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MES-FESF... : perte d'autonomie budgétaire !

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Message  BouffonVert72 Ven 28 Jan - 3:34

Désolé ça provient du Figaro, mais c'est intéressant car ça montre bien que l'attaque de la Bourgeoisie Kapitaliste contre les retraites est une attaque coordonnée sur l'ensemble des pays européens, et pas seulement sur la France, probablement préparée depuis qq temps par les Maîtres du Monde (qu'on peut aussi appeler Maîtres du Mal)... L'argument démographique est facile... Sans parler de l'argument "crise", crise qu'ils ont eux même créée en spéculant à tout va...

Je comprends mieux maintenant pourquoi T$arko$y veut ces derniers temps absolument prendre model sur l'Allemagne... Merkel fait pression sur l'ensemble de l'UE pour que tous les pays passent à 67 ans...

Ca me donne vraiment l'impression qu'un premier palier à 65 ans avait été décidé, puis que le deuxième sera de 67 ans dans toute l'UE... En attendant les 70 ans probables dans qq années, vu que c'est déjà le cas dans les faits au Japon, et que ça se prépare au R-U et aux Usa...

Les Travailleurs européens, entre-autres, sont tous en train de se faire avoir... La Bourgeoisie kapitaliste européenne semble revenir à sa bonne vieille méthode qu'elle avait pu utiliser jusqu'au début du 20ièm siècle : exploiter les Travailleurs le plus longtemps possible en âge de manière à ce qu'un maximum de Travailleurs meurent avant de pouvoir prendre leur retraite de manière à faire des économies ! Et ceux qui arriveront quand-même à avoir une retraite, percevront de moins en moins...

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/01/27/04016-20110127ARTFIG00701-l-allongement-de-l-age-de-la-retraite-se-generalise.php

LeFigaro a écrit:

Anne Cheyvialle
27/01/2011 | Mise à jour : 22:44

L'allongement de l'âge de la retraite se généralise

Le mouvement de réforme des retraites, amorcé depuis quelques années dans les économies développées pour parer au vieillissement des populations, s'est amplifié avec la crise.MES-FESF... : perte d'autonomie budgétaire ! Coeur-
En Europe, l'urgence est de redresser les finances publiques pour éviter la sanction des marchés. Les pays les plus fragilisés de la zone euro, Grèce, Portugal, Espagne, ont tous intégré dans leurs plans d'économie un volet retraite. En Grèce, le gouvernement ­socialiste de Georges Papandréou a obtenu en juillet dernier le vote d'une réforme qui porte l'âge légal de 60 à 65 ans, d'ici 2015. Et le nombre d'annuités nécessaires pour pouvoir liquider sa pension passe de 37 à 40 ans. En Irlande, la retraite était déjà portée à 66 ans lorsque la crise a éclaté.
Entre hausse des cotisations, baisse du niveau des pensions et allongement de la durée de travail, la plupart des États privilégient le troisième levier pour rééquilibrer les régimes.

Résultat : l'âge légal à 65 ans devient de plus en plus la règle en Europe - c'est déjà le cas en Autriche, en Belgique, au Portugal ou en Italie -, jusqu'à franchir le seuil des 67 ans, notamment aux Pays-Bas, en Allemagne et au Danemark.
Le gouvernement danois libéral a proposé, cette semaine, d'avancer à 2022, au lieu de 2027, l'entrée en vigueur de la retraite à 67 ans. Il envisage aussi une suppression progressive du régime de préretraite. En Allemagne, la décision de passer à 67 ans date de 2007. Le relèvement se fera de manière progressive à partir de 2012 pour atteindre 67 ans en 2029.

La semaine dernière, la chancelière Angela Merkel a plaidé pour une généralisation des 67 ans dans toute la zone euro, pour faire face à la crise de la dette et faire accepter au Bundestag l'augmentation controversée du Fonds de secours européen (FESF).

Malgré la réforme votée en novembre, repoussant de 60 à 62 ans l'âge légal de départ à la retraite à partir de 2018, la France reste très en deçà de la norme européenne. Sachant que la durée de cotisations minimales sera à cette date de 41 ans et un trimestre. «Attention, relativise Gérard Cornilleau, de l'OFCE, car la notion d'âge n'a pas la même signification. En France, il s'agit de l'âge minimal, tandis que d'autres pays parlent de l'âge d'une retraite à taux plein.» En Allemagne, la limite de 67 ans concerne la retraite à taux plein. S'ils ont cotisé 35 ans, les salariés allemands peuvent partir à 63 ans, mais en subissant une décote de 3,6 % par an.

Record d'âge européen en Grande-Bretagne


Avec sa grande réforme de 1998, la Suède a résolu le problème en supprimant la notion d'âge et en instaurant le principe d'une retraite à la carte, où les niveaux de pensions dépendent de la date de départ. La Suède a aussi introduit une part obligatoire de capitalisation. En Europe, le record d'âge revient à la Grande-Bretagne, qui va augmenter progressivement jusqu'à 68 ans à l'horizon 2046. Sachant que le niveau des retraites publiques, très bas, incite les gens à travailler plus longtemps.

Mêmes causes, mêmes effets au Japon, où, faute d'une pension suffisante, les hommes prennent en moyenne leur retraite à 70 ans et les femmes à 66 ans alors même que l'âge légal est de… 60 ans. Enfin, outre-Atlantique, le débat a été ouvert cet automne par certains parlementaires pour passer de 67… à 70 ans.



Dernière édition par BouffonVert72 le Ven 9 Déc - 22:29, édité 3 fois (Raison : Changement de titre du topic)
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Message  BouffonVert72 Ven 4 Fév - 18:48

http://www.lepost.fr/article/2011/02/04/2394830_sarkozy-et-merkel-veulent-nous-imposer-la-retraite-a-67-ans-et-la-fin-du-smic.html#xtor=AL-235

lepost.fr a écrit:

04/02/2011 à 15h30 - mis à jour le 04/02/2011 à 16h08
Par Tittine

Sarkozy et Merkel veulent nous imposer la retraite à 67 ans et la fin de notre SMIC



L'Europe, en catimini, est en train de nous préparer rien moins que l'avènement total du libéralisme le plus échevelé.

Au programme quatre mesures : interdiction des déficits, harmonisation fiscale, fin de l'indexation des salaires sur les prix et retraite à 67 ans. Dit comme ça c'est déjà énorme, dans le détail, c'est pire.

MES-FESF... : perte d'autonomie budgétaire ! H-20-2394913-1296829365

(montage perso)


Interdiction des déficits. A priori, cela semble frappé au coin du bon sens, comment dépenser durablement davantage que l'on ne gagne ? Sauf que les Etats ont des dépenses contraintes. Ne serait-ce que payer leurs fonctionnaires et les pensionnés de la fonction publique.

Cela implique donc de réduire non seulement les fonctionnaires, mais aussi le champ d'action de l'Etat. Et qui va prendre la relève ? Le privé, bien sûr !

Harmonisation fiscale. Le but affiché est d'empêcher le dumping fiscal, comme l'avait pratiqué l'Irlande pour attirer les entreprises. D'ailleurs cette hamonisation concerne essentiellement les sociétés. Elle devrait tendre leur imposition vers le bas. Mais comme le déficit sera interdit, il faudra bien trouver des recettes, donc dans les poches des particuliers.

Non indexation des salaires. Cela signifie que l'inflation peut grignoter gentiment les salaires. Et en France, c'est la fin du SMIC tel que nous le connaissons. Déjà que Sarko se vante de ne plus lui accorder de coup de pouce, là ce sera pire.

Retraite à 65 voire à 67 ans. C'est la dernière marotte de nos libéraux. Elle ne vise qu'à deux choses. La première éviter de payer trop de retraites ce qui va dans le sens du non-déficit. La seconde, entretenir des tensions sur le marché du travail. Ce qui permet de conserver un volume de chômage conséquent et donc de maintenir les salariés sous la coupe.

Ce n'est déjà pas mal, me direz-vous. Pourtant ce n'est pas tout. Ces mesures libérales doivent être inscrites dans le marbre, donc dans les Constitutions de chacun des Etats-membres. En tous cas, au moins une, celle de ne pas avoir recours au déficit.

Comme on imagine mal des gouvernants présenter ça joyeusement au référendum, on se doute que tout débat sera escamoté et confié aux bons soins de parlements dociles.

Ce qui aura pour effet d'imposer dans toute l'Europe un seul et unique modèle, celui de l'économie ultra-libérale, au mépris des aspirations des peuples, à qui on ne demandera pas leur avis.

C'est chouette non l'Europe libérale ?

Au fait à qui doit-on ce projet ? A Angela Merkel et à Nicolas Sarkozy. Parfois, on aimerait être Tunisien...

Et vous, que pensez-vous de ces mesures ?



Apparemment l'Allemagne veut obliger tous les pays de l'UE à adopter l'une de ces 4 mesures (la retraite à 67 ans) lors du prochain Conseil Européen en mars.
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Message  BouffonVert72 Ven 4 Fév - 19:51

Reuters a écrit:

Vendredi 4-02-11
Julien Toyer et Yann Le Guernigou

Vers un pacte de compétitivité dans la zone euro, le FESF divise


Les dirigeants européens planchent vendredi sur une réponse globale à la crise en zone euro, qui devrait s'articuler autour d'un pacte de compétitivité proposé aux Vingt-Sept par l'Allemagne et la France.



Le président du Conseil européen Herman Van Rompuy sera chargé de préparer ce nouveau pacte en vue du sommet des 24 et 25 mars, date à laquelle les Européens devront aussi avoir aplani leurs nombreuses divergences sur la réforme de la Facilité européenne de stabilité financière (FESF).

Un sommet spécifique des chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro sera organisé d'ici là afin de rapprocher les positions, ont annoncé Nicolas Sarkozy et Angela Merkel.

"Nous travaillons ensemble l'Allemagne et la France main dans la main avec une volonté absolue de soutenir l'euro, de défendre l'euro, que nous considérons comme un élément majeur de la construction européenne", a insisté le président français, lors d'une déclaration commune avec la chancelière allemande.

"Nous voulons avec l'Allemagne passer une nouvelle étape, apporter une réponse structurelle. Cette réponse c'est donc une intégration plus forte de la politique économique au service d'un objectif, renforcer la compétitivité de nos économies", a-t-il ajouté.

Ce pacte, d'inspiration largement allemande, consiste en six mesures destinées à améliorer le potentiel de croissance et à doper la compétitivité de la zone euro.

Il s'agit notamment de proposer un cadre commun pour lier l'âge de la retraite à l'évolution de la démographie, mettre fin aux systèmes d'indexation des salaires sur l'inflation ou encore l'inscription d'une "règle d'or" budgétaire dans les constitutions nationales.

DIVERGENCES FRANCO-ALLEMANDES SUR LE FESF

Ces propositions, qui suscitent une certaine réticence parmi les Vingt-Sept, sont la contrepartie exigée par l'Allemagne à un assouplissement du FESF, créé en mai dernier au plus fort de la crise de la dette grecque.

Sur cette dernière question, une série d'options sont actuellement sur la table, comme de permettre au FESF d'acheter des obligations des pays en difficulté sur les marchés primaire ou secondaire, de prêter des fonds à un pays pour racheter ses propres obligations ou d'émettre des lignes de crédit dites flexibles, comme le fait déjà le Fonds monétaire international.

Les autorités allemandes refusent cependant de s'engager sur cet ensemble de possibilités et veulent préserver la condition d'une utilisation du fonds uniquement en dernier recours ("ultima ratio").

"Sur le FESF, il est vrai que nous avons une sensibilité différente à celle de nos amis allemands", confesse-t-on de source française, tout en se félicitant que si Berlin est réticent, il n'y est pas non plus hostile.

Selon plusieurs sources de haut rang participant aux négociations, Berlin est susceptible d'accepter que les garanties fournies au FESF soient augmentées afin de relever la capacité réelle d'emprunt.

Les taux d'intérêt auxquels les prêts aux pays en difficulté sont servis pourraient également être revus à la baisse.

Les Européens espèrent également se mettre d'accord d'ici fin mars sur la réforme du Pacte de stabilité et de croissance, en vue d'un accord final avec le Parlement européen en juin.

Les Etats entendent en outre mener à bien d'ici fin juin une nouvelle série de stress tests bancaires afin d'assainir le secteur et rassurer les investisseurs.

Edité par Wilfrid Exbrayat

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Message  BouffonVert72 Ven 9 Déc - 21:09

Personne n'en parle ici et pourtant... Le nouveau traîté (qui découle du FESF puis du MES), "proposé" (comprendre : imposé) par Merkosy (Merkel+Sarkosy) et qui vient d'être annoncé et qui serait signé en mars 2012 et qui serait appliqué en juillet 2012 (donc après les élections françaises), aurait pour conséquence la perte d'autonomie budgétaire des pays alors que la crise serait surtout due à la spéculation internationnale...


http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/henri-sterdyniak-l-accord-europ-compl-tement-catastrophique-180407

Henri Sterdyniak : «L’accord européen est complètement catastrophique»

François Vignal
Le 09.12.2011 à 19:00

Les européens sont parvenus à un accord pour renforcer la discipline budgétaire dans la zone euro mais sans l’ensemble des pays de l’Union pour cause de clash avec la Grande-Bretagne. Mais selon Henri Sterdyniak, économiste à l'OFCE, « les pays se lient les mains en matière budgétaire ». Entretien.

L’accord européen est-il un tournant dans la construction européenne en ouvrant une Europe à deux vitesses ?
L’Europe est pleine de tourments. Le fait qu’elle soit à plusieurs vitesses n’est pas vraiment nouveau. Le problème existe depuis la création de la zone euro. Il y a ceux qui y sont et les autres. On était déjà plus ou moins dans l’Europe à 2 ou 3 vitesses. Là apparait plus clairement le fait que quelques pays refusent de céder au fédéralisme que proposent la France et l’Allemagne. De même on voit que la Grande-Bretagne refuse de laisser l’Europe réguler son système financier. Ce n’est pas une nouveauté. L’Irlande a toujours refusé l’harmonisation fiscale.

L’accord fait la part belle à une rigueur budgétaire accrue. Est-ce suffisant pour enrayer la crise ?
Il faut bien voir que l’accord est complètement catastrophique sur le plan économique. Les pays se lient les mains en matière budgétaire. Les pays de la zone euro n’auront plus aucune liberté en matière de polémique économique. C’est très préoccupant. Comment réagiront-ils demain s’il y a de nouveau une crise ? Ce n’est pas prévu. Les pays soumettent entièrement la politique budgétaire à la commission. Est-ce la peine d’aller voter l’année prochaine ? Il est stupéfiant qu’on réforme la politique budgétaire alors que la crise ne provient pas d’excès de déficit public, mais initialement, en 2007-2008, de l’avidité aveugle des marchés financiers. Depuis 2 ans, la crise de la zone vient d’erreurs du Traité de Maastricht qui ne prévoit pas que la BCE finance automatiquement les Etats. La spéculation a pu se déchaîner. Or l’accord ne garantie pas nettement les dettes publiques. On a l’impression que c’est un prétexte pour l’Allemagne et la commission d’imposer leur vue.

Donc cet accord ne va rien régler selon vous ?
Cet accord va mettre un certain temps à entrer en vigueur. Il ne répond pas aux défaillances qu’on constate depuis 4 ans. Peut-être que derrière cet accord, il existe un accord secret qui serait qu’en échange la BCE accepterait de garantir complètement les dettes publiques. Mais ce n’est pas annoncé. On voit mal comment les marchés pourraient être rassurés. Les pays vont simultanément mettre en œuvre une politique d’austérité. La chute de croissance qui en découlera n’est pas de nature à rassurer les marchés. Par ailleurs, l’accord ne prévoit aucune mesure pour relancer la croissance, favoriser le tournant écologique, la réindustrialisation des pays du Sud.

Vous dénoncez une perte de souveraineté ?
Oui, il y a un problème de perte de souveraineté. On nous avait vendu la zone euro en disant qu’avec la zone monétaire les pays n’auraient plus à se préoccuper de leur solde extérieur, que ça allait stabiliser leur économie. C’est tout à fait l’inverse, avec une paralysie complète des gouvernements. La crise a montré qu’on a besoin de politique budgétaire or on parait l’oublier. C’est un paradoxe.

La perte du triple A serait-elle aussi désastreuse qu’annoncé ?
Qu’est ce qui est le plus tragique ? La perte du triple A ou la perte de toute autonomie budgétaire ? Pour éviter la menace des marchés on prend la mesure qui est peut-être pire que la perte du triple A. On risque d’avoir les deux. Les marchés ne feront pas confiance à la zone qui est en récession durable. On aura la défaite et le déshonneur, comme il avait été dit après les accords de Munich lors du retour de Daladier.

Pourquoi les responsables politiques ne vont-ils pas plus loin dans la régulation des marchés ?
C’est d’une part la peur de s’opposer complètement aux marchés anglo-saxons, la difficulté de réguler ce marché. Le fait que l’Allemagne, qui en principe est pour la régulation, compte sur les marchés pour imposer une discipline aux pays du Sud. Et c’est le manque de courage des classes dirigeantes en Europe qui refusent de voir que la globalisation financière ne marche pas. Il faut un tournant dans le système financier et bancaire, sinon on aura en permanence ce genre de crise de confiance : perte de confiance des banques, risque de restriction de crédit. Il y a un manque de volonté des classes dirigeantes et des hommes politiques qui refusent de tirer les leçons de la crise qui impose de changer l’Europe et la finance.
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Message  Roseau Ven 9 Déc - 22:12

Le fil "où va la crise ?" a traité autant du FESF MES, que je préfère appeler MES FESF Laughing
que des plans d'austérité forcée, ce qui sont deux choses différentes.

Quant Henri Sterdyniak, de l'OFCE, il a raison ces plans sont catastrophiques,
mais lui et les autres keynésiens, Mélenchon en tête,
sont sympathiques, mais ils ne proposent rien ou des chimères ,
car ils cherchent en vain le moyen de sauver le capitalisme,
effrayés qu'ils sont par l'idée que le peuple, une fois de plus, fasse une révolution...

C'est bien pourtant la croisée des chemins: socialisme ou barbarie.
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