Où va la crise ?
+23
mykha
Tommy Lee
robins
irving
Estirio Dogante
louismichel
Babel
CCR
Achille
le glode
Vals
Toussaint
sylvestre
Babalu
alexi
Prado
Bernard Quellmalz
Eugene Duhring
verié2
Copas
Gaston Lefranc
irneh09218
Roseau
27 participants
Page 25 sur 36
Page 25 sur 36 • 1 ... 14 ... 24, 25, 26 ... 30 ... 36
Taux directeurs des banques centrales
http://www.les-crises.fr/taux-directeurs/
En attendant de lire intégralement, un résumé...
En attendant de lire intégralement, un résumé...
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
PIB France en recul au 3ème trimestre
Le produit intérieur brut (PIB) de la France a reculé de 0,1 % au troisième trimestre
après son rebond de 0,5 % au deuxième trimestre,
un repli lié notamment à une baisse des exportations, a annoncé l'Insee ce jeudi.
L'investissement des entreprises, un bon indicateur de la conjoncture économique à moyen terme,
accentue sa baisse, à -0,6 % entre juillet et septembre, après -0,4 % en avril-juin.
En tenant compte de l'investissement,
la contribution de la demande intérieure finale est nulle
alors qu'elle était de +0,4 % au deuxième trimestre, selon l'Insee.
La chute des exportations (-1,5 % après +1,9 %) pèse,
alors que les importations restent orientées à la hausse (+1 %)
après un deuxième trimestre déjà dynamique (+1,6 %).
La contribution du commerce extérieur à la croissance est négative, à -0,7 %.
après son rebond de 0,5 % au deuxième trimestre,
un repli lié notamment à une baisse des exportations, a annoncé l'Insee ce jeudi.
L'investissement des entreprises, un bon indicateur de la conjoncture économique à moyen terme,
accentue sa baisse, à -0,6 % entre juillet et septembre, après -0,4 % en avril-juin.
En tenant compte de l'investissement,
la contribution de la demande intérieure finale est nulle
alors qu'elle était de +0,4 % au deuxième trimestre, selon l'Insee.
La chute des exportations (-1,5 % après +1,9 %) pèse,
alors que les importations restent orientées à la hausse (+1 %)
après un deuxième trimestre déjà dynamique (+1,6 %).
La contribution du commerce extérieur à la croissance est négative, à -0,7 %.
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Capitaine du Titanic
Yanet Yellen, mise à la tête de la FED par Obama, déclarait au Congrès en 2010,
lorsqu’on lui demandait si elle n’avait pas vu la crise de 2008 venir :
lorsqu’on lui demandait si elle n’avait pas vu la crise de 2008 venir :
« pour ma part, je n’ai pas vu et je n’ai pas su apprécier les risques engendrés par le shadow banking, les notes des agences de notation, etc. Je n’ai rien vu venir avant que cela n’arrive ».
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
L’AVENIR EST AU PARTAGE ÉQUITABLE DU TRAVAIL, DE LA RICHESSE ET DES RESSOURCES
par François Leclerc
http://www.pauljorion.com/blog/?p=60044
par François Leclerc
http://www.pauljorion.com/blog/?p=60044
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
Les français sous estiment la dureté de l’ajustement qui est devant eux
Note de Patrick Artus : http://cib.natixis.com/flushdoc.aspx?id=73732
Note de Patrick Artus : http://cib.natixis.com/flushdoc.aspx?id=73732
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
Sans vouloir rentrer dans un débat technique pour lequel je ne suis pas qualifié, il me semble toutefois que les prévisions d'Artus s'appuie sur une notion discutable (celle de PIB potentiel), ou tout du moins une notion qu'il est difficile de chiffrer au point de pourcentage près. Dès lors, il faut être nuancé dans la lecture des chiffres qu'il avance.Roseau a écrit:Les français sous estiment la dureté de l’ajustement qui est devant eux
Note de Patrick Artus : http://cib.natixis.com/flushdoc.aspx?id=73732
Sur le fond, il y a une vraie schizophrénie entre deux revendications qui ont le vent en poupe dans l'opinion, bien aidées par nos élites politiques et économiques : d'une part, la nécessité de rééquilibrer les comptes publics afin de respecter la règle d'or ; d'autre part, l'idée que le montant des prélèvements obligatoires est trop important en France ce qui nuit à la compétitivité de nos entreprises.
Si les recettes fiscales de l'état venaient à baisser sous la pression du patronat et de la droite (d'ailleurs elles baissent déjà, et c'est tout l'enjeu des débats parlementaires actuels que d'estimer la moins-value fiscale de 2013 pour prévoir le budget 2014), c'est assurément la déflation qui nous attend, autrement dit le prolongement de la crise actuelle pour de nombreuses années encore puisque l'état serait contraint de diminuer encore davantage qu'il ne le prévoit ses dépenses (de santé, d'éducation...) avec des conséquences désastreuses sur le pouvoir d'achat des travailleurs.
irving- Messages : 150
Date d'inscription : 23/11/2011
Re: Où va la crise ?
C'est exact. De plus les prévisions des économistes bourgeois depuis plus de 10 ansirving a écrit:Sans vouloir rentrer dans un débat technique pour lequel je ne suis pas qualifié, il me semble toutefois que les prévisions d'Artus s'appuie sur une notion discutable (celle de PIB potentiel), ou tout du moins une notion qu'il est difficile de chiffrer au point de pourcentage près. Dès lors, il faut être nuancé dans la lecture des chiffres qu'il avance.
indiquent qu'ils ont régulièrement surestimé la croissance du PIB.
Quant à l'inflation, malgré le maintien du taux de base des banques centrales
à des taux historiquement les plus bas,
et la création monétaire qui s'en suit,
encore plus massive aux Etats-Unis et au Japon qu'en Europe,
elle se fait toujours attendre.
Les banques financent peu le secteur productif,
mais massivement les achats d'actif qui créent les nouvelles bulles,
qui feront ressembler la crise de 2008 à un petit galop d'essai...
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Une crise de troisième type
http://www.contretemps.eu/interventions/crise-troisi%C3%A8me-type
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
Sur le site "les 7 du Québec", article très intéressant
"L’accumulation se poursuit et pourtant la crise se répand
Pourtant, à l’instant où l’accumulation et la concentration du capital est la plus phénoménale de l’histoire mondiale, jamais la crise du système n’a été aussi profonde et sévère, au point de menacer d’affecter l’ensemble de l’échafaudage – boursier, banquier, financier – branlant, insécurisant, décadent.
Nombre d’économistes dont Tom Thomas présentent l’hypothèse que le système impérialiste d’accumulation détruira prochainement de grandes quantités de ressources et de moyens de production : « Pour que le capital puisse relever son taux de profit moyen et reprendre son procès de valorisation et d’accumulation, deux conditions complémentaires doivent être réunies au-delà du maintien à flot du système financier : première condition, détruire une grande masse de capitaux, non seulement sous leur formes financières mais aussi sous leurs formes matérialisées pour en réduire « l’excédent » et aussi pour pouvoir reconstruire un système de production qui permette – deuxième condition – d’augmenter le taux d’exploitation (pl/Cv) alors que de réduire la composition organique du capital n’est, aujourd’hui, qu’une possibilité secondaire» (3).
En un siècle (1913-2013) pas moins de deux guerres mondiales (1914-1918, 1939-1945) et quelques guerres multinationales (1950-1953, 1954-1975, 1991-2001 et 2003-2011) (4), en plus de dizaines de guerres locales ont entraîné d’immenses destructions de ressources, de forces productives et de moyens de production, de destruction de capitaux en définitive. Chacune de ces catastrophes (pour les ouvriers sacrifiés et les peuples immolés) a relancé le processus de valorisation et d’accumulation et stimulé le procès de reproduction élargie du capital en réduisant temporairement la composition organique du capital (Cv/Cc) et en inversant sporadiquement la tendance à la baisse du taux de profit, deux vecteurs qui contrecarrent la reproduction élargie du capital. Marx n’est donc pas mort !
La classe capitaliste monopoliste est présentement incitée à s’aventurer dans un nouvel holocauste ouvrier afin de détruire une grande partie des ressources stockées, des moyens de production engrangés, des forces productives inemployées, du capital accumulé mais paralysé (non productif), afin d’assurer la reprise du procès de reproduction élargie du capital en dopant temporairement les taux de profits. Qu’ils le veuillent ou non les impérialistes devront saccager une grande partie de l’humanité s’ils souhaitent remettre en marche leur mode de production moribond.
"L’accumulation se poursuit et pourtant la crise se répand
Pourtant, à l’instant où l’accumulation et la concentration du capital est la plus phénoménale de l’histoire mondiale, jamais la crise du système n’a été aussi profonde et sévère, au point de menacer d’affecter l’ensemble de l’échafaudage – boursier, banquier, financier – branlant, insécurisant, décadent.
Nombre d’économistes dont Tom Thomas présentent l’hypothèse que le système impérialiste d’accumulation détruira prochainement de grandes quantités de ressources et de moyens de production : « Pour que le capital puisse relever son taux de profit moyen et reprendre son procès de valorisation et d’accumulation, deux conditions complémentaires doivent être réunies au-delà du maintien à flot du système financier : première condition, détruire une grande masse de capitaux, non seulement sous leur formes financières mais aussi sous leurs formes matérialisées pour en réduire « l’excédent » et aussi pour pouvoir reconstruire un système de production qui permette – deuxième condition – d’augmenter le taux d’exploitation (pl/Cv) alors que de réduire la composition organique du capital n’est, aujourd’hui, qu’une possibilité secondaire» (3).
En un siècle (1913-2013) pas moins de deux guerres mondiales (1914-1918, 1939-1945) et quelques guerres multinationales (1950-1953, 1954-1975, 1991-2001 et 2003-2011) (4), en plus de dizaines de guerres locales ont entraîné d’immenses destructions de ressources, de forces productives et de moyens de production, de destruction de capitaux en définitive. Chacune de ces catastrophes (pour les ouvriers sacrifiés et les peuples immolés) a relancé le processus de valorisation et d’accumulation et stimulé le procès de reproduction élargie du capital en réduisant temporairement la composition organique du capital (Cv/Cc) et en inversant sporadiquement la tendance à la baisse du taux de profit, deux vecteurs qui contrecarrent la reproduction élargie du capital. Marx n’est donc pas mort !
La classe capitaliste monopoliste est présentement incitée à s’aventurer dans un nouvel holocauste ouvrier afin de détruire une grande partie des ressources stockées, des moyens de production engrangés, des forces productives inemployées, du capital accumulé mais paralysé (non productif), afin d’assurer la reprise du procès de reproduction élargie du capital en dopant temporairement les taux de profits. Qu’ils le veuillent ou non les impérialistes devront saccager une grande partie de l’humanité s’ils souhaitent remettre en marche leur mode de production moribond.
robins- Messages : 21
Date d'inscription : 19/11/2013
Re: Où va la crise ?
La présidence des reculades, ou mondialisation contre réformisme
GABRIEL Claude
http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article30384
GABRIEL Claude
http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article30384
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
SOUTENUS COMME LA CORDE SOUTIENT LE PENDU !
François Leclerc
http://www.pauljorion.com/blog/?p=60099
http://www.pauljorion.com/blog/?p=60099
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Krach boursier en vue...
http://tendanceclaire.npa.free.fr/breve.php?id=6635
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
Traduction:
"Nous faisons passer la démence sénile du capitalisme pour des folies de jeunesse"
"Nous faisons passer la démence sénile du capitalisme pour des folies de jeunesse"
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
Dans Der Spiegel, Robert Shiller,
prix Nobel d’économie pour ses recherches sur la détermination des prix du marché
et les bulles d'actifs dans le secteur immobilier,
déclare
prix Nobel d’économie pour ses recherches sur la détermination des prix du marché
et les bulles d'actifs dans le secteur immobilier,
déclare
http://www.spiegel.de/spiegel/vorab/robert-shiller-nobelpreistraeger-warnt-vor-boersenblase-a-936533.html« Je ne tire pas encore la sonnette d'alarme. Mais dans de nombreux pays, les places boursières sont à un niveau élevé et les prix ont fortement augmenté sur les marchés immobilier et financier américains... cela pourrait mal se terminer. »
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Stagnation confirmée de la zone euro
+0,1% au 3ème trimestre contre +0,3 au 2ème
http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/2-04122013-BP/FR/2-04122013-BP-FR.PDF
http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/2-04122013-BP/FR/2-04122013-BP-FR.PDF
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
L’ÉPUISEMENT DES EXPÉDIENTS, par François Leclerc
http://www.pauljorion.com/blog/?p=60319#more-60319
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
Nous apprenons aujourd'hui que le trust de l'armement européen EADS s'apprête à licencier 5800 salariés, surtout en Allemagne. c'est sa branche armements qui souffre et non sa branche civile (Airbus). N'est-ce paradoxal, en période de crise, où l'on a coutume de dire qu'il n'y a plus que l'industrie militaire qui fonctionne bien ? Et qu'en pensent ceux qui, comme Sylvestre, soutiennent la thèse de Kidron selon laquelle c'est l'industrie de l'armement qui sert de béquille au capitalisme depuis des dizaines d'années ?
Dernière édition par verié2 le Mer 11 Déc - 15:54, édité 1 fois
verié2- Messages : 8494
Date d'inscription : 11/07/2010
Re: Où va la crise ?
Sondage de l’Institut IPSOS, rapporté par Le Monde
64% des Français pensent que les difficultés que rencontre la France actuellement
ne sont pas une crise mais une mutation profonde et durable de la société.
Augmenter les salaires
•Efficace et souhaitable : 71%
•Efficace mais pas souhaitable : 16% (NB : Ils ne sont donc pas les « 1% » mais les « 16% »)
À qui faites-vous le plus confiance pour relancer la croissance ?
•Aux Français eux-mêmes : 54%
À qui faites-vous le plus confiance pour relancer la croissance ?
•À la droite : 14%
•À la gauche: 6%
La France est-elle plutôt mal placée en ce qui concerne…
•Le modèle de protection sociale existant => plutôt bien placée : 79%
64% des Français pensent que les difficultés que rencontre la France actuellement
ne sont pas une crise mais une mutation profonde et durable de la société.
Augmenter les salaires
•Efficace et souhaitable : 71%
•Efficace mais pas souhaitable : 16% (NB : Ils ne sont donc pas les « 1% » mais les « 16% »)
À qui faites-vous le plus confiance pour relancer la croissance ?
•Aux Français eux-mêmes : 54%
À qui faites-vous le plus confiance pour relancer la croissance ?
•À la droite : 14%
•À la gauche: 6%
La France est-elle plutôt mal placée en ce qui concerne…
•Le modèle de protection sociale existant => plutôt bien placée : 79%
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
Quelle différence ? Qu'est-ce qu'une crise sinon la restructuration violente d'un système qui ne peut plus fonctionner comme avant ? Sauf pour ceux qui pensent que le capitalisme est entré dans sa crise et phase finales de décadence depuis 1914, toute crise du capitalisme est suivie par une nouvelle période de croissance... à moins que le prolétariat ne mette la crise à profit pour l'abattre.les difficultés que rencontre la France actuellement
ne sont pas une crise mais une mutation profonde et durable de la société
verié2- Messages : 8494
Date d'inscription : 11/07/2010
Re: Où va la crise ?
En fait, chaque crise du capitalisme (suracumulation/surproduction)
se déroule dans un espace et un contexte historique particulier.
Question espace, c'est la première grande crise
qui se déroule dans un contexte d'ouverture abosolue de tous les espaces au capital
(par la libéralisation sans précédent des échanges de biens et capitaux)
et par la pleine réintégration de l'ex-URSS et de la Chine à l'économie de marché)
La conséquence agravante est pour la France par exemple,
une perte d'attractivité pour le capital.
Question contexte historique, il y aurait beaucoup à dire,
mais l'essentiel il me semble, c'est la crise écologique,
avec au moins deux composantes:
la fin des ressources abondantes
l'arrivée de catastrophes de tous ordres générées
par la course au profit et l'ignorance en matière écologique.
Rien n'indique encore que cette crise puisse être surmontée,
ni par le capital, ni par le travail...
malgré les progrès quotidiens, mais pas assez rapides, des Anti-K
se déroule dans un espace et un contexte historique particulier.
Question espace, c'est la première grande crise
qui se déroule dans un contexte d'ouverture abosolue de tous les espaces au capital
(par la libéralisation sans précédent des échanges de biens et capitaux)
et par la pleine réintégration de l'ex-URSS et de la Chine à l'économie de marché)
La conséquence agravante est pour la France par exemple,
une perte d'attractivité pour le capital.
Question contexte historique, il y aurait beaucoup à dire,
mais l'essentiel il me semble, c'est la crise écologique,
avec au moins deux composantes:
la fin des ressources abondantes
l'arrivée de catastrophes de tous ordres générées
par la course au profit et l'ignorance en matière écologique.
Rien n'indique encore que cette crise puisse être surmontée,
ni par le capital, ni par le travail...
malgré les progrès quotidiens, mais pas assez rapides, des Anti-K
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
CES BANQUES CENTRALES PAR QUI LE MALHEUR ARRIVE, par François Leclerc
http://www.pauljorion.com/blog/?p=60608#more-60608
http://www.pauljorion.com/blog/?p=60608#more-60608
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Produits dérivés dépassent niveau d'avant crise
http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/12/17/les-produits-derives-depassent-leur-niveau-d-avant-crise_4335868_3234.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Où va la crise ?
D'après l'excellent observateur François Leclerc,
les créances douteuses continuent de grimper dans les bilans des banques espagnoles
et atteignent 13% des crédits, ce qui représente 190 milliards d’euros.
Les promoteurs immobiliers sont de loin les pires créanciers.
La création d’une bad bank, la Sareb, avait permis de baisser ce taux
mais il est depuis reparti irrésistiblement à la hausse.
Pendant ce temps, l’OCDE appelle l'Espagne à poursuivre la modération salariale
et à réduire à nouveau les indemnités de licenciement pour « renforcer son marché du travail » !
les créances douteuses continuent de grimper dans les bilans des banques espagnoles
et atteignent 13% des crédits, ce qui représente 190 milliards d’euros.
Les promoteurs immobiliers sont de loin les pires créanciers.
La création d’une bad bank, la Sareb, avait permis de baisser ce taux
mais il est depuis reparti irrésistiblement à la hausse.
Pendant ce temps, l’OCDE appelle l'Espagne à poursuivre la modération salariale
et à réduire à nouveau les indemnités de licenciement pour « renforcer son marché du travail » !
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Europe: plus d'austérité en vue
http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20131217trib000801475/europe-austerite-acte-iii-en-vue-.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Page 25 sur 36 • 1 ... 14 ... 24, 25, 26 ... 30 ... 36
Page 25 sur 36
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum