Alerte aux fous : Une centrale nucléaire sous-marine low cost en projet !
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Alerte aux fous : Une centrale nucléaire sous-marine low cost en projet !
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Là c'est clair now : ils sont fous. Complétement. Je demande à ce qu'on fasse intervenir d'urgence une équipe de psychiatres pour ces gens qui ne savent apparemment plus ce qu'ils disent et font.
BV72 ki/ Putain là il faut vraiment faire qq chose !
Par Véronique Guillermard
20/01/2011 | Mise à jour : 09:02
Une centrale nucléaire sous-marine low cost en projet
En s'appuyant sur la technologie des sous-marins nucléaires, leur constructeur DCNS, associé à Areva, EDF et au CEA, a pour objectif de fabriquer un premier prototype en 2013 pour une mise en service en 2016-2017.
Jules Verne aurait pu l'imaginer. Installer au fond des océans des centrales nucléaires afin d'alimenter en électricité les villes côtières. C'est l'idée qui a germé dans l'esprit des ingénieurs de DCNS, leader européen du naval militaire. «Après trente mois d'études, nous lançons l'étape de validation du concept, baptisé FLEX BLUE, avec nos partenaires : Areva, EDF ainsi que le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) », annonce Patrick Boissier, président de DCNS.
En 2013, la décision devra être prise de construire un prototype dans la perspective d'une mise en service autour de 2017. EDF pourrait être le premier client. D'ici là, une équipe mixte de 150 ingénieurs travaillera sur la seconde phase du projet, qui nécessitera «quelques dizaines de millions d'euros d'investissement».
La centrale sous-marine se présente sous la forme d'un cylindre de 12 à 15 mètres de diamètre doté d'une chaudière nucléaire de 50 à 250 mégawatts (MW) de puissance ainsi que d'une centrale électrique. Si le projet aboutit, elle sera immergée par 100 mètres de profondeur à quelques kilomètres des côtes, téléopérée depuis la terre et reliée au rivage par des câbles sous-marins. Elle alimentera en électricité des zones regroupant entre 100 000 et 1 million d'habitants.
Construite à Cherbourg, elle sera transportée sur site à bord de bateaux spéciaux. «La centrale FLEX BLUE est le résultat de technologies éprouvées, notamment dans la conception de 18 sous-marins et porte-avions à propulsion nucléaire dans nos chantiers », souligne Patrick Boissier. Destinée à venir compléter le catalogue nucléaire français et «à conforter son leadership mondial», la centrale de faible et moyenne puissance FLEX BLUE marquerait l'émergence d'une offre low-cost dans le nucléaire civil.
Normes de sûreté
«L'investissement de plusieurs centaines de millions d'euros est progressif. Il n'est pas nécessaire d'investir dans des capacités non utilisées. Il n'y a pas de travaux de génie civil. On construit moins cher et plus vite, en deux ans en moyenne. Le prix du kilowattheure devrait être compétitif », développe le président de DCNS.
Le marché potentiel serait de 200 centrales sous-marines de moins de 300 MW dans les vingt ans à venir. Quelque 68 pays ont déclaré s'intéresser à l'énergie nucléaire. Cette centrale s'adresserait plus particulièrement aux pays émergents.
Aux yeux des spécialistes, le projet n'en est encore qu'à un stade «très
prospectif». D'autant qu'au-delà du défi technologique la question de la sécurité et de l'impact sur l'environnement est posée. Il faudra faire certifier ce réacteur du futur par des Autorités de sûreté nucléaire habituées à travailler sur des centrales terrestres. «FLEX BLUE répondra aux normes de sûreté des centrales de 3e génération (EPR). Le cœur du réacteur sera confiné afin d'isoler le combustible de l'eau. L'eau est une source de refroidissement naturelle et infinie. Une telle centrale est à l'abri des catastrophes naturelles telles que la foudre, les chutes d'avions ou de météorites, les séismes ou les tsunamis », affirme DCNS. La centrale sera équipée d'une sorte de «cote de maille» de protection. Autant d'atouts, selon DCNS, face au projet russe de centrales flottantes.
Face au risque d'un accident nucléaire dans ce milieu fragile, DCNS assure que l'eau étant une barrière naturelle aux radiations, il «suffit de noyer le réacteur». Pas sûr que tous les experts affichent le même optimisme face au risque d'une catastrophe nucléaire sous-marine.
Là c'est clair now : ils sont fous. Complétement. Je demande à ce qu'on fasse intervenir d'urgence une équipe de psychiatres pour ces gens qui ne savent apparemment plus ce qu'ils disent et font.
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BouffonVert72- Messages : 1748
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