Marx et le marxisme
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Marx et le marxisme
Sylvestre a posté il y a deux jours une vidéo d'Apostrophes sur Trotsky. 8 ans plus tard Bernard Pivot consacrait une émission à Marx, avecc Jean-Pierre Lefebvre, Thierry Labica, Claude Mazauric et le pénible Maximilien Rubel.
Gauvain- Messages : 764
Date d'inscription : 23/06/2010
Localisation : 75/78
Re: Marx et le marxisme
C'est vrai que Rubel est pénible mais je comprend son énervement
je ne suis pas d'accord avec Rubel sur la continuité entre Lénine et staline pour moi il y a une rupture. par contre je pense que Rubel malgré qu'il n'aime pas Lénine pourrait être d'accord avec citation de Lénine qui est dans le livre' l'Etat et la révolution'
Les grands révolutionnaires ont toujours été persécutés durant leur vie: leur doctrine a toujours été en butte à la haine ''la plus féroce, aux campagnes de mensonge et de diffamation les plus ineptes de la part des classes oppresseuses. Après leur mort on tente de les convertir en icônes inoffensives, de les canoniser pour ainsi dire, d'entourer leur nom d'une auréole de gloire pour la consolation des classes opprimées et pour leur duperie, en même temps qu'on émascule la substance de-leur ''enseignement révolutionnaire, qu'on en émousse le tranchant, qu'on l'avilit".
Citation qu'on trouve aussi dans un article qu'avait écrit le CCI (RI) en 83 et qui s'appel :
cent ans aprés la mort de Marx: l'avenir appartient au marxisme
que voici http://fr.internationalism.org/rinte33/marx.htm
Topaze. lecteur de revolution internationale
je ne suis pas d'accord avec Rubel sur la continuité entre Lénine et staline pour moi il y a une rupture. par contre je pense que Rubel malgré qu'il n'aime pas Lénine pourrait être d'accord avec citation de Lénine qui est dans le livre' l'Etat et la révolution'
Les grands révolutionnaires ont toujours été persécutés durant leur vie: leur doctrine a toujours été en butte à la haine ''la plus féroce, aux campagnes de mensonge et de diffamation les plus ineptes de la part des classes oppresseuses. Après leur mort on tente de les convertir en icônes inoffensives, de les canoniser pour ainsi dire, d'entourer leur nom d'une auréole de gloire pour la consolation des classes opprimées et pour leur duperie, en même temps qu'on émascule la substance de-leur ''enseignement révolutionnaire, qu'on en émousse le tranchant, qu'on l'avilit".
Citation qu'on trouve aussi dans un article qu'avait écrit le CCI (RI) en 83 et qui s'appel :
cent ans aprés la mort de Marx: l'avenir appartient au marxisme
que voici http://fr.internationalism.org/rinte33/marx.htm
Topaze. lecteur de revolution internationale
topaze- Messages : 231
Date d'inscription : 09/07/2010
Re: Marx et le marxisme
Sur les débats entre Rubel et les éditions Sociales, lire aussi cet entretien avec gilbert badia et lucien sève en 1973.
sylvestre- Messages : 4489
Date d'inscription : 22/06/2010
Marx, Ecrits philosophiques
Du même Sève, je viens de lire son introduction à la compilation qu'il vient d'éditer chez Champs Flammarion : Karl Marx, Ecrits philosophiques.sylvestre a écrit:Sur les débats entre Rubel et les éditions Sociales, lire aussi cet entretien avec gilbert badia et lucien sève en 1973.
L'intérêt : ne pas limiter l'éventail des textes à la seule période dite de jeunesse (avant 1848), mais l'ouvrir à des extraits du Capital et des Grundrisse, voire à des inédits en français. C'est pratique.
Le parti-pris qui prévaut à cette édition consiste à affirmer que Marx n'a jamais cessé de poursuivre sa réflexion sur le philosophique (au sens où Sève l'entend : comme élaboration et réflexion logico-dialectique portant sur l'ensemble des catégories cognitives par lesquelles nous appréhendons le réel), tout en se démarquant vigoureusement de "la philosophie" (au sens de l'idéalisme spéculatif, aussi mystificateur que réactionnaire).
C'est un peu ardu, tout en restant accessible. Et ça présente l'avantage pour un béotien dans mon genre de reprendre de façon ramassée quelques unes des idées maîtresses du dernier grand oeuvre de ce spécialiste de la pensée marxienne (et ex-althussérien) : Penser avec Marx aujourd'hui (2 tomes parus depuis 2004, 2 autres en préparation).
Entre autres, j'ai bien aimé les prolongements qu'il apporte au sujet du fameux renversement de la dialectique hégélienne opéré par Marx, qui affirmait l'avoir ainsi "remise sur ses pieds". Incapable d'en résumer le propos, j'invite donc à sa lecture.
Babel- Messages : 1081
Date d'inscription : 30/06/2011
Re: Marx et le marxisme
Par ailleurs, il faut peut-être rappeler que dans la période tardive de l'activité de Marx et Engels, c'est beaucoup ce dernier qui a écrit explicitement sur la philosophie, notamment dans l'Anti-Dühring et Ludwig Feuerbach et la fin de la philosophie classique allemande. Je trouve toujours dommage la tendance (très Rubelienne d'ailleurs) a exclure Engels de l'œuvre commune faite avec Marx.
sylvestre- Messages : 4489
Date d'inscription : 22/06/2010
Marx : quelle actualité ?
Sur France Culture, aujourd'hui, à 10h. : Les Nouveaux chemins de la connaissance, émission d'Adèle Van Reeth, Philippe Petit.
Marx : quelle actualité ?
Invités : Pierre Dardot, philosophe, et Christian Laval, chercheur en histoire de la philosophie et de la sociologie à l'université Paris X Nanterre.
Babel- Messages : 1081
Date d'inscription : 30/06/2011
séminaires Marx au 21 eme siècle
Le blog, avec les textes, les vidéos, l'actu est là : http://www.marxau21.fr/
ramiro- Messages : 238
Date d'inscription : 01/04/2011
Re: Marx et le marxisme
Je viens d’écouter l’émission (de France Culture), ma première impression à chaud, c’est que ça change de ce que j’avais entendu ou lu sur Marx il y quelques années. Souvenons nous, qu’il y a quelques années, la bourgeoisie présentée Marx comme le diable. F.Giroud avait sorti un livre intitulé ‘Jenny Marx ou la femme du diable.’ C’est à lui qu’on devait les horreurs du stalinisme, les camps de travail en Sibérie et en Chine, les dictatures sanguinaires de Pol Pot et de Ceausescu. Là, a ce que j’ai entendu, il semble que ce ne soit pas pareil. Ceci dit je n’ai pas compris ou ils voulaient en venir. Ce qu’ils voulaient défendre dans Marx. Puisqu’ils disent que Marx c’est trompé sur la question de la crise, sur l’effondrement. Alors que toute l’histoire du 20éme siècle montre que ce fut le siècle le plus barbare que l’humanité ait jamais connu. L’invitation au congrès de l’IC, en janvier 19 disait :
'La période actuelle est celle de la décomposition et de l'effondrement de tout le système capitaliste mondial, et sera celle de l'effondrement de la civilisation européenne en général, si le capitalisme, avec ses contradictions insurmontables, n'est pas abattu.'
Aujourd’hui, c’est toujours d’actualité .Et pour ma part, ça montre que Marx ne c’est pas trompé. Et pour que le capitalisme soit abattu ça passe par le développement de la lutte de classe à l’échelle internationale, par la révolution mondiale. Les deux auteurs ne nient pas l’importance de la lutte de classe, mais pour quel objectif, pour quel but , je ne l’ai pas entendu
Topaze. Lecteur de Revolution Internationale.http://fr.internationalism.org/
'La période actuelle est celle de la décomposition et de l'effondrement de tout le système capitaliste mondial, et sera celle de l'effondrement de la civilisation européenne en général, si le capitalisme, avec ses contradictions insurmontables, n'est pas abattu.'
Aujourd’hui, c’est toujours d’actualité .Et pour ma part, ça montre que Marx ne c’est pas trompé. Et pour que le capitalisme soit abattu ça passe par le développement de la lutte de classe à l’échelle internationale, par la révolution mondiale. Les deux auteurs ne nient pas l’importance de la lutte de classe, mais pour quel objectif, pour quel but , je ne l’ai pas entendu
Topaze. Lecteur de Revolution Internationale.http://fr.internationalism.org/
topaze- Messages : 231
Date d'inscription : 09/07/2010
Re: Marx et le marxisme
Un minuscule détail au passage : ça suppose que les marxistes révolutionaires tentent de renouer le lien entre eux et les masses exploitées....en ne passant pas leur temps à disserter marxistement (disent-ils) ou attendre que les travailleurs se jettent sur nos mirifiques publications...
Ras le bol des phraseurs, theoriciens en vase clos de l'ultra gauche anti leninise...
Sans rancune , mais sans attendre les commentaires suivants des donneurs de leçons, petits bourgeois qui se foytent eperduement des liens à renouer avec la VRAIE classe ouvrière qui n'a rien à voir avec leurs fantasmes estudiantins.....
Ras le bol des phraseurs, theoriciens en vase clos de l'ultra gauche anti leninise...
Sans rancune , mais sans attendre les commentaires suivants des donneurs de leçons, petits bourgeois qui se foytent eperduement des liens à renouer avec la VRAIE classe ouvrière qui n'a rien à voir avec leurs fantasmes estudiantins.....
Vals- Messages : 2770
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Marx et le marxisme
Excuse moi Vals mais je n'ai rien compris a ton intervention !
Si tu as écouté l'emission de radio , j'aimerais bien savoir ce que tu en as pensé !
Topaze. Lecteur de Revolution Internationale. http://fr.internationalism.org/
Si tu as écouté l'emission de radio , j'aimerais bien savoir ce que tu en as pensé !
Topaze. Lecteur de Revolution Internationale. http://fr.internationalism.org/
topaze- Messages : 231
Date d'inscription : 09/07/2010
Re: Marx et le marxisme
Au-delà d'un mouvement d'humeur dont lui seul connaît la raison, peut-être Vals cherche-t-il à nous rappeler que « l'arme de la critique ne saurait remplacer la critique des armes ; la force matérielle ne (pouvant) être abattue que par la force matérielle » ?
Ce qui devrait être une évidence pour chacun de nous,... dès lors qu'on ne nie pas l'importance que prend l'activité théorique dans un combat contre la domination bourgeoise qui intègre nécessairement une lutte contre les représentations culturelles de la classe dirigeante.
Opposer la pratique politique quotidienne en direction des masses et la réflexion théorique serait par ailleurs aussi absurde que de vouloir construire un avion sans connaître les principes de l’aérodynamique. Le tout étant, en somme, de garder à l'esprit que « la théorie se change, elle aussi, en force matérielle dès qu'elle pénètre les masses »
Marx, Introduction à la Contribution à la critique de La philosophie du droit de Hegel
Ce qui devrait être une évidence pour chacun de nous,... dès lors qu'on ne nie pas l'importance que prend l'activité théorique dans un combat contre la domination bourgeoise qui intègre nécessairement une lutte contre les représentations culturelles de la classe dirigeante.
Opposer la pratique politique quotidienne en direction des masses et la réflexion théorique serait par ailleurs aussi absurde que de vouloir construire un avion sans connaître les principes de l’aérodynamique. Le tout étant, en somme, de garder à l'esprit que « la théorie se change, elle aussi, en force matérielle dès qu'elle pénètre les masses »
Marx, Introduction à la Contribution à la critique de La philosophie du droit de Hegel
Babel- Messages : 1081
Date d'inscription : 30/06/2011
Jacques D’Hondt
Jacques D'Hondt , philosophe specialiste de Hegel et de Marx et résistant français, né à Tours en 1920 et décédé à Paris, le 10 février 2012.
Notice Wikipédia
HEGEL ET MARX : UNE DOUBLE RÉHABILITATION, introduction à l’entretien de Mme Fiorinda Li Vigni avec
Jacques D’Hondt.
Notice Wikipédia
HEGEL ET MARX : UNE DOUBLE RÉHABILITATION, introduction à l’entretien de Mme Fiorinda Li Vigni avec
Jacques D’Hondt.
Babel- Messages : 1081
Date d'inscription : 30/06/2011
Re: Marx et le marxisme
Sauf que la façon de renouer "avec les masses exploitées" se discute... Il se discute du double point de vue théorique (que sont les "masses populaires" devenues, loin des fantasmes étudiants et petits bourgeois) et pratique (comment "s'implanter dans la classe", comment s'assurer de sa confiance en nos militants, etc)Vals a écrit:Un minuscule détail au passage : ça suppose que les marxistes révolutionaires tentent de renouer le lien entre eux et les masses exploitées....en ne passant pas leur temps à disserter marxistement (disent-ils) ou attendre que les travailleurs se jettent sur nos mirifiques publications...
Ras le bol des phraseurs, theoriciens en vase clos de l'ultra gauche anti leninise...
Sans rancune , mais sans attendre les commentaires suivants des donneurs de leçons, petits bourgeois qui se foytent eperduement des liens à renouer avec la VRAIE classe ouvrière qui n'a rien à voir avec leurs fantasmes estudiantins.....
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 68
Localisation : La terre
Re: Marx et le marxisme
Bien sur qu’il y a un lien entre la pratique et la théorie. D’ailleurs, Marx écrit la ‘la guerre civile en France’ parce qu’il y a la commune. Et sur la base de cette expérience pratique, développe sur la question de l’Etat. La révolution de 1905 permet aux bolcheviks de développer, que les conseils ouvriers sont la forme enfin trouvée de la dictature du prolétariat. Pas de pratique sans théorie et pas de théorie sans pratique.
Visiblement, Vals me critique, et en même temps critique l’organisation auquel je sympathise en disant :
Ras le bol des phraseurs, theoriciens en vase clos de l'ultra gauche anti leninise...
Sans rancune , mais sans attendre les commentaires suivants des donneurs de leçons, petits bourgeois qui se foytent eperduement des liens à renouer avec la VRAIE classe ouvrière qui n'a rien à voir avec leurs fantasmes estudiantins.....
En gros, Vals dit beaucoup de parole, et pas d’acte. Vals je t’invite a aller voir le site du CCI et tu te rendras compte par toi-même, que ce que tu dis est faux !
Par rapport a ce que tu dis GM
Pour ma part, les révolutionnaires sont une partie de la classe. Partie la plus consciente, dont le rôle est de participer au processus de prise de conscience au sein de la classe. Quand la perpective révolutionnaire n’est plus à l’ordre du jour de l’histoire, car la classe ouvrière est battue, les organisations révolutionnaires sont peu écoutées par leur classe. L’idéologie dominante a pris le dessus ! et fait que les révolutionnaires sont isolés. Ce fut le cas avant la 2éme guerre mondiale. Il a fallu la reprise de la lutte de classe au niveau mondial a la fin des années 60, pour que les idées révolutionnaire trouve un écho au sein de la classe ouvrière. En 68 en France on parlait de révolution. Des livres ressortaient comme ‘les conseils ouvriers’ de Panneckoeck ect… Donc le lien entre la classe et les révolutionnaires et lié au contexte historique. C’est parce que le contexte historique va vers des affrontements de classe généralisé, que le prolétariat renoue avec les positions revolutionnaires, et avec les organisations qui les portent,parce que ceux ci sont une partie de classe.
Aujourd’hui malgré la difficulté de la situation lié a la perte de l’identité de classe, malgré cela (situation qui pour ma part ne va pas durer) et parce qu’on est dans une situation historique vers des affrontements de classe généralisés, les positions révolutionnaires rencontre un écho, certes faible, mais la dynamique au developpement de la lutte de classe feront que ces positions seront de plus en plus entendus et discutés à l’échelle internationale
Topaze. http://fr.internationalism.org/
Visiblement, Vals me critique, et en même temps critique l’organisation auquel je sympathise en disant :
Ras le bol des phraseurs, theoriciens en vase clos de l'ultra gauche anti leninise...
Sans rancune , mais sans attendre les commentaires suivants des donneurs de leçons, petits bourgeois qui se foytent eperduement des liens à renouer avec la VRAIE classe ouvrière qui n'a rien à voir avec leurs fantasmes estudiantins.....
En gros, Vals dit beaucoup de parole, et pas d’acte. Vals je t’invite a aller voir le site du CCI et tu te rendras compte par toi-même, que ce que tu dis est faux !
Par rapport a ce que tu dis GM
Pour ma part, les révolutionnaires sont une partie de la classe. Partie la plus consciente, dont le rôle est de participer au processus de prise de conscience au sein de la classe. Quand la perpective révolutionnaire n’est plus à l’ordre du jour de l’histoire, car la classe ouvrière est battue, les organisations révolutionnaires sont peu écoutées par leur classe. L’idéologie dominante a pris le dessus ! et fait que les révolutionnaires sont isolés. Ce fut le cas avant la 2éme guerre mondiale. Il a fallu la reprise de la lutte de classe au niveau mondial a la fin des années 60, pour que les idées révolutionnaire trouve un écho au sein de la classe ouvrière. En 68 en France on parlait de révolution. Des livres ressortaient comme ‘les conseils ouvriers’ de Panneckoeck ect… Donc le lien entre la classe et les révolutionnaires et lié au contexte historique. C’est parce que le contexte historique va vers des affrontements de classe généralisé, que le prolétariat renoue avec les positions revolutionnaires, et avec les organisations qui les portent,parce que ceux ci sont une partie de classe.
Aujourd’hui malgré la difficulté de la situation lié a la perte de l’identité de classe, malgré cela (situation qui pour ma part ne va pas durer) et parce qu’on est dans une situation historique vers des affrontements de classe généralisés, les positions révolutionnaires rencontre un écho, certes faible, mais la dynamique au developpement de la lutte de classe feront que ces positions seront de plus en plus entendus et discutés à l’échelle internationale
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topaze- Messages : 231
Date d'inscription : 09/07/2010
Re: Marx et le marxisme
Je n'ai absolument pas envie d'être désagréable avec toi, d'autant que tu as des habitudes d'intervention plutot correctes...Mais la tendance à laquelle tu te réfères, je connais un peu....Et je n'ai guère de sympathie pour des groupes qui passent une bonne partie de leur énergie à dénigrer les organisations révolutionnaires, et les trotskistes en particulier...Il me semble que le mouvement marxiste est aujourd'hui suffisemment faible et sans influence réelle dans la classe ouvrière pour que chacun considère de son devoir de tenter d'y reprendre pied .
Mais non, la plupart des groupes ultra-gauche préfèrent theoriser en boucle que de s'atteler à cette tâche.....et rabâcher des caractérisations absurdes (et injurieuses ) vis à vis de ceux qui font ce boulot....
Un peu facile, mais surtout parfaitement stérile et c'est bien dommage de considérer qu'il suffit de salir les groupes d'extrême-gauche pour tenter de leur arracher quelques militants...
Cela dit, l'ultra-gauche n'est pas la seule à pratiquer ce genre de sport, on a droit aussi à des LTF et autres Robert Paris qui se prétendent pourtant trotskistes.....
Mais non, la plupart des groupes ultra-gauche préfèrent theoriser en boucle que de s'atteler à cette tâche.....et rabâcher des caractérisations absurdes (et injurieuses ) vis à vis de ceux qui font ce boulot....
Un peu facile, mais surtout parfaitement stérile et c'est bien dommage de considérer qu'il suffit de salir les groupes d'extrême-gauche pour tenter de leur arracher quelques militants...
Cela dit, l'ultra-gauche n'est pas la seule à pratiquer ce genre de sport, on a droit aussi à des LTF et autres Robert Paris qui se prétendent pourtant trotskistes.....
Vals- Messages : 2770
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Marx et le marxisme
Petite précision pour Vals:
Le CCI est pour le débat, (d'ailleurs, il organise des réunions publiques reguliérement) ce qui n’a rien à voir a allé à la chasse au militant. Après le débat peut permettre d’évoluer, de comprendre la situation historique et immédiate d’une autre façon et au bout du compte, peut être de rompre avec des positions que l’on défendait auparavant. Il y a plein d’exemple dans l’histoire du mouvement ouvrier : Trotski, Victor Serge, Munis et j’en oubli plein d’autres.
Topaze.Lecteur de Revolution Internationale http://fr.internationalism.org/
Le CCI est pour le débat, (d'ailleurs, il organise des réunions publiques reguliérement) ce qui n’a rien à voir a allé à la chasse au militant. Après le débat peut permettre d’évoluer, de comprendre la situation historique et immédiate d’une autre façon et au bout du compte, peut être de rompre avec des positions que l’on défendait auparavant. Il y a plein d’exemple dans l’histoire du mouvement ouvrier : Trotski, Victor Serge, Munis et j’en oubli plein d’autres.
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topaze- Messages : 231
Date d'inscription : 09/07/2010
Marx et l’invention historique
Marx et l’invention historique, Isabelle Garo, Syllepse, 2012 (192 p., 10 €)
En cours de lecture. Le propos est dense et précis. Le décryptage de la position politique de Castoriadis, de ses contradictions et de l'impasse à laquelle elle aboutit, m'a paru assez remarquable. La suite reprend de façon concise des éléments de réflexion théorique et programmatique (car c'est une des vertus de ce livre d'insister en permanence sur la liaison indispensable théorie-praxis) qui ne manquent pas d'entrer en résonance avec les nôtres.
En cours de lecture. Le propos est dense et précis. Le décryptage de la position politique de Castoriadis, de ses contradictions et de l'impasse à laquelle elle aboutit, m'a paru assez remarquable. La suite reprend de façon concise des éléments de réflexion théorique et programmatique (car c'est une des vertus de ce livre d'insister en permanence sur la liaison indispensable théorie-praxis) qui ne manquent pas d'entrer en résonance avec les nôtres.
Avant-propos
Les six chapitres de ce petit livre portent tous sur la question de l’invention chez Marx. Cette notion n’est pas un concept central de son œuvre, mais elle permet pourtant de rassembler deux problématiques essentielles, à la fois distinctes et indissociables.
La première concerne l’invention historique. En effet, on a coutume aujourd’hui encore de voir en Marx un penseur déterministe, pour qui l’histoire se déduirait et ne serait que la réalisation linéaire d’un programme, selon une conception directement héritée de l’idéalisme allemand et plus particulièrement de Hegel. Plus gravement encore, on lui impute un économisme, qui relie de façon rigide des strates sociales et qui donne à la base de cet édifice le pouvoir d’en conditionner de façon unilatérale les étages supérieurs ainsi que les étapes successives. Cette conception repose en réalité sur une méconnaissance profonde de son œuvre ainsi que de l’évolution constante de sa pensée. Contre ces caricatures, c’est cette dimension dynamique qu’il importe de restituer, parce qu’elle constitue, finalement, la meilleure voie d’accès à une dialectique créative qui, chez Marx, caractérise l’histoire humaine autant que les idées qui en sont partie prenante, les siennes propres n’échappant pas à la règle.
Aux antipodes de tous les schémas mécanistes, donc, il faut souligner que Marx place la politique et les formes collectives d’innovation et d’invention qui lui appartiennent, au centre même du processus historique. Ce ne sont pas seulement ses écrits historiques qui permettent de l’affirmer, mais l’ensemble des textes qui relèvent de la critique de l’économie politique, incluant Le Capital et les manuscrits préparatoires. C’est donc la dimension proprement politique de l’analyse marxienne qu’il s’agit de mettre en évidence, telle qu’elle apparaît notamment à travers la réflexion sur les formes d’organisation, de transition et de médiation politiques, sur lesquelles Marx s’est fréquemment arrêté sans en proposer de théorisation séparée. Qu’il s’agisse de la notion de classe, de la notion de parti ou de la question du socialisme et du communisme, on rencontre dans son œuvre une attention toute particulière portée aux phénomènes de construction et d’invention historiques, invention devant parvenir à terme à l’abolition du capitalisme et instaurant entre le présent capitaliste et la perspective communiste une chaîne d’étapes, non prescrites par avance, tout en étant bel et bien orientées par cette finalité même.
Mais la question de l’invention concerne aussi et dans le même temps les procédés de l’analyse théorique, radicalement modifiés par une telle conception du cours historique. En effet, la place neuve que Marx confère à l’intervention politique va de pair avec la mise en œuvre d’une compréhension de l’histoire inédite, rompant avec toute philosophie de l’histoire et qui le conduit à forger un arsenal de concepts novateurs, mais aussi et surtout une conception sans précédent du rapport entre théorie et pratique. Les textes qu’on qualifie de « méthodologiques » sont à ce titre porteurs d’une redéfinition du travail théorique, redéfinition en constant retravail et qui bouleverse les approches disciplinaires telles qu’elles sont constituées à son époque : histoire, anthropologie, économie, philosophie. Le type d’invention conceptuelle qu’on y rencontre est inséparable de l’invention historique elle-même. C’est l’ouverture fondamentale du cours historique sur un devenir à la fois déterminé et non pré-écrit, précisément parce qu’il inclut les luttes sociales et politiques en cours, qui se réfracte, au sein de l’élaboration théorique, sous la forme de l’analyse des conditions d’une saisie dialectique du réel, attentive à ses transformations permanentes mais aussi à la nature propre d’intervention en circonstances du travail savant.
De ce point de vue, deux textes fameux, l’introduction de 1857 et l’analyse du fétichisme, notamment développée dans le livre 1 du Capital, condensent cette question de l’invention théorique, toujours mise en relation étroite avec la pratique historique réelle et avec les possibilités transformatrices qui y naissent. Ainsi et contre toute attente, le terme d’invention se révèle-t-il finalement le plus adéquat pour désigner cette unité toujours problématique, jamais achevée – et surtout inachevable –, entre théorisation et action historique. On peut l’affirmer : l’examen de cette question sous l’angle de l’invention permet de faire pièce aux objections traditionnelles concernant la conception marxienne de l’histoire. Dans le cadre de ce petit ouvrage, l’objectif est de s’en tenir à l’examen des thèses de Marx lui-même. Il est évident qu’une enquête englobant les apports des auteurs se réclamant du marxisme, ainsi la prise en compte d’une abondante littérature secondaire sur ces questions, aurait eu de toutes autres dimensions.
Le propos plus modeste des chapitres qui suivent est de mettre en évidence, au sein de la seule œuvre marxienne, l’importance que prend cette question de l’invention, importance croissante à mesure que Marx découvre toute la complexité de l’histoire mondiale réelle et se fait plus attentif aux formations sociales non capitalistes en même temps qu’aux difficultés de la mobilisation politique et aux formes d’organisation qu’elle requiert, aux échecs révolutionnaires de son temps. Si ses questionnements sont, à cet égard, bien distincts des nôtres, tout simplement parce que Marx ne sait rien de structurations politiques plus récentes, ils n’en demeurent pas moins d’une exceptionnelle actualité, pointant des enjeux et des difficultés dont nous sommes les héritiers directs. Sans que soit ici développée la question de cette actualité maintenue, de ses limites mais aussi de ses potentialités, c’est bien entendu elle qui guide toute l’enquête présentée ici, s’il est vrai que toute lecture de Marx ne peut être qu’une lecture en situation, elle-même impliquée. On laissera au lecteur le soin de prolonger par lui même des interrogations qui demeurent, plus que jamais, ouvertes.
Table des matières
Avant-propos
1. Imagination et invention de Castoriadis à Marx
2. Individu, classe, parti : politique et subjectivation
3. La Commune de Paris comme invention démocratique
4. Le socialisme comme invention: une lecture de la Critique du programme de Gotha
5. Méthode et invention dans l’Introduction de 1857 à la Critique de l’économie politique
6. Le fétichisme de la marchandise: un exemple d’invention conceptuelle
Babel- Messages : 1081
Date d'inscription : 30/06/2011
Semer des dragons !
Les deux parties de l'entretien de Mermet avec Daniel Bensaïd, dans Là-bas si j'y suis.
Karl Marx, Semer des dragons !
http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2359
http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2360
Karl Marx, Semer des dragons !
http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2359
Karl Marx, semer des dragons ! (2)Le mercredi 25 janvier 2012
Entretien avec Daniel Bensaid autour de son livre "Marx, mode d’emploi"
Dans les années 80, en pleine offensive néolibérale, le magazine Newsweek pouvait titrer, triomphalement : "Marx est mort." Mais les spectres ont la peau dure. Et Marx est de retour. En ces temps de crise fracassante du capitalisme et de grande débandade idéologique, on le redécouvre. Même le très libéral conseiller de l’Elysée, Alain Minc, s’est déclaré un jour "marxiste" - sans rire - en matière d’analyse économique. Mais qui fut Marx ? Qu’a-t-il vraiment dit ?
Première diffusion le 19 mai 2009
Programmation musicale
MAP (Ministère des Affaires Populaires) et Keny Arkana : Appelle-moi camarade
Francesca Solleville : Le front des travailleurs
Ghislain Poirier : Plus gros qu’énorme
Le manifeste Zaarma : La machine Zoo
Livres
"Marx, mode d’emploi", de Daniel Bensaid, avec des dessins de Charb (Zones/La Découverte - 2009)
"Les crises du capitalisme", de Karl Marx. Texte inédit avec une préface de Daniel Bensaid (Démopolis - juin 2009)
http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2360
Le jeudi 26 janvier 2012
Il y a vingt ans c’était la chute du mur, c’était la fête. Comme tout le monde, il fit du passé table rase, communisme et nazisme c’est bien le même cauchemar, vive la mondialisation heureuse ! Hier, vingt ans plus tard, en fin de droit dans son studio en loque, il a décidé d’aller vendre ses bouquins, sauf un, qu’un copain de jeunesse lui avait offert en 2009 et qu’il n’a jamais ouvert, "MARX MODE D’EMPLOI de Daniel Bensaïd avec des dessins de CHARB.
Deuxième partie de l’entretien avec Daniel Bensaid autour de son ouvrage "Marx, mode d’emploi" (Zones). Première diffusion : 20 mai 2009.
Programmation musicale :
MAP (Ministère des Affaires Populaires) : Un air de révolution
Pauline Julien : La chanson du capitalisme
texte de Bertolt Brecht
Jacques Marchais : L’bon dieu dans la merde
Picore : Procapitaliste
Babel- Messages : 1081
Date d'inscription : 30/06/2011
Re: Marx et le marxisme
Une question a Babel concernant le livre de Garo sur "l'invention historique" :
Je m'intéresse pas mal a la position de Castoriadis, malgré le constat de l'impasse finale (que je partage) je trouve cependant que certains des concepts qu'il a élaboré sont particuliérement intéressant dans la période actuelle.... Est ce que la critique de Castoriadis est assez développée. Il me semblait que le livre de IG se limitait au concept dans Marx, et pas de ses épigones...
Le décryptage de la position politique de Castoriadis, de ses contradictions et de l'impasse à laquelle elle aboutit, m'a paru assez remarquable
Je m'intéresse pas mal a la position de Castoriadis, malgré le constat de l'impasse finale (que je partage) je trouve cependant que certains des concepts qu'il a élaboré sont particuliérement intéressant dans la période actuelle.... Est ce que la critique de Castoriadis est assez développée. Il me semblait que le livre de IG se limitait au concept dans Marx, et pas de ses épigones...
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 68
Localisation : La terre
Re: Marx et le marxisme
Je n'ai pas bien compris le sens de ta dernière phrase, mais je vais quand même essayer de faire comme si.gérard menvussa a écrit:Une question a Babel concernant le livre de Garo sur "l'invention historique" :Le décryptage de la position politique de Castoriadis, de ses contradictions et de l'impasse à laquelle elle aboutit, m'a paru assez remarquable
Je m'intéresse pas mal a la position de Castoriadis, malgré le constat de l'impasse finale (que je partage) je trouve cependant que certains des concepts qu'il a élaboré sont particuliérement intéressant dans la période actuelle.... Est ce que la critique de Castoriadis est assez développée. Il me semblait que le livre de IG se limitait au concept dans Marx, et pas de ses épigones...
Disons que, oui, la critique d'Isabelle Garo ne porte que sur eux deux, et eux seuls : pas d'épigones en vue.
L'impasse qu'elle pointe chez Castoriadis s'appuie sur une analyse à mon sens assez serrée (= contextualisée) de sa trajectoire politique, depuis la formation du groupe Socialisme ou Barbarie. On peut y lire les grandes lignes d'une évolution politique qui l'amène à prôner en fin de parcours une pratique subversive supposée radicale, mais qui s'avère totalement déconnectée de la lutte des classes --lui-même ayant rompu avec le marxisme-- dans la mesure où elle ne s'exerce plus que dans le domaine de la représentation, sur le seul terrain de l'imaginaire.
Partant d'une lecture partielle et, selon elle extrêmement partiale, de Marx (Garo note que les critiques qu'il adresse aux textes de ce dernier sont exemptes de toute référence...), Castoriadis s'invente un Marx déterministe et a-dialecticien qu'il s'emploie ensuite à pourfendre, au nom d'une contestation des "complexes bureaucratiques étatisés" dont celui-ci serait bien entendu le promoteur...
Ca a pu paraître séduisant sur le papier, pendant un temps, mais en définitive ça ne mène nulle part. Se résolvant en une critique sociale délestée de toute dimension politique, la pensée de Castoriadis s'apparente, selon elle, à une sorte de tentative de s'extraire du temps réel, de se délester du poids de l'histoire, par la seule vertu d'un imaginaire social créatif élevé au rang de puissance émancipatrice.
(Pff ! franchement, ce que tu me demandes est assez compliqué : ça m'oblige à retrouver le fil d'une réflexion et à tenter de la restituer de façon à peu près synthétique. Et cela, sans notes. Si bien que j'ai l'impression d'avoir à la fois déformé la pensée de Casto et celle de Garo... sans être même parvenu à répondre à la question que tu me posais !
Dans ces cas-là, le mieux à faire c'est d'aller se coucher.))
Babel- Messages : 1081
Date d'inscription : 30/06/2011
Re: Marx et le marxisme
Je suis désolé d'avoir nuit a ton sommeil ! Mais ma question était en fait plus simple : je me demandais juste si isabelle garo parlait uniquement de marx/engels ou aussi de lénine, trotsky, gramsci, benjamin, etc.
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 68
Localisation : La terre
Re: Marx et le marxisme
Pas grave : la nuit porte conseil .gérard menvussa a écrit:Je suis désolé d'avoir nuit a ton sommeil ! Mais ma question était en fait plus simple : je me demandais juste si isabelle garo parlait uniquement de marx/engels ou aussi de lénine, trotsky, gramsci, benjamin, etc.
Non-non, pas de trace de Lénine etc. dans son propos, il s'agit de Marx seulement.
En fait, la critique des théories de Casto lui sert à jeter les bases de l'idée qu'elle va développer tout le long de son bouquin. A savoir que la pensée de Marx, loin de tout économisme déterministe, est essentiellement créative en ce qu'elle met l'accent sur la capacité d'initiative du sujet social, plaçant "la politique et les formes collectives d'innovation et de d'invention au coeur du processus historique" (4e de couverture).
Cette forme de réévaluation de Marx n'est pas nouvelle. Elle nous est même assez familière, car où elle se situe dans la continuité des travaux de Daniel Bensaïd. Et je dois t'avouer que j'ai trouvé les chapitres suivants parfois un peu laborieux, à force de détours et de retours.
Une fois qu'on a compris le rôle nodal qu'occupe selon elle l'intervention politique dans le travail d'élaboration marxien, il ne nous reste parfois pas grand chose à nous mettre sous la dent.
Sinon quelques trucs annexes, et pas inintéressants. Comme la réaffirmation du terme de communisme, en tant qu'expression adéquate de la perspective d'émancipation humaine, au détriment de celui de socialisme, jugé ambigu et historiquement connoté par les formes "abâtardies" ou dérivées de la pensée sociale. Ceci, à partir d'une relecture de la Critique du Programme de Gotha assez stimulante.
Donc, "à boire et à manger". Si quelqu'un d'autre qui l'a lu pouvait donner son avis, ça m'éclairerait peut-être sur ce que j'ai raté ou mal saisi.
____________
[Un aparté en HS: son insistance sur l'aspect novateur que prend nécessairement l'activité révolutionnaire m'a fait penser à l'article de Pignarre que tu as récemment mis en ligne, et qui soulignait l'importance de la créativité dans nos interventions politiques. Ca peut avoir l'air décalé, mais je trouve cela assez important.
On a cru avoir réglé la question de l'activisme en modérant le rythme des réunions. En réalité, on a fait que les appauvrir en substance, en contenu. Il faudrait je crois reprendre le vrai chemin de l'école : celui d'une pensée collective active, réactive et... inventive. Malgré les charges multiples qu'impose la vie quotidienne.
Fin du HS.]
Babel- Messages : 1081
Date d'inscription : 30/06/2011
Re: Marx et le marxisme
Une note de lecture par François Chesnais du livre de P. Dardot et C. Laval, Marx, prénom Karl est mise en ligne sur le site de la revue Carré Rouge.
Il s'agit d'une "note centrée sur les chapitres historico-politiques."
L'article est paru dans le numéro 47 de la revue (juillet 2012)
Il s'agit d'une "note centrée sur les chapitres historico-politiques."
L'article est paru dans le numéro 47 de la revue (juillet 2012)
Babel- Messages : 1081
Date d'inscription : 30/06/2011
Fondation de la 1ere INTERNATIONALE
http://forumlo.cjb.net/index.php?act=ephem&s=t
Vals- Messages : 2770
Date d'inscription : 10/07/2010
Mort de Paul et Laura LAFARGUE
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Testament politique de LAFARGUE et éloge funèbre de LENINE
Testament politique de LAFARGUE et éloge funèbre de LENINE
Vals- Messages : 2770
Date d'inscription : 10/07/2010
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