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Et toujours le fric en cause...
http://www.challenges.fr/economie/20121122.CHA3456/les-dessous-financiers-de-la-guerre-fillon-cope-a-l-ump.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
A la découpe !
Copé, c’est du faux-filet
Fillon, c’est du RUMP-steak !
Fillon, c’est du RUMP-steak !
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: UMP
A l’UMP, les piranhas entrent en scène
par F. Fressoz, blog LeMonde.
Babel- Messages : 1081
Date d'inscription : 30/06/2011
Re: UMP
Ils sont vraiment bêtes de ne pas avoir voté ultra massivement Fillon, alors qu'il est bien plus populaire que l'infame Copé.
Enfin bon c'est leur problème pas le nôtre.
Enfin bon c'est leur problème pas le nôtre.
Invité- Invité
Que du bonheur !
Primaire, mariage pour tous: le grand fiasco de l’UMP
PAR MARINE TURCHI
ARTICLE PUBLIÉ sur Mediapart LE VENDREDI 31 MAI 2013
PAR MARINE TURCHI
ARTICLE PUBLIÉ sur Mediapart LE VENDREDI 31 MAI 2013
Elle avait un boulevard. Entre l’affaire Cahuzac, les
renoncements de l'exécutif, la descente de la droite
dans la rue contre le mariage pour tous, l’UMP avait
de quoi reprendre l’avantage après son enchaînement
de défaites électorales. Mais depuis le raté de son
élection interne de novembre, l’opposition s’enlise. Et
se divise.
Le fiasco de la primaire à Paris
À l'UMP, « la démocratie » se situe « entre Cuba et la
Corée du Nord », avait ironisé Henri Guaino lors de
la course à la présidence du parti, en septembre. Huit
mois plus tard, l'UMP démontre à nouveau combien
l'exercice de la démocratie est compliqué dans ses
rangs. La primaire ouverte organisée pour désigner son
candidat aux municipales à Paris – une première pour
la droite – vire au fiasco.
Philippe Goujon, le président de la fédération de
Paris, avait promis « un souffle démocratique ».
Aujourd'hui, Pierre-Yves Bournazel, challenger de
NKM, demande la suspension immédiate «d’un vote
publiquement ridiculisé, dans l’intérêt de l’UMP et
des Parisiens ». L'élu a dénoncé vendredi un «système
incontestablement défaillant », où certains n'ont pu
s'inscrire, quand d'autres ont pu inscrire plusieurs
électeurs sans leur consentement :
Vidéo disponible sur mediapart.fr
« Il se passe des choses incompréhensibles », « On n’a
pas pris en compte les dégâts de notre élection interne
», explique aussi à Mediapart Jean-François Legaret,
autre candidat parisien.
Trop soucieuse de s’assurer du “bon résultat”, l'UMP
n’a pas apporté suffisamment de gages de transparence
dans ce vote, suscitant, sinon des fraudes, au moins un
climat de suspicion. Pour la fédé, il s’agissait d’abord
de faire gagner la favorite, Nathalie Kosciusko-
Morizet, seule capable selon les barons parisiens de
challenger la socialiste Anne Hidalgo.
Première prise de risque : le parti a opté pour le
vote électronique, ardemment défendu par NKM. Les
autres candidats y étaient pourtant opposés et la Cnil,
dans une recommandation, se dit « réservée », par
rapport à son utilisation « pour les élections politiques
» étant donné les « difficultés accrues » qu’il présente.
Deuxième erreur : alors qu’elle prétend choisir un
prestataire « totalement indépendant par rapport à
l’UMP» pour organiser cette primaire, la fédération
opte pour Docapost, filiale de La Poste ... et partenaire
de la société d’un élu UMP, premier adjoint d’un
fervent soutien de NKM, comme Mediapart l’a
révélé mardi. Le site Internet de la primaire est
d’ailleurs hébergé par une filiale de la société de ce
même élu.
Autre bizarrerie, le parti modifie, à une semaine du
vote, la date butoir pour s’inscrire comme votant à
la primaire, en la repoussant jusqu’au dernier jour
du vote. Une élection à laquelle on peut s’inscrire
pendant le scrutin, le procédé a de quoi surprendre...
Les adversaires de NKM s’y opposent, arguant qu’on
ne peut pas « modifier les règles du jeu en cours de
partie », mais la fédération persiste.
La sécurisation du vote, encore un raté. Certes,
l’UMP a procédé, en amont, comme le veut la Cnil,
à une expertise indépendante du système de vote.
Mais elle ne semble pas avoir suffisamment sécurisé
le processus d’inscription (vérification des adresses
IP, des paiements multiples avec une même carte
bancaire), puisqu’un même individu peut inscrire
plusieurs personnes à leur insu puis voter, comme l’a
démontré Métro News.
Sur le site de la primaire, l’UMP se contente
d’expliquer que « la plate-forme d’enregistrement
et de vote est sécurisée, ainsi naturellement que le
paiement en ligne ». Interrogé par Mediapart sur ces
Directeur de la publication : Edwy Plenel
www.mediapart.fr 2
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dispositifs, mardi, Jean-Charles Bossard, le délégué
Internet de la fédération avait botté en touche :
« Nous ne sommes pas censés communiquer sur
nos dispositifs de sécurité. Nous avons demandé à
Docapost d'assurer cela. » Enfin, depuis l’ouverture
du vote, vendredi matin, les bugs techniques se
multiplient.
« Une nouvelle guerre remettrait en cause
l'organisation de la primaire en 2016 »
Résultat, depuis plusieurs jours, les candidats
s’écharpent publiquement. Lundi, lors du troisième
débat, sur i-Télé, l’ambiance était électrique.
Mardi, les trois challengers de NKM dénonçaient
des « suspicions ». Mercredi, Jean-François Legaret
annonçait une plainte contre X... pour faux et usage
de faux. En cause, cette vidéo de 2007 qui le montre
participant à une réunion de GayLib, mouvement
LGBT alors associé à l’UMP, et où il exprime son
soutien à l’union civile pour les couples homosexuels.
Le maire du 1er arrondissement assure que le fichier
UMP élargi, ainsi que celui des primaires, ont été «
piratés » pour assurer la diffusion de cette vidéo. Il a
ouvertement accusé Claude Goasguen, maire du XVIe
arrondissement et soutien de NKM. Les deux élus se
sont invectivés sur Twitter :
Ce vendredi, le ton est monté. Les équipes de
Bournazel et Legaret ont accusé NKM d'organiser des
réunions dans les permanences de ses soutiens pour
aider les militants à voter, ce qu'interdit le règlement. «
Je vais le faire constater par huissier », annonce le
maire du Ier arrondissement. « Ce ne sont pas des
bureaux de vote, ce sont des réunions de mobilisation
avec nos partisans », répond Jérôme Peyrat, conseiller
de NKM, contacté par Mediapart.
À gauche, Anne Hidalgo, la candidate socialiste, a
raillé le « spectacle » donné par la droite : « Ce
scrutin est déjà entaché de suspicion par rapport à la
régularité d'une élection dans laquelle il n'y a pas de
bureaux de vote. » À l'UMP, une seule personne se
frottait les mains vendredi, Rachida Dati, qui avait dû
jeter l'éponge à Paris :
« L'image de l'UMP n'est déjà pas bonne dans
l'opinion à cause de la guerre Copé-Fillon. Une
nouvelle guerre remettrait clairement en cause
l'organisation de la primaire pour la présidentielle en
2016 », redoutait vendredi un élu parisien.
Les déchirements sur le mariage pour tous
Si l'UMP s'enlise dans son apprentissage de la
démocratie, elle se divise également sur celui du
mariage pour tous. Le parti avait refusé d’avoir ce
débat en interne, en amont de l’élection présidentielle.
Un an plus tard, le sujet de l’ouverture du mariage et
de l’adoption aux couples du même sexe lui explose au
visage. Certes, au Parlement, une écrasante majorité
de l’UMP a voté contre le projet de loi. Mais c’est sur
sa participation aux manifestations, la suite à donner à
ce mouvement et le sort à réserver à la loi Taubira
en cas d’alternance, que la droite s’est déchirée.
Le cortège des élus UMP autour de J.-F. Copé, le 26 mai 2013. © C.G.
Dès la première manifestation nationale des anti,
en novembre, François Fillon s’est bien gardé
d’apparaître dans les cortèges, tout en apportant
son soutien aux manifestants et en dépêchant ses
lieutenants. Jean-François Copé, lui, a fait de
l’opposition au mariage pour tous un marqueur, non
seulement en participant à toutes les manifs, mais
aussi en encourageant les militants à s’y rendre (lire
Directeur de la publication : Edwy Plenel
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notre article). Malgré la radicalisation du mouvement,
les appels à la désobéissance civile de certains de
ses membres, et le vote de la loi, le patron de
l'UMP a à nouveau appelé à manifester, une dernière
fois, le 26 mai. Une stratégie de récupération du
mouvement contestée par plusieurs ténors (François
Baroin, Alain Juppé). Même le vice-président
(copéiste) de l'UMP, Luc Chatel, n'a pas défilé.
Le parti s'embrouille aussi dans son discours sur le sort
de la loi Taubira en cas d’alternance. Certains, comme
Copé, promettent qu’elle sera abrogée. D’autres,
comme NKM, estiment au contraire qu'on ne pourra
pas « démarier ou désadopter ».
« Il y a un problème de leadership à l'UMP »
Pendant huit mois, l’UMP a déployé un message
inaudible : déplorant d’un côté l’absence de débat
sur ce sujet sociétal crucial, accusant de l’autre le
gouvernement d’avoir passé des mois sur le mariage
pour tous, quand les chiffres du chômage atteignent
des records. Mais dans l'opposition, la droite se révèle
incapable de mettre d’autres sujets sur la table.
Le sujet est si clivant qu'il s'est invité dans la primaire
à Paris, au point d'en devenir une question clé. Lors du
dernier débat, NKM a accusé Pierre-Yves Bournazel
d’être ambiguë sur sa position sur le mariage pour
tous (voir la vidéo). Quelques jours plus tôt, Guillaume
Peltier, le leader de la droite forte, a expliqué qu'il
souhaitait que l'ex-ministre de l'écologie ne « soit pas
désignée », à cause de son abstention lors du vote. Le
collectif de la Manif pour tous et l’extrême droite (le
bloc identitaire, le journal Minute) lui ont embrayé le
pas en appelant à faire battre NKM.
Tollé. Le bureau national de l’UMP est contraint de
condamner les propos de Peltier. NKM riposte en
accusant le leader de la Droite forte d’être « le Buisson
qui cache la forêt » : « Derrière tout cela, il y a
des gens qui voudraient prouver que la droitisation et
l'alliance avec le Front national sont indispensables
(…) Il y a une série de groupes extrémistes aidés par
le Front national, aidés par ceux qui en sont issus, qui
cherchent à manipuler et à saboter la primaire. »
Certes l'épisode a permis de booster le nombre
d'inscrits à la primaire. Mais il a surtout remis un
vieux débat sur la table, celui de la fracture idéologique
scindant l'UMP : d’un côté une droite tentée, si ce n’est
par l’alliance avec le FN, au moins par l’idée de parler
comme le Front national pour siphonner ses voix ; de
l’autre une droite estimant que l’histoire et les valeurs
du FN ne sont pas les siennes.
En coulisses, la guerre Copé-Fillon se poursuit
Au siège de l'UMP, le 19 novembre 2012. © Reuters
La bataille est remisée en arrière-plan mais elle ne
faiblit pas pour autant. Lundi, Jean-François Copé et
François Fillon ont passé un nouvel accord, prévoyant
d’interroger les militants sur une nouvelle élection à
l’automne. « La moins mauvaise des solutions », selon
l’ex-premier ministre. Deux jours plus tard, Fillon a
réuni une centaine de ses soutiens, à deux pas de
l’Assemblée. Plusieurs parlementaires ont vidé leur
sac et se sont plaints de « l'air irrespirable » du bureau
politique de l’UMP transformé en « fan club de Copé
», mais aussi du « petit marquis » Peltier.
Mais les fillonistes ne gardent plus leurs critiques pour
les réunions à huis clos. Cette semaine, ils se sont
épanchés dans les médias. Pour Laurent Wauquiez, il
y a « trop de désordre » dans le parti, et ce n’est pas la
faute des sensibilités qui y cohabitent : « Là, il y a un
problème de leadership, c'est ça qu'il faut corriger. »
François Fillon et ses soutiens, en meeting à Paris, le 12 novembre 2012. © Reuters
Directeur de la publication : Edwy Plenel
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« On a un problème de gouvernance. C’est-à-dire
qu’on ne connaît pas le cap précis (et que) la
voix de l’UMP est quelque peu balkanisée », s’est
aussi inquiété Bernard Accoyer, l’ancien président de
l’Assemblée nationale. « Je ne suis pas d'accord pour
mélanger opposition au mariage pour tous et élections
municipales de 2014 », a assené Dominique Bussereau
sur Twitter.
La fronde va bien au-delà des fillonistes. Bruno Le
Maire, l'un des non-alignés, estime que « l’UMP n'est
pas crédible » et qu'elle a « perdu le fil avec la société
française ».
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: UMP
Le Conseil Constitutionnel rejette les comptes de campagne de Sarkozy
Libération a écrit:Ce sont donc 11 millions d'euros qui ne seront pas versés à l'UMP au titre du remboursement, pour moitié, des frais de campagne du candidat Sarkozy. 11 millions d'euros, c'est un tiers du budget annuel du parti, déjà mis à la peine par ses défaites aux élections législatives et les sanctions financières pour non respect de la parité (environ 4 millions d’euros, selon la maire du XVIIe arrondissement de Paris, Brigitte Kuster).
sylvestre- Messages : 4489
Date d'inscription : 22/06/2010
Casseroles et mauvaise soupe
Les militants du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) ont installé une batterie de casseroles sur les marches de l’UMP, vendredi soir. Clin d’œil à l’actualité.
Ils n'étaient qu'une poignée. Mais ils s'affichent comme le poil à gratter de la politique castelroussine. Leur dernier coup d'éclat, sans tambour ni trompette, remonte à vendredi, en fin d'après-midi. Les militants du NPA ont, en effet, déposé une batterie de casseroles sur les marches du siège de l'UMP, situé avenue Charles-de-Gaulle à Châteauroux. « Des casseroles et un autocuiseur que nous avons récupérés dans une déchetterie », se marre Gérald Prévot. Le porte-parole du NPA assume cet acte : « De quoi faire mijoter les consciences. Cette idée nous est venue lorsque le Conseil constitutionnel a rejeté les comptes de campagne de Sarkozy pour fraude électorale. »
Également une plainte contre le maire
Source: http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre/Actualite/Politique/n/Contenus/Articles/2013/07/21/Des-casseroles-deposees-devant-le-siege-de-l-UMP-1555388
Pour les sympathisants du NPA, la « soupe politicienne » a mauvais goût. Gérald Prévot s'en explique et s'insurge : « En plus, l'UMP lance une souscription et a déjà récupéré près de 5 M€ alors que c'est la disette pour les Français. Et, cerise sur le gâteau, cette somme sera déductible à 66 % des impôts comme les autres dons effectués aux œuvres caritatives ou aux syndicats. »
Sur ce point, le NPA trouve la recette douteuse : « Car indirectement, ce sont les Français qui participent et financent cette fraude électorale. » Le Parti anticapitaliste surfe sur les affaires. « Bettencourt, Tapie, La Libye ou Karachi, l'UMP est bourrée de casseroles. » Et un coup de canif à gauche : « La première grosse casserole du Parti socialiste, c'est de nous faire croire qu'ils sont de gauche. Pour cette action, nous avions invité les partis de gauche, aucun n'a répondu. »
Gérald Prévot fait le rappel : « L'UMP à Châteauroux, ce n'est pas mieux. Nous avons déposé une plainte contre le maire pour ses propos tenus à l'encontre des gens du voyage. Plainte sans suite. Et que penser du terrain de La Martinerie, cédé à bas prix à l'école religieuse sans estimation des Domaines ? »
Finalement, quelques militants de la CGT ont rappliqué vendredi soir. Le petit NPA s'est soudain senti moins seul.
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: UMP
Congo-Liberty : Jean François Copé chez le dictateur Sassou Nguesso pour remplir les caisses de l’UMP : Fourbe(rie) Afrique 2013 !
sylvestre- Messages : 4489
Date d'inscription : 22/06/2010
Re: UMP
Twitter: le "Réseau Michu" prépare la présidentielle 2017 avec une armée de followers dormants
sylvestre- Messages : 4489
Date d'inscription : 22/06/2010
Les centristes prennent leur distance avec l'UMP
http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/09/15/les-centristes-prennent-leur-distance-avec-l-ump-le-fn-s-amuse_3477812_823448.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Quand la droite craint le retour du bolchevisme
http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/10/03/quand-la-droite-craint-le-retour-du-bolchevisme_3488950_823448.html
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: UMP
Hautes-Alpes : Romain Gryzka quitte l'UMP 18/10
Après huit ans d’engagement au sein de l’Union pour un Mouvement Populaire, Romain Gryzka a décidé de rendre sa carte du parti. Dans un courrier daté du vendredi 11 octobre et adressé au Président de l’UMP au niveau national, Jean-François Copé, annonce sa démission de ses fonctions au sein de la Fédération des Hautes-Alpes et de celle de simple adhérent de la formation politique. Selon lui, les deux valeurs de l’UM, qui sont "le travail et le mérite" ont été « trahies ».
Romain Gryzka revient alors sur son parcours politique : conseiller municipal en 2008 et 2009 à Briançon sous Alain Bayrou, responsable des Jeunes UMP en 2009, candidat aux cantonales en 2011 sous l’étiquette UMP contre le maire PS de la ville fortifiée Gérard Fromm. Echéance durant laquelle il recueille « au second tour 40 % des voix sur la ville, dont 49,8 % sur un des deux bureaux. J’ai gagné ma légitimité par cette élection », explique t-il.
Romain Gryzka revient également sur l’ambiance « polaire » au sein de la fédération UMP des Hautes-Alpes lors du vote pour départager la présidence du parti entre François Fillon et Jean-François Copé. « La Présidente de la Fédération des Hautes-Alpes, Henriette Martinez, soutien inconditionnel de François Fillon, n’a pas supporté que les « jeunes », entre autres, vous place (Jean-François Copé) à 48% des voix dans ce département où elle tablait sur 70% pour son camp. A partir de cet instant, une véritable chasse aux sorcières s’est ouverte et les relations, déjà froides durant la campagne présidentielle sont devenues polaires ».
Mais coup dur pour le jeune politique, décisif dans sa décision, les investitures en vue des municipales 2014. «. C’est à partir de ce moment que la Fédération a vu arriver un illustre inconnu en la personne d’Arnaud Murgia », écrit-il. Le jeune homme a alors décidé de se présenter face à lui, « je ne vous détaillerai pas les pressions, menaces et magouilles de dernières minutes ». Le vote, le 27 juin dernier, au sein de la fédération a alors placé les deux candidats à égalité avec 47 voix chacun. Romain Gryzka avait demandé la tenue de primaires. « Proposition balayée ! Peut être n’était-ce pas le meilleur moyen pour un illustre inconnu de gagner son investiture, mais c’était le moyen le plus démocratique et le plus respectueux », poursuit-il. La Commission Nationale d’Investiture avait alors décidé d’attribuer l’investiture à Arnaud Murgia « en violant les statuts du parti. Pire, la seule explication téléphonique qu’on a bien voulu me donner était qu’Arnaud Murgia bénéficiait d’une expérience politique plus importante. Lequel des deux est le plus méritant et le mieux placé pour tenter de remporter la mairie de Briançon ? », s’interroge Romain Gryzka, « je déplore cette situation et refuse de cautionner ce passage en force et cette injustice. Je tiens à ajouter, que ma démission ne préjuge en rien des actions futures ». Serait-ce là une candidature Divers Droite aux municipales à Briançon qui s’assure ? Réponse dans les jours à venir.
nico37- Messages : 7067
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: UMP
Pression du FN, guerres des chefs : la droite plus désarticulée que jamais
DIVÈS Jean-Philippe
http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article30400
DIVÈS Jean-Philippe
http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article30400
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
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