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Chômeurs

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Message  sylvestre Jeu 12 Aoû - 11:23

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/des-aires-d-accueil-pour-gens-du-voyage-saccagees-pres-de-toulouse_911896.html

Des radiations abusives dénoncées chez Pôle emploi

L'agence pour l'emploi se livrerait à des radiations de demandeurs d'emploi pour de simples retards lors d'entretien ou non réponse à des appels téléphoniques. L'agence conteste.

 (AFP) (AFP)

Pôle emploi se livrerait à des radiations abusives des demandeurs d'emploi pour des motifs tels que des retards à des entretiens ou des non-réponses à des appels téléphoniques, rapporte Le Canard enchaîné du mercredi 11 août.

L'hebdomadaire satirique pointe une pratique "qui se multiplie" : la radiation pour avoir manqué un entretien téléphonique. Concrètement, Pôle emploi fixe avec le chômeur un entretien téléphonique à un jour et une date précise. Toutefois, si celui-ci manque l'appel pour des raisons diverses (sanitaires, mauvaise manipulation du téléphone, etc.), alors le demandeur d'emploi peut être radié pour "absence au contrôle" et perd deux mois d'allocations.

Pour un entretien physique ou téléphonique, le processus est sensiblement le même : en cas d'absence, une "lettre d'information" est envoyée au chômeur qui peut alors présenter ses arguments. Pôle emploi prend ensuite la décision, ou non, de le radier de ses listes. Le demandeur peut alors présenter un recours auprès de l'agence ou auprès du Médiateur. Si la radiation est confirmée, le dernier recours consiste dans une procédure devant le Tribunal administratif.

Toutefois, le Canard souligne que "les bavures sont légions", comme lorsque le conseiller de Pôle emploi oublie d'appeler... mais radie le chômeur.

 

500.000 radiations par an "dont 95% pour absence à une convocation"

Le site Recours-radiation recense ainsi une multiplication de plaintes pour radiations abusives. Lillybell raconte ainsi avoir été radiée tout simplement parce que son conseiller a oublié de l'appeler, ou encore Jessica, radiée après avoir malencontreusement raccroché à la suite d'une mauvaise manipulation de son téléphone.

Outre l'entretien téléphonique manqué, le site rapporte de nombreux témoignages de radiations pour quelques minutes de retard lors de convocations à des entretiens physiques. Par exemple, Mélanie a été radiée pour un retard de 10 minutes. Toutefois, "le fait de n'avoir que 10 minutes de retard" ne constitue pas un élément suffisant pour modifier l'intention de priver cette personne d'allocations pendant deux mois, pointe sa décision de radiation.

Au fil des témoignages, on voit aussi Mimi, radiée pour son absence malgré la présentation d'un certificat médical pour grossesse difficile qui impose de ne pas se déplacer, ou encore Vinceavelo, radié alors qu'il avait prévenu de son absence, justement pour un entretien.

Chaque année, 500.000 radiations ont lieu, "dont 95% sont motivées par une absence à une convocation", précise à Nouvelobs.com David, administrateur de Recours-radiation.fr. "Depuis mars et la généralisation des convocations téléphoniques, ça devient du grand n'importe quoi..."

 

Pôle emploi conteste les accusations

Contacté par Nouvelobs.com, Pôle emploi réfute ces accusations de radiations abusives. "Une fois la lettre d'information envoyée, le demandeur d'emploi a 15 jours justifier de son absence", explique Pôle emploi. Il faut alors "présenter des motifs légitimes tels que des événements personnels et familiaux graves et imprévisibles, un entretien d'embauche, etc.", ajoute l'agence, précisant qu'"il y a toujours une possibilité de dialogue et de recours auprès de l'agence ou du Médiateur".

Quand Recours-radiations.fr parle d'"une multiplication des cas" de radiations pour absence, Pôle emploi note que ce type de radiations "représente moins de 5% des recours devant le Médiateur".

Le responsable du site pointe toutefois chez Pôle emploi un "laisser-aller" et une "non-prise en considération" de ces radiations. "Pôle emploi ne se rend pas compte de l'énorme pouvoir de sanction qu'il détient", estime David. "Du jour au lendemain des gens peuvent se retrouver sans rien. La sanction est disproportionnée surtout que la faute en soi - manquer un rendez-vous - n'a rien d'extraordinaire..."

 

(Boris Manenti - Nouvelobs.com)

sylvestre
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Message  nico37 Sam 28 Aoû - 23:01

Appel de la coordination des collectifs de chômeurs et précaires : tous en grève à partir du lundi 3 mai !
Une coordination nationale, réunissant à Paris le 3 avril des chômeurs et précaires de Paris, Montreuil, Rennes, Nantes, Angers, Tours, s’est engagée à relayer l’initiative de la coordination régionale de Bretagne appelant, dès le 3 mai, à une mobilisation de tous ceux qui sont touchés par les mesures actuelles concernant la gestion du chômage et de la précarité.

La coordination apporte son soutien aux actions et initiatives de lutte et d’auto-organisation qui ont eu lieu ces derniers temps dans plusieurs villes :

occupations des Pôle Emploi et des CAF,

annulations de radiations et d’indus de paiement suite à des actions collectives,

permanences d’autodéfense politique contre les institutions,

auto-réductions, mise en place de jardins collectifs et de cantines populaires,

occupations des mairies, dont celle de Brest plus d’une semaine,

manifestations, présence aux côtés des grévistes de Pôle Emploi...

Elle invite à intensifier les luttes à partir de ce mois d’avril 2010 afin que se mette en mouvement, le 3 mai, une véritable contre-offensive des chômeurs et des précaires à l’encontre de la logique de contrôle et d’exploitation (de profitation comme la nomment les guadeloupéens en grève générale l’année dernière) qui sous-tend toutes les conditions épuisantes et humiliantes qui leur sont imposées.

Le chaos provoqué par l’explosion du nombre de chômeurs et l’engorgement sur le marché du travail, aggravés par les dernières mesures gouvernementales (fusion ANPE/ASSEDIC, Offre Raisonnable d’Emploi, 39 49, RSA accompagné d’une perte des droits connexes) expose au grand jour le véritable visage de la crise : un phénomène généralisé de paupérisation des populations et une stratégie de restriction des conditions d’accès des plus pauvres aux minimums vitaux. Seulement ce visage grimace : il grimace parce que son modèle d’insertion par le travail apparaît des plus cynique quand tout un chacun peut être amené à faire l’expérience du caractère structurel et massif du chômage et de la précarité. Il grimace parce qu’il doit relever un défi environnemental et ne nous propose que des emplois directement ou indirectement impliqués dans le désastre écologique. Il grimace enfin parce que l’augmentation des suicides, des arrêts de travail et des démissions chez les travailleurs sociaux et autres salariés des machines de contrôle, marque la réticence de ces derniers vis-à-vis de leurs fonctions qui les conduisent à jouer de plus en plus le rôle d’une police du contrôle, à être les instruments des sanctions et des radiations des chômeurs.

Dès lors comment se traduit cette stratégie de mise au pas des populations les plus pauvres ?
Par les menaces sur les revenus de survie, par une précarisation des contrats de travail, mais également par une injonction à donner son temps aux exploiteurs, à travailler à son employabilité en se rendant disponible aux innombrables évaluations, entretiens, ateliers de coaching et autres stages bénévoles censés nous rendre dociles en même temps qu’ils nous empêchent d’user de ce temps pour élaborer des formes politiques - émancipatrices, égalitaires et écologiques - d’organisation du vivre-ensemble.

C’est à partir d’un tel point de vue que, depuis quelques mois, l’idée d’une grève des chômeurs et des précaires fait son chemin : une grève en premier lieu en tant qu’il s’agirait de s’organiser collectivement pour arrêter la marche forcée imposée aux chômeurs et aux précaires par les institutions, marche forcée qui renforce l’enfermement de chacun dans sa situation individuelle. Cette grève trouverait alors à s’incarner dans le refus du contrôle, des radiations, des pressions qui s’exercent sur tous ceux qui sont concernés par les réalités du chômage et de la précarité.

Une grève qui ouvrirait un espace à la diffusion de pratiques individuelles et collectives d’autodéfense et de soustraction vis-à-vis de toutes ces injonctions à l’employabilité, mais également qui concrétiserait l’affirmation et la réalisation de gestes de réappropriations de ce dont on a besoin pour vivre, de partage de ce que nous produisons et d’intelligence collective propres à penser des formes dissidentes d’organisations de nos activités communes. Soit une grève qui permettrait une liaison entre les luttes et les revendications des usagers de toutes les institutions du chômage et de la précarité (Pôle Emploi, CAF, CDAS, missions locales, services de reclassement...) : travailleurs intérimaires, saisonniers, intermittents, stagiaires, chômeurs occasionnels ou de longue durée, travailleurs en lutte et menacés de licenciement, retraités ou étudiants, sans papiers...

Pour que partout se créent des collectifs de chômeurs et de précaires et que le lundi 3 mai résonne comme une étape importante dans la lutte contre l’exploitation de notre temps par le capitalisme.

nico37

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Message  gérard menvussa Mer 1 Déc - 21:52

Accueil
4 décembre : mobilisation contre le chômage, les précarités et les exclusions

mercredi 1 décembre 2010 Publié dans : Hebdo Tout est à nous ! 80 (02/12/10)
Chômeurs 11001.preview

Crédit Photo:
Photothèque Rouge/tn


Pour en finir avec l’insécurité sociale !

Avec des chiffres du chômage à des niveaux records, des licenciements en pagaille, une précarité qui touche de plus en plus de salariéEs, la mobilisation contre le chômage, les précarités et les exclusions est une priorité. Tout comme la question des retraites, elle met à l’ordre du jour la nécéssité de la redistribution des richesses.

Marre d’être licencié ! Marre d’être viré ! Marre du chômage imposé ! Marre des boulots « occupation » de merde ! Marre de la galère ! Marre de la survie ! Marre de justifier de sa misère ! Marre des 30 premiers jours du mois difficiles ! Marre de la rue ! Marre d’être fiché, comptabilisé, contrôlé, culpabilisé, convoqué, accusé, exploité, déprécié, déclassé, recalé, radié, suspecté, endetté, crevé, pressé, oppressé... Marre ! Marre ! Marre !
Malgré les effets d’annonce du gouvernement, le taux de chômage reste explosif avec 4, 6 millions de personnes inscrites à Pôle emploi. Les conditions et les accès à l’emploi sont de plus en plus précaires et difficiles : 13 % des salariés ont un emploi précaire, soit 2, 8 millions de personnes. Plus ou moins 8 millions de travailleurs pauvres et 3 millions de non-logéEs ou de mal-logéEs. Près de 2 millions de survivants aux minima sociaux. La litanie des dégâts collatéraux de la crise du capitalisme pourrait s’étendre à l’infini, alors que les profits des entreprises du CAC40 ont explosé encore une fois cette année : 41, 5 milliards au 1er semestre 2010.
Depuis 2008, des centaines de milliers de destructions d’emplois ont eu lieu, en particulier dans l’industrie, jetant dans le chômage et la misère des milliers d’hommes et de femmes. Le combat contre le chômage, les précarités et les exclusions et celui contre les licenciements et les délocalisations sont les mêmes.
Il concerne tout le monde, avec ou sans emploi (stable ou précaire), jeunes ou senior, femmes ou hommes, Français ou immigrés avec ou sans papiers !
Face à ce désastre, Sarkozy et les valets de son gouvernement aux ordres du Medef, des banquiers et de la haute finance n’en finissent pas de détruire l’ex-service public de l’emploi. Pôle emploi est parmi les prochaines cibles afin de livrer, à terme, l’indemnisation du chômage aux banques et aux assurances, et le placement à toutes les officines privées (comme les agences d’intérim ou les sociétés telles que Ingeus) pour lesquelles le chômage n’est qu’une source de profit. Les salariés de Pôle emploi, croulant sous la charge de travail, désorganisés par la fusion contre-nature ANPE-Assedic, et subissant la politique d’austérité (baisse des effectifs et des budgets) ont manifesté leur colère, le 9 novembre dernier (50 % de grévistes). La mobilisation continue en région.
Avec la loi de casse du système de retraites par répartition et les attaques amplifiées contre la Sécu, c’est toute la protection sociale qui est livrée aux appétits des capitalistes. Politique d’austérité du gouvernement ; services publics et protection sociale détruits ; salaires en berne ; licenciements et chômage qui explosent ; les droits les plus fondamentaux comme le logement, la santé, l’éducation et la culture… sont bafoués.

Répartition des richesses

La négociation qui s’ouvre pour la nouvelle convention Unedic est l’occasion de reposer l’exigence qui a fait le cœur de la mobilisation pour les retraites : imposer une redistribution des richesses créées par le travail. On voudrait nous faire croire qu’il s’agirait de choisir entre l’augmentation des cotisations Unedic et la valorisation des allocations des chômeurs. Nous devons au contraire proposer une refondation du système. Par la hausse de la part patronale des cotisations Unedic, on peut assurer la prise en charge d’un revenu décent pour toutes celles et tous ceux qui composent le monde du travail et que le capitalisme prive de travail : précaires, chômeurs, handicapés. Une seule exigence : la redistribution des richesses.
Nous avons besoin d’une lutte d’ensemble contre le capitalisme et ses méfaits.
Toutes et tous dans la rue, le 4 décembre, comme une première étape vers la convergence des luttes !
Grève des chômeurs, grève des travailleurs, grève générale !
Yann (NPA 54 sud, conseiller Pôle emploi et) et Didier (NPA 54 sud animateur de La C.R.I.S.E )
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Message  nico37 Lun 6 Déc - 22:25

Invitation à la constitution d’un comité de liaison universitaires-précaires en vue de prolonger le mouvement

Malgré l’ampleur de la mobilisation contre l’impopulaire « réforme » des retraites, nous ne sommes pas parvenus à faire plier Sarkozy et sa bande sur ce qui apparait être aux yeux de tous, une injustice de plus…ou de trop.
Ce qui reste aujourd’hui de ce mouvement pour ceux qui ont eu l’occasion de s’en saisir, c’est une tension palpable, un sentiment de frustration, une colère dépassant largement la seule question de devoir travailler deux ans de plus.

L’acquis de ce mouvement, ce que cherchent à faire perdurer notamment l’Assemblée Générale Interprofessionnelle et la Maison de la Grève, ce sont les liaisons entre étudiants, travailleurs et chômeurs, syndiqués ou pas, qui se sont consolidées au cours des journées d’action, des grèves etdes blocages économiques.
Nous sommes nombreux à penser qu’il faut partir de là si nous voulons faire entendre une parole politique qui ne soit pas celle des lieux de
prise de décisions institutionnels.
Nous entendons prolonger cette lutte bien que la force coercitive de ce système capitaliste fasse tout pour dissiper toute potentialité de
résistance en faisant en sorte que chacun reste bien à sa place: retour au travail pour les salariés après de lourdes pertes de salaires, retour en cours pour les étudiants de plus en plus soumis à une évaluation continue, retour à Pôle emploi pour les chômeurs devant être prêts à accepter n’importe quel emploi.

Après la grève générale dans les Antilles (2009), celle en Espagne en septembre dernier, la révolte en Grèce et les mouvements étudiants récurrents en Europe, de nombreuses voix se font entendre affirmant le refus d’un système économique dont la crise structurelle justifie
d’imposer toujours de nouveaux sacrifices à ceux qui subissent le plus durement les conséquences de ce mode de gouvernance.

Nous, quelques étudiants, chômeurs et salariés précaires rennais, pensons qu’il est aujourd’hui nécessaire de construire une position offensive, par delà les résistances légitimes aux attaques gouvernementales. Le gouvernement nous montre bien que la force est à celui qui détient
l’initiative.
Nous pensons qu’une telle disposition prend sens au sein des universités qui ne peuvent pas poursuivre leurs activités comme s’il ne s’était rien passé et pire encore, comme si les facs d’aujourd’hui étaient un espace neutre, un en dehors de l’organisation capitaliste du monde. Ne nous sommes-nous pas par deux fois opposés à la loi dite autonomie des universités (LRU) consacrant la subordination des universités aux
demandes des entreprises, sous l’égide d’un président investit des pleins pouvoirs ?
De plus, étudiants, chômeurs et précaires, nous avons pu constater la porosité de chacune de ces conditions.
En effet, certains sont inscrits à l’université et dans le même temps doivent travailler pour toucher un salaire de misère pour ainsi espérer accéder au nécessaire que nous payons chaque jour un peu plus (tickets de RU, loyer, transports…).
Parfois, certains sont chômeurs au terme de leurs études. Certains aimeraient les reprendre mais perdent alors leur allocation chômage ou
leur RSA.
Beaucoup doivent interrompre leurs études étant contraints de travailler à temps plein et bien qu’ils désirent retourner à la fac, le système ne leur laisse pas d’autres choix que de poursuivre le turbin, dans des jobs qui n’intéressent personne, mal payés, qualifiés d’alimentaires.
Enfin, à travers la formation continue, un nombre croissant de salariés est amené à fréquenter l’espace universitaire.
Ce que nous avons de commun, c’est de refuser la subordination du savoir aux exigences du développement capitaliste, façonnant notre manière d’être et d’apprendre ; de refuser l’idée d’un savoir indifférent aux conflits politiques qui traversent la société. Cette idée, nous voulons l’inscrire au cœur de l’espace universitaire, auprès de tous ceux qui ne se reconnaissent pas dans son devenir entrepreneurial et n’ont pas l’intention de servir de variables d’ajustement (BIATOSS, enseignants, personnels vacataires et précaires…).

Il s’agit donc tant de fabriquer et de faire circuler des savoirs en lutte, que de construire des luttes où ces savoirs puissent s’inscrire.

Nous appelons pour ce faire à un comité de liaison universitaires-précaires.

Nous invitons le plus grand nombre à participer à une première discussion dans laquelle il sera question de :

- la constitution à l’université d’un espace politique, intersyndical et transcatégoriel ouvert à tous ceux qui ne veulent pas attendre les prochaines grandes échéances pour se mobiliser.
- le développement à Rennes 2, de pratiques d’autodéfense collective afin de défendre nos droits et d’en conquérir de nouveaux dans les espaces de gestion de la précarité (CROUS, CAF, Pôle emploi…).
- la mise en œuvre d’une réflexion critique à l’endroit de l’université, permettant d’envisager notamment l’émergence de cours alternatifs sur la base d’une coopération égalitaire entre enseignants et non enseignants.
- toutes autres propositions visant à entretenir un esprit de résistance sur le campus.

Rendez-vous pour créer notre comité de liaison Mardi 7 décembre à 17h hall B lors d’un goûter suivi d’une discussion

nico37

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Message  Babel Mer 6 Mar - 19:38

Nantes, le 13/02/2013 :
Suicide d'un chômeur à Pôle emploi : "un drame personnel", juge Hollande.
Âgé de 43 ans, il était en fin de droits d'indemnisation.

Saint-Ouen, le 15/02/2013 :
Un homme se disant chômeur en fin de droits tente de se suicider par le feu
Âgé de 49 ans, il était en fin de droits.

Bois-Colombes, le 6/03/2013 :
Nouvelle tentative d'immolation dans une agence Pôle emploi
Âgé de 59 ans, ses droits au chômage allaient être raccourcis.

Babel

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Message  Roseau Lun 24 Juin - 3:19

Condensé "hollandais". La concertation sociale pour les syndicats, la matraque des flics pour les chômeurs...
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Message  Roseau Mer 3 Déc - 12:54

Chômage et précarité : qui sème la misère récolte la colère !
http://www.npa2009.org/agir/chomage-et-precarite-qui-seme-la-misere-recolte-la-colere
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Message  Roseau Lun 8 Déc - 13:29

Sur la manif des chômeurs et précaires pour l’emploi

https://communismeouvrier.wordpress.com/2014/12/07/video-paris-manifestation-des-chomeurs-et-precaires-pour-lemploi/
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