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Traité européen, licenciements : être utile

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Message  gérard menvussa Lun 17 Sep - 6:46

Traité européen, licenciements : être utiles face aux échéances

Publié dans : Revue Tout est à nous ! 35 (septembre 2012)


Dans un article récent(1), le marxiste anglais Alex Callinicos résumait ainsi la phase actuelle de la crise capitaliste: «De toute façon, les derniers mois, ont montré plus clairement quelle est la situation. C’est la crise de notre temps (…) Il n’y a pas de signe qu’elle aille vers sa fin et beaucoup d’indices qu’elle va s‘approfondir. De manière de plus en plus claire, le choix est entre combattre ou se soumettre. La survie d’une gauche qui puisse compter dépendra de la contribution qu’elle fera à ce combat».

La crise économique renforce l’acuité de la lutte sociale et politique entre «ceux d’en haut» et «ceux d’en bas» à qui les premiers veulent faire payer les conséquences d’une situation dont ils ne portent pas la responsabilité. L’ambition du NPA est d’être utile dans ce combat. Si près de 80 % des délégués à la conférence nationale (réunion des représentants des comités) ont rejeté la perspective d’une adhésion au Front de gauche, c’est fondamentalement parce qu’ils pensaient être plus utiles en construisant une organisation entièrement indépendante. Ce qui n’exclut pas, bien sur, la recherche de l’unité à tous les niveaux. Tandis que certains débats de fond seront à l’ordre du jour du prochain congrès.

Deux échéances essentielles vont marquer cette rentrée. Celle de l’adoption du traité budgétaire européen et celle des licenciements avec comme point central PSA-Aulnay.

Contre le traité de l’austérité

Pour ce qui est du traité européen, Hollande marche clairement sur les brisées de Jospin en 1997. Celui-ci avait proclamé, avant les législatives, son refus de souscrire au pacte de stabilité. Une fois devenu Premier ministre, quelques concessions cosmétiques lui ont fourni un prétexte pour s’assoir sur la promesse faite. De même, Hollande, après le sommet européen des 28 et 29 juin derniers, a déclaré avoir obtenu des mesures décisives en faveur de la croissance et donc être en situation de souscrire au pacte budgétaire qui va venir en discussion devant députés et sénateurs. Ce recul sur un des rares engagements der la campagne présidentiel, la vacuité des prétendues mesures nouvelles en faveur de la croissance, ont largement été dénoncés, non seulement par le NPA mais en particulier par Attac, la Fondation Copernic, le Front de gauche… Plus récemment, des élus socialistes, proches notamment de Benoît Hamon ont déclaré s’interroger sur leur vote. La députée du Doubs, Barbara Romagnan a ainsi déclaré à la mi-juillet: «On en discutera entre nous (…) en l’état actuel, voter ce traité nous empêcherait de mener la politique pour laquelle on a été élu». Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice et figure traditionnelle de la gauche du PS a déjà annoncéqu’elle ne voterait pas le traité. Certes, les considérations tactiques préalables au congrès du PS peuvent expliquer en partie ces positions: les amis de Benoît Hamon semblent en voie de présenter une contribution séparée face à celle présentée en commun par Ayrault et Aubry. De même, parmi les élus Verts, on peut s’interroger sur une configuration bizarre où, début août, José Bové semble pencher vers l’acceptation du traité et Jean-Vincent Placé pour le refus.

Mais là n’est pas l’essentiel. Il serait positif qu’une part importante des élus PS et Verts refusent le bradage de Hollande. Pour les y pousser, le NPA s’inscrira dans les actions unitaires qui, localement ou nationalement, pourraient être menées pour dénoncer le traité budgétaire, amener le maximum d’élus de gauche à le refuser et, à défaut, exiger un référendum. Moins d’un mois après le sommet des 28 et 29 juin, l’impasse européenne demeure totale: «la Banque centrale européenne affame les peuples» a déclaré le 3 août le vice-président socialiste du Sénat, Didier Guillaume, En fait, ce qui affame les peuples, ce sont les politiques menées depuis le début de la crise: austérité pour les peuples, impunité pour les financiers. Ce rappel est indissociable de la campagne contre le traité que nous entendons mener.

Automobile: converger autour de PSA

La question des licenciements sera également essentielle en cette rentrée. La situation dans l’automobile est emblématique:

- Qui décide des choix d’investissement et des capacités de production dans la branche?

- Qui décide de la localisation des usineset de la répartition de la production entre elles ?

- Qui décide des formes d’emploi avec un nombre record d’intérimaires sur des postes permanents de production en contournant le droit du travail?

- Qui décide des conditions de travail qui font qu’un ouvrier en production est souvent «cassé» bien avant l’âge de la retraite?

- Qui pompe en dividendes une bonne partie des profits?

- Qui a usé de son pouvoir de pression pour faire payer aux contribuables aides à la localisation des usines, chômage partiel et primes à la casse?

- Qui a promu un modèle du tout-automobile individuelle au détriment des transports en commun?

Les actionnaires et les dirigeants d’entreprise, bien sûr. A tous ces choix, les salariés n’ont eu aucune part.

Et maintenant, ce sont eux exclusivement qui devraient payer? Cela reflète bien ce qu’est ce système économique.

Comme le titrait le quotidien Libération le 25 juillet dernier: «PSA-Montebourg, beaucoup de cris pour rien». La famille Peugeot et Philippe Varin n’ont rien cédé. Le plan Montebourg centré sur le développement des voitures «propres» répond à côté de la question essentielle et donc entérine la fermeture d’Aulnay. Quant au ministre du travail Michel Sapin, il déclare: «Ce n’est pas au gouvernement de faire bouger les choses, c’est au dialogue social». On ne saurait mieux dire qu’il n’y a rien à attendre des ministres et du Président en l’état actuel des choses et que tout dépendra de la mobilisation.

Juste avant la période des vacances, les syndicats d’Aulnay ont organisé un rassemblement de plus d’un millier de salariés devant le Comité central d’entreprise. Outre les représentants d’Aulnay, se sont exprimés ceux des autres usines du groupe, de Renault, de Sanofi, d’Air France… En obtenant la nomination d’un expert et donc un délai pour la mise en œuvre du PSE, les salariés de Peugeot ont jeté quelques grains de sable et gagné un peu de temps. Il s’agit de mettre à profit ce délai pour organiser et construire une mobilisation déterminée et de longue haleine, à Peugeot et autour de Peugeot. Et aussi avec les salariés de toutes les entreprises et services publics en butte aux licenciements et suppressions de postes.

Dans la mesure de ses forces, le NPA sera partie prenante de cette bataille décisive pour l’emploi2. Il soutiendra les mots d’ordre mis en avant par les travailleurs de la branche auto et des autres entreprises et avancera sa propre perspective: celle de la remise en cause du pouvoir patronal sur les emplois et les salaires, c’est-à-dire les conditions d’existence de leurs salariés. Pour cela, il faut le partage du travail entre les salariés dans les entreprises qui se disent en difficulté (avec ajustement du temps de travail sans aucune perte de salaire) et l’interdiction des licenciements: aux entreprises, individuellement ou collectivement, d’assurer la continuité du contrat de travail et du salaire.

Faire peur aux dirigeants

Dans la préface d’un ouvrage consacré aux travailleurs de Peugeot3, les sociologues Stéphane Beaud et Michel Pialoux ont cru pouvoir poser le diagnostic suivant: «Les ouvriers, qui avaient pour eux la force du nombre, ont peu à peu cessé d’être craints et ne font plus peur aux dirigeants. Il s’agit là d’une rupture importante dans l’histoire des rapports de classe.» On peut discuter cette affirmation: les succès de certaines luttes locales montrent que la capacité à faire peur n’a pas totalement disparu. Mais globalement, le constat est exact: pour qu’ils reculent dans la bataille contre les licenciements et l’austérité, il faudra que les dirigeants des entreprises et ceux du gouvernement commencent à avoir plus peur des travailleurs, hommes et femmes, que des pressions des marchés financiers. Et cette peur viendra de l’action directe des intéressés, pas de discours et d’amendements parlementaires, même s’ils peuvent avoir leur utilité (s’ils sont conçus comme étant au service des luttes et non se substituant à elles).

C’est dans ces batailles concrètes (ainsi que dans celle à mener contre l’enracinement du Front national) que la NPA fera ses preuves. Et démontrera qu’il est, par l’action de ses militants, un instrument, certes imparfait, mais utile.

Henri Wilno

Notes

(1) Alex Callinicos, «The crisis of our time», http://www.amandlapublishers.co.za/speci...

(2) Pour suivre, l’actualité de la branche automobile, un instrument: le site «NPA Auto Critique», www.npa-auto-critique.org/

(3) «Retour sur la condition ouvrière», Fayard, 2000.
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Message  Vals Lun 17 Sep - 10:06

Mais là n’est pas l’essentiel. Il serait positif qu’une part importante des élus PS et Verts refusent le bradage de Hollande. Pour les y pousser, le NPA s’inscrira dans les actions unitaires qui, localement ou nationalement, pourraient être menées pour dénoncer le traité budgétaire, amener le maximum d’élus de gauche à le refuser et, à défaut, exiger un référendum.

Il semblerait que la revue Tout Est A Nous ait, comme l'Huma, encore traffiqué la position du NPA sur le referendum....
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Message  verié2 Lun 17 Sep - 10:21

Il serait positif qu’une part importante des élus PS et Verts refusent le bradage de Hollande.
Cette naïveté et ces pitoyables calculs politiciens sont franchement consternants. Certes, ça n'empêche pas de lutter contre les licenciements et l'austérité, mais le caractère de manoeuvre de diversion de la revendication d'un référendum est gros comme un immeuble de 50 étages. Il suffisait de voir, pendant la fête de l'Huma, les militants du PC qui à tous les coins d'allées, devant tous les stands, s'acharnaient à faire signer des pétitions pour le référendum pour comprendre qu'il s'agit d'une opération à usage essentiellement interne visant à donner aux militants l'impression de faire quelque chose sans s'attaquer frontalement au gouvernement...

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Message  yannalan Lun 17 Sep - 13:06

J ene sais pas comment c'est par chez vous, ici, des militants PCF il y en a pas mal, des élus aussi, aucun ne m'a parlé de TSCG ou de référendum. Vu le résultat de 2005 où le référendum a été gagné dans le urnes pour être reperdu au Parlement plus tard, c'est compréhensible.
Les travailleurs veulent garder leur boulot, les autres en trouver un, c'est ça la préoccupation première.

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Message  Invité Lun 17 Sep - 13:33

Vals a écrit:
Mais là n’est pas l’essentiel. Il serait positif qu’une part importante des élus PS et Verts refusent le bradage de Hollande. Pour les y pousser, le NPA s’inscrira dans les actions unitaires qui, localement ou nationalement, pourraient être menées pour dénoncer le traité budgétaire, amener le maximum d’élus de gauche à le refuser et, à défaut, exiger un référendum.

Il semblerait que la revue Tout Est A Nous ait, comme l'Huma, encore traffiqué la position du NPA sur le referendum....

C'est la position d'Henri Wilno.
Je ne sais pas ce que c'est la position du NPA, ou même en général une position du NPA, puisque n'importe qui peut faire et dire ce que bon lui semble de toutes façons...

Sinon par chez moi personne ne parle du 30, ça parle un poil du 9 par contre, sans plus...

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Message  gérard menvussa Lun 17 Sep - 13:43

ici, des militants PCF il y en a pas mal, des élus aussi, aucun ne m'a parlé de TSCG ou de référendum.
Soit il y a chez toi un micro climat trés spécifique où les militants du pcf ne parlent pas de ce fameux traité, soit il estiment a tord ou a raison (a raison, selon moi) ne pas avoir a perdre leur temps a en parler. Mais c'est évident que TOUT le pcf est mobilisé la dessus. C'est l'évidence même ! Cela dit tu peut dire que le ciel est vert, c'est pas moi qui te l'empécherait !
O
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Message  yannalan Lun 17 Sep - 13:47

Je ne sais pas chez qui il y a un micro-climat, mais la deuxième hypothèse me paraît plus réaliste. Que le direction du PCF ait envie de mobiliser, c'est une chose, que la base ait franchement envie de suivre, ça me semble une autre. Mais si d'autres micro-climats veulent s'exprimer, je suis tout ouie

yannalan

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Message  stef Lun 17 Sep - 13:49

verié2 a écrit:
Il serait positif qu’une part importante des élus PS et Verts refusent le bradage de Hollande.
Cette naïveté et ces pitoyables calculs politiciens sont franchement consternants. Certes, ça n'empêche pas de lutter contre les licenciements et l'austérité, mais le caractère de manoeuvre de diversion de la revendication d'un référendum est gros comme un immeuble de 50 étages. Il suffisait de voir, pendant la fête de l'Huma, les militants du PC qui à tous les coins d'allées, devant tous les stands, s'acharnaient à faire signer des pétitions pour le référendum pour comprendre qu'il s'agit d'une opération à usage essentiellement interne visant à donner aux militants l'impression de faire quelque chose sans s'attaquer frontalement au gouvernement...

Bien. Je ne commenterai pas ici ta totale extériorité à ce qu'est le combat pour la rupture avec la bourgeoisie et ses conséquences. Ca ne sert à rien. On a bien compris que tu n'as rien à voir avec le trotskysme et sa méthode politique (tu l'as d'ailleurs toi-même écrit). Donc le débat nous mènerait trop loin.

Concernant la question du référendum. Il va de soi que, comme de nombreux camarades, je suis en désaccord avec Wilno, et nous en débattrons au sein du NPA. Il existe d'ailleurs déjà un texte au BI, préparatoire aux rencontres nationales signé par 2 camarades du 94 et se prononçant contre la signature de l'appel Cop-ATTAC à cause du référendum.
Mais le papier de Wilno - après d'autres - fait que la position du NPA est à repréciser.
Ceci étant, même si la majorité du NPA se retrouvait derrière le référendum, ça ne changerait rien à l'absurdité des arguments de LO et de ses satelittes.
Car il n'est tout simplement pas vrai que le combat contre le TSCG implique de se prononcer pour un référendum.

stef

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Message  Vals Jeu 27 Sep - 0:32

LO 28 9 2012

Le traité européen : un leurre pour la classe ouvrière

Devant la succession de plans de licenciements, on aurait pu s'attendre, au moins de la part de la CGT, et des partis qui disent être à la gauche du PS, à ce que les premières mobilisations de la rentrée soient contre le chômage.

Eh bien, non ! Face à l'hémorragie de l'emploi et à l'augmentation du chômage, les organisations syndicales ont choisi de s'en prendre non pas aux patrons ou au gouvernement... mais au énième traité européen. Ainsi un traité qui ne sera en application que le 1er janvier 2013 serait responsable de tout.

Les manifestations organisées dans tout le pays le 30 septembre contre ce même traité ne se font donc pas sur le terrain des intérêts des travailleurs. La CGT fait signer une pétition demandant aux parlementaires de ne pas voter le traité européen et le Front de gauche en appelle à un référendum sur ce même traité. Et du coup, dans cette initiative, ils se retrouvent à devoir patauger dans la même fange que le Front national qui, au nom de la « souveraineté nationale » et de son rejet de l'euro, réclame lui aussi un référendum.

Évidemment, il n'y a rien de bon dans ce traité d'union budgétaire européenne qui, comme tous les autres, a été concocté par la Commission européenne et par tous les gouvernements de droite et de gauche des pays qui composent l'Union européenne et qui tous défendent une Europe au service du capital.

Mais essayer d'entraîner les travailleurs sur cette voie est une impasse. Elle l'est par ce qu'elle comporte de tentation nationaliste. Si les capitalistes licencient en France, ce serait la faute de Merkel, nous disent certains, et pourquoi pas la faute des travailleurs allemands qui pourtant subissent la crise et l'austérité comme ici.

Cette voie est aussi une impasse parce qu'elle laisse à penser que l'Union européenne serait indépendante des gouvernements, du patronat et des marchés financiers, alors que ce sont eux qui dictent leur loi à la Commission européenne.

Enfin, demander un référendum a quelque chose de puéril ; à croire que les partisans d'un « non de gauche » ont perdu la mémoire. En 2005, Chirac avait accordé un référendum sur le traité européen, dit « traité de Lisbonne ». Le « non » l'avait emporté. Qu'à cela ne tienne ! Les capitalistes et les gouvernements à leur service avaient trouvé une autre procédure pour l'appliquer quand même.

En fait ce nouveau traité européen n'est qu'une reprise de textes déjà existants et si la rigueur budgétaire y est, nous dit-on, plus contraignante, les gouvernements savent comment ne pas respecter les règles (comme la prétendue règle des 3 % de déficit). Il n'y a là qu'un chiffon de papier sur lequel les capitalistes et leurs représentants au pouvoir s'essuieront les pieds quand cela les arrangera.

Traité européen ou pas, le gouvernement Hollande prépare un budget d'austérité pour la population. Nombre de grandes entreprises suppriment des postes de travail, quand elles ne ferment pas des usines. Voilà les véritables responsables de la situation faite au monde du travail et voilà pourquoi cette agitation contre le traité européen, qui ne les désigne pas nommément, est un leurre.

Catherine OLIVIER

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