Troisième université d'été du NPA
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Re: Troisième université d'été du NPA
C'est quand même trés "universitaire" dans le "look and feel"
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Troisième université d'été du NPA
gérard menvussa a écrit:C'est quand même trés "universitaire" dans le "look and feel"
Les chiens ne miaulent pas quand ils aboient
et les chats n'aboient pas quand ils miaulent,
Ou alors, les uns et les autres doivent salement bosser pour ventriloquer le quidam.
bref, des enseignants quand ils parlent ont nécessairement des aspects qui viennent de leur métier, pas de surprise là dessus.
Et l'UE, pas de surprise pour ces sujets, il y a eut bien d'autres sujets et de façon d'aborder ces autres sujets.
Perso j'ai raté celui-là .
Quand au truc sur les ateliers, qu'on définisse d'abord ce que c'est , car le mot à une autre signification dans l’essentiel du monde du travail.
L'UE permet de voir à quoi ressemble les camarades, les forces en présence, les idées qui courent, etc... C'est également un coup d'envoi de l'année pour les enseignants et les scolarisés.
Ca permet aussi d'essayer de faire avancer le schmilblik sans que cela ne sombre dans des tractations de congrès.
Ce qu'on peut constater...
Mais il est sur que ce n'est pas trop une école, même si on y apprend des choses. Hors c'est quelque chose qui également insuffisamment fait dans le NPA, d'autant plus que le recrutement est potentiellement bien plus large qu'un petit milieu avec ses tics et ses habitudes, ses références etc.
Maintenant , les propositions sont à faire.
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
Re: Troisième université d'été du NPA
Les chiens ne miaulent pas quand ils aboient
et les chats n'aboient pas quand ils miaulent,
Sans aucun doute ! mais quand on veut séduire un chat, aboyer n'est pas la manière la plus efficace...
Un "atelier", c'est une séance ou les gens ne se contentent pas d'écouter ce qu'un conférencier a à dire, mais "font" ensemble. Par exemple, on peut faire une conférence sur "la meilleure façon de rédiger un tract", ou un expert en réalisation de tract nous donnera ses "secrêts" pour réaliser un tract, et un "atelier" de réalisation d'un tract ou tout le monde se coltinera la réalisation d'un recto verso (y compris les partis chiantes)
Cela existe déja ! mais c'est coincé entre la séance de l'aprém et le soir. Je pense que si on faisait la moitié de l'aprem sous forme d'atelier, ce serait mieux...
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Troisième université d'été du NPA
gérard menvussa a écrit:
Les chiens ne miaulent pas quand ils aboient
et les chats n'aboient pas quand ils miaulent,
Sans aucun doute ! mais quand on veut séduire un chat, aboyer n'est pas la manière la plus efficace...
Un "atelier", c'est une séance ou les gens ne se contentent pas d'écouter ce qu'un conférencier a à dire, mais "font" ensemble. Par exemple, on peut faire une conférence sur "la meilleure façon de rédiger un tract", ou un expert en réalisation de tract nous donnera ses "secrêts" pour réaliser un tract, et un "atelier" de réalisation d'un tract ou tout le monde se coltinera la réalisation d'un recto verso (y compris les partis chiantes)
Cela existe déja ! mais c'est coincé entre la séance de l'aprém et le soir. Je pense que si on faisait la moitié de l'aprem sous forme d'atelier, ce serait mieux...
C'est facile à faire un tract. Un cadre noir en haut, un cadre noir en bas.
Marco Pagot- Messages : 940
Date d'inscription : 26/06/2010
Age : 36
Re: Troisième université d'été du NPA
Marco Pagot a écrit:gérard menvussa a écrit:
Les chiens ne miaulent pas quand ils aboient
et les chats n'aboient pas quand ils miaulent,
Sans aucun doute ! mais quand on veut séduire un chat, aboyer n'est pas la manière la plus efficace...
Un "atelier", c'est une séance ou les gens ne se contentent pas d'écouter ce qu'un conférencier a à dire, mais "font" ensemble. Par exemple, on peut faire une conférence sur "la meilleure façon de rédiger un tract", ou un expert en réalisation de tract nous donnera ses "secrêts" pour réaliser un tract, et un "atelier" de réalisation d'un tract ou tout le monde se coltinera la réalisation d'un recto verso (y compris les partis chiantes)
Cela existe déja ! mais c'est coincé entre la séance de l'aprém et le soir. Je pense que si on faisait la moitié de l'aprem sous forme d'atelier, ce serait mieux...
et noir au milieu ?
Pour moi un atelier c'est une unité de production de petite taille .
Mais je comprends ce que certains appellent ateliers , des traveaux pratiques en somme.
C'est bien.
Mais il faudra passer du monde à la rééducation pour parler normalement dans un tract...
C'est un autre aspect de la formation, de la même façon que l'apprentissage du pot de colle et de l'affiche, à faire des sites internet efficaces, de savoir utiliser les réseaux sociaux, construire un réseau inviolable .
C'est facile à faire un tract. Un cadre noir en haut, un cadre noir en bas.
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
Re: Troisième université d'été du NPA
Mais il faudra passer du monde à la rééducation pour parler normalement dans un tract... Razz Embarassed
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Troisième université d'été du NPA
L’université d’été du NPA
NPA (commissions diverses)
1er septembre 2011
version imprimable n°22859
LA RENTRÉE DES ANTICAPITALISTES
Depuis trois ans, c’est du côté de Port-Leucate que se passe la rentrée du NPA. Pendant quatre jours, près de 900 participantEs – militantEs, sympathisantEs et leur famille – se sont retrouvéEs pour préparer une année notamment marquée par les échéances électorales.
N’en déplaise aux esprits chagrins, l’université d’été 2011 a encore été un lieu de rendez-vous incontournable en cette rentrée. Succès numérique avec certes un nombre de participantEs en légère baisse par rapport à l’année dernière mais encore un des plus importants dans la gauche de la gauche. Succès politique avec de nombreux invitéEs venuEs notamment de la sphère anticapitaliste internationale, le tout dans un cadre toujours convivial voire festif.
Beaucoup d’articles de presse ont parlé de la « crise du NPA » depuis quelques mois. Cette édition 2011 a donc été la preuve de la vitalité d’un parti, certes en situation difficile, mais bien vivant et plein de ressources. Et l’exercice qui consiste à rendre compte de la globalité de cette université d’été reste mission impossible.
Pensez donc : 73 réunions de débats, formation, etc. (réunissant entre 500 et 600 participantEs chaque demi-journée), des « travaux pratiques » en fin d’après-midi, des soirées culturelles avec un spectacle théâtral et des projections, des rencontres avec des auteurs, un grand meeting de rentrée... Dans une relecture tout à fait subjective, arrêtons-nous sur quelques moments incontournables de cette année. Que les oubliéEs nous pardonnent, les choix étaient encore cette année difficiles.
L’écho des révolutions du monde arabe a évidemment eu une résonance particulière du côté de Port-Leucate. En quatre séances, les participantEs ont pu en prendre la mesure. Sans chercher à en faire des modèles achevés, mais en tentant de comprendre et de mettre en perspective les acquis et les difficultés rencontrées, ces séances ont réuni à chaque fois entre 100 et 150 participantEs en compagnie notamment d’Alhem Belladj (Tunisie), Nazar Abdullah (Irak), Ghayath Naisse (Syrie) et Mélanie Souad (Égypte).
C’est aussi à peu près le même nombre de personnes qui le premier matin sont venues écouter le passionnant Daniel Mermet, journaliste à France Inter. Celui-ci, après avoir exécuté le « journalisme militant » d’un certain nombre de ses collègues relayant les idées des classes dirigeantes, a exposé ses conceptions sur le rôle critique de son métier et la fonction subversive que devrait être celle des médias.
La question de la dette a traversé l’ensemble de l’université d’été. Du premier jour, avec Éric Toussaint (CADTM) et le Groupe de travail économique du NPA qui ont tracé les contours de cette « dette illégitime », au dernier après-midi où ont été débattues par différents économistes et militants les réponses anticapitalistes que peut défendre le NPA, en passant par le « cas d’école » grec avec Giorgos Mitralias (CADTM), le tour d’horizon fut assez complet.
Comme chaque année, la Société Louise-Michel a apporté un vrai plus au programme avec ses nombreux invitéEs sur des sujets généraux (la révolution abordée sous des éclairages divers par François Sabado ou Gus Massiah, des retours multiples sur Daniel Bensaïd avec en particulier Edwy Plenel) ou plus pointu (la représentation artistique de la Commune de Paris, le fait religieux, etc.).
Et si l’on ajoute la présence de nombreux invités français (des débats avec des membres d’Alternative libertaire, des Alternatifs ou du Mouvement des objecteurs de croissance) ou internationaux (notamment de l’État espagnol, d’Italie, du Portugal et même du Bangladesh), on peut dire que les discussions – en toutes les langues – n’ont pas manqué.
Point d’orgue de ces quatre jours, le meeting du lundi 29 août a en premier lieu marqué l’engagement du NPA sur les terrains internationaux : en solidarité avec les révolutions du monde arabe, avec les luttes pour les droits du peuple palestinien, aux côtés des « Indignés » de l’État espagnol. Il marque aussi la rentrée du parti en mettant en avant la nécessité d’une campagne contre la dette et les politiques d’austérité, comme l’ont développé Christine Poupin et Olivier Besancenot dans leurs interventions. Et bien évidemment, ce meeting s’est conclu par une intervention de près de quarante minutes de notre camarade Philippe Poutou, candidat du NPA à l’élection présidentielle. Un ouvrier candidat pour porter l’ensemble de notre programme anticapitaliste.
Et comme il est plus sympa de finir en chanson, la traditionnelle Internationale chantée en fin de meeting a vite laissé la place au son de Zone d’Expression Populaire. Une musique métissée pour pourfendre les politiques racistes, un bon résumé de l’esprit de notre université d’été. Vivement l’année prochaine !
Commission Université d’été
NPA (commissions diverses)
NPA (commissions diverses)
1er septembre 2011
version imprimable n°22859
LA RENTRÉE DES ANTICAPITALISTES
Depuis trois ans, c’est du côté de Port-Leucate que se passe la rentrée du NPA. Pendant quatre jours, près de 900 participantEs – militantEs, sympathisantEs et leur famille – se sont retrouvéEs pour préparer une année notamment marquée par les échéances électorales.
N’en déplaise aux esprits chagrins, l’université d’été 2011 a encore été un lieu de rendez-vous incontournable en cette rentrée. Succès numérique avec certes un nombre de participantEs en légère baisse par rapport à l’année dernière mais encore un des plus importants dans la gauche de la gauche. Succès politique avec de nombreux invitéEs venuEs notamment de la sphère anticapitaliste internationale, le tout dans un cadre toujours convivial voire festif.
Beaucoup d’articles de presse ont parlé de la « crise du NPA » depuis quelques mois. Cette édition 2011 a donc été la preuve de la vitalité d’un parti, certes en situation difficile, mais bien vivant et plein de ressources. Et l’exercice qui consiste à rendre compte de la globalité de cette université d’été reste mission impossible.
Pensez donc : 73 réunions de débats, formation, etc. (réunissant entre 500 et 600 participantEs chaque demi-journée), des « travaux pratiques » en fin d’après-midi, des soirées culturelles avec un spectacle théâtral et des projections, des rencontres avec des auteurs, un grand meeting de rentrée... Dans une relecture tout à fait subjective, arrêtons-nous sur quelques moments incontournables de cette année. Que les oubliéEs nous pardonnent, les choix étaient encore cette année difficiles.
L’écho des révolutions du monde arabe a évidemment eu une résonance particulière du côté de Port-Leucate. En quatre séances, les participantEs ont pu en prendre la mesure. Sans chercher à en faire des modèles achevés, mais en tentant de comprendre et de mettre en perspective les acquis et les difficultés rencontrées, ces séances ont réuni à chaque fois entre 100 et 150 participantEs en compagnie notamment d’Alhem Belladj (Tunisie), Nazar Abdullah (Irak), Ghayath Naisse (Syrie) et Mélanie Souad (Égypte).
C’est aussi à peu près le même nombre de personnes qui le premier matin sont venues écouter le passionnant Daniel Mermet, journaliste à France Inter. Celui-ci, après avoir exécuté le « journalisme militant » d’un certain nombre de ses collègues relayant les idées des classes dirigeantes, a exposé ses conceptions sur le rôle critique de son métier et la fonction subversive que devrait être celle des médias.
La question de la dette a traversé l’ensemble de l’université d’été. Du premier jour, avec Éric Toussaint (CADTM) et le Groupe de travail économique du NPA qui ont tracé les contours de cette « dette illégitime », au dernier après-midi où ont été débattues par différents économistes et militants les réponses anticapitalistes que peut défendre le NPA, en passant par le « cas d’école » grec avec Giorgos Mitralias (CADTM), le tour d’horizon fut assez complet.
Comme chaque année, la Société Louise-Michel a apporté un vrai plus au programme avec ses nombreux invitéEs sur des sujets généraux (la révolution abordée sous des éclairages divers par François Sabado ou Gus Massiah, des retours multiples sur Daniel Bensaïd avec en particulier Edwy Plenel) ou plus pointu (la représentation artistique de la Commune de Paris, le fait religieux, etc.).
Et si l’on ajoute la présence de nombreux invités français (des débats avec des membres d’Alternative libertaire, des Alternatifs ou du Mouvement des objecteurs de croissance) ou internationaux (notamment de l’État espagnol, d’Italie, du Portugal et même du Bangladesh), on peut dire que les discussions – en toutes les langues – n’ont pas manqué.
Point d’orgue de ces quatre jours, le meeting du lundi 29 août a en premier lieu marqué l’engagement du NPA sur les terrains internationaux : en solidarité avec les révolutions du monde arabe, avec les luttes pour les droits du peuple palestinien, aux côtés des « Indignés » de l’État espagnol. Il marque aussi la rentrée du parti en mettant en avant la nécessité d’une campagne contre la dette et les politiques d’austérité, comme l’ont développé Christine Poupin et Olivier Besancenot dans leurs interventions. Et bien évidemment, ce meeting s’est conclu par une intervention de près de quarante minutes de notre camarade Philippe Poutou, candidat du NPA à l’élection présidentielle. Un ouvrier candidat pour porter l’ensemble de notre programme anticapitaliste.
Et comme il est plus sympa de finir en chanson, la traditionnelle Internationale chantée en fin de meeting a vite laissé la place au son de Zone d’Expression Populaire. Une musique métissée pour pourfendre les politiques racistes, un bon résumé de l’esprit de notre université d’été. Vivement l’année prochaine !
Commission Université d’été
NPA (commissions diverses)
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Un article pourri de Marianne
Pour votre info, c'est à vomir :
NPA: la chasse aux parrainages patine
Des divisions internes, un candidat par défaut et des militants qui se font la belle: le Nouveau parti anticapitaliste - qui devait rassembler à la gauche du PS - est au plus mal. Au point que certains ne s’activent même plus pour réunir les 500 signatures nécessaires pour la présidentielle…
Un village vacances à Port-Leucate, près de Perpignan, sous les auspices radieux d’une belle fin de mois d’août. Ce devait être l’université d’été pour repartir du bon pied dès la rentrée. Pourtant, le soleil et la mer n’auront eu manifestement aucun effet thérapeutique sur le petit NPA abandonné au bord de la route par son papa – Olivier Besancenot – à quelques encablures de la présidentielle de 2012.
En même temps, pas de quoi sauter au plafond. Depuis des mois, rien ne semble pouvoir endiguer l’hémorragie toujours plus importante des membres du parti. Surtout pas la désignation de Philippe Poutou, 44 ans, ouvrier automobile et délégué CGT de l’Usine Ford de Blanquefort (Gironde). Sans doute le seul candidat à avoir avoué publiquement ses peurs face à la présidentielle. A des années lumières de l’ultra-médiatique Olivier Besancenot dont la photo a été imprimée – au cas où ? – sur la lettre envoyée pour solliciter le soutien des maires pour 2012.
Tout penaud qu’il soit, Philippe Poutou représente l’aile dure du parti. Cette aile majoritaire qui refuse catégoriquement de fricoter avec le Front de gauche de Mélenchon - taxé d’entretenir le dialogue avec les «social-traîtres» du PS. Le choix de cet ancien de Lutte Ouvrière(LO) n’est pas innocent. Il reflète le recentrage du NPA sur les usines et un repli sur le noyau dur de la LCR. Une réorientation qui est loin d’avoir fait l’unanimité et a précipité le départ - hautement symbolique – en février dernier de l’Appel et la pioche et de Jeudi Noir, mouvements de « précaires ».
« On a la signature d’un châtelain avec une particule»
Cet été, le NPA a seulement récolté une centaine de signatures alors qu’un petit gabarit comme Nicolas Dupont-Aignan – guère plus populaire que l’inconnu du NPA – en a déjà 350 et quelques à son actif. « Il y a des équipes sur le terrain, sans doute que certaines sont plus convaincues que d’autres», confie Myriam Martin, porte-parole du NPA appartenant aux unitaires (minoritaires). Comprendre : ceux qui n’ont pas encore levé le camp trainent des pieds. « Ils partent aux signatures mais ce n’est pas le cas de toutes et tous», admet Thibault Blondin, chargé de la récolte de ces fameux sésames pour 2012.
Outre ce manque d’enthousiaste, le NPA a un problème de taille. Que la LCR connaissait parfaitement. Il est très difficile pour une si petite formation – de surcroît en déliquescence avancée - de réunir 500 promesses. « La première phase a consisté à contacter tous les élus qui avaient parrainé Besancenot en 2007. Mais il y a eu un fort renouvellement avec les élections de mars 2008», explique Thibault Blondin qui suggère que le NPA pâtit également de la concurrence de LO. Et de raconter la chasse aux soutiens auprès de maires souvent sans étiquettes : « On a la signature d’un châtelain avec une particule. Mais aussi d’un maire employé de France Télécom. C’est totalement atypique !» Pour les séduire, il suffit souvent de miser sur le ras-le-bol du couple PS/UMP :« Ce sont de tous petits maires bien loin de la rue de Solférino ou de la Boétie».
Face à ceux qui restent indécis, le NPA n’a plus qu’une seule option : tirer sur la corde sensible de la démocratie. Mais cet argument va-t-il suffire ? Les spéculations vont bon train à gauche pour savoir qui de l’UMP ou du PS donnera de bon cœur les parrainages manquant au NPA. L’UMP, pour diviser la gauche ? Ou le PS, pour se prémunir contre un trop gros score de Mélenchon ? « Ce sont des consignes politiciennes qui ne m’intéressent pas », coupe court Myriam Martin qui dénonce le « système injuste et inique » des parrainages. Pourtant, ces consignes sont déterminantes. En 2007, François Hollande avait par exemple donné l’ordre de ne pas aider la LCR par peur d’un 21 avril bis. Si Philippe Poutou réunit effectivement assez de signatures pour atteindre le premier tour, les professionnels du sondage ne lui donnent pas plus d’un pour cent des voix. En somme : pas de quoi affoler. Ni au PS, ni chez Mélenchon.
Mais, au fond, le NPA a-t-il vraiment envie d'aller jusqu'au bout ? Certains dans l'appareil pourraient bien - consciemment ou inconsciemment - préférer ne pas réussir à obtenir leur droit d'entrée pour 2012. Histoire d'économiser de l'argent et de ménager leurs forces - tout en se gargarisant d'être les bouc émissaires du système. Mais surtout pour éviter la perspective d'une campagne pro-Poutou qui - l'obligeant à afficher son sectarisme - pourrait bien raviver les tensions internes et précipiter une véritable scission du NPA.
Jeudi 15 Septembre 2011
Chloé Demoulin - Marianne
Source :
http://www.marianne2.fr
NPA: la chasse aux parrainages patine
Des divisions internes, un candidat par défaut et des militants qui se font la belle: le Nouveau parti anticapitaliste - qui devait rassembler à la gauche du PS - est au plus mal. Au point que certains ne s’activent même plus pour réunir les 500 signatures nécessaires pour la présidentielle…
Un village vacances à Port-Leucate, près de Perpignan, sous les auspices radieux d’une belle fin de mois d’août. Ce devait être l’université d’été pour repartir du bon pied dès la rentrée. Pourtant, le soleil et la mer n’auront eu manifestement aucun effet thérapeutique sur le petit NPA abandonné au bord de la route par son papa – Olivier Besancenot – à quelques encablures de la présidentielle de 2012.
En même temps, pas de quoi sauter au plafond. Depuis des mois, rien ne semble pouvoir endiguer l’hémorragie toujours plus importante des membres du parti. Surtout pas la désignation de Philippe Poutou, 44 ans, ouvrier automobile et délégué CGT de l’Usine Ford de Blanquefort (Gironde). Sans doute le seul candidat à avoir avoué publiquement ses peurs face à la présidentielle. A des années lumières de l’ultra-médiatique Olivier Besancenot dont la photo a été imprimée – au cas où ? – sur la lettre envoyée pour solliciter le soutien des maires pour 2012.
Tout penaud qu’il soit, Philippe Poutou représente l’aile dure du parti. Cette aile majoritaire qui refuse catégoriquement de fricoter avec le Front de gauche de Mélenchon - taxé d’entretenir le dialogue avec les «social-traîtres» du PS. Le choix de cet ancien de Lutte Ouvrière(LO) n’est pas innocent. Il reflète le recentrage du NPA sur les usines et un repli sur le noyau dur de la LCR. Une réorientation qui est loin d’avoir fait l’unanimité et a précipité le départ - hautement symbolique – en février dernier de l’Appel et la pioche et de Jeudi Noir, mouvements de « précaires ».
« On a la signature d’un châtelain avec une particule»
Cet été, le NPA a seulement récolté une centaine de signatures alors qu’un petit gabarit comme Nicolas Dupont-Aignan – guère plus populaire que l’inconnu du NPA – en a déjà 350 et quelques à son actif. « Il y a des équipes sur le terrain, sans doute que certaines sont plus convaincues que d’autres», confie Myriam Martin, porte-parole du NPA appartenant aux unitaires (minoritaires). Comprendre : ceux qui n’ont pas encore levé le camp trainent des pieds. « Ils partent aux signatures mais ce n’est pas le cas de toutes et tous», admet Thibault Blondin, chargé de la récolte de ces fameux sésames pour 2012.
Outre ce manque d’enthousiaste, le NPA a un problème de taille. Que la LCR connaissait parfaitement. Il est très difficile pour une si petite formation – de surcroît en déliquescence avancée - de réunir 500 promesses. « La première phase a consisté à contacter tous les élus qui avaient parrainé Besancenot en 2007. Mais il y a eu un fort renouvellement avec les élections de mars 2008», explique Thibault Blondin qui suggère que le NPA pâtit également de la concurrence de LO. Et de raconter la chasse aux soutiens auprès de maires souvent sans étiquettes : « On a la signature d’un châtelain avec une particule. Mais aussi d’un maire employé de France Télécom. C’est totalement atypique !» Pour les séduire, il suffit souvent de miser sur le ras-le-bol du couple PS/UMP :« Ce sont de tous petits maires bien loin de la rue de Solférino ou de la Boétie».
Face à ceux qui restent indécis, le NPA n’a plus qu’une seule option : tirer sur la corde sensible de la démocratie. Mais cet argument va-t-il suffire ? Les spéculations vont bon train à gauche pour savoir qui de l’UMP ou du PS donnera de bon cœur les parrainages manquant au NPA. L’UMP, pour diviser la gauche ? Ou le PS, pour se prémunir contre un trop gros score de Mélenchon ? « Ce sont des consignes politiciennes qui ne m’intéressent pas », coupe court Myriam Martin qui dénonce le « système injuste et inique » des parrainages. Pourtant, ces consignes sont déterminantes. En 2007, François Hollande avait par exemple donné l’ordre de ne pas aider la LCR par peur d’un 21 avril bis. Si Philippe Poutou réunit effectivement assez de signatures pour atteindre le premier tour, les professionnels du sondage ne lui donnent pas plus d’un pour cent des voix. En somme : pas de quoi affoler. Ni au PS, ni chez Mélenchon.
Mais, au fond, le NPA a-t-il vraiment envie d'aller jusqu'au bout ? Certains dans l'appareil pourraient bien - consciemment ou inconsciemment - préférer ne pas réussir à obtenir leur droit d'entrée pour 2012. Histoire d'économiser de l'argent et de ménager leurs forces - tout en se gargarisant d'être les bouc émissaires du système. Mais surtout pour éviter la perspective d'une campagne pro-Poutou qui - l'obligeant à afficher son sectarisme - pourrait bien raviver les tensions internes et précipiter une véritable scission du NPA.
Jeudi 15 Septembre 2011
Chloé Demoulin - Marianne
Source :
http://www.marianne2.fr
YuHua- Messages : 23
Date d'inscription : 27/09/2010
Re: Troisième université d'été du NPA
YuHua a écrit:Pour votre info, c'est à vomir :
NPA: la chasse aux parrainages patine
Des divisions internes, un candidat par défaut et des militants qui se font la belle: le Nouveau parti anticapitaliste - qui devait rassembler à la gauche du PS - est au plus mal. Au point que certains ne s’activent même plus pour réunir les 500 signatures nécessaires pour la présidentielle…
Un village vacances à Port-Leucate, près de Perpignan, sous les auspices radieux d’une belle fin de mois d’août. Ce devait être l’université d’été pour repartir du bon pied dès la rentrée. Pourtant, le soleil et la mer n’auront eu manifestement aucun effet thérapeutique sur le petit NPA abandonné au bord de la route par son papa – Olivier Besancenot – à quelques encablures de la présidentielle de 2012.
En même temps, pas de quoi sauter au plafond. Depuis des mois, rien ne semble pouvoir endiguer l’hémorragie toujours plus importante des membres du parti. Surtout pas la désignation de Philippe Poutou, 44 ans, ouvrier automobile et délégué CGT de l’Usine Ford de Blanquefort (Gironde). Sans doute le seul candidat à avoir avoué publiquement ses peurs face à la présidentielle. A des années lumières de l’ultra-médiatique Olivier Besancenot dont la photo a été imprimée – au cas où ? – sur la lettre envoyée pour solliciter le soutien des maires pour 2012.
Tout penaud qu’il soit, Philippe Poutou représente l’aile dure du parti. Cette aile majoritaire qui refuse catégoriquement de fricoter avec le Front de gauche de Mélenchon - taxé d’entretenir le dialogue avec les «social-traîtres» du PS. Le choix de cet ancien de Lutte Ouvrière(LO) n’est pas innocent. Il reflète le recentrage du NPA sur les usines et un repli sur le noyau dur de la LCR. Une réorientation qui est loin d’avoir fait l’unanimité et a précipité le départ - hautement symbolique – en février dernier de l’Appel et la pioche et de Jeudi Noir, mouvements de « précaires ».
« On a la signature d’un châtelain avec une particule»
Cet été, le NPA a seulement récolté une centaine de signatures alors qu’un petit gabarit comme Nicolas Dupont-Aignan – guère plus populaire que l’inconnu du NPA – en a déjà 350 et quelques à son actif. « Il y a des équipes sur le terrain, sans doute que certaines sont plus convaincues que d’autres», confie Myriam Martin, porte-parole du NPA appartenant aux unitaires (minoritaires). Comprendre : ceux qui n’ont pas encore levé le camp trainent des pieds. « Ils partent aux signatures mais ce n’est pas le cas de toutes et tous», admet Thibault Blondin, chargé de la récolte de ces fameux sésames pour 2012.
Outre ce manque d’enthousiaste, le NPA a un problème de taille. Que la LCR connaissait parfaitement. Il est très difficile pour une si petite formation – de surcroît en déliquescence avancée - de réunir 500 promesses. « La première phase a consisté à contacter tous les élus qui avaient parrainé Besancenot en 2007. Mais il y a eu un fort renouvellement avec les élections de mars 2008», explique Thibault Blondin qui suggère que le NPA pâtit également de la concurrence de LO. Et de raconter la chasse aux soutiens auprès de maires souvent sans étiquettes : « On a la signature d’un châtelain avec une particule. Mais aussi d’un maire employé de France Télécom. C’est totalement atypique !» Pour les séduire, il suffit souvent de miser sur le ras-le-bol du couple PS/UMP :« Ce sont de tous petits maires bien loin de la rue de Solférino ou de la Boétie».
Face à ceux qui restent indécis, le NPA n’a plus qu’une seule option : tirer sur la corde sensible de la démocratie. Mais cet argument va-t-il suffire ? Les spéculations vont bon train à gauche pour savoir qui de l’UMP ou du PS donnera de bon cœur les parrainages manquant au NPA. L’UMP, pour diviser la gauche ? Ou le PS, pour se prémunir contre un trop gros score de Mélenchon ? « Ce sont des consignes politiciennes qui ne m’intéressent pas », coupe court Myriam Martin qui dénonce le « système injuste et inique » des parrainages. Pourtant, ces consignes sont déterminantes. En 2007, François Hollande avait par exemple donné l’ordre de ne pas aider la LCR par peur d’un 21 avril bis. Si Philippe Poutou réunit effectivement assez de signatures pour atteindre le premier tour, les professionnels du sondage ne lui donnent pas plus d’un pour cent des voix. En somme : pas de quoi affoler. Ni au PS, ni chez Mélenchon.
Mais, au fond, le NPA a-t-il vraiment envie d'aller jusqu'au bout ? Certains dans l'appareil pourraient bien - consciemment ou inconsciemment - préférer ne pas réussir à obtenir leur droit d'entrée pour 2012. Histoire d'économiser de l'argent et de ménager leurs forces - tout en se gargarisant d'être les bouc émissaires du système. Mais surtout pour éviter la perspective d'une campagne pro-Poutou qui - l'obligeant à afficher son sectarisme - pourrait bien raviver les tensions internes et précipiter une véritable scission du NPA.
Jeudi 15 Septembre 2011
Chloé Demoulin - Marianne
Source :
http://www.marianne2.fr
C'est fait, j'ai vomi ...
fée clochette- Messages : 1274
Date d'inscription : 23/06/2010
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Localisation : vachement loin de la capitale
Re: Troisième université d'été du NPA
Mais après tout, c'est Marianne ! Vous croyez quoi ? Que ceux qui ont appris le journalisme avec Jean François kahn allaient kiffer grave Poutou ? Dans quel pays vivez vous ? Vous n'avez jamais lu ce (torchon) euh pardon, ce journal ? Et une chose devrait nous rassurer : c'est qu'on les inquiète suffisamment pour qu'ils nous consacrent quelques pages (quelques pages à dégueulbif, mais quelques pages quand même) Ce qui prouve, si besoin était, qu'on est pas tout a fait mort !!!!
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Troisième université d'été du NPA
Moi ce qui me fait dégueuler, c'est que des membres du parti, des responsables, dégueulent sur le parti dans la presse à longueur de journées... Je sais, je radote, mais si j'avais fait le quart du tiers de ça, on m'aurait déjà bazardé...
Marco Pagot- Messages : 940
Date d'inscription : 26/06/2010
Age : 36
Re: Troisième université d'été du NPA
Un petit moment de bonheur à partager en l'honneur du renouveau des débats estivaux de l'avant-garde ouvrière :
LE PHÉNOMÈNE SEXTOYS : UN ATOUT DES PLAISIRS
samedi 17 septembre 2011
Publié dans : Hebdo Tout est à nous ! 115 (15/09/11)
L’intitulé de l’atelier sur les sextoys, marchandisation ou épanouissement du plaisir féminin, s’est trouvé largement dépassé tant le débat a été riche. Rassemblant environ 80 militantEs, les interventions variées ont permis d’aller plus loin que l’introduction qui s’était déjà distancée de cette question de départ, notamment en cherchant à comprendre comment se construisent les pratiques sexuelles et comment se forment et se déplacent les frontières de la légitimité et de l’illégitimité sociale entre ces pratiques.
Des interventions ont questionné le phénomène sextoys en exprimant des craintes sur la signification sociale de son développement, par exemple en considérant qu’il renvoyait au développement de la solitude dans la société libérale et que l’usage des objets ne pouvait constituer qu’un ersatz moins intéressant que la sexualité dans le cadre d’une construction sentimentale de couple. D’autres ont expliqué qu’il ne s’agissait pas de hiérarchiser les pratiques sexuelles mais de chercher à mesurer ce que les sextoys pouvaient permettre aujourd’hui, bien qu’ils soient proposés dans un contexte marchand dont l’objet n’est pas l’émancipation.
Dans le débat, le contexte des injonctions à jouir, à la performance, est revenu plusieurs fois avec des références faites aux magasines féminins, par exemple. Dans le même temps, il est ressorti de la discussion que les sextoys permettaient une véritable libération de la parole autour des sexualités et nous avons cherché à comprendre comment cela avait été rendu possible. Le « jeu » est apparu alors comme un élément d’explication de ce phénomène, car il a permis de banaliser le sexe, de le mettre à distance tout en l’évoquant finalement. Un camarade, infirmier en HP, est intervenu pour expliquer que les relations sexuelles y étaient interdites et que l’arrivée des sextoys, il y a deux ans environ, a été un élément très positif pour les patientEs. Le plaisir masculin et son renouvellement, qui avait été peu évoqué dans l’introduction, se sont invités dans la discussion. Il est apparu que les sextoys pouvaient permettre de lever le tabou de la sodomie masculine, des toys étant crées pour stimuler la prostate.
Au fond, c’est la question de la sacralisation du sexe qui se pose. Peut-on « faire du sexe » comme on boirait le verre d’eau (ou de bière) métaphorique qui a traversé tout le débat ? Cette question posée ici par le prisme des sextoys a, en réalité, des implications nombreuses pour les luttes féministes et LGBTI aujourd’hui.
Si les publicités autour des sextoys tendent à les inscrire dans le cadre du couple hétérosexuel monogame, ils peuvent aussi favoriser toutes sortes de subversions, permettre un renouvellement des pratiques à une échelle de masse et, surtout, posent la question de la naturalité du sexe. Les perspectives de luttes sont donc nombreuses et des revendications ont émergé : remboursement des sextoys, réquisition des entreprises et contrôle ouvrier dans les boîtes productrices de sextoys ! Homo, hétéro, à un, à deux ou à plusieurs, sextoys addicts ou non, unissons-nous !
Pascal Levy, Lisbeth Sal
Vals- Messages : 2770
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Troisième université d'été du NPA
Je sens comme un peu d'ironie dans cette présentation ! Et pourtant...Voila un débat tout a fait passionnant, d'aprés ce qu'on m'a raconté ! Et qui n'aurait pas pu se tenir dans le cadre de la fête de "lutte ouvrière"...
Je suis sur que tu n'utilises pas de sextoys. Même pour te soulager la prostate !
Je suis sur que tu n'utilises pas de sextoys. Même pour te soulager la prostate !
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Troisième université d'été du NPA
Ironie, moi ?
Que vas tu imaginer ?
C'est bien que des débats de cette qualité puissent venir rafraichir les questionnements souvent trop étriqués du mouvement ouvrier...
Et puis, ça prouve qu'il n'y a pas que des technophobes au NPA....
Non, non, vraiment, ne te froisse pas Menvussa, pas d'ironie, une certaine forme d'admiration pour ceux qui savent courageusement aborder les questions fondamentales de la lutte des classes en temps de grande crise du capital.....
Que vas tu imaginer ?
C'est bien que des débats de cette qualité puissent venir rafraichir les questionnements souvent trop étriqués du mouvement ouvrier...
Et puis, ça prouve qu'il n'y a pas que des technophobes au NPA....
Non, non, vraiment, ne te froisse pas Menvussa, pas d'ironie, une certaine forme d'admiration pour ceux qui savent courageusement aborder les questions fondamentales de la lutte des classes en temps de grande crise du capital.....
Vals- Messages : 2770
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Troisième université d'été du NPA
Une fois que tu es revigoré par le topo sur les sextoys, tu peut aussi te taper les ateliers ci dessous (peut être moins favorable au massage de ta précieuse prostate, mais qui rentre tout a fait dans la formation de base du marxiste conséquent) :
Avec Eric Toussaint (CADTM) et Philippe Légé
Avec Patrick Le Moal et Louis-Marie Barnier
Avec Damien Scali
Atelier
Avec Louis-Marie Barnier et Jacques Raimbault
L’État, les institutions et le capitalisme
Avec Émilie Hache (Comment prendre en compte la question écologique), Philippe Corcuff (Capitalisme, individualités et biens communs) et Luc Boltanski (Intrigues et complot : L’État et le capitalisme)
Parti et syndicat
Avec Sandra Demarcq et François CoustalCréation de valeur et partage des richesses : aux sources de la crise, à la racine des solutions
Avec Charles Aubin
Intervention sur les lieux de travail
Faut-il augmenter les salaires ?
Avec Léon Crémieux et Anne Leclerc
Je ne vais pas te faire le programme de la fête in extenso ! Il y a largement de quoi satisfaire un marxiste "classique", qui ne se pose pas et ne se posera jamais la question des sextoys. Par ailleurs, il y a des "cycles", ce qui fait que tu peut choisir entre plusieurs formations/débat Par exemple, tu pouvais choisir entre "faut il augmenter les salaires", le topo sur les sextoys qui a frappé ton imagination, et d'autres possibilités encore :
Demandez le programme !
mercredi 20 juillet 2011
Image Demandez le programme !
Vous pouvez télécharger la totalité du programme de débats en bas de cet article...
DIMANCHE 28 AOUT
8h45
Assemblée générale de présentation pour l’ensemble des participantEs
À l’amphithéâtre de plein air sur le front de mer
9h30 à 12h
La gauche, les gauches
En Amérique du Sud, des gauches d’adaptation ou de ruptures ?
Avec Eric Toussaint, Flavia Verri et Franck Gaudichaud
La gauche, les gauches
PCF : du congrès de Tours au déclin actuel
Avec Marie-Hélène Duverger et François Coustal
Société Louise Michel
La révolution : problèmes d’hier, d’aujourd’hui et de demain.
Être révolutionnaire
Avec Philippe Pignarre, François Sabado et Samy Johsua
International
Les révolutions du monde arabe
Les forces motrices du processus révolutionnaire
Avec Alhem Belladj (Tunisie), Omar Shafei (Egypte) et Mina Khalil
Intervention sur les lieux de travail
Face à la montée de la précarité, quelles réponses ?
Avec Xavier Guessou et Catherine Albert
Formation « à la découverte du marxisme et de l'anticapitalisme »
Anticapitalisme et antiracisme
Avec François Brun et Sylvain Duchêne
LGBTI
L'instrumentalisation des questions LGBTI
Avec Ludovic Haru
Atelier
Le journalisme militant
Avec Daniel Mermet (journaliste, présentateur de l'émission « là-bas si j'y suis »)
Atelier
Logement : l’ANRU a 8 ans. Démolitions et dégâts collatéraux, analyse et premiers bilans du « chantier du siècle », les luttes des habitants des quartiers populaires
Avec Isabelle Guichard et Monica Casanova
14h à 17h
La gauche, les gauches
Délocalisations, suppressions d'emplois : quelles réponses des gauches ?
Avec Robert Pelletier
Société Louise Michel
Pourquoi ne se révolte-t-on pas ? Pourquoi se révolte-t-on ?
Avec Luc Boltanski, Franck Gaudichaud et Olivier Besancenot
International
La dette illégitime
Avec Eric Toussaint (CADTM) et Philippe Légé
Écologie
Cycle sur les énergies
État des lieux et des possibles
Avec Daniel Tanuro et Carine Barbier
Atelier
Un an après le mouvement sur les retraites, où vont les syndicats ?
Avec Armelle Pertus, Sandra Demarcq et Guillaume Floris
Atelier
Les sciences, les experts, la démocratie
Avec Samy Johsua, Dominique Cellier (CRIGEN) et Julien Syren (CRIIRAD)
Atelier
50 ans après les décolonisations, l'actualité du post-colonialisme
Avec Antoine Boulangé et François Coustal
Atelier
Quand le Front national s’empare d’une ville : description et analyse de leurs méfaits locaux il y a quelques années ; analyse de leur programme soit disant « social »
Avec Lucia Decleyre, Alexandre Timbaud et Camille Jouve
Les travaux pratiques de 17h
Comment lutter au quotidien contre les violences faites aux femmes ? Des outils pour réagir et des clés pour comprendre les violences faites aux femmes avec Nadia Denis
Comment mener la campagne Boycott Désinvestissement Sanction ? avec Linda Sehili
Réussir un reportage photo à l'Université d'été (et ailleurs...) avec Jean-Marc Bourquin
21h
Soirée spectacle
Daniel Bensaïd, textes et propos
Textes choisis par Hervé Dubourjal et interprété par Margherita Trefoloni, Julien Gaillard et Hervé Dubourjal.
Présentation de Philippe Binet.
Projection débat
« La tentation de l'émeute » (2010)
Documentaire sur les quartiers populaires
Avec la Commission Quartiers Populaires et la Commission Médias du NPA
Rencontre
Autour du livre « Les cahiers du féminisme » consacré à cette revue féministe lutte des classes (édition Syllepse)
Avec Josette Trat coordinatrice du livre
* * *
LUNDI 29 AOUT
9h à 12h
La gauche, les gauches
La gauche révolutionnaire depuis 1968 : cherche « grand parti » désespérément
Avec François Sabado, Yvan Lemaitre et Jean-Claude Vessillier
La gauche, les gauches
Les gauches et les questions familiales (mariages homo et hétéro, GPA, homoparentalité...)
Avec Léa Guichard et Ludovic Haru
Société Louise Michel
Rendre compte avec passion des passions religieuses
Avec Elisabeth Claverie et Claude Calame (Pourquoi s'intéresser aux « religions » des autres ? motivations érudites, politiques et passionnelles)
International
Les révolutions du monde arabe
Comment ne pas se faire confisquer la révolution en Tunisie et en Egypte ?
Avec Alhem Belladj (Tunisie) et Omar Shafei (Egypte)
Intervention sur les lieux de travail
Répression du mouvement social : pourquoi et comment y résister ?
Avec Gérard Filoche (inspecteur du travail) et Gaël Quirante
Formation « à la découverte du marxisme et de l'anticapitalisme »
Les fonctions de l’État capitaliste. Quatre auteurs en quête d’État : Marx, Lénine, Gramsci, Foucault
Avec Patrick Le Moal et Louis-Marie Barnier
Atelier
Les thèmes de campagne du NPA lors de la prochaine élection présidentielle
Avec Christine Poupin, Antoine Larrache et Pierre Baton
Atelier
Où en est le Front National ?
Avec Eliane Berthier et Jacob Torsado
Atelier
De la crise européenne à la révolte populaire grecque
Avec Giorgos Mitralias (CADTM) et Philippe Légé
14h à 17h
La gauche, les gauches
Gauche radicale et pensée libertaire : quelles convergences, quels débats ?
Avec Sandra Demarcq, Lucia Decleyre et unE intervenantE d'Alternative Libertaire
Société Louise Michel
Daniel Bensaid
Avec Edwy Plenel (le Peguy de Daniel), Philippe Pignarre (le Marx de Daniel) et Samy Johsua (Daniel et la révolution)
International
De l'intervention en Cote d'ivoire aux résistances en Afrique
Avec Paul Martial
Écologie
Cycle sur les énergies
Le nucléaire : pourquoi et comment en sortir ?
Avec Claude Kaiser
Intervention féministe
Comment articuler les différents rapports sociaux de domination (classes, genres, ethnies) ?
Avec Sarah Bénichou, Wafa Guiga, Capucine Larzilliere et Josette Trat
Quartiers populaires
Les quartiers populaires : entre désespoir et perspectives politiques
Avec Said Bouamama (sociologue), Adil Fajry et Marga Alauzet
« Figures du mouvement ouvrier »
Fernand Pelloutier et les bourses du travail en France
Avec François Coustal
Atelier
Chômage des jeunes et qualifications professionnelles
Avec Damien Scali
Atelier
Handicapés, précaires : minimum social ou « insertion » ?
Avec Louis-Marie Barnier et Jacques Raimbault
Les travaux pratiques de 17h
Comment résister aux violences policières ? avec Laurent Sorel et Miguel Ségui
Rencontre autour du livre « la galaxie Dieudonné » consacré cette nouvelle extrême-droite (édition Syllepse) avec André Déchot co-auteur du livre
21h
Meeting de l'université d'été
Avec Philippe Poutou (candidat du NPA à l'élection présidentielle), Myriam Martin ou Christine Poupin (porte-parole nationale du NPA), Julien Rivoire (porte-parole de la Campagne « Un bateau français pour Gaza »), Alhem Belladj (Tunisie), Esther Vivas (Izquierda anticapitalista – État espagnol) et d'autres intervenantEs. Présidence d'Olivier Besancenot.
* * *
MARDI 30 AOUT
9h à 12h
La gauche, les gauches
Comment penser aujourd'hui la transformation révolutionnaire de la société ?
Avec Christine Poupin, Myriam Martin, Jean-François Cabral, Catherine Faivre d'Arcier et Yvan Lemaitre
La gauche, les gauches
Dans les pays du Nord, des gauches aux crises
Avec des intervenantEs membres d'organisations de la gauche anticapitaliste européenne
Société Louise Michel
L’État, les institutions et le capitalisme
Avec Émilie Hache (Comment prendre en compte la question écologique), Philippe Corcuff (Capitalisme, individualités et biens communs) et Luc Boltanski (Intrigues et complot : L’État et le capitalisme)
Intervention sur les lieux de travail
Quel plan d'urgence pour l’Éducation Nationale ?
Avec Véronique Decker et Raphaël Greggan
Agriculture
Paysans du Nord, paysans du Sud, mêmes combats !
Les paysans en Europe et en France : un désastre social / Santé au travail dans le monde agricole : des pesticides aux suicides / Les luttes paysannes en Asie
Avec Pathak Lal Golder (représentant du BKF – Bangladesh), Laurent Garrouste et un syndicaliste paysan
Quartiers populaires
Les médias et les banlieues
Avec Said Bouamama (sociologue), Ugo Palheta (ACRIMED) et Miguel Segui
Formation « à la découverte du marxisme et de l'anticapitalisme »
Parti et syndicat
Avec Sandra Demarcq et François Coustal
Atelier
La poésie grecque comme poésie d'action politique ?
Regard anthropologique sur les chants rituels destinés aux jeunes filles (Sparte et Lesbos)
Avec Claude Calame
Atelier
Le capitalisme, comment ça marche (mal) ?
Les bases pour comprendre les contradictions et les crises du capitalisme
Avec Stéphanie Treillet (économiste) et Hugo Harari-Kermadec
14h à 17h
La gauche, les gauches
De la social-démocratie au social libéralisme : la gauche est-elle encore de gauche ?
Exemples français et anglais
Avec Ingrid Hayes et Fred Falzon
Société Louise Michel
Hériter de la commune de Paris
Avec Ariane Pérez (la guerre civile à Paris) et Josette Trat (une figure de la Commune, Louise Michel)
International
Les révolutions du monde arabe
En perspectives : états, régimes, classes, religions, impérialisme… et luttes populaires
Avec Alhem Belladj (Tunisie), Omar Shafei (Egypte) et les commissions Maghreb et Moyen Orient-Palestine du NPA
Écologie
Cycle sur les énergies
Transition énergétique et transformation du travail
Avec Laurence Lyonnais, Pierre Kohmiju et Laurent Garrouste
« Figures du mouvement ouvrier »
Maman Jones et la naissance du mouvement ouvrier aux USA
Avec Jean-François Cabral
Atelier
Le Japon: crise nucléaire, crise sociale, crise de légitimité et histoire des mouvements de résistance
Avec Pierre Rousset
Atelier
Les séries télévisées américaines : progressistes ou réactionnaires ?
Avec Sylvain Pattieu
Atelier
Quelle critique anticapitaliste des médias ?
Avec Alice Queval (journaliste syndicaliste) et Ugo Palheta (ACRIMED)
Atelier
Impôt et projets de société. Les propositions de la droite et du PS. Quelle réforme fiscale pour faire réellement payer les plus riches ? Quelle conséquence sur la protection sociale ?
Avec Jacqueline Guillotin, Jacques Cherbourg, Henri Wilno et Jean-Claude Laumonier
Les travaux pratiques de 17h
« Souriez, vous êtes filméE ! ». Ce qu’il faut faire et ne pas faire face à une caméra, comment se tenir et parler pour être écouté avec l'équipe vidéo de NPA TV
Rencontre autour du livre « La nouvelle école capitaliste » (édition La Découverte) avec Francis Vergne co-auteur du livre
21h
Projection débat
« Lettres et révolution » (2011)
de Flavia Castro
Avec Sophie Oudin, Philippe Binet et Alain Krivine
Projection débat
« Escadrons de la mort : l'école française » (2003)
Documentaire sur le rôle de la France dans le soutien aux dictatures sud-américaines
Avec la réalisatrice Marie-Monique Robin
Rencontre
Autour du livre « L'impossible capitalisme vert » (édition La Découverte)
Avec Daniel Tanuro auteur du livre
* * *
MERCREDI 31 AOUT
9h à 12h
La gauche, les gauches
Asie et Afrique : quelles gauches depuis les indépendances ?
Avec Pathak Lal Golder (représentant du BKF - Bangladesh), Pierre Rousset, unE intervenantE du monde arabe et la commission Afrique du NPA
Société Louise Michel
Création de valeur et partage des richesses : aux sources de la crise, à la racine des solutions
Avec Charles Aubin
Intervention sur les lieux de travail
Faut-il augmenter les salaires ?
Avec Léon Crémieux et Anne Leclerc
Agriculture
Agriculture : Un nouvel eldorado pour le capitalisme ?
OMC - PAC : les politiques agricoles capitalistes et leur impact / Les stratégies des multinationales (OGM, pesticides, etc.) / Des conséquences désastreuses : Les émeutes de la faim, L'accaparement des terres
Avec Marie-Monique Robin (journaliste, écrivain et réalisatrice), Esther Vivas et Mathieu Cassez
Formation « à la découverte du marxisme et de l'anticapitalisme »
Quel socialisme pour le 21e siècle ?
Avec Dominique Pierre et Michel Lasserre
Atelier
Quelle orientation, quelles interventions pour le NPA dans la période actuelle ?
Avec Vanina Giudicelli, Gaël Quirante et Léonce Aguirre
Par ailleurs l'université d'été, c'est pas aussi festif que la féte de lo et plus long qu'un CLT (mais je demande à voir un clt sur les sex toys, avec intervention afférante de la LTF) Bref, des "respirations" dans les exposés permettent de souffler un peu ! Quand on passe 10 heures par jour sur des exposés pas tous aussi rigolo que pouvait l'être l'exposé qui t'as tant plus, des exposés sur des sujets plus léger sont une nécessité ! Pour mémoire, il y avait aussi un exposé sur la littérature tunisienne contemporaine, sur la poésie grecque classique (en particulier Lesbos) Mais c'est surtout le cul qui t'as plus. Je soupçonne fort les militants de LO d'être des obsédé(e)s sexuels ! Y'a pas de mal à se faire du bien
- Code:
La dette illégitime
Avec Eric Toussaint (CADTM) et Philippe Légé
- Code:
Les fonctions de l’État capitaliste. Quatre auteurs en quête d’État : Marx, Lénine, Gramsci, Foucault
Avec Patrick Le Moal et Louis-Marie Barnier
- Code:
Chômage des jeunes et qualifications professionnelles
Avec Damien Scali
Atelier
- Code:
Handicapés, précaires : minimum social ou « insertion » ?
Avec Louis-Marie Barnier et Jacques Raimbault
L’État, les institutions et le capitalisme
Avec Émilie Hache (Comment prendre en compte la question écologique), Philippe Corcuff (Capitalisme, individualités et biens communs) et Luc Boltanski (Intrigues et complot : L’État et le capitalisme)
Parti et syndicat
Avec Sandra Demarcq et François CoustalCréation de valeur et partage des richesses : aux sources de la crise, à la racine des solutions
Avec Charles Aubin
Intervention sur les lieux de travail
Faut-il augmenter les salaires ?
Avec Léon Crémieux et Anne Leclerc
Je ne vais pas te faire le programme de la fête in extenso ! Il y a largement de quoi satisfaire un marxiste "classique", qui ne se pose pas et ne se posera jamais la question des sextoys. Par ailleurs, il y a des "cycles", ce qui fait que tu peut choisir entre plusieurs formations/débat Par exemple, tu pouvais choisir entre "faut il augmenter les salaires", le topo sur les sextoys qui a frappé ton imagination, et d'autres possibilités encore :
Demandez le programme !
mercredi 20 juillet 2011
Image Demandez le programme !
Vous pouvez télécharger la totalité du programme de débats en bas de cet article...
DIMANCHE 28 AOUT
8h45
Assemblée générale de présentation pour l’ensemble des participantEs
À l’amphithéâtre de plein air sur le front de mer
9h30 à 12h
La gauche, les gauches
En Amérique du Sud, des gauches d’adaptation ou de ruptures ?
Avec Eric Toussaint, Flavia Verri et Franck Gaudichaud
La gauche, les gauches
PCF : du congrès de Tours au déclin actuel
Avec Marie-Hélène Duverger et François Coustal
Société Louise Michel
La révolution : problèmes d’hier, d’aujourd’hui et de demain.
Être révolutionnaire
Avec Philippe Pignarre, François Sabado et Samy Johsua
International
Les révolutions du monde arabe
Les forces motrices du processus révolutionnaire
Avec Alhem Belladj (Tunisie), Omar Shafei (Egypte) et Mina Khalil
Intervention sur les lieux de travail
Face à la montée de la précarité, quelles réponses ?
Avec Xavier Guessou et Catherine Albert
Formation « à la découverte du marxisme et de l'anticapitalisme »
Anticapitalisme et antiracisme
Avec François Brun et Sylvain Duchêne
LGBTI
L'instrumentalisation des questions LGBTI
Avec Ludovic Haru
Atelier
Le journalisme militant
Avec Daniel Mermet (journaliste, présentateur de l'émission « là-bas si j'y suis »)
Atelier
Logement : l’ANRU a 8 ans. Démolitions et dégâts collatéraux, analyse et premiers bilans du « chantier du siècle », les luttes des habitants des quartiers populaires
Avec Isabelle Guichard et Monica Casanova
14h à 17h
La gauche, les gauches
Délocalisations, suppressions d'emplois : quelles réponses des gauches ?
Avec Robert Pelletier
Société Louise Michel
Pourquoi ne se révolte-t-on pas ? Pourquoi se révolte-t-on ?
Avec Luc Boltanski, Franck Gaudichaud et Olivier Besancenot
International
La dette illégitime
Avec Eric Toussaint (CADTM) et Philippe Légé
Écologie
Cycle sur les énergies
État des lieux et des possibles
Avec Daniel Tanuro et Carine Barbier
Atelier
Un an après le mouvement sur les retraites, où vont les syndicats ?
Avec Armelle Pertus, Sandra Demarcq et Guillaume Floris
Atelier
Les sciences, les experts, la démocratie
Avec Samy Johsua, Dominique Cellier (CRIGEN) et Julien Syren (CRIIRAD)
Atelier
50 ans après les décolonisations, l'actualité du post-colonialisme
Avec Antoine Boulangé et François Coustal
Atelier
Quand le Front national s’empare d’une ville : description et analyse de leurs méfaits locaux il y a quelques années ; analyse de leur programme soit disant « social »
Avec Lucia Decleyre, Alexandre Timbaud et Camille Jouve
Les travaux pratiques de 17h
Comment lutter au quotidien contre les violences faites aux femmes ? Des outils pour réagir et des clés pour comprendre les violences faites aux femmes avec Nadia Denis
Comment mener la campagne Boycott Désinvestissement Sanction ? avec Linda Sehili
Réussir un reportage photo à l'Université d'été (et ailleurs...) avec Jean-Marc Bourquin
21h
Soirée spectacle
Daniel Bensaïd, textes et propos
Textes choisis par Hervé Dubourjal et interprété par Margherita Trefoloni, Julien Gaillard et Hervé Dubourjal.
Présentation de Philippe Binet.
Projection débat
« La tentation de l'émeute » (2010)
Documentaire sur les quartiers populaires
Avec la Commission Quartiers Populaires et la Commission Médias du NPA
Rencontre
Autour du livre « Les cahiers du féminisme » consacré à cette revue féministe lutte des classes (édition Syllepse)
Avec Josette Trat coordinatrice du livre
* * *
LUNDI 29 AOUT
9h à 12h
La gauche, les gauches
La gauche révolutionnaire depuis 1968 : cherche « grand parti » désespérément
Avec François Sabado, Yvan Lemaitre et Jean-Claude Vessillier
La gauche, les gauches
Les gauches et les questions familiales (mariages homo et hétéro, GPA, homoparentalité...)
Avec Léa Guichard et Ludovic Haru
Société Louise Michel
Rendre compte avec passion des passions religieuses
Avec Elisabeth Claverie et Claude Calame (Pourquoi s'intéresser aux « religions » des autres ? motivations érudites, politiques et passionnelles)
International
Les révolutions du monde arabe
Comment ne pas se faire confisquer la révolution en Tunisie et en Egypte ?
Avec Alhem Belladj (Tunisie) et Omar Shafei (Egypte)
Intervention sur les lieux de travail
Répression du mouvement social : pourquoi et comment y résister ?
Avec Gérard Filoche (inspecteur du travail) et Gaël Quirante
Formation « à la découverte du marxisme et de l'anticapitalisme »
Les fonctions de l’État capitaliste. Quatre auteurs en quête d’État : Marx, Lénine, Gramsci, Foucault
Avec Patrick Le Moal et Louis-Marie Barnier
Atelier
Les thèmes de campagne du NPA lors de la prochaine élection présidentielle
Avec Christine Poupin, Antoine Larrache et Pierre Baton
Atelier
Où en est le Front National ?
Avec Eliane Berthier et Jacob Torsado
Atelier
De la crise européenne à la révolte populaire grecque
Avec Giorgos Mitralias (CADTM) et Philippe Légé
14h à 17h
La gauche, les gauches
Gauche radicale et pensée libertaire : quelles convergences, quels débats ?
Avec Sandra Demarcq, Lucia Decleyre et unE intervenantE d'Alternative Libertaire
Société Louise Michel
Daniel Bensaid
Avec Edwy Plenel (le Peguy de Daniel), Philippe Pignarre (le Marx de Daniel) et Samy Johsua (Daniel et la révolution)
International
De l'intervention en Cote d'ivoire aux résistances en Afrique
Avec Paul Martial
Écologie
Cycle sur les énergies
Le nucléaire : pourquoi et comment en sortir ?
Avec Claude Kaiser
Intervention féministe
Comment articuler les différents rapports sociaux de domination (classes, genres, ethnies) ?
Avec Sarah Bénichou, Wafa Guiga, Capucine Larzilliere et Josette Trat
Quartiers populaires
Les quartiers populaires : entre désespoir et perspectives politiques
Avec Said Bouamama (sociologue), Adil Fajry et Marga Alauzet
« Figures du mouvement ouvrier »
Fernand Pelloutier et les bourses du travail en France
Avec François Coustal
Atelier
Chômage des jeunes et qualifications professionnelles
Avec Damien Scali
Atelier
Handicapés, précaires : minimum social ou « insertion » ?
Avec Louis-Marie Barnier et Jacques Raimbault
Les travaux pratiques de 17h
Comment résister aux violences policières ? avec Laurent Sorel et Miguel Ségui
Rencontre autour du livre « la galaxie Dieudonné » consacré cette nouvelle extrême-droite (édition Syllepse) avec André Déchot co-auteur du livre
21h
Meeting de l'université d'été
Avec Philippe Poutou (candidat du NPA à l'élection présidentielle), Myriam Martin ou Christine Poupin (porte-parole nationale du NPA), Julien Rivoire (porte-parole de la Campagne « Un bateau français pour Gaza »), Alhem Belladj (Tunisie), Esther Vivas (Izquierda anticapitalista – État espagnol) et d'autres intervenantEs. Présidence d'Olivier Besancenot.
* * *
MARDI 30 AOUT
9h à 12h
La gauche, les gauches
Comment penser aujourd'hui la transformation révolutionnaire de la société ?
Avec Christine Poupin, Myriam Martin, Jean-François Cabral, Catherine Faivre d'Arcier et Yvan Lemaitre
La gauche, les gauches
Dans les pays du Nord, des gauches aux crises
Avec des intervenantEs membres d'organisations de la gauche anticapitaliste européenne
Société Louise Michel
L’État, les institutions et le capitalisme
Avec Émilie Hache (Comment prendre en compte la question écologique), Philippe Corcuff (Capitalisme, individualités et biens communs) et Luc Boltanski (Intrigues et complot : L’État et le capitalisme)
Intervention sur les lieux de travail
Quel plan d'urgence pour l’Éducation Nationale ?
Avec Véronique Decker et Raphaël Greggan
Agriculture
Paysans du Nord, paysans du Sud, mêmes combats !
Les paysans en Europe et en France : un désastre social / Santé au travail dans le monde agricole : des pesticides aux suicides / Les luttes paysannes en Asie
Avec Pathak Lal Golder (représentant du BKF – Bangladesh), Laurent Garrouste et un syndicaliste paysan
Quartiers populaires
Les médias et les banlieues
Avec Said Bouamama (sociologue), Ugo Palheta (ACRIMED) et Miguel Segui
Formation « à la découverte du marxisme et de l'anticapitalisme »
Parti et syndicat
Avec Sandra Demarcq et François Coustal
Atelier
La poésie grecque comme poésie d'action politique ?
Regard anthropologique sur les chants rituels destinés aux jeunes filles (Sparte et Lesbos)
Avec Claude Calame
Atelier
Le capitalisme, comment ça marche (mal) ?
Les bases pour comprendre les contradictions et les crises du capitalisme
Avec Stéphanie Treillet (économiste) et Hugo Harari-Kermadec
14h à 17h
La gauche, les gauches
De la social-démocratie au social libéralisme : la gauche est-elle encore de gauche ?
Exemples français et anglais
Avec Ingrid Hayes et Fred Falzon
Société Louise Michel
Hériter de la commune de Paris
Avec Ariane Pérez (la guerre civile à Paris) et Josette Trat (une figure de la Commune, Louise Michel)
International
Les révolutions du monde arabe
En perspectives : états, régimes, classes, religions, impérialisme… et luttes populaires
Avec Alhem Belladj (Tunisie), Omar Shafei (Egypte) et les commissions Maghreb et Moyen Orient-Palestine du NPA
Écologie
Cycle sur les énergies
Transition énergétique et transformation du travail
Avec Laurence Lyonnais, Pierre Kohmiju et Laurent Garrouste
« Figures du mouvement ouvrier »
Maman Jones et la naissance du mouvement ouvrier aux USA
Avec Jean-François Cabral
Atelier
Le Japon: crise nucléaire, crise sociale, crise de légitimité et histoire des mouvements de résistance
Avec Pierre Rousset
Atelier
Les séries télévisées américaines : progressistes ou réactionnaires ?
Avec Sylvain Pattieu
Atelier
Quelle critique anticapitaliste des médias ?
Avec Alice Queval (journaliste syndicaliste) et Ugo Palheta (ACRIMED)
Atelier
Impôt et projets de société. Les propositions de la droite et du PS. Quelle réforme fiscale pour faire réellement payer les plus riches ? Quelle conséquence sur la protection sociale ?
Avec Jacqueline Guillotin, Jacques Cherbourg, Henri Wilno et Jean-Claude Laumonier
Les travaux pratiques de 17h
« Souriez, vous êtes filméE ! ». Ce qu’il faut faire et ne pas faire face à une caméra, comment se tenir et parler pour être écouté avec l'équipe vidéo de NPA TV
Rencontre autour du livre « La nouvelle école capitaliste » (édition La Découverte) avec Francis Vergne co-auteur du livre
21h
Projection débat
« Lettres et révolution » (2011)
de Flavia Castro
Avec Sophie Oudin, Philippe Binet et Alain Krivine
Projection débat
« Escadrons de la mort : l'école française » (2003)
Documentaire sur le rôle de la France dans le soutien aux dictatures sud-américaines
Avec la réalisatrice Marie-Monique Robin
Rencontre
Autour du livre « L'impossible capitalisme vert » (édition La Découverte)
Avec Daniel Tanuro auteur du livre
* * *
MERCREDI 31 AOUT
9h à 12h
La gauche, les gauches
Asie et Afrique : quelles gauches depuis les indépendances ?
Avec Pathak Lal Golder (représentant du BKF - Bangladesh), Pierre Rousset, unE intervenantE du monde arabe et la commission Afrique du NPA
Société Louise Michel
Création de valeur et partage des richesses : aux sources de la crise, à la racine des solutions
Avec Charles Aubin
Intervention sur les lieux de travail
Faut-il augmenter les salaires ?
Avec Léon Crémieux et Anne Leclerc
Agriculture
Agriculture : Un nouvel eldorado pour le capitalisme ?
OMC - PAC : les politiques agricoles capitalistes et leur impact / Les stratégies des multinationales (OGM, pesticides, etc.) / Des conséquences désastreuses : Les émeutes de la faim, L'accaparement des terres
Avec Marie-Monique Robin (journaliste, écrivain et réalisatrice), Esther Vivas et Mathieu Cassez
Formation « à la découverte du marxisme et de l'anticapitalisme »
Quel socialisme pour le 21e siècle ?
Avec Dominique Pierre et Michel Lasserre
Atelier
Quelle orientation, quelles interventions pour le NPA dans la période actuelle ?
Avec Vanina Giudicelli, Gaël Quirante et Léonce Aguirre
Par ailleurs l'université d'été, c'est pas aussi festif que la féte de lo et plus long qu'un CLT (mais je demande à voir un clt sur les sex toys, avec intervention afférante de la LTF) Bref, des "respirations" dans les exposés permettent de souffler un peu ! Quand on passe 10 heures par jour sur des exposés pas tous aussi rigolo que pouvait l'être l'exposé qui t'as tant plus, des exposés sur des sujets plus léger sont une nécessité ! Pour mémoire, il y avait aussi un exposé sur la littérature tunisienne contemporaine, sur la poésie grecque classique (en particulier Lesbos) Mais c'est surtout le cul qui t'as plus. Je soupçonne fort les militants de LO d'être des obsédé(e)s sexuels ! Y'a pas de mal à se faire du bien
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Troisième université d'été du NPA
Très bien tout ça mais tu aurais du présenter ce magnifique programme au mois de juillet pour attirer du monde.
.Là, c'est un peu tard ...
Mais il ne faut surtout pas oublier ce merveilleux petit bijou d'atelier intitulé "sextoy et ecosocialisme du XXIeme siècle"......dont j'espère qu'il aura des suites.....
Tiens nous au courant quand tu passeras de l'approche théorique à l'expérimentation en groupe avec des neo-marxistes décroissants dans un abri antinucleaire .....
.Là, c'est un peu tard ...
Mais il ne faut surtout pas oublier ce merveilleux petit bijou d'atelier intitulé "sextoy et ecosocialisme du XXIeme siècle"......dont j'espère qu'il aura des suites.....
Tiens nous au courant quand tu passeras de l'approche théorique à l'expérimentation en groupe avec des neo-marxistes décroissants dans un abri antinucleaire .....
Vals- Messages : 2770
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Troisième université d'été du NPA
Vals a écrit:Très bien tout ça mais tu aurais du présenter ce magnifique programme au mois de juillet pour attirer du monde.
.Là, c'est un peu tard ...
Mais il ne faut surtout pas oublier ce merveilleux petit bijou d'atelier intitulé "sextoy et ecosocialisme du XXIeme siècle"......dont j'espère qu'il aura des suites.....
Tiens nous au courant quand tu passeras de l'approche théorique à l'expérimentation en groupe avec des neo-marxistes décroissants dans un abri antinucleaire .....
des dizaines de débats et tu retiens celui-ci comme emblématique.
t'as un problème mon gars.
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
Re: Troisième université d'été du NPA
Cher Vals, J'adore la coloration redoutablement surranée qui s'attache à chacune de tes interventions. C'est pour mériter l'appellation "moine soldat du Trotskysme " ?
Comme tu l'as noté, je n'étais pas à l'université d'été cette année (pour des raison en grande partie totalement indépendante de ma volonté) Si j'y avait été présent, je ne pense pas que j’aurai assisté a cette séance (parce qu'objectivement il y avait mieux à la même heure !) Et si j'y avait été présent, je ne pense pas que je serait passé aux travaux pratiques dans l'heure... En tout cas, si tu te fais masser la prostate, tu ne manqueras pas, j'en suis convaincu, de nous en faire profiter...On pourrait peut être réserver une heure d'atelier "Comment baise un(e) militant(e) de lutte ouvrière" dans le cadre du cycle "Anthropologie de la vie politique contemporaine" pour l'année prochaine ? Mais je doute que cela soit différent de la façon du(de la) militant(e) du NPA, y compris au niveau de l'usage des sex toys !
Comme tu l'as noté, je n'étais pas à l'université d'été cette année (pour des raison en grande partie totalement indépendante de ma volonté) Si j'y avait été présent, je ne pense pas que j’aurai assisté a cette séance (parce qu'objectivement il y avait mieux à la même heure !) Et si j'y avait été présent, je ne pense pas que je serait passé aux travaux pratiques dans l'heure... En tout cas, si tu te fais masser la prostate, tu ne manqueras pas, j'en suis convaincu, de nous en faire profiter...On pourrait peut être réserver une heure d'atelier "Comment baise un(e) militant(e) de lutte ouvrière" dans le cadre du cycle "Anthropologie de la vie politique contemporaine" pour l'année prochaine ? Mais je doute que cela soit différent de la façon du(de la) militant(e) du NPA, y compris au niveau de l'usage des sex toys !
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Troisième université d'été du NPA
Vals a écrit:.
Mais il ne faut surtout pas oublier ce merveilleux petit bijou d'atelier intitulé "sextoy et ecosocialisme du XXIeme siècle"
C'était un débat (et non un atelier) dont le titre était en fait "Sex toys : marchandisation ou épanouissement du plaisir féminin ?".
Excellent débat, je le confirme - l'article en donne un aperçu - durant lequel ont été explorés la question de la stigmatisation du plaisir féminin, de la marchandisation, du contrôle sur la production, de la réinvention du genre, etc.
sylvestre- Messages : 4489
Date d'inscription : 22/06/2010
Re: Troisième université d'été du NPA
Mais la question n'est pas l'intérêt de l'atelier (c'est comme ça qu'il était présenté dans la plaquette présentant le programme de l'université d'été 2011) mais de savoir pourquoi la seule chose qui intéresse Vals c'est précisément celui ci :
Qu'on puisse s'intéresser aux "littératures tunisiennes contemporaines", pour un marxiste contemporain c'est considéré comme étant tout a fait normal. La "réforme des collectivités territoriales" elle aussi ne suscite pas de réactions particulières. Mais qu'on ose parler de sex toys a une heure de grande écoute, là c'est scandaleux ! Imagine t on Arlette Laguiller chanter "Je me fais briquer le casse-noisettes Je me fais mamourer le bibelot Je me fais sabrer la sucette Je me fais reluire le berlingot Je me fais gauler la mignardise Je me fais rafraîchir le tison Je me fais grossir la cerise Je me fais nourrir le hérisson" ? Non, pas du tout ! Alors qu'on imagine parfaitement Olivier Besancenot expérimenter avec plaisir un de ces gadgets qui donnent la possibilité de gouter des plaisirs prostatiques ! Et je ne saurais trop recommander à Vals d'utiliser un de ces vibromasseurs destiné au plaisir anal. Visiblement, il y a là quelque chose qui coince chez lui !
Atelier
Quelle orientation, quelles interventions pour le NPA dans la période actuelle ?
Avec Vanina Giudicelli, Gaël Quirante et Léonce Aguirre
Atelier
Les littératures tunisiennes contemporaines
Avec Fanny Monbeig
Atelier
Sex toys : marchandisation ou épanouissement du plaisir féminin ?
Avec Lisbeth Sal et Pascal Levy
Atelier
La réformes des collectivités territoriales (première séance)
Avec Joël Clerembeaux
Qu'on puisse s'intéresser aux "littératures tunisiennes contemporaines", pour un marxiste contemporain c'est considéré comme étant tout a fait normal. La "réforme des collectivités territoriales" elle aussi ne suscite pas de réactions particulières. Mais qu'on ose parler de sex toys a une heure de grande écoute, là c'est scandaleux ! Imagine t on Arlette Laguiller chanter "Je me fais briquer le casse-noisettes Je me fais mamourer le bibelot Je me fais sabrer la sucette Je me fais reluire le berlingot Je me fais gauler la mignardise Je me fais rafraîchir le tison Je me fais grossir la cerise Je me fais nourrir le hérisson" ? Non, pas du tout ! Alors qu'on imagine parfaitement Olivier Besancenot expérimenter avec plaisir un de ces gadgets qui donnent la possibilité de gouter des plaisirs prostatiques ! Et je ne saurais trop recommander à Vals d'utiliser un de ces vibromasseurs destiné au plaisir anal. Visiblement, il y a là quelque chose qui coince chez lui !
gérard menvussa- Messages : 6658
Date d'inscription : 06/09/2010
Age : 67
Localisation : La terre
Re: Troisième université d'été du NPA
J'ai assisté à quelques "débats" de l'université d'été du NPA. Je me trouvait pas chance dans le coin, en vacances.
Le premier (il avaient trois heures de débat) a commencé par établir les temps de parole. Il y avaient trois représentants du NPA (pourquoi trois? je n'en sais rien mais il paraît que c'est comme cela la démocratie interne. Les tendances quoi)
Donc, 20 minutes chacun, promis, juré.
Le premier a pris 40 minutes, le deuxième 45 minutes et le troisième est reste court pour 57 minutes (montre en main de ma part assez en colère déjà des "libertés" prises par les intervenants et vu le "contenu" disparate et très contestable des exposés) Résultat des courses il ne restait pas grande chose pour "débattre".
Alors la parole à la salle. 3 minutes par tête de pipe. Presque 20 inscrits chacun voulant dire "sa" version, même s'il n'avait (pour la plupart) pas grande chose à dire. Quant à apporter au débat...
Donc pas moyen de dire un mot argumenté contre (ou à faveur) des intervenants divers (il y aurait fallu avoir un esprit de synthèse extraordinaire pour résumer et critiquer trois longues interventions disparates).
Et on entend des vertes et des pas mûres ou chaque discours de 3 minutes est différent de l'autre, mais pas un peu, aux antipodes. Il y a eu quelques interventions plutôt lutte de classes, regardez avec les sourcils fermés par la plupart des "anti capitalistes" présents, malgré que les "révolutionnaires" se faisaient tout petits et elliptiques pour essayer de placer une idée à peu près acceptable.
Bilan, la "démocratie" signifie, parlez les petits, à la fin c'est nous qui décidons.
A l'autre jour, j'ai suis allé à une autre plus petite. Même scénario, quoique deux intervenants. Ca parlait de tout et de son contraire, à coté du sujet, sur le sujet, hors du sujet, contre le sujet, pour le sujet, mais... etc. Encore des timides références par la bande à un marxisme (que les intervenants voulaient égal à un trotskysme qu'ils faisaient tout pour ne pas mentionner) dites avec les plus grandes précautions devant les regards furibards des autres "tendances" (toujours prêts à se tirer si on est "désagréables" à leur encontre. et citer Trotski est particulièrement désagréables vu que c'est "sectaire")
La je ne pas pu me contenir et j'ai placé quelques mots bien sentis. Des grossièretés type "classe ouvrière", "lutte de classes" "communisme" et similaires. J'ai été regardé comme un oiseaux exotique sud américain, une sorte d'espèce en voie de disparition tolérable parce que phénomène incompréhensible.
La nuit j'ai assisté au meeting de campagne (je voulais entendre Poutou). J'ai entendu quatre autre avant lui. Besancennot peu en forme, et d'autres intervenants les uns plus ennuyeux que les autres.
Le clou du spectacle à été Poutou, qui lisait, et il se trompait de ligne et faisait des blagues vaseuses parce qu'il s'était trompé de ligne et au milieu de tout cela (qui avait l'air d'un rigolade plutôt qu'un discours de campagne), eh ben je me suis dit, c'est pour ça que tu attends? et j'ai pris mon vélo et salut les copains!
A l'autre jour un débat sur la Tunisie et la Syrie avec un copain assez bien et clair (peut-être un ancien Mao, je n'en sais rien, vu qu'il a insisté sur la révolution ininterrompue pendant Mao à la révolution permanente). La meilleure partie de l'UE bien qu'ils ont soigneusement évité la Libye où je les attendait à pied ferme...s'il y avait eu le temps d'en placer une.
Il y avait du monde, on pouvait rentrer comme dans un moulin quelques jours après la tuerie de Norvège (je suis allé où je voulais et personne m'a demandé quoi que ce soit), l'ambiance était sympathique et à mon avis tout ça c'était le NPA tout craché.
Le premier (il avaient trois heures de débat) a commencé par établir les temps de parole. Il y avaient trois représentants du NPA (pourquoi trois? je n'en sais rien mais il paraît que c'est comme cela la démocratie interne. Les tendances quoi)
Donc, 20 minutes chacun, promis, juré.
Le premier a pris 40 minutes, le deuxième 45 minutes et le troisième est reste court pour 57 minutes (montre en main de ma part assez en colère déjà des "libertés" prises par les intervenants et vu le "contenu" disparate et très contestable des exposés) Résultat des courses il ne restait pas grande chose pour "débattre".
Alors la parole à la salle. 3 minutes par tête de pipe. Presque 20 inscrits chacun voulant dire "sa" version, même s'il n'avait (pour la plupart) pas grande chose à dire. Quant à apporter au débat...
Donc pas moyen de dire un mot argumenté contre (ou à faveur) des intervenants divers (il y aurait fallu avoir un esprit de synthèse extraordinaire pour résumer et critiquer trois longues interventions disparates).
Et on entend des vertes et des pas mûres ou chaque discours de 3 minutes est différent de l'autre, mais pas un peu, aux antipodes. Il y a eu quelques interventions plutôt lutte de classes, regardez avec les sourcils fermés par la plupart des "anti capitalistes" présents, malgré que les "révolutionnaires" se faisaient tout petits et elliptiques pour essayer de placer une idée à peu près acceptable.
Bilan, la "démocratie" signifie, parlez les petits, à la fin c'est nous qui décidons.
A l'autre jour, j'ai suis allé à une autre plus petite. Même scénario, quoique deux intervenants. Ca parlait de tout et de son contraire, à coté du sujet, sur le sujet, hors du sujet, contre le sujet, pour le sujet, mais... etc. Encore des timides références par la bande à un marxisme (que les intervenants voulaient égal à un trotskysme qu'ils faisaient tout pour ne pas mentionner) dites avec les plus grandes précautions devant les regards furibards des autres "tendances" (toujours prêts à se tirer si on est "désagréables" à leur encontre. et citer Trotski est particulièrement désagréables vu que c'est "sectaire")
La je ne pas pu me contenir et j'ai placé quelques mots bien sentis. Des grossièretés type "classe ouvrière", "lutte de classes" "communisme" et similaires. J'ai été regardé comme un oiseaux exotique sud américain, une sorte d'espèce en voie de disparition tolérable parce que phénomène incompréhensible.
La nuit j'ai assisté au meeting de campagne (je voulais entendre Poutou). J'ai entendu quatre autre avant lui. Besancennot peu en forme, et d'autres intervenants les uns plus ennuyeux que les autres.
Le clou du spectacle à été Poutou, qui lisait, et il se trompait de ligne et faisait des blagues vaseuses parce qu'il s'était trompé de ligne et au milieu de tout cela (qui avait l'air d'un rigolade plutôt qu'un discours de campagne), eh ben je me suis dit, c'est pour ça que tu attends? et j'ai pris mon vélo et salut les copains!
A l'autre jour un débat sur la Tunisie et la Syrie avec un copain assez bien et clair (peut-être un ancien Mao, je n'en sais rien, vu qu'il a insisté sur la révolution ininterrompue pendant Mao à la révolution permanente). La meilleure partie de l'UE bien qu'ils ont soigneusement évité la Libye où je les attendait à pied ferme...s'il y avait eu le temps d'en placer une.
Il y avait du monde, on pouvait rentrer comme dans un moulin quelques jours après la tuerie de Norvège (je suis allé où je voulais et personne m'a demandé quoi que ce soit), l'ambiance était sympathique et à mon avis tout ça c'était le NPA tout craché.
Invité- Invité
Re: Troisième université d'été du NPA
A l'autre jour, j'ai suis allé à une autre plus petite. Même scénario, quoique deux intervenants. Ca parlait de tout et de son contraire, à coté du sujet, sur le sujet, hors du sujet, contre le sujet, pour le sujet, mais... etc. Encore des timides références par la bande à un marxisme (que les intervenants voulaient égal à un trotskysme qu'ils faisaient tout pour ne pas mentionner) dites avec les plus grandes précautions devant les regards furibards des autres "tendances" (toujours prêts à se tirer si on est "désagréables" à leur encontre. et citer Trotski est particulièrement désagréables vu que c'est "sectaire")
La je ne pas pu me contenir et j'ai placé quelques mots bien sentis. Des grossièretés type "classe ouvrière", "lutte de classes" "communisme" et similaires. J'ai été regardé comme un oiseaux exotique sud américain, une sorte d'espèce en voie de disparition tolérable parce que phénomène incompréhensible.
Ouais, ça me rappelle quelques récents souvenirs de rencontres avec l'anti-capitalisme du XXIeme siècle.....
Vals- Messages : 2770
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Troisième université d'été du NPA
Vals ne cite pas l'auteur de ces bêtises, et pour cause.
Il s'agit d'un partisan stalinien mal dégrossis du dictateur Khadafi...
Les sextoys perturbent grave l'héritage...
Il s'agit d'un partisan stalinien mal dégrossis du dictateur Khadafi...
Les sextoys perturbent grave l'héritage...
Roseau- Messages : 17750
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Troisième université d'été du NPA
Vals a écrit:A l'autre jour, j'ai suis allé à une autre plus petite. Même scénario, quoique deux intervenants. Ca parlait de tout et de son contraire, à coté du sujet, sur le sujet, hors du sujet, contre le sujet, pour le sujet, mais... etc. Encore des timides références par la bande à un marxisme (que les intervenants voulaient égal à un trotskysme qu'ils faisaient tout pour ne pas mentionner) dites avec les plus grandes précautions devant les regards furibards des autres "tendances" (toujours prêts à se tirer si on est "désagréables" à leur encontre. et citer Trotski est particulièrement désagréables vu que c'est "sectaire")
La je ne pas pu me contenir et j'ai placé quelques mots bien sentis. Des grossièretés type "classe ouvrière", "lutte de classes" "communisme" et similaires. J'ai été regardé comme un oiseaux exotique sud américain, une sorte d'espèce en voie de disparition tolérable parce que phénomène incompréhensible.
Ouais, ça me rappelle quelques récents souvenirs de rencontres avec l'anti-capitalisme du XXIeme siècle.....
Quand on en sait pas de quoi on parle, Vals, on la ferme.
Surtout s'agissant d'un UE bien plus studieuse et structurée qu'une fête de LO dont il ne nous viendrait pas à l'idée de dire les conneries que tu racontes sur ce que tu ne connais pas.
Maintenant tu viens là soutenir un stalinien petit-bourgeois supporter du Mussolini d'Afrique du Nord qui serait passé là, et semble incapable d'un raisonnement structuré sur cette UE, ou sur ces débats.
Essayes de débattre politiquement, ça changera.
Copas- Messages : 7025
Date d'inscription : 26/12/2010
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