Plan National Santé Environnement (PNSE)
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Plan National Santé Environnement (PNSE)
http://www.maxisciences.com/plan-national-sant%e9-environnement-2/maladies-respiratoires-la-pollution-de-l-039-air-dans-le-viseur_art12165.html
En gros il s'agit des Composés Organiques Volatiles (C.O.V.).
Et en gros on peut creuver avec les saloperies qui sont déjà présentes dans nos logements, lieux de travail, et véhicules... Faut attendre 2012 qu'ils disent...
Maxisciences.com a écrit:
Info rédaction, publiée le 29 janvier 2011
Maladies respiratoires : la pollution de l'air dans le viseur
Alors que la pollution de l'air est à l'origine de nombreuses maladies respiratoires, les ministères de l'Ecologie et de la Santé ont fait savoir que dès la fin janvier un "Plan National Santé Environnement 2" devrait débuter afin de lutter contre ce phénomène.
Le Plan National Santé Environnement a débuté en 2009 et devrait s'achever en 2013. Son objectif ? Arriver à une amélioration de la qualité de l'air intérieur et extérieur, afin de faire reculer le nombre de malades et d'infections respiratoires. Les ministères de l'Ecologie et de la Santé comptent bien parvenir à réaliser leur objectif, et cela à travers notamment une meilleure information du grand public concernant les produits volatiles susceptibles d'être utilisés à la maison.
En ce sens, dès le 1er janvier 2012, les produits tels que les dalles PVC, les sols stratifiés, les moquettes ou encore les peintures feront l'objet d'un étiquetage spécifique qui indiquera le niveau d'émission de ces substances volatiles. Plusieurs postes de conseiller habitat/santé seront créés pour mieux accompagner le client en fonction de sa situation de santé personnelle tandis que des mesures de qualité de l'air seront adoptées dans plusieurs établissements français. Ce Plan National Santé Environnement 2 devrait également observer l'évolution de l'état de santé de 20.000 enfants, de leur période de vie intra-utérine à leur 20e anniversaire. La lutte contre les nuisances sonores est également un point important que les ministères de la Santé et de l'Ecologie ne veulent pas négliger.
En gros il s'agit des Composés Organiques Volatiles (C.O.V.).
Et en gros on peut creuver avec les saloperies qui sont déjà présentes dans nos logements, lieux de travail, et véhicules... Faut attendre 2012 qu'ils disent...
BouffonVert72- Messages : 1748
Date d'inscription : 10/07/2010
Age : 52
Localisation : sur mon réformiste planeur
Re: Plan National Santé Environnement (PNSE)
http://www.20minutes.fr/article/829922/francais-egaux-devant-pollution-cartographie-mettra-evidence-zones-plus-polluees
Les Français ne sont pas égaux devant la pollution: une cartographie mettra en évidence les zones les plus polluées
Publié le 24 novembre 2011
ENVIRONNEMENT - Une carte de France des «points noirs environnementaux» du territoire français va bientôt voir le jour...
L’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris) a lancé cette semaine un programme ambitieux: faire la carte de France des «points noirs environnementaux», ces régions, villes ou quartiers dans lesquels il ne fait pas bon respirer l’air ambiant. Le dispositif Plaine, comme «Plate-forme intégrée pour l'analyse des inégalités d'exposition environnementale», n’a pour l’instant été testé qu’en Pas-de-Calais et en Picardie sur quatre polluants: nickel, cadmium, chrome et plomb. A terme, les données en provenance du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), des agences de l'eau, de l'Institut national de recherche agronomique (Inra), de l'Insee ou encore des services statistiques du ministère de l'Ecologie seront croisées par l’Ineris pour établir une cartographie complète du pays.
Les premiers résultats sur le Nord de la France ont permis de déterminer quelles populations sont les plus exposées aux pollutions et par quel biais: «Pour l’ensemble des polluants, la classe d’âge la plus vulnérable est systématiquement celle des 2 à 7 ans, explique l’Ineris. Les voies d’exposition prépondérantes correspondent, selon les régions, à l’ingestion d’eau de consommation et de sol pour le plomb, de légumes pour le cadmium et à l’inhalation pour le nickel.» L’étude complète devrait permettre de mieux prévenir les impacts sanitaires de la pollution, conformément au Plan national santé environnement qui «vise à identifier d’ici 2013 les zones, réduire les niveaux de contamination et assurer une surveillance environnementale adéquate».
Audrey Chauvet
Sinon, pour l'air, j'utilise quotidiennement :
http://www.atmoauvergne.asso.fr/
BouffonVert72- Messages : 1748
Date d'inscription : 10/07/2010
Age : 52
Localisation : sur mon réformiste planeur
a propos de la santé mentale et du secteur
«On assiste à une forte dérive de la psychiatrie»
ce texte n'aborde pas un autre aspect de la psychiatrie d'institutions qui est dans l'augmentation de l'action de soins par la mise en place de TTT médicamenteux au détriment des TTT d'entretiens et de soins comportementaux peu comptabilisables et gourmants en personnel de soins panchoa
Eric FAVEREAU 25 décembre 2013 à 18:26 (Mis à jour : 28 décembre 2013 à 10:29)
Dans un hôpital psychiatrique de Lyon, en 2006. (Photo Jean-Philippe Ksiazek. AFP)
INTERVIEW
Denys Robiliard, rapporteur d’une mission parlementaire sur la santé mentale, pointe une forte augmentation des mesures de contention et des hospitalisations sous contrainte.
Denys Robiliard poursuit son chemin. Dans une relative solitude, ce député socialiste du Loir-et-Cher a porté pendant un an une «mission d’information sur la santé mentale et l’avenir de la psychiatrie». Il l’a fait, sans œillère, recevant tous les acteurs de cet univers fragmenté. En mai, dans un prérapport, il avait pointé une «hausse énorme» du nombre d’hospitalisations en psychiatrie sans le consentement de la personne : plus de 50% en cinq ans. Etat des lieux, à l’occasion de la fin de sa mission, d’une psychiatrie publique en panne d’avenir.
Mesures de contention : «On assiste à une forte dérive de la psychiatrie»
Par Eric Favereau
• Un rapport et des chiffres à donner le cafard
Par Eric Favereau
Ces dernières années, il y a eu beaucoup de rapports sur la psychiatrie qui préconisaient souvent des recommandations similaires. Mais ils n’ont pas été suivis d’effet…
Aucune des recommandations n’a en effet été mise en œuvre. Peut-être que cela pointe une force d’inertie du côté des soignants en psychiatrie, une sorte de résistance au changement.
Quel est votre diagnostic ?
Le paysage psychiatrique n’est pas stable, et surtout il ne va plus l’être. D’abord, il est clairement confronté à un problème d’effectifs, avec des perspectives délicates : plus de 20% des postes de psychiatre sont vacants dans le public.
En même temps, il n’y a jamais eu autant de psychiatres en France…
Nous avons une forte densité : 22 psychiatres pour 100 000 habitants. Seule la Suisse fait mieux avec 45. Mais nous avons une mauvaise répartition entre le public et le libéral. Et même dans le libéral, s’il y a pléthore de psychiatres dans certaines zones, d’autres sont assez dépourvues : 80% des psychiatres exercent dans des villes de plus de 50 000 habitants. Comme pour le reste des médecins, nous avons de forts déséquilibres régionaux et, dans cinq ans, près de 40% des psychiatres vont prendre leur retraite. Dans ce contexte, ne rien faire est impossible ou suicidaire.
Que faire alors ?
Il n’y a pas le choix : nécessité faisant loi. On va faire avec des délégations de compétence des psychiatres vers les psychologues, les infirmiers, comme cela se pratique en Allemagne, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis. Des actes médicaux doivent pouvoir être effectués par d’autres. Sans baisser la qualité des soins, on peut ainsi réarticuler les exercices professionnels pour permettre d’assurer l’offre de soins nécessaire.
Dans votre pré rapport, vous aviez pointé le développement des mesures de contention qui se multiplient…
Oui, on assiste là à une forte dérive : s’il y a un indice pour mesurer la dégradation de la psychiatrie, c’est bien celui-là. C’est ce que nous a dit fortement le docteur Jean-Claude Pénochet, président du Syndicat des psychiatres des hôpitaux : «La contention est un indicateur de la bonne ou de la mauvaise santé de la psychiatrie. Plus la psychiatrie va mal, plus la contention sera utilisée.» Or, tous les acteurs notent une progression des mesures de contention, avec les chambres d’isolement, les mesures aussi pour attacher les malades, certains pointant même une culture de personnel soignant qui a été modifiée. La docteure Christiane Santos, secrétaire générale de l’Intersyndicale de défense de la psychiatrie publique, a mené une enquête qui a fait ressortir que la pratique de la contention était utilisée partout.
Les raisons invoquées ?
Souvent, on évoque la diminution du nombre de soignants dans les équipes, la féminisation de ces équipes et le manque de formation des infirmiers et des jeunes médecins.
Et cela va de pair avec la hausse des hospitalisations sans consentement…
C’est impressionnant aussi. Y a-t-il un air du temps qui fait de la sécurité un principe directeur ?
Comment inverser cette tendance vers une psychiatrie de la contrainte ?
Je ne suis pas psychiatre, je n’ai aucun titre, je regarde avec les yeux du citoyen. Mais comment se fait-il que, dans certains hôpitaux, il y ait un recours très fréquent à la contention et pas dans d’autres ? Le monde de la psychiatrie doit affronter cette question. Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté, Jean-Marie Delarue, est allé plus loin. Il a insisté sur «les fortes différences de régimes qui peuvent exister entre les unités dans un hôpital déterminé […]. Ce ne sont donc pas les types d’affection qui vont déterminer le régime, mais la volonté du responsable d’unité, qui va définir un régime particulier». Autre exemple : Jean-Marie Delarue évoque l’accès au téléphone portable. Il est autorisé dans certaines unités, sans guère de restrictions ; dans d’autres, il faut quémander le droit d’utiliser son propre téléphone. Aucune raison ne justifie de telles différences car, s’agissant des droits des malades, les régimes doivent être identiques sauf si la nature de la maladie s’y oppose.
Quelles mesures proposez-vous ?
Les chambres d’isolement comme les mesures de contention doivent être des solutions de dernier recours : elles relèvent d’une prescription médicale individuelle, prise pour une durée limitée dont la mise en œuvre doit faire l’objet d’une surveillance stricte. Ce qui n’est pas le cas actuellement. Nous demandons aussi de constituer un registre administratif dans chaque établissement, recensant les mesures d’isolement ou de contention prises et précisant l’identité des patients, le médecin prescripteur, les dates et heures de début et fin des mesures, le nom et la qualification du personnel ayant surveillé leur mise en œuvre. Ces pratiques, au minimum, doivent être explicitées.
Vous insistez sur le rôle clé du secteur…
Oui, en santé mentale, nous sommes souvent sur des maladies au long cours. Le secteur [lire ci-contre], qui définit un cadre géographique avec une offre de soins variés, est une donnée essentielle.
Finalement, comment caractérisez-vous le climat actuel ?
Le monde de la psychiatrie est ballotté, en attente. Il espérait une grande loi de santé mentale. Ce ne sera pas le cas, comme nous l’a redit la ministre de la Santé, Marisol Touraine. On le sait, la psychiatrie est un monde relativement éclaté. Le consensus ne la caractérise pas. En même temps, méfions-nous de la normalisation, il n’y a pas de remède miracle, ce pluralisme est important. Il est le garant de notre liberté.
Recueilli par Éric Favereau
ce texte n'aborde pas un autre aspect de la psychiatrie d'institutions qui est dans l'augmentation de l'action de soins par la mise en place de TTT médicamenteux au détriment des TTT d'entretiens et de soins comportementaux peu comptabilisables et gourmants en personnel de soins panchoa
Eric FAVEREAU 25 décembre 2013 à 18:26 (Mis à jour : 28 décembre 2013 à 10:29)
Dans un hôpital psychiatrique de Lyon, en 2006. (Photo Jean-Philippe Ksiazek. AFP)
INTERVIEW
Denys Robiliard, rapporteur d’une mission parlementaire sur la santé mentale, pointe une forte augmentation des mesures de contention et des hospitalisations sous contrainte.
Denys Robiliard poursuit son chemin. Dans une relative solitude, ce député socialiste du Loir-et-Cher a porté pendant un an une «mission d’information sur la santé mentale et l’avenir de la psychiatrie». Il l’a fait, sans œillère, recevant tous les acteurs de cet univers fragmenté. En mai, dans un prérapport, il avait pointé une «hausse énorme» du nombre d’hospitalisations en psychiatrie sans le consentement de la personne : plus de 50% en cinq ans. Etat des lieux, à l’occasion de la fin de sa mission, d’une psychiatrie publique en panne d’avenir.
Mesures de contention : «On assiste à une forte dérive de la psychiatrie»
Par Eric Favereau
• Un rapport et des chiffres à donner le cafard
Par Eric Favereau
Ces dernières années, il y a eu beaucoup de rapports sur la psychiatrie qui préconisaient souvent des recommandations similaires. Mais ils n’ont pas été suivis d’effet…
Aucune des recommandations n’a en effet été mise en œuvre. Peut-être que cela pointe une force d’inertie du côté des soignants en psychiatrie, une sorte de résistance au changement.
Quel est votre diagnostic ?
Le paysage psychiatrique n’est pas stable, et surtout il ne va plus l’être. D’abord, il est clairement confronté à un problème d’effectifs, avec des perspectives délicates : plus de 20% des postes de psychiatre sont vacants dans le public.
En même temps, il n’y a jamais eu autant de psychiatres en France…
Nous avons une forte densité : 22 psychiatres pour 100 000 habitants. Seule la Suisse fait mieux avec 45. Mais nous avons une mauvaise répartition entre le public et le libéral. Et même dans le libéral, s’il y a pléthore de psychiatres dans certaines zones, d’autres sont assez dépourvues : 80% des psychiatres exercent dans des villes de plus de 50 000 habitants. Comme pour le reste des médecins, nous avons de forts déséquilibres régionaux et, dans cinq ans, près de 40% des psychiatres vont prendre leur retraite. Dans ce contexte, ne rien faire est impossible ou suicidaire.
Que faire alors ?
Il n’y a pas le choix : nécessité faisant loi. On va faire avec des délégations de compétence des psychiatres vers les psychologues, les infirmiers, comme cela se pratique en Allemagne, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis. Des actes médicaux doivent pouvoir être effectués par d’autres. Sans baisser la qualité des soins, on peut ainsi réarticuler les exercices professionnels pour permettre d’assurer l’offre de soins nécessaire.
Dans votre pré rapport, vous aviez pointé le développement des mesures de contention qui se multiplient…
Oui, on assiste là à une forte dérive : s’il y a un indice pour mesurer la dégradation de la psychiatrie, c’est bien celui-là. C’est ce que nous a dit fortement le docteur Jean-Claude Pénochet, président du Syndicat des psychiatres des hôpitaux : «La contention est un indicateur de la bonne ou de la mauvaise santé de la psychiatrie. Plus la psychiatrie va mal, plus la contention sera utilisée.» Or, tous les acteurs notent une progression des mesures de contention, avec les chambres d’isolement, les mesures aussi pour attacher les malades, certains pointant même une culture de personnel soignant qui a été modifiée. La docteure Christiane Santos, secrétaire générale de l’Intersyndicale de défense de la psychiatrie publique, a mené une enquête qui a fait ressortir que la pratique de la contention était utilisée partout.
Les raisons invoquées ?
Souvent, on évoque la diminution du nombre de soignants dans les équipes, la féminisation de ces équipes et le manque de formation des infirmiers et des jeunes médecins.
Et cela va de pair avec la hausse des hospitalisations sans consentement…
C’est impressionnant aussi. Y a-t-il un air du temps qui fait de la sécurité un principe directeur ?
Comment inverser cette tendance vers une psychiatrie de la contrainte ?
Je ne suis pas psychiatre, je n’ai aucun titre, je regarde avec les yeux du citoyen. Mais comment se fait-il que, dans certains hôpitaux, il y ait un recours très fréquent à la contention et pas dans d’autres ? Le monde de la psychiatrie doit affronter cette question. Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté, Jean-Marie Delarue, est allé plus loin. Il a insisté sur «les fortes différences de régimes qui peuvent exister entre les unités dans un hôpital déterminé […]. Ce ne sont donc pas les types d’affection qui vont déterminer le régime, mais la volonté du responsable d’unité, qui va définir un régime particulier». Autre exemple : Jean-Marie Delarue évoque l’accès au téléphone portable. Il est autorisé dans certaines unités, sans guère de restrictions ; dans d’autres, il faut quémander le droit d’utiliser son propre téléphone. Aucune raison ne justifie de telles différences car, s’agissant des droits des malades, les régimes doivent être identiques sauf si la nature de la maladie s’y oppose.
Quelles mesures proposez-vous ?
Les chambres d’isolement comme les mesures de contention doivent être des solutions de dernier recours : elles relèvent d’une prescription médicale individuelle, prise pour une durée limitée dont la mise en œuvre doit faire l’objet d’une surveillance stricte. Ce qui n’est pas le cas actuellement. Nous demandons aussi de constituer un registre administratif dans chaque établissement, recensant les mesures d’isolement ou de contention prises et précisant l’identité des patients, le médecin prescripteur, les dates et heures de début et fin des mesures, le nom et la qualification du personnel ayant surveillé leur mise en œuvre. Ces pratiques, au minimum, doivent être explicitées.
Vous insistez sur le rôle clé du secteur…
Oui, en santé mentale, nous sommes souvent sur des maladies au long cours. Le secteur [lire ci-contre], qui définit un cadre géographique avec une offre de soins variés, est une donnée essentielle.
Finalement, comment caractérisez-vous le climat actuel ?
Le monde de la psychiatrie est ballotté, en attente. Il espérait une grande loi de santé mentale. Ce ne sera pas le cas, comme nous l’a redit la ministre de la Santé, Marisol Touraine. On le sait, la psychiatrie est un monde relativement éclaté. Le consensus ne la caractérise pas. En même temps, méfions-nous de la normalisation, il n’y a pas de remède miracle, ce pluralisme est important. Il est le garant de notre liberté.
Recueilli par Éric Favereau
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Date d'inscription : 20/09/2010
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