt que de nous protéger d'un système capitaliste en crise. Nous connaissons la feuille de route du nouveau gouvernement. La droite avait montré beaucoup d'ardeur à sauvegarder les intérêts des riches et des capitalistes, cette gauche là ne fera rien de tel pour défendre ceux des exploités et des opprimés. On serait pourtant en droit de penser qu'il s'agit de sa vocation historique. Mais les vocations évoluent et cela fait déjà longtemps que, pour cette gauche, pareil objectif est hors-sujet.
Ainsi, ce gouvernement se contente-t-il de faire ce qu'il a dit qu'il ferait. Ni plus, ni moins. "Je serai le président qui ne promettra que ce qu'il pourra tenir", avait prévenu François Hollande, avec une certaine honnêteté. Il est donc bien celui qu'il a promis d'être. Qui, à gauche, peut feindre l'étonnement, ou la frustration? Depuis le début de son mandat, nous savons, dans nos fors intérieurs que, sous ce gouvernement PS-EELV, rien ne sera donné et que ce que nous parviendrions à gagner, nous ne le devrons qu'à nos propres combats. Si l'on se réfère aux expériences passées, en France ou dans d'autres pays d'Europe, au bout de quelques mois, cette gauche libérale finit toujours par agacer la gauche - et pas véritablement la droite. Ainsi la ratification du pacte européen budgétaire, qui grave dans le marbre la purge libérale pour combler les déficits publics. Ainsi la politique d'immigration, conduite par un ministre de l'Intérieur qui, les mots en moins, mène les mêmes discriminations que ses prédécesseurs. Ainsi sa gestion accompagnatrice des nombreux plans de licenciements qui s'accumulent les uns après les autres. Gestion qui fâche les licenciés et pas les licencieurs.
Bref, de l'ère Jospin, cette gauche libérale a notamment retenu qu'il fallait apprendre à mieux communiquer. Face à la fermeture de l'usine Renault Vilvoorde et aux licenciements chez Michelin, le Premier ministre socialiste avait fini par dire sa vérité:"L'État ne peut pas tout." Aujourd'hui, pareille franchise n'est plus de mise. Les boîtes de communication veillent au grain. "L'État ne laissera pas faire" lance, presque enthousiaste, François Hollande à propos du dossier PSA. Seulement voilà, dans le faits, l'État décide ne rien faire, alors qu'il pourrait taper du poing sur la table en utilisant le moyen de pression dont il dispose: l'argent public régulièrement distribué à tous ces groupes licencieurs. Il pourrait menacer de récupérer ces sommes, interdire les licenciements et exproprier les entreprises qui licencient dans le seul but de réaliser plus de profits. Mais, en à peine quelques semaines, la normalité à gauche a déjà muté en normalisation de la gauche.
L'espoir ne peut donc surgir que de la gauche non gouvernementale, sociale et politique. Allons-nous nous réveiller, comme à chaque fois, seulement à mi-mandat, pour nous faire entendre? En embuscade, la droite et l'extrême droite attendent leur heure, et apprennent à compter ensemble. L'urgence sociale et écologique rend caduques toutes demi-mesures. Quant à l'histoire socialiste récente - 1981, 1988, 1997 - elle vient nous dire que si la majorité d'entre nous ne se mobilise pas dès à présent, alors, une fois encore, les classes populaires seront flouées par la gauche au pouvoir. Inutile d'attendre les désillusions qui déjà se dessinent, et dont il ne sort jamais rien de constructif ou de bénéfique, inutile de succomber à la culpabilisation des appels à la raison et à la patience lancés par le gouvernement.
À gauche, le débat n'oppose pas les impatients aux patients, mais ceux qui veulent faire payer la crise aux capitalistes, seuls véritables responsables, à ceux qui y renoncent. Enfin, M. Hollande, inutile de réclamer un quelconque crédit, la maison n'en fait plus à présent... c'est ça aussi, le changement!
vendredi 7 septembre 2012
En France, depuis le 6 mai dernier, quelque chose a changé, mais quoi?
L'ambiance politique n'est plus la même. C'est certain. Elle est moins anxiogène, moins conflictuelle. Le nouveau locataire de l'Élysée développe un discours qui tranche avec les dernières années que nous avons subies. Le verbe n'est pas agressif, pas insultant, il se veut apaisé, calme, soucieux du compromis et du règlement des affaires en bonne entente.
Fini donc les diatribes qui stigmatisent une partie de la population et qui transforment les victimes de la crise en coupables. Place à l'apologie du consensus. Rien à dire, Nicolas Sarkozy et l'UMP ont bel et bien été chassés du pouvoir. Et c'est très bien comme cela. La droite est donc partie, mais sa politique? Bien sûr, des mesures symboliques de début de mandat sont venues nous redire que la gauche avait repris les commandes: justice des mineurs, loi sur le harcèlement sexuel, blocage des loyers, plafonnement des patrons des entreprises publiques, etc. Mais au final, lorsqu'il s'agit de faire les premiers comptes, rien de comparable entre le pour et le contre. La question n'est d'ailleurs pas de se contenter de telle ou telle mesure, mais d'apprécier dans quel cadre général ces options s'inscrivent.
Sans surprise, le gouvernement Ayrault mène une alternance molle, sociale-libérale. La politique, dans les faits, suivra globalement les grandes lignes des gouvernements précédents, avec un aménagement social et sociétal à la marge. Car, fondamentalement, l'urgence consiste toujours, aux yeux de nos gouvernants, à sortir le capitalisme de sa crise, par tous les moyens nécessaires, plutôt que de nous protéger d'un système capitaliste en crise. Nous connaissons la feuille de route du nouveau gouvernement. La droite avait montré beaucoup d'ardeur à sauvegarder les intérêts des riches et des capitalistes, cette gauche là ne fera rien de tel pour défendre ceux des exploités et des opprimés. On serait pourtant en droit de penser qu'il s'agit de sa vocation historique. Mais les vocations évoluent et cela fait déjà longtemps que, pour cette gauche, pareil objectif est hors-sujet.
Ainsi, ce gouvernement se contente-t-il de faire ce qu'il a dit qu'il ferait. Ni plus, ni moins. "Je serai le président qui ne promettra que ce qu'il pourra tenir", avait prévenu François Hollande, avec une certaine honnêteté. Il est donc bien celui qu'il a promis d'être. Qui, à gauche, peut feindre l'étonnement, ou la frustration? Depuis le début de son mandat, nous savons, dans nos fors intérieurs que, sous ce gouvernement PS-EELV, rien ne sera donné et que ce que nous parviendrions à gagner, nous ne le devrons qu'à nos propres combats. Si l'on se réfère aux expériences passées, en France ou dans d'autres pays d'Europe, au bout de quelques mois, cette gauche libérale finit toujours par agacer la gauche - et pas véritablement la droite. Ainsi la ratification du pacte européen budgétaire, qui grave dans le marbre la purge libérale pour combler les déficits publics. Ainsi la politique d'immigration, conduite par un ministre de l'Intérieur qui, les mots en moins, mène les mêmes discriminations que ses prédécesseurs. Ainsi sa gestion accompagnatrice des nombreux plans de licenciements qui s'accumulent les uns après les autres. Gestion qui fâche les licenciés et pas les licencieurs.
Bref, de l'ère Jospin, cette gauche libérale a notamment retenu qu'il fallait apprendre à mieux communiquer. Face à la fermeture de l'usine Renault Vilvoorde et aux licenciements chez Michelin, le Premier ministre socialiste avait fini par dire sa vérité:"L'État ne peut pas tout." Aujourd'hui, pareille franchise n'est plus de mise. Les boîtes de communication veillent au grain. "L'État ne laissera pas faire" lance, presque enthousiaste, François Hollande à propos du dossier PSA. Seulement voilà, dans le faits, l'État décide ne rien faire, alors qu'il pourrait taper du poing sur la table en utilisant le moyen de pression dont il dispose: l'argent public régulièrement distribué à tous ces groupes licencieurs. Il pourrait menacer de récupérer ces sommes, interdire les licenciements et exproprier les entreprises qui licencient dans le seul but de réaliser plus de profits. Mais, en à peine quelques semaines, la normalité à gauche a déjà muté en normalisation de la gauche.
L'espoir ne peut donc surgir que de la gauche non gouvernementale, sociale et politique. Allons-nous nous réveiller, comme à chaque fois, seulement à mi-mandat, pour nous faire entendre? En embuscade, la droite et l'extrême droite attendent leur heure, et apprennent à compter ensemble. L'urgence sociale et écologique rend caduques toutes demi-mesures. Quant à l'histoire socialiste récente - 1981, 1988, 1997 - elle vient nous dire que si la majorité d'entre nous ne se mobilise pas dès à présent, alors, une fois encore, les classes populaires seront flouées par la gauche au pouvoir. Inutile d'attendre les désillusions qui déjà se dessinent, et dont il ne sort jamais rien de constructif ou de bénéfique, inutile de succomber à la culpabilisation des appels à la raison et à la patience lancés par le gouvernement.
À gauche, le débat n'oppose pas les impatients aux patients, mais ceux qui veulent faire payer la crise aux capitalistes, seuls véritables responsables, à ceux qui y renoncent. Enfin, M. Hollande, inutile de réclamer un quelconque crédit, la maison n'en fait plus à présent... c'est ça aussi, le changement!
panchoa- Messages : 1042
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nico37- Messages : 7067
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gérard menvussa- Messages : 6658
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nico37- Messages : 7067
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nico37- Messages : 7067
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Re: Olivier Besancenot
Besancenot et Mélenchon, frères ennemis 12/09 Marion Mourgue
À la gauche de la gauche, la bataille fait rage pour savoir qui de Mélenchon ou de Besancenot sera le plus efficace.
En s’inspirant d’une chanson de Léo Ferré pour le titre de son livre (On a voté… Et puis après ?), Olivier Besancenot fait son retour sur la scène de la mobilisation. Même sous un gouvernement de gauche, dit-il, “rien ne nous sera donné. Ce que nous aurons, nous devrons lui arracher”. Manifestement sans illusions, Olivier Besancenot martèle que le 6 mai n’est pas une victoire de la gauche, mais surtout “un référendum anti-Sarkozy”. “Alors, on a voté.” Peu d’empressement donc… Raison pour laquelle Olivier Besancenot n’attend rien de particulier aujourd’hui de l’Élysée.
“Pour être honnête, nous n’avons pas été pris de court, il y a quelque temps déjà que le projet du PS ne revendique plus de projet de société prometteur pour les opprimés.”
Ce tableau dépeint, Besancenot dresse une dichotomie très nette au sein de la gauche entre celle au pouvoir, et celle “non-gouvernementale sociale et politique”. L’opposition en somme. La seule à ses yeux capable de faire bouger les choses et “d’assurer les moyens du changement”. Une différence majeure avec la position de Jean-Luc Mélenchon, qui se situe, explique-t-il, dans le camp des vainqueurs, dans celui des “ayants droit”.
L’union entre les deux frères ennemis de la gauche de la gauche semble donc compliquée malgré l’appel du pied d’Olivier Besancenot pour une union des forces autour d’objectifs politiques communs, comme l’opposition au Pacte de stabilité budgétaire européen. Réponse cinglante de Jean-Luc Mélenchon à Besancenot, par l’intermédiaire des Inrocks :
“Il ne manque pas de souffle. Depuis 2008, il a tout fait pour nous diviser. Nous, on s’est rassemblés dans le Front de gauche et lui s’est bunkérisé. Il a voulu combattre des staliniens qui n’existent plus ! Je lui demande de réfléchir ! Assez de mauvais prétextes. Le Front de gauche est le pôle alternatif à gauche. Qu’est-ce qu’il attend pour venir ?”
Si on demande à Jean-Luc Mélenchon s’il a l’intention de lire son livre, il lève les yeux au ciel…
On a voté… Et puis après ? d’Olivier Besancenot (Cherche-Midi), 154 pages, 7,50 €
nico37- Messages : 7067
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Olivier Besancenot
RMC : Olivier Besancenot : "Le droit de vote des étrangers est une proposition de 1981, c'est la moindre des choses de l'appliquer."
sylvestre- Messages : 4489
Date d'inscription : 22/06/2010
Re: Olivier Besancenot
Islam radical : prise de bec entre Besancenot et un éditorialiste au Figaro Vidéo LCIWAT sélectionnée dans Actualité
sylvestre- Messages : 4489
Date d'inscription : 22/06/2010
nico37- Messages : 7067
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Olivier Besancenot
Si les verts ont une représentation politique largement surestimée par rapport à ses effectifs, le NPA bénéficie aujourd'hui d'une couverture médiatique en rapport inverse de la crise qui le secoue et qui se traduit par une hémorragie d'adhérents. Jamais autant vu Besancenot que depuis qu'il n'est plus un porte-parole. "Olivier Besancenot, ancien porte-parole du NPA" en sous-titre de Public sénat.
Il n'y a pas si longtemps les camarades du forum pleuraient à chaudes larmes le désintérêt des médias pour le NPA arguant de la place faite au FdG par ces médias bourgeois ; qu'ont donc à dire ces mêmes camarades de la tendance qui s'est retournée depuis deux mois ?
Eugene Duhring- Messages : 1705
Date d'inscription : 22/09/2011
Re: Olivier Besancenot
Eugene Duhring a écrit:Si les verts ont une représentation politique largement surestimée par rapport à ses effectifs, le NPA bénéficie aujourd'hui d'une couverture médiatique en rapport inverse de la crise qui le secoue et qui se traduit par une hémorragie d'adhérents. Jamais autant vu Besancenot que depuis qu'il n'est plus un porte-parole. "Olivier Besancenot, ancien porte-parole du NPA" en sous-titre de Public sénat.
Il n'y a pas si longtemps les camarades du forum pleuraient à chaudes larmes le désintérêt des médias pour le NPA arguant de la place faite au FdG par ces médias bourgeois ; qu'ont donc à dire ces mêmes camarades de la tendance qui s'est retournée depuis deux mois ?
Perso, je préfère entendre JLM que la droite, et Olivier Besancenot et Arthaud plutôt que JLM, etc...
Maintenant ce qu'il, serait interessant de regarder ce sont les temps de parole accordés sur tous les grands médias et types d'émission depuis 2002 par exemple, des temps de parole des uns et des autres.
Le CSA publie cela (sans s'en tenir à une partie seulement des télés). Tant qu'il n'y a pas d'étude là dessus, que peux-t-on dire ? A part des commentaires diagonaux.
Je n'ai pas regardé récemment, mais à l'époque où le PC traitait OB de chouchou des médias, les chiffres réels des temps de parole n'ont jamais montré cela, au maximum le NPA avait eu sur une courte période autant de temps que le PC. Par contre il était évident que 1 minute de temps de parole de OB valait 20 minutes de temps de parole de l'époque des dirigeants du PC tant leurs propos étaient obscurs.
Duhring va nous passer les temps de parole des uns et des autres de ces derniers temps, il nous fera plaisir (en dehors des temps de la présidentielle évidemment où c'est légalement une égalité). Sans oublier les temps de parole aussi des autres, LO par exemple, victime habituelle des médias, et bien sur les vrais chouchous, droites, gauches bourgeoises, etc.
Mais à mon avis, le commentaire sur OB est comme d'habitude : crasseux, cherchant à attaquer les personnes, sous-entendre pour salir.
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
Re: Olivier Besancenot
Une hémorragie d'adhérents? Tu as un peu de retard là. Le départ de la GA c'est du passé. Maintenant on est plutôt en phase de reconstruction.Eugene Duhring a écrit:Si les verts ont une représentation politique largement surestimée par rapport à ses effectifs, le NPA bénéficie aujourd'hui d'une couverture médiatique en rapport inverse de la crise qui le secoue et qui se traduit par une hémorragie d'adhérents.
Les médias ça va ça vient. Si OB a beaucoup la parole, c'est 1/ qu'il a sorti un livre 2/ que la bourgeoisie ne se sent pas trop menacée en ce moment. On peut être sûr que si la situation sociale se tend, les médias ne nous ferons pas de cadeaux et il faudra se gagner notre visibilité politique nous-mêmes.Eugene Duhring a écrit:Jamais autant vu Besancenot que depuis qu'il n'est plus un porte-parole. "Olivier Besancenot, ancien porte-parole du NPA" en sous-titre de Public sénat.
Il n'y a pas si longtemps les camarades du forum pleuraient à chaudes larmes le désintérêt des médias pour le NPA arguant de la place faite au FdG par ces médias bourgeois ; qu'ont donc à dire ces mêmes camarades de la tendance qui s'est retournée depuis deux mois ?
Par ailleurs, je ne vois pas trop ce qui te dérange. Je préfèrerais qu'on voit aussi Nathalie Arthaud plus souvent. Et pourquoi pas des porte-paroles d'autres organisations d'extrême gauche. C'est toujours mieux que de voir le FDG, voire la droite ou l'extrême droite.
Duzgun- Messages : 1629
Date d'inscription : 27/06/2010
Re: Olivier Besancenot
BESANCENOT S'INTERPOSE LORS D'UN CONTRÔLE DE POLICE MUSCLÉ : UNE DISCUSSION TENDUE
Mardi 2 octobre, vers 18 heures 30, Olivier Besancenot est intervenu lors d'un contrôle de police qui se déroulait au pied de son immeuble, dans le quartier de Barbès. Selon les nombreux témoins, l'interpellation d'un vendeur de maïs à la sauvette se déroulait de façon "très brutale" - au point que plusieurs passants ont tenté de s'interposer. Scandalisé, l'ancien candidat à la présidentielle s'est précipité dans la rue, où une brève mais vigoureuse altercation l'a alors opposé aux forces de l'ordre. ParisMatch.com s'est procuré les images de cette scène. Ici, cerné par plusieurs policiers, Olivier Besancenot tente de sa faire entendre.
(...)
nico37- Messages : 7067
Date d'inscription : 10/07/2010
nico37- Messages : 7067
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Olivier Besancenot
http://cifaction.com/index.php/fr/videos/viewvideo/72/itw-politiques/22-10-itw-olivier-besancenot
nico37- Messages : 7067
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Olivier Besancenot
A midi sur France3 aujourd'hui
http://www.pluzz.fr/12-13-dimanche-2012-10-28-12h10.html
http://www.pluzz.fr/12-13-dimanche-2012-10-28-12h10.html
fée clochette- Messages : 1274
Date d'inscription : 23/06/2010
Age : 59
Localisation : vachement loin de la capitale
Re: Olivier Besancenot
C'est la proposition de Besancenot : Une marche des licenciés ? 29.10
Olivier Besancenot (NPA) a proposé aux formations se situant à gauche du PS, notamment le Front de gauche, d'organiser une « marche des licenciés », sur le modèle de la manifestation contre le traité budgétaire européen fin septembre.
« Ce qu'on a été capable de faire ensemble contre la ratification du traité européen, alors il faut qu'on soit capable de le faire ensemble cette fois-ci aux côtés des salariés licenciés », a lancé Besancenot, en allusion à la marche du 30 septembre dernier qui avait réuni des dizaines de milliers de personnes.
Il a évoqué « une marche des licenciés (...) où en début de cortège on ait les PSA, Arcelor, Sanofi ». La figure du Nouveau parti anticapitaliste répondait de cette manière à Alexis Corbière, secrétaire national du Parti de gauche (PG), qui l'appelait à rejoindre le Front de gauche. « Cette main tendue, je l'accepte volontiers pour discuter. D'ailleurs on ne demande que ça depuis des semaines et bizarrement ça n'arrive pas. Pourquoi ? », a aussi répondu Besancenot.
« La direction, et j'insiste, la direction du Front de gauche, est dans un positionnement politique qui consiste à dire : on n'est ni dans le gouvernement, ni dans l'opposition. Je pense que c'est quelque chose qui ne pourra pas résister aux faits ».
Il a cité le budget. « On est tous, je crois, d'accord pour dire, à la gauche de la gauche, que c'est un budget d'austérité. Si c'est un budget d'austérité, alors il faut voter contre. J'espère qu'ils le feront », a déclaré l'ancien candidat à la présidentielle.
nico37- Messages : 7067
Date d'inscription : 10/07/2010
nico37- Messages : 7067
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Olivier Besancenot
J'ai vu Olivier Besancenot hier soir tard sur la 2 qui défendait la "constituante européenne". Existe-t-il un document expliquant et clarifiant cette revendication ?
Achille- Messages : 2738
Date d'inscription : 24/12/2011
Re: Olivier Besancenot
PAS DE SORTIE DE CRISE DANS LE CADRE NATIONAL, POUR UN PLAN D’URGENCE EUROPÉEN...
sylvestre- Messages : 4489
Date d'inscription : 22/06/2010
Re: Olivier Besancenot
rien vu sur la "constituante européenne" dans ce document ...
Achille- Messages : 2738
Date d'inscription : 24/12/2011
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