Simon Gouz
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Estirio Dogante
alexi
6 participants
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Simon Gouz
Le nouveau numéro de Convergences Révolutionnaires rendra hommage à notre camarade Simon Gouz, qui intervenait ici sous le nom de Barnabé.
Vous pouvez retrouver plusieurs de ses textes ci-dessous.
J'ajouterai les jours suivants d'autres de ses textes publiés dans la presse de L'Etincelle sous le nom d'Yves Lefort.
Envoie par mail de son mémoire de maîtrise sur demande :
L'Histoire des sciences à la croisée des chemins
Le Congrès International d’Histoire des Sciences de 1931 et ses suites
Sa thèse :
J.B.S. Haldane, la science et le marxisme. La vision du monde d’un biologiste
et un autre texte :
Biologie, philosophie et marxisme. Textes choisis d’un biologiste atypique
http://www.materiologiques.com/Hommage-a-Simon-Gouz
Convergences Révolutionnaires n° 93
Simon,
notre camarade,
notre ami
Notre camarade Simon Gouz est décédé le 19
février dernier, à l’âge de 33 ans. Connu aussi
sous le nom d’Ivor, il avait commencé à militer à
l’Université de Nanterre en 2000, dans la région parisienne.
À partir de 2002, Simon a joué un rôle prépondérant
dans la construction de notre groupe à Lyon, en
contribuant à former les camarades autour de lui, mais
aussi, à partir de 2008, en développant notre travail
d’implantation ouvrière dans le couloir de la chimie.
Son engagement le conduisait également à être présent
sur le terrain de la jeunesse, notamment en étant élu
par les étudiants de l’université Lyon 1, pour la coordination
étudiante lors du mouvement contre le CPE, au
printemps 2006.
Tous ceux qui se souviennent de lui ont le même
mot : « une prodigieuse intelligence ». La logique, les
sciences, la philosophie, l’histoire, la dialectique, tout
ce qui était étudiable et étudié, était pour lui autant
de sujets de recherche et de passion. Toujours pointu,
extrêmement rigoureux, il était pourtant le roi de la
pédagogie et de la transmission. C’est ce qu’illustre sa
thèse publiée aux Éditions Matériologiques en 2013,
J.B.S Haldane, la science et le marxisme. Il y rend
accessible à tous bien des aspects de la philosophie
marxiste des sciences.
Pourtant, avec sa modestie, il ne se voulait ni
« prof » ni « théoricien », il prenait toujours plus que
sa part dans les tâches militantes les plus techniques
et de terrain, à la porte des entreprises, des lycées,
dans les campagnes électorales, sur les marchés. Un
militant de la classe ouvrière infatigable, sensible,
empathique, qui ne se plaignait jamais, ne s’épanchait
jamais. Rétrospectivement, nous qui le côtoyions de
près aurions préféré qu’il parle plus volontiers de ses
difficultés personnelles.
Nous nous souviendrons tous de son humour, celui
avec lequel il rédigeait les brèves des bulletins d’entreprises
et avec lequel il égayait les voyages qui nous
menaient d’une intervention militante à une autre.
Passionné en fait, il raisonnait toujours sur ce qui le
prenait aux tripes, en transformant sa colère en énergie
et en arme pour la lutte.
Nous perdons avec la disparition de Simon un militant
de valeur, et pour beaucoup d’entre nous un ami.
Convergences Révolutionnaires partage cette vive
douleur avec ses parents et sa compagne, Caroline,
avec qui il a vécu certaines des années les plus heureuses
de sa vie. ■
Vous pouvez retrouver plusieurs de ses textes ci-dessous.
J'ajouterai les jours suivants d'autres de ses textes publiés dans la presse de L'Etincelle sous le nom d'Yves Lefort.
Envoie par mail de son mémoire de maîtrise sur demande :
L'Histoire des sciences à la croisée des chemins
Le Congrès International d’Histoire des Sciences de 1931 et ses suites
Sa thèse :
J.B.S. Haldane, la science et le marxisme. La vision du monde d’un biologiste
et un autre texte :
Biologie, philosophie et marxisme. Textes choisis d’un biologiste atypique
http://www.materiologiques.com/Hommage-a-Simon-Gouz
Convergences Révolutionnaires n° 93
Simon,
notre camarade,
notre ami
Notre camarade Simon Gouz est décédé le 19
février dernier, à l’âge de 33 ans. Connu aussi
sous le nom d’Ivor, il avait commencé à militer à
l’Université de Nanterre en 2000, dans la région parisienne.
À partir de 2002, Simon a joué un rôle prépondérant
dans la construction de notre groupe à Lyon, en
contribuant à former les camarades autour de lui, mais
aussi, à partir de 2008, en développant notre travail
d’implantation ouvrière dans le couloir de la chimie.
Son engagement le conduisait également à être présent
sur le terrain de la jeunesse, notamment en étant élu
par les étudiants de l’université Lyon 1, pour la coordination
étudiante lors du mouvement contre le CPE, au
printemps 2006.
Tous ceux qui se souviennent de lui ont le même
mot : « une prodigieuse intelligence ». La logique, les
sciences, la philosophie, l’histoire, la dialectique, tout
ce qui était étudiable et étudié, était pour lui autant
de sujets de recherche et de passion. Toujours pointu,
extrêmement rigoureux, il était pourtant le roi de la
pédagogie et de la transmission. C’est ce qu’illustre sa
thèse publiée aux Éditions Matériologiques en 2013,
J.B.S Haldane, la science et le marxisme. Il y rend
accessible à tous bien des aspects de la philosophie
marxiste des sciences.
Pourtant, avec sa modestie, il ne se voulait ni
« prof » ni « théoricien », il prenait toujours plus que
sa part dans les tâches militantes les plus techniques
et de terrain, à la porte des entreprises, des lycées,
dans les campagnes électorales, sur les marchés. Un
militant de la classe ouvrière infatigable, sensible,
empathique, qui ne se plaignait jamais, ne s’épanchait
jamais. Rétrospectivement, nous qui le côtoyions de
près aurions préféré qu’il parle plus volontiers de ses
difficultés personnelles.
Nous nous souviendrons tous de son humour, celui
avec lequel il rédigeait les brèves des bulletins d’entreprises
et avec lequel il égayait les voyages qui nous
menaient d’une intervention militante à une autre.
Passionné en fait, il raisonnait toujours sur ce qui le
prenait aux tripes, en transformant sa colère en énergie
et en arme pour la lutte.
Nous perdons avec la disparition de Simon un militant
de valeur, et pour beaucoup d’entre nous un ami.
Convergences Révolutionnaires partage cette vive
douleur avec ses parents et sa compagne, Caroline,
avec qui il a vécu certaines des années les plus heureuses
de sa vie. ■
Dernière édition par alexi le Mar 15 Avr - 22:51, édité 1 fois
alexi- Messages : 1815
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Simon Gouz
Je l'ai connu en tant que militant. C'était un type formidable et un vrai intellectuel communiste.
Je ne saurais dire plus.
C'est une énorme perte. Mes condoléances à ses camarades et à ses proches.
Je ne saurais dire plus.
C'est une énorme perte. Mes condoléances à ses camarades et à ses proches.
Estirio Dogante- Messages : 686
Date d'inscription : 30/04/2013
Re: Simon Gouz
Je suis vraiment sous le choc... C'était un camarade effectivement remarquable, qui me manquera et que je n'oublierai pas. Simon était, parmi les militants communistes révolutionnaires, de ceux qui n'avaient aucun a priori quant à l'intégration du combat contre les préjugés homophobes dans notre combat de classe ; à ce titre, il faisait preuve d'une connaissance du sujet assez bluffante, notamment du point de vue historique.
Dernière édition par Byrrh le Mar 15 Avr - 21:32, édité 1 fois
Byrrh- Messages : 1009
Date d'inscription : 12/09/2012
Re: Simon Gouz
qui intervenait ici sous le nom de Barnabé.
Mets condoléance a sa famille et c'est camarade.
Invité- Invité
Re: Simon Gouz
Salut camarades,
C'est vraiment une nouvelle bien triste, si jeune ! Toutes mes condoléances à ses camarades et à sa famille !
Fraternellement,
GdM
C'est vraiment une nouvelle bien triste, si jeune ! Toutes mes condoléances à ses camarades et à sa famille !
Fraternellement,
GdM
Gayraud de Mazars- Messages : 545
Date d'inscription : 25/06/2010
Age : 57
Localisation : En Bourgogne
Re: Simon Gouz
Convergences Révolutionnaires
Numéro 42, novembre-décembre 2005
La ruée vers l’eau
10 novembre 2005
De la production d’eau potable à sa distribution, en passant par la collecte des eaux usées et l’épuration, l’eau est devenue l’objet d’une industrie. En pleine croissance, et encore largement ouverts aux appétits des grandes entreprises capitalistes, les marchés de l’eau suscitent donc bien des convoitises de leur part.
En 2001, la Banque mondiale estimait le marché potentiel à 1 000 milliards d’euros. La même année, suite à l’effondrement des marchés des nouvelles technologies, le magazine Fortune considérait que l’industrie de l’eau constituait le placement le plus profitable. Nouvelles concurrentes des « Trois Sœurs » françaises, de l’espagnole Aguas de Barcelona ou des anglaises Thames Water - filiale de la firme électrique RWE - et Biwater devenue Cascal, d’autres grandes firmes ont désormais des visées sur ce marché : comme l’américaine General Electric, ou encore Monsanto, trust de la biotechnique, qui lorgne le marché indien.
La privatisation ne fait que débuter
En effet, le secteur de la distribution d’eau est encore faiblement privatisé au niveau mondial, à hauteur de 5 % des réseaux seulement. Dans la plupart des cas, ce sont encore les municipalités qui assurent l’entretien et la gestion des réseaux qui ont été réalisés aux frais du public. Mais ce chiffre global recouvre une situation contrastée. En France, pionnière en la matière, la privatisation concerne plus de 75 % des réseaux de distribution. Aux USA, 89 % du marché est encore aux mains de compagnies municipales. Et, en France, jusque dans les années 1950, deux-tiers des communes géraient encore directement les services des eaux. Ce n’est qu’à partir du milieu des années 1980, et surtout dans les années 1990, que s’est généralisée la délégation de gestion aux compagnies privées : Vivendi, Suez (Ondéo), et Saur.
Lancés à l’assaut de la planète, les opérateurs privés ne couvraient encore que 90 millions d’habitants dans le monde en 1988, mais plus du double (200 millions) dix ans plus tard et misent sur 500 millions en 2008. Une expansion qui touche aussi bien les pays riches que les pays pauvres. Dans ces derniers, les grandes institutions mondiales ne manquent pas une occasion de promouvoir les intérêts des trusts. Ainsi, sur 276 prêts pour l’approvisionnement en eau accordés par la Banque mondiale entre 1990 et 2002, 30 % étaient conditionnés à la privatisation de la distribution. Au Chili, un prêt de ladite banque a même été conditionné à une garantie de 33 % de profits annuels pour Ondéo.
Les bienfaits de la pollution
Outre la gestion de la distribution, les trusts de l’eau investissent les secteurs de la production d’eau potable et du traitement et assainissement des eaux usées. Par exemple, à Paris, la privatisation de la distribution en 1984 a juste précédé celle de la production d’eau potable, assurée depuis 1987 par une société d’économie mixte, la Sagep dont Vivendi et Ondéo possèdent chacune 14 % du capital. Le service d’assainissement des eaux a, quant à lui, été « externalisé » vers le Siaap qui, en 2002, confiait à des filiales d’Ondéo et de Vivendi une partie du traitement de l’usine d’Achères et l’exploitation du site de Valenton, tandis que l’usine ultra-moderne de Colombes a été réalisée par Ondéo et Bouygues.
Il faut dire que ce marché aussi est en pleine expansion : en France, le volume des eaux usées a triplé au cours des vingt dernières années ! Et la pollution croissante nécessite la mise en œuvrede techniques de plus en plus sophistiquées. Bien qu’élaborés avec les universités et les instituts de recherche publics, les procédés les plus performants restent la propriété des trusts, qui s’imposent comme incontournables auprès des municipalités. Et il n’y a pas qu’en France ! Les perspectives de développement sont mondiales. Par exemple, la Sade, une des filiales du groupe Vivendi spécialisées dans les installations de production et traitement des eaux, multiplie les contrats partout dans le monde, et affiche en 2004 un chiffre d’affaires de 783 millions d’euros, dont 153 millions à l’international.
La pollution croissante de l’eau courante (on n’ose plus dire « l’eau potable » !) a une autre conséquence secondaire très appréciée des trusts : l’explosion du marché de l’eau en bouteille. Estimé à 40 milliards d’euros dans le monde, il augmente en moyenne de 12 % par an. Cette croissance touche aussi bien les pays riches (la France est 2e consommateur mondial d’eau minérale) que les pays du tiers-monde, responsables de 60 % de la croissance mondiale du secteur. Deux trusts de l’agro-alimentaire, Nestlé et Danone, contrôlent à eux seuls un tiers de ce marché, talonnés par Pepsi ou Coca.
Besoins croissants en eau potable, lutte contre une pollution en constante augmentation, les trusts ont bien répondu présents pour nous aider à faire face aux défis du monde moderne. À condition que nous soyons solvables, bien entendu. Et, pendant qu’ils s’abreuvent de juteux profits, les milliards d’individus qui n’ont pas les moyens de se payer leurs services peuvent toujours croupir dans la soif et la maladie.
Yves LEFORT
Numéro 42, novembre-décembre 2005
La ruée vers l’eau
10 novembre 2005
De la production d’eau potable à sa distribution, en passant par la collecte des eaux usées et l’épuration, l’eau est devenue l’objet d’une industrie. En pleine croissance, et encore largement ouverts aux appétits des grandes entreprises capitalistes, les marchés de l’eau suscitent donc bien des convoitises de leur part.
En 2001, la Banque mondiale estimait le marché potentiel à 1 000 milliards d’euros. La même année, suite à l’effondrement des marchés des nouvelles technologies, le magazine Fortune considérait que l’industrie de l’eau constituait le placement le plus profitable. Nouvelles concurrentes des « Trois Sœurs » françaises, de l’espagnole Aguas de Barcelona ou des anglaises Thames Water - filiale de la firme électrique RWE - et Biwater devenue Cascal, d’autres grandes firmes ont désormais des visées sur ce marché : comme l’américaine General Electric, ou encore Monsanto, trust de la biotechnique, qui lorgne le marché indien.
La privatisation ne fait que débuter
En effet, le secteur de la distribution d’eau est encore faiblement privatisé au niveau mondial, à hauteur de 5 % des réseaux seulement. Dans la plupart des cas, ce sont encore les municipalités qui assurent l’entretien et la gestion des réseaux qui ont été réalisés aux frais du public. Mais ce chiffre global recouvre une situation contrastée. En France, pionnière en la matière, la privatisation concerne plus de 75 % des réseaux de distribution. Aux USA, 89 % du marché est encore aux mains de compagnies municipales. Et, en France, jusque dans les années 1950, deux-tiers des communes géraient encore directement les services des eaux. Ce n’est qu’à partir du milieu des années 1980, et surtout dans les années 1990, que s’est généralisée la délégation de gestion aux compagnies privées : Vivendi, Suez (Ondéo), et Saur.
Lancés à l’assaut de la planète, les opérateurs privés ne couvraient encore que 90 millions d’habitants dans le monde en 1988, mais plus du double (200 millions) dix ans plus tard et misent sur 500 millions en 2008. Une expansion qui touche aussi bien les pays riches que les pays pauvres. Dans ces derniers, les grandes institutions mondiales ne manquent pas une occasion de promouvoir les intérêts des trusts. Ainsi, sur 276 prêts pour l’approvisionnement en eau accordés par la Banque mondiale entre 1990 et 2002, 30 % étaient conditionnés à la privatisation de la distribution. Au Chili, un prêt de ladite banque a même été conditionné à une garantie de 33 % de profits annuels pour Ondéo.
Les bienfaits de la pollution
Outre la gestion de la distribution, les trusts de l’eau investissent les secteurs de la production d’eau potable et du traitement et assainissement des eaux usées. Par exemple, à Paris, la privatisation de la distribution en 1984 a juste précédé celle de la production d’eau potable, assurée depuis 1987 par une société d’économie mixte, la Sagep dont Vivendi et Ondéo possèdent chacune 14 % du capital. Le service d’assainissement des eaux a, quant à lui, été « externalisé » vers le Siaap qui, en 2002, confiait à des filiales d’Ondéo et de Vivendi une partie du traitement de l’usine d’Achères et l’exploitation du site de Valenton, tandis que l’usine ultra-moderne de Colombes a été réalisée par Ondéo et Bouygues.
Il faut dire que ce marché aussi est en pleine expansion : en France, le volume des eaux usées a triplé au cours des vingt dernières années ! Et la pollution croissante nécessite la mise en œuvrede techniques de plus en plus sophistiquées. Bien qu’élaborés avec les universités et les instituts de recherche publics, les procédés les plus performants restent la propriété des trusts, qui s’imposent comme incontournables auprès des municipalités. Et il n’y a pas qu’en France ! Les perspectives de développement sont mondiales. Par exemple, la Sade, une des filiales du groupe Vivendi spécialisées dans les installations de production et traitement des eaux, multiplie les contrats partout dans le monde, et affiche en 2004 un chiffre d’affaires de 783 millions d’euros, dont 153 millions à l’international.
La pollution croissante de l’eau courante (on n’ose plus dire « l’eau potable » !) a une autre conséquence secondaire très appréciée des trusts : l’explosion du marché de l’eau en bouteille. Estimé à 40 milliards d’euros dans le monde, il augmente en moyenne de 12 % par an. Cette croissance touche aussi bien les pays riches (la France est 2e consommateur mondial d’eau minérale) que les pays du tiers-monde, responsables de 60 % de la croissance mondiale du secteur. Deux trusts de l’agro-alimentaire, Nestlé et Danone, contrôlent à eux seuls un tiers de ce marché, talonnés par Pepsi ou Coca.
Besoins croissants en eau potable, lutte contre une pollution en constante augmentation, les trusts ont bien répondu présents pour nous aider à faire face aux défis du monde moderne. À condition que nous soyons solvables, bien entendu. Et, pendant qu’ils s’abreuvent de juteux profits, les milliards d’individus qui n’ont pas les moyens de se payer leurs services peuvent toujours croupir dans la soif et la maladie.
Yves LEFORT
alexi- Messages : 1815
Date d'inscription : 10/07/2010
Re: Simon Gouz
mes condoléances...
Bordel, 33 ans, c'est trop jeune pour mourir
Bordel, 33 ans, c'est trop jeune pour mourir
Marco Pagot- Messages : 940
Date d'inscription : 26/06/2010
Age : 36
Re: Simon Gouz
CR compte-t-il sortir un recueil de ses textes les plus marquants
nico37- Messages : 7067
Date d'inscription : 10/07/2010
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